Le numéro de Noël (daté du 22 décembre) du grand hebdomadaire allemand Der Spiegel : le Coran, le livre le plus puissant du monde...
(via Bafweb)
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Le numéro de Noël (daté du 22 décembre) du grand hebdomadaire allemand Der Spiegel : le Coran, le livre le plus puissant du monde...
(via Bafweb)
Des Hindous, soutenus par le Vishwa Hindu Parishad (Conseil mondial Hindou), ont mis le feu à six églises et en ont pillé quatre autres au cœur de l'Etat d'Orissa, dans l’est de l’Inde. Un jeune homme est mort dans ces attaques et 30 autres personnes ont été blessées.
Les autorités ont imposé un couvre-feu dans les quatre villes où ces violences ont eu lieu. Le chef du gouvernement de l'Etat, Naveen Patnaik, a lancé un appel à la paix, affirmant sur une chaîne de télévision, que l'Etat d'Orissa a « une longue tradition de bonne entente entre les communautés » et qu'il « faut la maintenir ».
Selon les autorités, les violences dans les églises se sont produites au lendemain d'une attaque contre un leader hindou appelé Swami Laxmananand Saraswati, qui fait campagne contre la conversion au christianisme d'Hindous de castes basses (la majorité des chrétiens convertis sont en effet des dalits, ou intouchables).
La conférence épiscopale s'est dite « profondément choquée » par des « attaques soigneusement planifiées contre des chrétiens innocents », et a appelé le gouvernement indien à assurer la sécurité de « la minuscule communauté d'Orissa ».
Suite au discours de Nicolas Sarkozy à Saint-Jean de Latran, le Grand Orient de France exprime son « inquiétude face à toute volonté de présenter le fait religieux comme constitutif de l’identité politique et citoyenne, ce qui pourrait entraîner une sérieuse inflexion du modèle républicain français ».
« Si l’Histoire a fait de la France “la fille aînée de l’Eglise“, en revanche la République a su opérer une émancipation salvatrice vis-à-vis du religieux en forgeant souvent avec difficulté le concept de laïcité », poursuit le Grand Orient, appelant « tous les hommes de progrès à rester plus que jamais vigilants face à une réforme de la loi de 1905 qui représenterait un véritable danger pour la République ».
La similitude avec les propos de François Bayrou, hier dans Le Figaro, est frappante...
« En lisant vos propos, on avait vraiment l'impression de lire l'interview de rentrée d'un ponte du Grand Orient de France... », écrivait hier David Fontey à l'intention de Bayrou...
Sur ce sujet, j'invite aussi à lire le remarqubale commentaire d'"Antoine" à ma note sur Bayrou.
L'Eglise connaît deux vies, parce que Dieu lui en a parlé et les lui a fait connaître, l'une qui consiste à croire, l'autre à voir distinctement; l'une qui s'écoule dans ce triste pèlerinage, l'autre qui demeurera pendant l'éternité; l'une, qui se passe dans les agitations, l'autre, où l'on se reposera; l'une, qui appartient à notre voyage ici-bas, l'autre, dont on jouira dans la patrie; l'une, occupée par le travail, l'autre, récompensée par la claire vue de Dieu; dans l'une, on évite le mal et l'on fait le bien, dans l'autre, il n'y a aucun mal à éviter, et l'on y jouit d'un bonheur sans limites: l'une consiste à lutter contre l'ennemi, l'autre, à régner sans rencontrer d'adversaire; dans l'une, on se montre fort contre l'adversité, dans l'autre, rien de pénible ne nous tourmentera; ici, il faut dompter les convoitises charnelles, là, on sera plongé dans un océan de délices spirituelles; l'une est troublée par la difficulté de vaincre, l'autre est tranquille parce qu'elle jouit de la paix de la victoire; au milieu des épreuves, la première a besoin de secours, la seconde ne rencontre aucune difficulté et puise la joie en celui-là même qui aide les malheureux; dans l'une, on vient au secours des indigents, dans le séjour de l'autre, on ne trouve aucun infortuné; ici, on pardonne aux autres leurs péchés, afin d'obtenir d'eux indulgence pour les siens; là, on ne souffre rien qu'on doive pardonner, on ne fait rien qui exige l'indulgence d'autrui; dans l'une, on est accablé de maux pour que la prospérité n'engendre pas l'orgueil; dans l'autre, on est comblé d'une telle abondance de grâces, qu'on est à l'abri de tout mal et qu'on s'attache au souverain bien sans éprouver le moindre sentiment d'orgueil; l'une est témoin du bien et du mal, l'autre ne voit que du bien; l'une est donc bonne, mais malheureuse, l'autre est meilleure et bienheureuse; la première a été figurée par l'apôtre Pierre, la seconde par l'apôtre Jean; l'une s'écoule tout entière ici-bas, elle s'étendra jusqu'à la fin des temps et y trouvera son terme; l'autre ne recevra sa perfection qu'à la consommation des siècles, mais dans le siècle futur elle n'aura pas de fin.; aussi dit-on à l'une « Suis-moi », et à l'autre : « Je veux qu'il demeure ainsi jusqu'à ce que je vienne ; que t'importe? Suis-moi ». Que veulent dire ces paroles? Autant que je puisse en juger, autant que je puis le comprendre, elles n'ont pas d'autre signification que celle-ci: Suis-moi en m'imitant, en supportant comme moi les épreuves de la vie; pour lui, qu'il demeure jusqu'au moment où je viendrai mettre les hommes en possession des biens éternels.
(Saint Augustin, traité 124 sur l’évangile de saint Jean)
L’Aide médicale de l’Etat (AME) est une prise en charge à 100% des soins médicaux et hospitaliers. Instituée par le gouvernement Jospin en 2000, elle est ouverte sous conditions de résidence et de ressources aux personnes qui ne remplissent pas les conditions pour bénéficier de la CMU (couverture médicale universelle). Autrement dit, l’AME bénéficie essentiellement aux immigrés clandestins et à leurs « ayants-droit ».
Les députés Thierry Mariani et Claude Goasguen ont déposé une proposition de loi, le 5 décembre dernier, visant à réduire les plus graves dérives de l’AME.
Ils rappellent que selon un rapport de l’IGAS, l’AME comptait 191.000 bénéficiaires en 2006, pour un coût estimé à 445 millions d’euros. La prestation moyenne par bénéficiaire s’élève à 2.500 euros, contre 1.500 euros pour un assuré au régime général. En 2003, un rapporteur de l’Assemblée nationale avait constaté des coûts moyens allant jusqu’à 8.000 euros en région parisienne.
Les abus sont évidents.
Ils viennent notamment du fait que les « conditions » pour bénéficier de l’AME n’en sont pas. La condition de résidence comme la condition de ressources peuvent être remplies par une « déclaration sur l’honneur », et les demandes d’admission peuvent être reçues par quatre organismes différents. « La multiplication des possibilités de dépôt des demandes ne peut être qu’un facteur aggravant du flou statistique existant aujourd’hui sur les chiffres de l’AME, qui renseignent entre autres sur les chiffres de l’immigration, légale ou illégale. Cette multiplication permet en outre à certaines personnes de présenter plusieurs dossiers, la centralisation des demandes étant de fait difficile devant la complexité administrative. »
Les deux députés demandent en conséquence que les demandes d’admissions ne puissent se faire qu’à la mairie du lieu de résidence de la personne qui veut bénéficier de l’AME, et que la mairie puisse vérifier les conditions de ressources, d’identité et de résidence, « ce qui paraît être le minimum pour une demande qui a pour effet de permettre des dépenses de soin gratuites pour le bénéficiaire et ses ayants-droit, financées par la société », au bénéfice de clandestins. Il est également proposé de permettre que les demandes d’AME puissent être mémorisées et faire l’objet d’un traitement informatisé afin de lutter contre les détournements de procédure.
Naturellement, SOS Racisme a vigoureusement réagi en condamnant cette proposition de loi, qui « poursuit deux objectifs détestables : l'association obsessionnelle entre fraude et immigration ainsi que la remise incessante sur le tapis de la question de l'immigration ».
Et c’est pourquoi la proposition de loi est déjà passée aux oubliettes.
Il n’est pas question de contrôler les clandestins, même quand il s’agit seulement de s’assurer qu’ils ne fraudent pas en matière de remboursement de soins médicaux.
En creux, la vaine proposition de loi de Mariani et Goasguen montre quelle est la véritable politique d’immigration de Nicolas Sarkozy.
De la splendide homélie de Noël prononcée par le pape à la messe de minuit, les médias n’ont retenu que le côté dit « écologique ». Comme si Benoît XVI était une sorte de Nicolas Hulot du Vatican. Voici donc le passage en question. Pour ceux qui sont encore capables de comprendre que le message « écologique » (qui a toujours été le message catholique) s’inscrit dans un contexte spirituel, et quel contexte spirituel, quand le pape fait appel à saint Jean et à saint Grégoire de Nysse…
Dans certaines représentations de la Nativité à la fin du Moyen-Âge et au début de l’époque moderne, l’étable apparaît comme un palais un peu délabré. Si l’on peut encore en reconnaître la grandeur d’autrefois, il est maintenant en ruines, les murs sont effondrés – il est précisément devenu une étable. Bien que n’ayant aucun fondement historique, cette interprétation exprime cependant sur un mode métaphorique quelque chose de la vérité qui se cache dans le mystère de Noël. (…)
Dans ses homélies de Noël, Grégoire de Nysse a développé la même perspective en partant du message de Noël dans l’Évangile de Jean : « Il a planté sa tente parmi nous » (1, 14). Grégoire applique ce mot de tente à la tente de notre corps, devenu usé et faible, toujours exposé à la douleur et à la souffrance. Et il l’applique au cosmos tout entier, lacéré et défiguré par le péché. Qu’aurait-il dit s’il avait vu les conditions dans lesquelles se trouvent aujourd’hui la terre en raison de l’utilisation abusive des ressources et de leur exploitation égoïste et sans aucune précaution ? De manière quasi prophétique, Anselme de Canterbury a un jour décrit par avance ce que nous voyons aujourd’hui dans un monde pollué et menacé dans son avenir : « Tout ce qui avait été fait pour servir à ceux qui louent Dieu était comme mort, avait perdu sa dignité. Les éléments du monde étaient oppressés, avaient perdu leur splendeur à cause de l’excès de ceux qui les asservissaient à leurs idoles, pour lesquelles ils n’avaient pas été créés » (PL 158, 955 ss). Ainsi, selon la vision de Grégoire, dans le message de Noël, l’étable représente la terre maltraitée. Le Christ ne reconstruit pas un palais quelconque. Il est venu pour redonner à la création, au cosmos, sa beauté et sa dignité : c’est ce qui est engagé à Noël et qui fait jubiler les anges. La terre est restaurée précisément par le fait qu’elle est ouverte à Dieu, qu’elle retrouve sa vraie lumière; et, dans l’harmonie entre vouloir humain et vouloir divin, dans l’union entre le haut et le bas, elle retrouve sa beauté, sa dignité. Aussi, la fête de Noël est-elle une fête de la création restaurée.
Une journaliste de l’AFP est allée à la messe de Noël à l’église de la Vierge Marie à Bagdad, dans le quartier chiite de Karrada. Elle a rencontré une fidèle, Yvonne Jadou. Plus rien n’est comme avant, dit-elle. Même les youyous qui accueillent l’arrivée du patriarche, Mgr Delly, « ne sonnent plus comme autrefois ». « Avant 2003, l’église était pleine, les gens chantaient, les gens étaient heureux… Aujourd’hui les gens ne sortent plus, ils ont peur. C’est une peur qui nous suit partout. Mais s’il faut mourir, je préfère mourir ici. »
Petite bonne nouvelle, rapportée par e-deo : dans le quartier sunnite de Doura, sinistré par de très violents combats, des familles chrétiennes reviennent, et la messe a pu être célébrée dans l’église, fermée il y a deux ans, dont les murs ont été troués par les missiles. Le chef sunnite local promet désormais aux chrétiens la sécurité et leur promet même qu’ils n’auront plus à payer la « redevance de protection » qu’Al Qaïda, dit-il, l’obligeait à percevoir auprès des chrétiens.
La veille de Noël, l’armée israélienne a publié un communiqué indiquant que suite à son enquête, l’emploi de bombes à sous-munitions au Liban à l’été 2005 a été « légal et conforme au droit humanitaire international ». « L’armée israélienne a dans la plupart des cas utilisé des BASM contre des secteurs inhabités où il n’y avait pas de civils et où opéraient les forces du Hezbollah. Lorsque ces armes ont été utilisées contre des secteurs urbains, il s’agissait de ripostes de caractère défensif contre des attaques à la roquette à partir de villages évacués par la plus grande partie de leurs habitants. » L’armée israélienne « a respecté les lois sur les conflits armés (y compris son obligation d’agir pour réduire au minimum le nombre de victimes civiles) et son engagement à obéir à son éthique ».
Rappel. Le droit international interdit l'usage de telles armes dans des zones civiles. Selon l’ONU, qui a condamné l'usage des BASM au sud Liban, Israël a largué 4 millions de BASM au cours du conflit. Un million d’entre elles n’ont pas explosé et se trouvent toujours sur le sol libanais. Au moins 38 personnes ont été tuées et 217 blessées et mutilées (dont de nombreux enfants) par des BASM depuis la fin du conflit.
Extraits de l’homélie de Mgr Michel Sabbah, patriarche latin de Jérusalem, lors de la messe de minuit à Bethléem
Aucun exclusivisme qui écarte l'autre ou le réduit à un état d'occupation ou de soumission quelconque ne peut s'accorder avec la vocation de cette terre. Terre de Dieu, elle ne peut pas être pour les uns une terre de vie et pour les autres une terre de mort, d'exclusion, d'occupation ou de prisons politiques. Tous ceux que Dieu, le Seigneur de l'histoire, y a rassemblés doivent trouver dans cette terre vie, dignité et sécurité.
Chacun sait comment se fait la paix. Chacun sait se ce qui est dû à chacun des deux peuples qui habitent ce pays. Ce n'est pas le plus faible qui doit se soumettre et continuer à se dépouiller, mais les plus forts qui ont tout en main qui doivent se détacher et donner au plus faible son dû. Toutes les questions difficiles, avec la volonté ferme de tous pour faire la paix, peuvent alors trouver leur solution. (…)
A vous, frères et sœurs, à vous tous chrétiens de cette terre, tentés par l'émigration, objet de préoccupation de tous, je vous dis d'abord ce que Jésus nous dit : n'ayez pas peur. Le chrétien n'a pas le droit d'avoir peur, ni de fuir les difficultés. Cela veut dire partager les soucis de tous, construire la paix avec tous et en accepter les sacrifices, la prison, la vie peut-être, ou les difficultés de la vie quotidienne, de l'occupation, du mur qui sépare, du manque de liberté de mouvement : tout cela est le lot de tous, et tous ensemble par nos sacrifices et notre générosité, nous construirons la paix pour tous.
A ceux tentés ou poussés par les difficultés à quitter le pays, nous disons : ici vous avez une place, et plus qu'une place, vous avez une vocation : celle d'être chrétiens ici, dans la terre de Jésus, et non ailleurs dans le monde. Acceptez votre vocation, bien qu'elle soit difficile. Notre présence ici restera témoin de la vocation universelle de cette terre, terre de Dieu, et terre pour les trois religions et les deux peuples qui l'habitent. Ecoutez la voix de votre vocation et écoutez la voix de tous ceux qui vous veulent ici présents.
Car ce n'est pas seulement dans un conflit que nous vivons, mais dans une histoire dont Dieu est le maître. Une histoire que Dieu fait et nous invite à la faire avec lui. Il est le Seigneur de toute l'histoire de l'humanité, depuis ses débuts lointains, depuis le temps de l'histoire sainte et jusqu'aujourd'hui. C'est lui qui était, qui est et qui sera. Personne et aucun temps ne peut l'éviter. Il est l'inévitable avec qui et devant qui nous vivons, nous agissons et nous existons (cf. Actes 17,28). Pleins d'espérance, libres de la peur, nous continuons à faire notre chemin.
« Il y a dans le discours prononcé à Saint-Jean-de-Latran (…) une remise en cause de la conception de la laïcité républicaine autour de laquelle, depuis la Libération (sic), la France s'est construite. S'exprimant comme président de la République, il introduit la notion de «racines essentiellement chrétiennes» de la France, oubliant le grand mouvement d'émancipation des Lumières. Il affirme que la République a «intérêt» à compter beaucoup de croyants. Il demande aux religions, toujours dans «l'intérêt» de la République, de fonder la morale du pays. C'est le retour, qu'on croyait impossible en France, du mélange des genres entre l'État et la religion. Ce mélange des genres n'a jamais produit de bons fruits, je le dis comme citoyen, et je le dis aussi comme chrétien de conviction.
« La République n'a pas à sous-traiter l'espérance aux religions. La République est en charge de réaliser un monde meilleur, et pas d'inviter à l'attendre. Cette conception sociologique de la religion, fournissant «l'espérance» qui fait que les peuples se tiennent tranquilles et respectent les règles établies, on croyait qu'elle était loin derrière nous ! Ce n'est pas autre chose que «l'opium du peuple» que dénonçait Marx.
« Quelle est votre conception de la laïcité ?
« Celle de Jules Ferry. (…) La laïcité est un bien très précieux que la France a su définir avant et mieux que les autres. »
Petits rappels
« La République est perdue si l’Etat ne se débarrasse pas de l’Eglise, s’il ne désenténèbre pas les esprits du dogme » (Jules Ferry).
« Il faut organiser l’humanité sans roi et sans Dieu. » (Jules Ferry).
« La neutralité de l'École fut toujours un mensonge. Nous n'avons jamais eu d'autre dessein que de faire une université antireligieuse, et antireligieuse d'une façon active, militante, belliqueuse… » (René Viviani)
« La neutralité est, elle fut toujours un mensonge. On promit cette chimère pour rassurer quelques timides dont la coalition eût fait obstacle à la loi. » (René Viviani)
« Nous combattons l'Église et le christianisme parce qu'ils sont la négation du droit humain et renferment un principe d'asservissement intellectuel qui doit être banni de toute œuvre d'éducation. » (Jean Jaurès)
« Nous nous sommes attachés dans le passé à une oeuvre d'anticléricalisme, à une œuvre d'irreligion. Nous avons arraché les consciences humaines à la croyance. Lorsqu'un misérable, fatigué du poids du jour, ployait les genoux, nous lui avons dit que derrière les nuages, il n'y avait que des chimères. Ensemble, d'un geste magnifique, nous avons éteint dans le ciel des étoiles qu'on ne rallumera plus. Voilà notre œuvre, notre œuvre révolutionnaire. Est-ce que vous croyez que l'œuvre est terminée ? Elle commence au contraire... » (René Viviani)
Quant au "grand mouvement d'émancipation des Lumières", qui a consuit aux totalitarismes nazi et communiste, comme le montrait très bien le cardinal Lustiger, il s'agit, n'est-ce pas, du matérialisme athée des violents pamphlétaires anti-chrétiens d'Holbach et Diderot, et de Voltaire qui écrivait si souvent "Ecrasez l'infâme" qu'il en avait fait une abbréviation: "Ecr. l'inf.", qui est sa marque de fabrique. Etc. Bravo M. Bayrou.