℟. Paradísi portas apéruit nobis jejúnii tempus: suscipiámus illud orántes, et deprecántes:
* Ut in die resurrectiónis cum Dómino gloriémur.
℣. In ómnibus exhibeámus nosmetípsos sicut Dei minístros in multa patiéntia.
℟. Ut in die resurrectiónis cum Dómino gloriémur.
Le temps du jeûne nous ouvre les portes du paradis : accueillons-le en priant et suppliant, afin qu’au jour de la résurrection nous soyons glorifiés avec le Seigneur.
Montrons-nous en toutes choses comme des ministres de Dieu, par une grande patience.
Dans les anciens manuscrits (comme ici sur l’antiphonaire de Saint-Gall) ce répons avait un autre verset, tiré lui aussi de la seconde épître aux Corinthiens :
℣. Ecce nunc tempus acceptabile, ecce nunc dies salutis, nemini dantes ullam offensionem.
Voici maintenant le temps favorable, voici maintenant le jour du salut, ne donnons à personne aucune occasion de chute.
Sur l'évangile de la "piscine probatique", voir ici.