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  • Le Sénat supprime l’amendement hypocrite

    Le Sénat a supprimé l’amendement introduit par les députés dans la réforme de la Constitution rendant obligatoire un référendum pour l’adhésion à l’UE d’un pays dont le nombre d’habitants dépasse 5% de la population européenne.

    L’amendement a été supprimé par 297 voix contre 7. Les sénateurs de tous les partis ont dénoncé un amendement « offensant » et « discriminatoire » pour la Turquie.

    Ce qui n’est évidemment pas faux. Et comme l’a bien dit le sénateur socialiste Bernard Frimat, « on a le droit d’être pour ou contre l’adhésion de la Turquie mais on n’a pas le droit de se cacher derrière une réaction hypocrite ».

  • Gérard Longuet de nouveau mis en examen

    Gérard Longuet, aujourd’hui sénateur de la Meuse , a de nouveau été mis en examen pour « recel d’abus de bien social » dans un nouveau volet de l’affaire du financement du parti républicain entre 1987 et 1991, enquête dans laquelle il est déjà poursuivi depuis 1995.

    Il est reproché à Gérard Longuet, à l’époque président du PR mais aussi ministre des Postes et Télécommunications, d’avoir enjoint la société La Signalisation à verser une commission de 16 millions de francs au profit d’une société panaméenne dirigée par l’un de ses collaborateurs pour rémunérer son intervention dans un litige financier opposant La Signalisation au Koweit...

    Cinq autres personnes, dont l’ancien trésorier du parti disparu, Jean-Pierre Thomas, sont également poursuivies.

    D’autre part, le promoteur Christian Pellerin a été mis en examen dans un autre volet de cette affaire, pour un prêt présumé illégal pour l’achat du siège du PR.

  • Nativité de saint Jean Baptiste

    Ut queant laxis resonare fibris
    Mira gestorum famuli tuorum,
    Solve polluti labii reatum, Sancte Johannes.

    Nuntius celso veniens olympo.
    Te patri magnum fore nasciturum,
    Nomen et vitæ seriem gerendæ
    Ordine promit.

    Ille, promissi dubius superni,
    Perdidit promptæ modulos loquelæ;
    Sed reformasti genitus peremptæ
    Organa vocis.

    Ventris obstruso recubans cubili,
    Senseras regem thalamo manentem :
    Hinc parens, nati meritis, uterque
    Abdita pandit.

    Sit decus Patri, genitæque Proli,
    Et tibi, compar utriusque virtus
    Spiritus semper, Deus unus,
    omni Temporis ævo. Amen.

    Pour que d'une voix étendue et puissante vos serviteurs fassent retentir les merveilles de vos actes, bannissez, ô saint Jean, l'indignité de nos lèvres souillées.

    Un messager venu des célestes sommets annonce à votre père que vous naîtrez et serez grand; le nom que vous porterez, la vie que vous mènerez, il expose par ordre toutes choses.

    Lui doute des célestes promesses, et soudain il n'a plus le pouvoir d'articuler les sons; mais, en naissant, vous restaurez l'organe de sa voix éteinte.

    Reposant dans le secret des entrailles maternelles, vous aviez senti la présence du roi séjournant en sa couche nuptiale; en suite de quoi, par le mérite de leur fils, votre père et votre mère découvrirent tous deux les mystères.

    Honneur au Père, et au Fils qu'il engendre, ainsi qu'à vous, puissance éternellement égale aux deux, ô Esprit, Dieu unique, dans toute la suite des âges. Amen.

    (Hymne des vêpres, traduction de Dom Guéranger. Chaque hémistiche de la première strophe commence par une note différente et monte la gamme. On a pris la première syllabe de chaque vers pour désigner les notes de la gamme : ut, ré(sonare), mi(ra), fa(muli), sol(ve), la(bia). Dans les gammes de plain chant il n’y a pas de « sensible », ici il n’y a donc pas de si. On a pris ensuite les initiales de saint Jean : Sancte Iohannes. C’est Guido d’Arezzo, au début du XIe siècle, qui avait découvert cette particularité de l’hymne et trouvé ainsi le moyen d’apprendre la gamme à ses étudiants. L’hymne est de Paul Diacre, historien lombard du VIIIe siècle.)

  • L’argent par les fenêtres

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Le gouvernement a demandé un sondage à l’IFOP pour savoir si le pouvoir d’achat était le premier souci des Français. Comme s’il y avait besoin de payer un sondage pour cela.

    Puisque la réponse a été évidemment positive, le gouvernement a demandé à l’agence Young & Rubicam de concevoir une campagne de publicité médiatique pour tenter de convaincre les Français qu’il agit sur ce plan-là.

    Coût de la publicité : 4,33 millions d’euros.

    Une fois de plus, ce gouvernement cherche à vendre sa politique comme une lessive. Mais ce sont les Français qui sont lessivés, et aucune publicité ne peut les convaincre que leur porte-monnaie s’en porte mieux.

  • Les coptes

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    (Séthi Ier, père de Ramsès II) 

    Il y avait plus d’un millier de coptes, hier, à la manifestation parisienne organisée pour réclamer la fin des persécutions et l’égalité des droits.

    A ma connaissance, personne n’en a parlé. Aucune dépêche, aucune photo, rien. Il n’y avait d’ailleurs à cette manifestation (entre la Nation et la Bastille, avec de nombreuses banderoles, des gens de toutes sortes, de nombreuses familles avec de petits enfants) aucun journaliste en dehors d’un photographe ami et de moi-même, qui n’y étais pas en tant que journaliste, mais pour manifester ma solidarité.

    Les coptes n’intéressent personne. Les chrétiens en pays d’islam sont des gêneurs. Ils sont les témoins, les preuves vivantes que l’islam n’est pas une religion de paix ni une doctrine de tolérance. Alors on ne veut pas les voir. Ils n’existent pas.

    Ils réclament l’aide de la France. Mais la France les ignore. Ils ne sont pas dans le sens de l’histoire. L’histoire de la conquête islamique, qui est aussi désormais celle de la France.

    C’était la première fois que je voyais un important groupe de coptes. J’ai été extrêmement impressionné par leurs visages. Par leur type ethnique très homogène. Le type ethnique qui est celui-là même de nombreux bas-reliefs et peintures de l’Egypte pharaonique. Comme s’ils sortaient des temples égyptiens. Avec leur nez assez long et leurs yeux en amande allongée. De profil, c’est spectaculaire, surtout chez les jeunes filles. On voit là de façon évidente à quel point les coptes sont réellement (comme leur nom l’indique, puisque copte veut dire égyptien) les descendants des anciens Egyptiens, restés tels quels malgré l’invasion arabe.

    Et devant ce prodigieux spectacle, je me suis dit que décidément je n’étais pas pour le métissage...

  • « Nous avons affaire à des bolcheviques »

    Suite à une rencontre entre les représentants des pêcheurs de thon rouge et la Commission européenne, la porte-parole du commissaire à la pêche a déclaré :

    « La pêche au thon est terminée en Méditerranée et en Atlantique oriental, tout simplement parce que la Commission a suffisamment de faits et de chiffres. » Le ministre Michel Barnier a rencontré en fin de semaine dernière le commissaire Borg et ils ont « réglé la polémique ». « Les choses ont été expliquées et M. Barnier a fait en sorte que les licences des pêcheurs soient retirées jusqu’à la prochaine campagne de pêche. M. Barnier a tout à fait reconnu que nous avions plusieurs sources d’information et que ça nous permettait d’avoir une cartographie très très précise et donc des données beaucoup plus fiables. »

    (A comparer avec ce que disait Michel Barnier au JDD.)

    De son côté, Mourad Kahoul, président du syndicat des thoniers méditerranéens, a déclaré :

    «  La Commission est arrivée avec un dossier creux. Ils n’ont aucune donnée scientifique fiable, ils n’ont que des suppositions. Même les contrôles de la marine française, c’est du pipeau pour eux. Eux ils n’ont rien, nous on a des preuves et on passe pour des menteurs. On tue des familles sur des suppositions. Nous avons affaire à des bolcheviques, ici c’est pire que dans les années 40. »

  • Barroso : il n’est pas possible...

    Le président de la Commission européenne José Manuel Barroso s’en prend aux gouvernements européens :

    « Il n’est pas possible de critiquer Bruxelles du lundi au samedi pour ensuite, le dimanche, demander à ses citoyens un vote favorable à l’Europe. »

    Mais si, c’est possible. A la mauvaise foi des gouvernements qui reportent la responsabilité de leurs échecs sur Bruxelles répond la mauvaise foi de Bruxelles qui se moque de ce que votent les citoyens. Où est le problème ? Que ça commence à se voir ?

    En outre, la règle est désormais de ne pas demander de vote. Cette fois, l’Irlande était une exception. La solution serait en fait que l’Union européenne exige une modification de la Constitution irlandaise... Et ce serait l’occasion par la même occasion d’obliger l’Irlande à supprimer le préambule de sa Constitution, parfaitement insupportable dans une Europe laïque qui veut s’ouvrir à la Turquie  :

    « Au nom de la Très Sainte Trinité, de qui est toute autorité, et à qui, comme notre fin dernière, toute action tant des hommes que des Etats doit se référer, nous, peuple de l’Eire, reconnaissant humblement toutes nos obligations envers notre Seigneur Jésus-Christ, qui soutint nos pères tout au long des siècles, et se rappelant avec gratitude leur lutte héroïque et leurs combats incessants pour recouvrer la légitime indépendance de notre nation, et cherchant à promouvoir le bien commun, en observant comme il se doit la Prudence , la Justice et la Charité , afin que la dignité et la liberté des personnes soit assurée, qu’un véritable ordre social soit atteint, que l’unité de notre pays soit restaurée, et que la concorde soit établie avec les autres nations, nous adoptons par la présente, nous édictions et nous donnons à nous-mêmes cette Constitution. »

    Pour paraphraser Barroso, on peut dire qu’il n’est pas possible d’apprendre ce texte aux enfants d’Irlande et de leur demander ensuite de dire oui à l’Union européenne...

  • Quand Michel Barnier s’en va-t-en guerre

    Le Journal du Dimanche pose cette question à Michel Barnier :

    « Vous avez critiqué la décision de la Commission d'interdire la pêche au thon rouge en Méditerranée. Allez-vous demander un vote sur cette question mardi à la réunion des ministres de la pêche? »

    Réponse du ministre :

    «  La Commission a décidé de fermer la pêche quinze jours avant la date prévue sans crier gare. J'ai été surpris, je n'ai pas compris. Cela va à l'encontre du contrat de confiance qui la lie aux Etats membres. Mon état d'esprit n'est pas d'entrer en guerre avec la Commission mais je veux l'obliger à expliquer ses décisions de manière intelligible. Compte tenu de la défiance actuelle des citoyens européens à l'égard de Bruxelles, il vaut mieux que les décisions soient motivées. »

    Que constate-t-on ? Qu’il ne répond pas à la question. Les ministres de la pêche se réunissent demain. Michel Barnier ne demandera pas un vote pour soutenir les pêcheurs français, italiens et espagnols. Car il sait qu’il n’aurait pas la majorité. Alors il ferait mieux de se taire.

    L’AFP résume ainsi son propos : « M. Barnier va sommer la Commission européenne de s’expliquer. »

    La Commission ne tremble pas de peur devant une telle détermination.

    Elle rigole.

  • De Vincennes à Melilla : le vrai visage de l’immigration

    Communiqué de Marine Le Pen

    L’immigration de peuplement encouragée conjointement par les apôtres du mondialisme et les internationalistes d’extrême gauche prend une tournure de plus en plus séditieuse.

    Après les occupations d’entreprises par les clandestins, c’est le centre de rétention de Vincennes qui a été le théâtre le 22 juin d’une insurrection organisée par des clandestins en voie d’expulsion.

    Quelques heures plus tôt, A Melilla, enclave espagnole du nord marocain, un nouveau poste frontière a été pris d’assaut par des dizaines d’Africains voulant pénétrer en Espagne.

    Loin d’être devenues la forteresse que dénonce les associations immigrationnistes, la France et l’Europe sont désormais prises violemment d’assaut par tous ceux qui poussés par les charlatans de la mondialisation heureuse, estiment  qu’ils ont un droit inaliénable à s’installer où bon leur semble.

    Marine Le Pen, député européen, vice-présidente du FN, exprime ses vives inquiétudes face à cette escalade de la violence encouragée par les mondialistes de tous bord qui livrent la France et l’Europe au chaos et  rappelle qu’il appartient aux  seuls Etats souverains de choisir qui ils entendent accueillir ou pas sur leur sol.

  • A Vincennes

    Des immigrés en rétention administrative ont mis le feu au centre de Vincennes, dont deux bâtiments ont entièrement brûlé.

    C’était en réaction à la mort de l’un d’eux, évidemment qualifiée de suspecte par les lobbies immigrationnistes qui sont immédiatement montés au créneau.

    Une autopsie a été pratiquée. L’homme est mort d’une crise cardiaque, rien ne peut laisser penser qu’il ne s’agisse pas d’une mort naturelle. Et il est établi qu’il se trouvait seul dans sa chambre au moment du décès.

    La préfecture de police précise : « Cette personne était retenue en application d’une interdiction définitive du territoire français prise par la cour d’appel de Paris. En effet, elle était connue pour des faits de délinquance graves et réitérés, sous de multiples identités, notamment en matière de trafic de stupéfiants, de violence et de viol ».

    Il ne s’agit donc pas tout à fait d’un brave « sans-papiers » collé en centre de rétention et tabassé par les gardiens au cours d’un des innombrables incidents de la vie de ce centre...