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Le gouverneur du Wyoming, Matt Mead, a signé jeudi deux lois pro-vie. Elles sont très limitées, mais sont les premières depuis 28 ans dans cet Etat.
La loi 182 stipule que le médecin qui va pratiquer un avortement doit « informer la patiente de l’opportunité de voir une échographie de l’enfant non né et d’entendre les battements du cœur de l’enfant non né ».
La loi 116 fait de la vente, de l’envoi ou de la distribution de parties de fœtus avortés un crime.
Il y a aujourd’hui trois avortoirs dans le Wyoming, dont un du Planning familial au cœur du scandale sur le trafic de tissus et d’organes de fœtus.
Benedíctus es, Dómine, Deus patrum nostrórum Et laudábilis et gloriósus in sǽcula.
Et benedíctum nomen glóriæ tuæ, quod est sanctum Et laudábile et gloriósum in sǽcula.
Benedíctus es in templo sancto glóriæ tuæ Et laudábilis et gloriósus in sǽcula.
Benedíctus es super thronum sanctum regni tui Et laudábilis et gloriósus in sǽcula.
Benedíctus es super sceptrum divinitátis tuæ Et laudábilis et gloriósus in sǽcula.
Benedíctus es, qui sedes super Chérubim, íntuens abýssos Et laudábilis et gloriósus in sǽcula.
Benedíctus es, qui ámbulas super pennas ventórum et super undas maris Et laudábilis et gloriósus in sǽcula.
Benedícant te omnes Angeli et Sancti tui Et laudent te et gloríficent in sǽcula.
Benedícant te cæli, terra, mare, et ómnia quæ in eis sunt Et laudent te et gloríficent in sǽcula.
Glória Patri, et Fílio, et Spirítui Sancto Et laudábili et glorióso in sǽcula.
Sicut erat in princípio, et nunc, et semper, et in sǽcula sæculórum. Amen. Et laudábili et glorióso in sǽcula.
Benedíctus es, Dómine, Deus patrum nostrórum Et laudábilis et gloriósus in sǽcula.
Vous êtes béni, Seigneur, Dieu de nos pères Et digne de louange et de gloire dans les siècles.
Et le nom de votre gloire, qui est saint, est béni Et digne de louange et de gloire dans les siècles.
Vous êtes béni dans le temple saint de votre gloire Et digne de louange et de gloire dans les siècles.
Vous êtes béni sur le trône saint de votre royaume Et digne de louange et de gloire dans les siècles.
Vous êtes béni sur le sceptre de votre divinité Et digne de louange et de gloire dans les siècles.
Vous êtes béni, vous qui, étant assis sur les Chérubins, voyez le fond des abîmes Et digne de louange et de gloire dans les siècles.
Vous êtes béni, vous qui marchez sur les ailes des vents, et sur les flots de la mer Et digne de louange et de gloire dans les siècles.
Que tous les Anges et les Saints vous bénissent Qu’ils vous louent et vous glorifient dans les siècles.
Que les cieux, la terre et la mer, et tout ce qu’ils renferment, vous bénissent. Qu’ils vous louent et vous glorifient dans les siècles.
Gloire au Père, et au Fils, et au Saint-Esprit Et à celui qui est digne de louange et de gloire dans les siècles
Comme c’était au commencement, et maintenant et toujours, et dans les siècles des siècles. Ainsi soit-il. Et à celui qui est digne de louange et de gloire dans les siècles.
Vous êtes béni, Seigneur, Dieu de nos pères. Et digne de louange et de gloire dans les siècles.
Ce très bel hymne, qu’on ne trouve que dans la liturgie du samedi des quatre temps de l’Avent, du Carême et de septembre (aux quatre temps de Pentecôte il n’y en a qu’un verset d’alléluia) commence comme l’hymne des Hébreux dans la fournaise (Daniel 3, 52-60) et se poursuit par quelques versets de psaumes.
Voici ce chant par les moines de Solesmes sous la direction de Dom Gajard (1959) – il manque deux versets – et par les moniales d’Argentan (1973) – les deux premiers versets et la doxologie.
Les européistes tirent à boulets rouges sur le gouvernement polonais, ou manient une ironie à la limite du racisme, parce que Beata Szydło (qu’ils appellent désormais « l’emmerdeuse », sic) n’a pas plié et a refusé d’entériner la nomination de Donald Tusk pour un nouveau mandat de président du Conseil européen. C ‘est assurément une première qu’un pays rejette la candidature d’un de ses citoyens et propose un autre nom… Et c’est donc une première que le président du Conseil européen ne soit pas élu à l’unanimité.
Comme la proposition polonaise a été méprisée, Beata Szydło a décidé de ne pas signer les conclusions du sommet, qui vient de se terminer. C’est aussi une première : en l’absence de consensus, il n’y a pas de conclusions officielles du sommet.
Ainsi le gouvernement polonais fait-il éclater le mythe du consensus permanent du meilleur des mondes européen, au moment même où les eurocrates voulaient afficher l’unanimisme face au Brexit. Non, on n’est pas obligé d’être toujours d’accord avec le prêt à porter européiste de la Commission. Oui, on peut couper le robinet d’eau tiède des déclarations consensuelles imposées par la dictature de l’européistement correct.
Et dans sa conférence de presse Beata Szydło en a remis une couche en affirmant que la Pologne n’accepterait jamais une Europe à plusieurs vitesses, idée qui fut taboue et qui semble avoir désormais l’aval des « grands pays » autoproclamés (dont ne fait pas partie la Pologne).
On remarquera le petit crachat de Jean-Claude Juncker, le président de la Commission européenne. Donald Tusk, aussitôt réélu, venait de dire qu’il travaillerait avec tous les gouvernements sans exception et qu’il ferait de son mieux « pour protéger le gouvernement polonais contre l’isolement politique » et communiquerait « avec le gouvernement polonais en polonais » Juncker n’a pas pu s’empêcher d’ajouter : « Avec un peu de chance, c’est une langue que le gouvernement polonais comprendra. »
℟. Paradísi portas apéruit nobis jejúnii tempus: suscipiámus illud orántes, et deprecántes: * Ut in die resurrectiónis cum Dómino gloriémur. ℣. In ómnibus exhibeámus nosmetípsos sicut Dei minístros in multa patiéntia. ℟. Ut in die resurrectiónis cum Dómino gloriémur.
Le temps du jeûne nous ouvre les portes du paradis : accueillons-le en priant et suppliant, afin qu’au jour de la résurrection nous soyons glorifiés avec le Seigneur. Montrons-nous en toutes choses comme des ministres de Dieu, par une grande patience.
Dans les anciens manuscrits (comme ici sur l’antiphonaire de Saint-Gall) ce répons avait un autre verset, tiré lui aussi de la seconde épître aux Corinthiens :
℣. Ecce nunc tempus acceptabile, ecce nunc dies salutis, nemini dantes ullam offensionem.
Voici maintenant le temps favorable, voici maintenant le jour du salut, ne donnons à personne aucune occasion de chute.
Sur l'évangile de la "piscine probatique", voir ici.
J’avais vaguement entendu parler du projet de « la » ministre marocaine de l’Education nationale française de donner des cours d’arabe à l’école primaire. En me disant que c’était sans doute pour la progéniture de ses congénères. Mais voici que ça m’arrive dans la figure, dans un petit village du Centre Bretagne.
Mon petit-fils est revenu chez lui avec un formulaire, dont « l’objet » est son « inscription à un enseignement optionnel de langue vivante étrangère dans le premier degré ».
Langue vivante étrangère. Vous avez le choix entre… l’arabe, et le turc.
On dirait qu’il y a comme une discrimination, non ? Ou alors l’anglais, l’allemand et l’espagnol sont devenus des langues mortes. Ou moins vivantes que celles de l’islam… Et pourquoi pas le breton, qui est pourtant une langue étrangère pour le ministère jacobin (islamo-jacobin) ?
Et où vont-ils trouver des professeurs d’arabe et de turc par ici ? C’est le délire idéologique de fonctionnaires dhimmis qui veulent déjà intégrer nos enfants à l’oumma…
Sur la façade de la basilique Sainte-Anne d’Auray il y a deux statues : d’un côté Yves Nicolazic, de l’autre Pierre Le Gouvello de Keriolet. Derrière le mur, à l’intérieur, se trouvent les tombeaux de l’un et de l’autre.
Ainsi Nicolazic (1591-1645) et Keriolet (1602-1660) sont inséparables. Pourtant a priori tout les opposait. Nicolazic était un paysan très bon et très pieux auquel apparut sainte Anne. Kériolet était un seigneur débauché, cruel, violent, blasphémateur. Mais voici que Kériolet entendit parler des « diables de Loudun ». Il va sur place pour s’amuser, et, pris à partie par une femme qu’on exorcisait et qui lui parle de sa vie en termes très précis, il se convertit et se confesse à l’exorciste. Il deviendra prêtre et fera de sa demeure un hospice. Vénéré de son vivant, il mourra en odeur de sainteté.
La béatification de l’un et de l’autre n’en est toujours qu’aux préliminaires.
En attendant que ça avance, Ar Gedour lance le projet d’ériger des statues de Nicolazic et de Kériolet à la Vallée des Saints. Une souscription est ouverte afin de récolter les fonds nécessaires : 15.000 € pour chaque statue.
Ar Gedour souligne opportunément que la Vallée des Saints étant un projet de promotion de la culture populaire bretonne liée aux saints bretons, l’érection des statues « ne constitue donc en rien un culte qui leur serait dédié. Il s’agit de les intégrer dans ce ”livre à ciel ouvert“ faisant découvrir aux visiteurs cheminant sur le domaine de Carnoët les saints des premiers siècles, mais aussi ces modèles de foi qui ne sont pas encore canonisés mais font partie intégrante de cette culture populaire bretonne ».
Car tout procès en canonisation comporte un « procès de non-culte ». Laisser entendre qu’on veut rendre un culte à Nicolazic et à Kériolet serait la meilleure façon d’empêcher leur béatification…
Plus d’un million et demi de personnes ont manifesté samedi dernier au Pérou contre l’enseignement de l’idéologie du genre dans les écoles.
« Nous sommes au cœur d’une guerre morale, d’une guerre spirituelle, et le champ de bataille est l’esprit de vos enfants, nous allons le défendre jusqu’à la fin de nos jours », a ainsi déclaré le P. Luis Gaspar, vicaire épiscopal de la commission Famille et vie de l’archidiocèse de Lima, avant d’inviter tous les manifestants à participer également à la Marche pour la vie qui se déroulera à Lima le 25 mars.
Je découvre sur Novopress que Facebook célébrait hier ainsi la journée de la femme :
Toutes les femmes sont voilées.
Ma première réaction a été de penser que Novopress exagérait et que ce devait être une des illustrations de la journée de la femme sur Facebook. Mais non. C’est bien la seule.
Facebook a donc parfaitement intégré, d’avance, la domination islamique mondiale…
L’évangile de ce jour ressemble beaucoup à celui des noces de Cana. Pourtant celui-ci est en saint Jean, celui-là en saint Matthieu, et tout est différent, sauf l’essentiel.
Jésus est dans la région de Tyr et Sidon. Une femme cananéenne lui demande un miracle : guérir sa fille. Jésus ne répond pas. Dans l’évangile de saint Jean Marie demande à Jésus un miracle, il lui répond par une fin de non recevoir, ajoutant « Mon heure n’est pas encore venue. » Ce qui est l’explication du silence de Jésus face à la Cananéenne, puis de ce qu’il va lui dire sur l’insistance des apôtres : « Je n’ai été envoyé qu’aux brebis d’Israël. » L’heure de s’adresser aux païens n’est pas venue, elle ne viendra qu’une fois la rédemption accomplie, par la mort et la résurrection. Et Jésus ajoute une parole dure : « Ce n’est pas bien de prendre le pain des enfants (les juifs) pour le jeter aux petits chiens (les païens). » La femme répond : « Mais les petits chiens mangent les miettes qui tombent de la table de leurs maîtres » A cette parole Jésus s’exclame que la foi de cette femme est grande, et il accomplit le miracle demandé. De même qu’il a accompli le miracle de Cana à cause de la foi de Marie. Voici donc que, deux fois, deux femmes ont devancé « l’heure » du Christ. Les deux fois on voit que le miracle est lié à l’eucharistie : le vin et le pain.
Ce que Marie et la Cananéenne ont obtenu, tout fidèle peut aussi l’obtenir : avancer l’heure de Dieu, le contraindre à nous exaucer, par la foi et par l’amour. Pas pour des miracles extérieurs, mais pour l’avancement de notre vie chrétienne.
En 2009, l’invitation faite à Barack Obama par l’université Notre-Dame (Indiana) de prononcer une allocution lors de la remise des prix avait fait scandale. Une pétition avait recueilli 367.000 signatures pour demander à la direction de l’université de ne pas inviter le président du mariage des invertis et de l’avortement. Le président de l’université, le Père John Jenkins, avait répondu que c’était une tradition d’inviter le président des Etats-Unis, et que cela devait donc se faire. Et cela se fit.
Aujourd’hui, le président en exercice est Donald Trump. Donc cette année c’est Donald Trump qui va venir prononcer l’allocution.
Euh… Non. Ce sera Mike Pence, le vice-président. Le P. Jenkins l’annonce ainsi : « Il est naturel que, pour le 175e anniversaire de notre fondation sur le sol de l’Indiana, Notre-Dame donne la parole à un fils qui en est natif, qui a servi notre Etat et qui sert maintenant la nation avec un calme sérieux, une conviction morale et un dévouement au bien commun caractéristiques des vrais hommes d’Etat ».
On comprend bien entendu que Donald Trump est le contraire de tout cela, et c’est bien ce que pense la direction de l’université. C’est pourquoi ce qui était en 2009 la tradition de cette université catholique, quand il s’agissait d’inviter un président œuvrant activement contre la morale naturelle, ne l’est plus quand il s’agit d’inviter le président qui s’engage à défendre la loi naturelle.
Il est vrai que l’université Notre-Dame, entre temps, avait invité Ruth Ginsburg (de la Cour suprême), et surtout honoré de la Laetare Medal (la plus prestigieuse décoration catholique américaine) le vice-président Joe Biden : tous deux militants de la culture de mort.
Il est vrai aussi qu’il y a officiellement un groupe homosexuel à l’université (« un grand pas en avant », avait dit le P. Jenkins) mais que la direction a refusé la constitution d’un groupe favorable au mariage chrétien, que la participation du groupe des invertis à la Marche nationale pour l’égalité (le droit au mariage sodomite) en octobre 2009 avait été financée par l’université, qu’un éminent professeur a dû retirer son soutien à un site créé par d’anciens étudiants s’inquiétant de la dérive de l’université…
Ainsi va la plus prestigieuse université catholique des Etats-Unis, dirigée par les pères de Sainte-Croix…