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  • L’« Union méditerranéenne » et la dictature eurocratique

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Il a suffi que Mme Merkel hausse un peu la voix pour que Nicolas Sarkozy abandonne son projet d’Union méditerranéenne, qu’il venait pourtant de vanter à nouveau en Algérie.

    L’important dans cette affaire n’est pas le fumeux et funeste projet du président de la République, mais la nouvelle mise en évidence de la dictature eurocratique.

    Angela Merkel en a été l’efficace porte-parole, en signifiant à Nicolas Sarkozy que tout projet concernant des voisins de l’Union européenne devait être porté par l’Union européenne.

    Le fait que les Etats de l’UE riverains de la Méditerranée n’aient pas le droit de se lier à d’autres Etats riverains de la Méditerranée montre que les Etats membres de l’UE ne sont en fait, d’ores et déjà, que des provinces de l’unique Etat européen, dépourvues de compétence pour leurs relations avec leurs voisins.

    Voilà qui devrait ouvrir les yeux de nos compatriotes sur le fait que le traité de Lisbonne, qui consacre une nouvelle étape décisive dans la construction de l’Etat totalitaire eurocratique, est une infamie. Un référendum est plus que jamais nécessaire.

  • Le judaïsme tel qu’il est

    François Desouche a mis sur son blog une vidéo de Rav Ron Chaya, prédicateur vedette de la Thora dans le monde entier, et dont les cours sont visibles sur son site internet Leava. Pour quiconque ne connaît pas la religion juive, c’est a priori désopilant.

    Dans un deuxième temps, c’est moins drôle : car il ne s’agit pas d’un sketch, c’est la réalité (une toute petite partie de la réalité) de la religion juive. On voit le fossé qu’il y a avec la religion chrétienne.

    Dans un troisième temps, c’est sinistre. Car il faut aussi voir, par exemple, la vidéo de Rav Ron Chaya intitulée « Que répondre aux chrétiens ».

    Il nous explique « à quel point c’est crétin leur histoire » ; que l’évangile ce sont « des bêtises », que Jésus n’était qu’un « sorcier », qu’on ne sait même pas, d’ailleurs, s’il a existé, qu’en tout état de cause c’était un « faux prophète », et « un faux prophète, tu le tues », c’est dans la Thora.. .

  • Belgique : la crise commence à poser des problèmes

    Près de six mois après les élections, la Belgique n’a toujours pas de gouvernement. Le gouvernement en place à l’époque continue de « gérer les affaires courantes », comme on dit. Mais il est paralysé. Il ne peut prendre aucune décision. Il ne peut même pas signer les décrets d’application des lois qui ont été votées avant les élections.

    Le résultat est que les pompiers et les services d’urgence, qui attendaient les fonds fédéraux votés en mai, doivent « faire face à des restrictions à tous les niveaux », s’alarme le président de la fédération des pompiers et services médicaux d’urgence.

    Il en est de même pour la police. Le président de l’Union des villes et communes de Wallonie a lancé un « cri d’alarme », pour la sécurité, mais aussi pour l’aide sociale. « La crise que traverse le pouvoir fédéral, jumelée au sous-financement chronique des pouvoirs locaux, a aujourd’hui de graves conséquences », dit-il.

    Même les fédérations patronales commencent à s’inquiéter. « Nous perdons du terrain à l’étranger et les investisseurs hésitent à venir en Belgique. Le monde extérieur pense que la fin de la Belgique en tant qu’Etat est proche », dit la Chambre de commerce et d’industrie de Bruxelles.

    Et la Banque centrale s’inquiète de voir que les comptes publics commencent à retomber dans le rouge, l’Etat ne pouvant pas prendre d’initiatives budgétaires face au ralentissement de la croissance.

  • Le déficit du commerce extérieur, de record en record

    Le déficit du commerce extérieur s'est encore creusé en octobre, enfonçant son record à plus de 3,6 milliards d'euros. Sur un an, il se monte à 35,22 milliards, également un record, et sur les dix premiers mois de l'année, à 29,8 milliards. Sauf miracle, il dépassera donc, et de beaucoup, le chiffre de 31,7 milliards prévu par le gouvernement pour 2007.

    « Plus les mois passent, plus la situation du commerce extérieur français devient catastrophique », souligne Marc Touati, économiste d'ACDEFI.

    L’'envolée de l'euro continue de peser sur les échanges, mais n'explique pas tout. « Le solde de la France s'est plus dégradé par rapport à la zone euro que par rapport à tous les autres partenaires", relève Nicolas Bouzou, chez Asterès.

    Pour Alexander Law, chez Xerfi, « l'automobile est peut être l'illustration la plus limpide des maux actuels du commerce extérieur français : entre janvier et octobre 2007, le solde de ce secteur n'est positif qu'à hauteur de 904 millions d'euros, contre plus de 5 milliards l'année passée. On peut certes y voir le reflet d'une conjoncture encore chancelante du secteur, mais on peut également y déceler les effets des changements structurels qui voient une part croissante des modèles français assemblés à l'étranger. » Vive les délocalisations. Et l’on apprend que des groupes aéronautiques comme EADS ou Dassault évoquent leur intention de délocaliser leur production en zone dollar...

    Or, en octobre, la livraison de 27 Airbus, dont le premier A380, pour 1,353 milliard d'euros, explique en grande partie la légère hausse des exportations. « Si la France n'exportait plus d'Airbus, cela se traduirait par une aggravation de notre commerce extérieur annuel d'environ 12 milliards d'euros », note Marc Touati.

    « La publication de ce jour confirme ce que nous savions déjà: le quatrième trimestre sera particulièrement difficile pour l'économie française », souligne Alexander Law, qui anticipe une croissance de 1,4% seulement pour l'année prochaine, après 1,7% en 2007...

  • Liban : nouveau report

    L’élection du président libanais a été reporté pour la septième fois, au 11 décembre.

    Tout le monde est d’accord sur le nom du général Sleimane, mais les tractations sur l’influence respective de la majorité et de l’opposition dans le futur gouvernement ne sont pas terminées.

    Cela, on le savait déjà. Mais une nouvelle controverse est apparue. Pour que le général Sleimane soit élu, il faut modifier la Constitution , qui stipule qu’un haut fonctionnaire doit avoir démissionné de ses fonctions depuis deux ans pour se présenter à la présidentielle. Il existe deux solutions : soit le gouvernement propose un projet de loi, soit une pétition présentée par dix députés est soumise au parlement puis au gouvernement.

    Le problème est que l’opposition persiste à considérer le gouvernement comme illégitime, et rejette (a rejeté aujourd’hui, pour être plus précis) les deux solutions...

  • Il n’y aura pas d’« Union méditerranéenne »

    Le porte-parole d’Angela Merkel, Thoma Steg, confirme que Nicolas Sarkozy a dû abandonner son projet d’Union méditerranéenne, non conforme aux dogmes européistes.

    Thomas Steg fait savoir que le chancelier et le président sont tombés d’accord sur cette conclusion : « Il n’y aura pas de telle union de la Méditerranée , mais en revanche, le processus de Barcelone sera amélioré. »

  • « Union méditerranéenne » : Sarkozy se couche devant Merkel

    Lundi, en Algérie, Nicolas Sarkozy reprenait une nouvelle fois sa proposition d’une Union méditerranéenne.

    Mercredi, au cours d’un colloque, Angela Merkel rejetait ouvertement, pour la première fois, le projet du président français : elle soulignait qu’il devait être ouvert à tous les pays de l’UE et approuvé par tous, ce qui ne correspond plus du tout à une union des pays riverains de la Méditerranée , mais correspond très bien à la logique de la dictature européenne, de l’Etat européen dont les divers « Etats » ne sont que des provinces. Et elle soulignait le danger de laisser ces « Etats » monter de tels projets : cela pourrait « libérer dans l’UE des forces explosives ». L’explosion de l’Etat européen qui n’est même pas encore achevé.

    Hier, Angela Merkel et Nicolas Sarkozy se sont rencontrés à l’Elysée, pour un sommet informel. Où il a été question de l’Union méditerranéenne. Et que s’est-il passé ? Le président français s’est rangé à l’avis de Mme Merkel. Parce que ce n’est pas l’avis de Mme Merkel, c’est le dogme européiste. Et l’européiste Sarkozy a obéi. Il a tout lâché d’un coup.

    Il en a été manifestement vexé, comme le montre le ton de ses propos : « Qu’est-ce que dit Mme Merkel ? C’est que la question de la Méditerranée impacte la situation de tous les pays d’Europe et que donc, les pays d’Europe qui ne sont pas riverains de la Méditerranée veulent pouvoir aider à l’établissement d’une zone de paix, d’immigration choisie, de codéveloppement, d’environnement maîtrisé. Je ne vois pas comment la France pourrait se plaindre que l’Allemagne souhaite, avec d’autres pays d’Europe, participer à un projet parce qu’elle le juge important ; ça serait curieux. »

    Il ne voit pas comment... ça serait curieux... Mais ce qu’il dit là est le contraire de ce qu’il affirmait encore l’avant-veille. Car il n’y a plus aucun rapport entre une Union des Etats bordant la Méditerranée , et une Union euro-méditerranéenne. La différence essentielle est que le premier projet reconnaît que l’Union européenne est composée d’Etats qui peuvent prendre des initiatives avec leurs voisins non membres de l’Union européenne, alors que le second, celui qu’impose Mme Merkel, se fonde sur le fait que les Etats de l’UE ne peuvent pas prendre ce genre d’initiative, car ils ne sont pas dotés de l’indépendance qui leur permettrait de le faire.

    C’est évidemment Mme Merkel qui est dans la ligne des traités européens. Elle n’a donc pas eu beaucoup de mal à en convaincre Nicolas Sarkozy. Et de la chimère de l’Union méditerranéenne il ne reste qu’un rappel à l’ordre eurocratique.

  • Le procès Gollnisch

    Au procès en appel de Bruno Gollnisch, hier à Lyon, le procureur a requis la confirmation des peines qui lui ont été infligées en première instance : trois mois de prison avec sursis, 5.000 euros d’amende, 55.000 euros de dommages et intérêts aux lobbies « antiracistes ». Une décision que Bruno Gollnisch avait dénoncée comme un « viol catégorique de la liberté d’expression ».

    Me Wallerand de Saint Just a rappelé que l’élu FN était poursuivi sur la base de propos tronqués, modifiés, dont il n’existe aucun enregistrement.

    En outre, un opposant politique, candidat radical à Lyon, qui assistait à la conférence de presse au cours de laquelle les propos qui lui sont reprochés sont censés avoir été prononcés, avait écrit dans son journal qu’il aurait été le premier à dénoncer ces propos s’ils avaient été tenus, mais que la vérité oblige à dire qu’ils ne l’ont pas été.

    Mais la vérité ne semble pas être le souci des magistrats quand ils jugent un responsable du Front national.

    La cour a mis sa décision en délibéré au 28 février.

  • Saint Ambroise

    O Père très saint, ô divin Ambroise, lyre résonnante, mélodie salutaire des vrais enseignements, tu attires au Seigneur les âmes des Fidèles. Harpe harmonieuse du divin Paraclet, grand instrument de Dieu, trompette célèbre de l'Eglise, source très limpide, fleuve qui purifie nos âmes de toute passion ; prie, supplie le Christ de donner à l'Eglise une paix unanime et une grande miséricorde.

    Imitant le prophète Elie et Jean-Baptiste, tu as repris avec courage les Princes qui se livraient à l'iniquité; tu as orné le trône hiérarchique auquel tu fus divinement appelé, et tu as enrichi le monde de la multitude de tes miracles ; tu as corroboré les fidèles, et converti les infidèles par l'aliment des saintes Ecritures. Ambroise ! ô saint Pontife ! prie Dieu de nous accorder la rémission de nos péchés, à nous qui fêtons avec amour ta sainte mémoire.

    Tu as préservé ton troupeau de tout dommage de la part des ennemis, ô Bienheureux ! et tu as dissipé l'erreur d'Arius par la splendeur de tes paroles.

    L'assemblée des Pontifes se réjouit en ta douce mémoire ; les chœurs des Fidèles, mêlés aux Esprits célestes, tressaillent d'allégresse; et l'Eglise se nourrit spirituellement en ce jour de ta parole, ô Ambroise, auguste Père !

    Tu es le laboureur habile, qui traces les sillons dans le champ ouvert à tous de la foi et de la doctrine ; tu y sèmes, ô très sage, tes divines leçons; et l'épi s'étant multiplié par tes soins, tu distribues à l'Eglise le céleste pain de l'Esprit-Saint.

    Rome célèbre tes glorieuses œuvres ; car, ainsi qu'un astre radieux, tu répands partout les clartés de tes prodiges, ô grand Pontife, vraiment admirable !

    T'approchant du Christ dès l'aurore, tu sortais d'auprès de lui richement irradié de ses splendeurs ; c'est pourquoi ayant puisé à la source de la divine lumière, tu illumines ceux qui avec foi t'honorent en tous lieux.

    (extrait de la liturgie byzantine)

  • Nicolas Sarkozy en Algérie : un bilan désastreux

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Le bilan de la visite d’Etat de Nicolas Sarkozy en Algérie est désastreux pour la vérité historique, pour l‘honneur national, pour la France.

    Les faux parallèles qu’il a cru pouvoir établir entre les victimes des deux camps sont cruellement blessants, pour les pieds noirs, pour les soldats français, pour les harkis, pour tous ceux qui ont participé à la défense de ces anciens départements français après avoir participé à sa construction.

    Lorsqu’il qualifie le système colonial de « profondément injuste », d’« injuste par nature », il verse dans l’anachronisme, et c’est son jugement qui est profondément injuste. Peut-on lui rappeler que c’est la République qui a élaboré ce système ?

    Le message n’est pas équilibré, il est profondément brouillé, lorsqu’en rentrant à Paris il rend hommage aux harkis, à ceux qui ont combattu la barbarie du FLN, juste après avoir rendu hommage, à Constantine, à « ceux qui sont tombés les armes à la main pour que le peuple algérien soit de nouveau un peuple libre ». Et où a-t-il vu que le peuple algérien était libre en 1830 ? Sans parler de sa situation réelle aujourd’hui...

    Enfin, cela va sans dire, aucun contrat industriel ou commercial ne peut justifier la falsification de l’histoire et l’humiliation de notre pays.