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médias

  • Libertés allemandes

    Le ministère allemand de l’Intérieur a annoncé hier l’interdiction du magazine Compact, proche de l’AfD, ainsi que des perquisitions dans les locaux du magazine et même au domicile de ses dirigeants et principaux actionnaires.

    Trois jours avant, Compact était fier d’annoncer une grande interview de Maria Zakharova, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères.

    Dans le monde libre on ne rigole pas avec l’ingérence russe…

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  • Désinformation

    Ce que prétend la presse française :

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    Ce que disent les Russes :

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    Le renseignement militaire ukrainien est directement impliqué dans l'attaque du Crocus, dit le chef du FSB.

    Alexander Bortnikov souligne que toutes les circonstances du crime seront mises au jour et que tous les participants seront punis.

    Les Russes n'ont évidemment jamais nié l'implication des islamistes, mais ils ont toujours souligné que derrière les islamistes il y avait les Ukrainiens. Ça n'a pas changé.

     

  • La dictature

    L'Arcom a infligé à la chaîne CNews une amende de 50.000 euros parce que, le 28 septembre, Geoffroy Lejeune y avait dit que la montée de l'antisémitisme est « une des conséquences, comme une partie du trafic de drogue, comme la surpopulation carcérale, de l'immigration arabo-musulmane ».

    Il est si officiellement interdit de dire cela que la décision est publiée au Journal officiel de la République française.

    On remarque que l’Arcom ne réfute pas le propos. C’est vrai que c’est difficile de réfuter des évidences. On peut seulement les sanctionner.

  • La dictature UE

    Maria Zakharova, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères :

    Le 17 mai, le Conseil de l'UE a publié une décision interdisant les « activités de radiodiffusion » de trois médias russes sur le territoire des pays de l'UE. RIA Novosti, Izvestia et Rossiyskaya Gazeta sont tombés sous le coup d'une nouvelle vague de censure de la part de Bruxelles. Ces médias ont reçu l'ordre de cesser complètement de distribuer tout contenu dans l'UE par le biais des médias électroniques. L'Union européenne ne cache pas que cette violation flagrante du droit au libre accès à l'information et les tentatives de faire taire la vérité reposent uniquement sur des motifs politiques.

    Nous considérons cette démarche de l'UE comme une continuation de la pratique de la censure politique et du nettoyage total de l'espace d'information de tout point de vue alternatif aux récits occidentaux. Il s'agit là d'un nouvel exemple parmi tant d'autres du manquement de l'Union européenne et de ses États membres à leurs obligations internationales de garantir le pluralisme des médias et d'un nouvel exemple de la dégénérescence des sociétés démocratiques dans les pays de l'« Occident collectif ».

    Nous avons averti à plusieurs reprises et à différents niveaux que le recours à des mesures répressives par l'Union européenne et ses États membres contre les médias russes et leur personnel ne resterait pas sans réponse de notre part. Ignorer ces avertissements nous oblige à appliquer des mesures de rétorsion, qui suivront inévitablement. La responsabilité de cette évolution incombe exclusivement à l'UE et aux capitales européennes qui ont soutenu cette décision.

  • France 24

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    Ceci est un record mondial de désinformation. France 24 était déjà en tête, dans la propagande antirusse, justifiant sans vergogne tous les actes de la dictature de Kiev, mais là on atteint un sommet sans doute infranchissable. Hier, alors que toute la presse internationale titrait sur l’importante avancée de l’armée russe au nord de Kharkov, alors que les officiels ukrainiens eux-mêmes le reconnaissaient, alors que les autorités ukrainiennes ont fait partir les habitants des villages entre Kharkov et la frontière, puis de la ville de Voltchansk, France 24 osait démentir et dénoncer une « opération de déstabilisation » montée par la Russie pour « semer la panique » chez les Ukrainiens.

    France 24 est désormais un agent de propagande ukrainienne plus extrémiste que les extrémistes ukrainiens, niant ce que les propagandistes ukrainiens reconnaissent. Et c’est une chaîne française… Une honte mondiale.

  • La dictature

    Radio France a envoyé une lettre de licenciement au journaliste Jean-François Achilli pour « faute grave ».

    Jean-François Achilli avait été suspendu le 14 mars dernier parce que la direction de Radio France avait appris que le journaliste avait eu des conversations avec Jordan Bardella dans le cadre de la préparation d’un livre de ce dernier.

    Il n’y avait pas eu de contrat, le livre n’a pas vu le jour. Mais la simple idée qu’un journaliste puisse éventuellement participer à la rédaction d’un livre d’une personnalité politique est une « faute grave », quand la personnalité politique est honnie par la caste dirigeante.

    Ce n’est pas en Russie, c’est en France que ça se passe.

  • Tous métis ?

    La une de Libération:

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    La rédaction de Libération (tous blancs, comme cela a déjà été remarqué):

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    (Emprunté au Salon Beige.)

  • Gros scandale

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    Addendum. Naturellement, la chaîne présente ses plus plates excuses et se conforme pleinement à la dictature de la culture de mort, par la voix de Laurence Ferrari : «Il est impossible de comparer ces chiffres et de les mettre en miroir. Il s’agit d’un droit garanti par la loi et il ne s’agit pour quiconque de le remettre en cause». La chaîne présente donc ses excuses «pour cette erreur qui n’aurait pas dû se produire», et notamment auprès de «toutes les femmes, (à) celles dans le monde qui luttent pour avoir le droit de disposer de leurs corps, et à celles qui ont perdu la vie faute de pouvoir accéder à l’IVG.» Sic.

  • La dictature en marche

    Joignant le geste à la parole, le très vigilant petit gay d’Orsay a censuré 21 sites Telegram qui osent ne pas répéter la désinformation occidentale sur la Russie. Parmi eux il y a même la version française de l’agence TASS, ce qui est énorme (et bien sûr RT en français).

    Quand on essaie de joindre ces fils il est dit : « Ce canal ne peut pas être affiché car il a enfreint la législation locale. »

    On n’en saura pas plus. C’est l’arbitraire le plus total. En fait de « législation locale », il s’agit évidemment de la censure instaurée par la Commission européenne en août dernier, sous la houlette de l’infâme Thierry Breton.

    Cela dit, l’Union européenne tout entière avait interdit RT et Sputnik, et comme on le sait RT et Sputnik sont accessibles dans les locaux mêmes de la Commission européenne…

    En fait, pour ce qui concerne la lubie du gay d’Orsay, il suffit aux censurés de changer de nom…

    Exemple :

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    A propos, j’ai trouvé la version originale de la vidéo du gay d’Orsay. Et c’est tout de même vrai qu’elle fait peur, contrairement à la version expurgée qui a été répandue par des trolls de Poutine (mettre en plein écran avec le son).



  • Scandale à Bruxelles…

    Radio Free Europe/Radio Liberty dénonce un énorme scandale : deux ans après leur interdiction, les médias RT et Sputnik peuvent être consultés sans problème en Europe, jusque dans les locaux mêmes de la Commission européenne. Le sinistre petit dictateur Thierry Breton roulait des mécaniques, mais en réalité il a été incapable de faire respecter sur la durée l’interdiction des médias russes…

    Au cœur de l'Union européenne, dans les bâtiments imposants du "quartier européen" de la capitale belge, on trouve des preuves flagrantes de la faiblesse de l'Union.

    Sans utiliser de VPN ou d'autres outils de contournement, un correspondant du service balkanique de RFE/RL a pu accéder aux sites web et aux services de streaming de RT - anciennement connu sous le nom de Russia Today - et de Sputnik depuis les bâtiments de l'organe exécutif de l'UE, la Commission européenne. Les sites web étaient accessibles dans plusieurs langues malgré la "suspension urgente" par le Conseil européen dans les premières semaines de l'invasion totale (sic) de l'Ukraine par la Russie en 2022.

    Près de deux ans après l'imposition de sanctions à l'échelle de l'Union européenne afin d'endiguer la propagande russe soutenant la guerre du Kremlin contre l'Ukraine, les sites web des médias RT et Sputnik, soutenus par le Kremlin, sont toujours facilement accessibles dans de nombreux pays de l'Union européenne, y compris dans les institutions mêmes qui ont rédigé les règlements les concernant.

    À Bruxelles, les vidéos, textes et autres contenus de RT et Sputnik sont disponibles en anglais, français, allemand, serbe, espagnol et arabe.

    (…)

    On notera l’ironie si typique de notre époque, qui voit un organisme censé défendre la liberté d’expression dénoncer le fait qu’une autorité n’ait pas réussi à supprimer la liberté d’expression… (Rappelons une fois de plus que ni RT ni Sputnik n’a fait l’objet d’une quelconque condamnation judiciaire, ni n’a été accusé de violer une quelconque règle de diffusion. Il s’agit d’une atteinte grave et arbitraire à la liberté d’expression, et Radio Free Europe/Radio Liberty – qui il est vrai n’a plus aucune légitimité ni raison d’existence depuis longtemps - ne s’honore pas à jouer les hargneux supplétifs de la censure.)