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Justice - Page 16

  • Et encore on est loin du compte…

    Aveu du juge antiterroriste Marc Trévidic :

    « Nous n'avons pas assez d'enquêteurs. Et on a repéré tellement de jihadistes qu'on n'a pas assez d'OPJ pour les arrêter. »

    Tous ces loups solitaires et tous ces déséquilibrés, ça fait vraiment du monde…

    Mais il y a beaucoup plus que cela de jihadistes potentiels. Pour ne pas désespérer le Billancourt de l’antiterrorisme, ne dites pas à ses chefs que selon le Coran tout bon musulman doit participer au jihad…

  • La Cour de cassation viole le droit international

    L’idéologie homosexualiste est au-dessus des lois, y compris du droit international. Ainsi en a décidé la Cour de cassation, qui a validé le « mariage » d’un Marocain et d’un Français, alors qu’une convention franco-marocaine stipule qu'en cas de mariage chacun des deux membres du couple doit se conformer aux lois de son pays.

    L’argument de la Cour de cassation (institution qui déshonore la France une fois de plus) est que l'article 4 de la convention prévoit que la loi d'un des deux pays peut être écartée lorsqu'elle est « manifestement incompatible avec l'ordre public ».

    Autrement dit, la reconnaissance du seul mariage naturel par le Maroc est incompatible avec l’ordre public en France. Ce qu’on appelle ordre public est donc désormais, plus encore que jusqu’ici, le désordre institutionnalisé.

  • L’Agrif face à la horde

    Hier c’était le procès intenté par l’Agrif contre le livre “Nique la France”.

    Mais l’audience a été organisée comme le procès de l’Agrif, et de la France, avec cinq très doctes témoins de la haine antifrançaise et dans la salle l’ultra-gauche « antiraciste », « anti-impérialiste », « anticolonialiste »,  « pro-palestinienne », « contre l’oppression des femmes »…

    Compte rendu de Bernard Antony, à lire sur le site de l’Agrif. Attention, la lecture peut en être déprimante. Pour tenir le coup, il vaut mieux lire d’abord les dernières lignes :

    On me posait ce matin la question de savoir si nous étions sortis abattus de ces heures de lynchage idéologique. Moins que jamais ! Car plein de notre mépris pour toute cette vieille engeance gauchiste de trahison et qui joue la victimisation alors qu’avec mesdames Taubira, Belkacem et les autres, et tout le gouvernement, et toute la médiacrassie, et toute la culturocrassie, elle est au pouvoir.

    PS. On me communique les pétitions circulant contre l‘AGRIF, avec toute la vociférosphère de tous les témoins précités, les Olivier Besancenot, Eva Joly et autres. Ça me met de bonne humeur. Et je me verse un coup de Brouilly.

  • Christine Tasin relaxée en appel

    Il y a donc encore des magistrats qui résistent un peu à la dictature du soi-disant antiracisme. Christine Tasin a été relaxée aujourd’hui en appel.

    Elle avait été condamnée en première instance à 3.000 € d’amende dont la moitié avec sursis pour « incitation à la haine raciale ». Parce qu’elle était à Belfort dénoncer l’installation d’un abattoir temporaire pour la fête du massacre des moutons, et qu’elle avait dit à ses interlocuteurs musulmans que « l’islam est une saloperie » et « un danger pour la France ».

    Dans son arrêt, la cour d’appel, selon l’Est républicain, indique que l’expression « L’Islam est une saloperie » est de nature à constituer une injure mais qu’elle n’a pas été poursuivie comme telle en l’espèce. Quant à ses autres propos « Je suis contre l’Islam qui pose problème, c’est un danger pour la France », la cour souligne « qu’ils constituent l’expression d’une opinion à l’égard d’une religion et n’invitaient personne à penser comme elle d’autant qu’elle n’espérait manifestement convaincre personne ». La cour souligne encore « qu’il est établi que Mme Tasin s’était rendue seule à Belfort, et « que si elle a adressé la parole à un interlocuteur hostile revendiquant une appartenance à la religion musulmane, elle ne s’est pas adressée à des partisans, à la foule ou à un public déterminé, elle n’a pas harangué un groupe particulier de personnes et n’a pas souhaité donner à ses propos une publicité particulière et n’a exprimé qu’une opinion personnelle à l’égard d’une religion dans un lieu public ». Au final, pour la cour, les propos incriminés critiquent une religion, l’islam, mais sans incitation à la haine à l’encontre des musulmans et n’excèdent pas les limites admissibles de la liberté d’expression au sens de l’article 10 de la convention européenne des droits de l’homme.

    Christine Tasin remarque notamment : « C'est une date symbolique, puisque c'est 4 ans jour pour jour après les Assises sur l'islamisation de nos pays  qui ont valu à Jacques Philarchein et à Renaud Camus une condamnation au printemps dernier. Tous les espoirs sont permis, il est encore en France des juges qui appliquent la loi, rien que la loi. »

  • Ça fait deux fois du bien

    Eva Joly avait traité Christian Vanneste, « coutumier des dérapages homophobes », d’avoir « passé un cran supplémentaire dans l’ignoble en niant la réalité de la déportation des homosexuels pendant la Seconde Guerre mondiale », avec « une référence sans nuance aux propos négationnistes ».

    1 – Eva Joly a été condamnée (à 800 € d’amende, 1.500 € de frais de justice, et un euro à Christian Vanneste). C’est un plaisir qu’on ne peut pas bouder.

    2 – Le tribunal a non seulement blanchi Christian Vanneste, mais il lui a positivement donné raison, soulignant que des documents remis par les deux parties « il ressort notamment qu'il y aurait eu un nombre extrêmement limité de Français arrêtés sur le territoire français et déportés pour le seul motif de leur homosexualité ». C’est une deuxième satisfaction.

  • A propos de la crèche de Vendée

    Je comprends les hauts cris de ceux qui dénoncent le jugement du tribunal administratif de Nantes interdisant qu’il y ait une crèche de Noël dans le hall du conseil général de Vendée.

    Mais, à mon sens, c’est se tromper de combat. C’est oublier que nous vivons sous le régime de la loi de 1905. La loi est très claire, et le tribunal se contente de rappeler les termes de son célèbre article 28 : « Il est interdit, à l'avenir, d'élever ou d'apposer aucun signe ou emblème religieux sur les monuments publics ou en quelque emplacement public que ce soit, à l'exception des édifices servant au culte, des terrains de sépulture dans les cimetières, des monuments funéraires ainsi que des musées ou expositions. »

    On ne peut pas reprocher à un tribunal d’appliquer la loi.

    Au lieu de critiquer le tribunal, il vaudrait mieux se saisir de l’affaire pour rappeler que nous vivons sous un régime laïque totalitaire. Un régime totalitaire spécifiquement anticatholique (voir sur tout cela ma conférence, dans la colonne de droite).

    Ce n’est pas parce que de temps en temps on oublie d’appliquer la loi, ou que les soi-disant « libres penseurs » locaux ne se sont pas réveillés, que la loi de 1905 n’est plus ce qu’elle est. C’est elle qu’il faut dénoncer, pas ceux qui n’ont pas d’autre choix que de l’appliquer quand on leur demande de le faire.

  • Un jugement immonde

    L’Agrif poursuivait Plantu pour un dessin ignoble représentant Benoît XVI qui sodomisait un enfant, sous le titre : « Pédophilie : le pape prend position. »

    Le tribunal correctionnel de Paris vient de relaxer Plantu et de condamner l’Agrif à lui verser 2.000 € pour ses frais de justice.

    Les juges ne se contentent pas de balayer la plainte de l’Agrif, ils justifient longuement le dessin de Plantu, reprenant à leur compte les calomnies contre l’Eglise et contre Benoît XVI.

    J’ai rarement vu un jugement aussi révoltant en France.

  • La terrible violence psychologique du cochon

    Deux femmes de gendarmes, à l’issue d’un réveillon très arrosé, et pour honorer un pari stupide, avaient déposé, le 1er janvier dernier, une tête de porcelet devant une mosquée, à Mayotte. Les deux femmes et le mari de l’une d’elles qui conduisait la voiture ont été mis en examen pour des faits qualifiés par le parquet de « provocation à la discrimination en raison de l’appartenance à une religion par un emblème ». Le cochon comme emblème provoquant à la discrimination, ça ne tenait pas vraiment la route. Le tribunal a requalifié les faits en « violence psychologique ». Sic. Une violence psychologique qui se traduit par neuf mois de prison, dont trois mois ferme pour les deux femmes, six mois de prison avec sursis pour le conducteur.

    Mais les Femen, elles, quand elles profanent Notre-Dame de Paris, elles sont relaxées…

    C’est sans doute que les musulmans sont psychologiquement beaucoup plus fragiles que les catholiques.

  • Justice Femen

    Les neuf furies Femen qui avaient profané la cathédrale Notre-Dame de Paris ont été relaxées, et les trois surveillants qui avaient osé les mettre dehors ont été condamnés. Autrement dit elles sont encouragées à recommencer, et à faire pire, puisque l’impunité leur est garantie. Et elles ne se privent pas de le proclamer.

    Il est vrai qu’elles étaient seulement poursuivies pour « dégradation » d’une cloche, alors qu’elles auraient dû l’être évidemment pour incitation à la haine. Car l’éventuelle rayure de la cloche exposée dans la cathédrale n’a aucune importance à côté de l’intrusion des furies dépoitraillées hurlant des slogans antichrétiens et faisant des signes de croix hystériques.

    « Ceci n’a plus rien à voir avec une laïcité de respect. C’est un laïcisme de haine antichrétienne, un racisme institutionnellement encouragé. On le vérifie avec cette inversion radicale de l’agresseur et de l’agressé », souligne Bernard Antony qui ajoute : « L’Agrif n’accepte pas cet état de fait et rappelle que les femen ont été par ailleurs, sur sa plainte dûment motivée, mises en examen pour injures envers les chrétiens. »

  • 3.000 euros pour avoir dit que l’islam est une « saloperie »

    Christine Tasin, qui s’était fait connaître notamment à Riposte laïque et a fondé Résistance républicaine, a été condamnée à 3.000 euros d’amende dont la moitié avec sursis pour avoir dit que « l’islam est une saloperie ».

    Il paraît que c’est de l’incitation à la haine raciale.

    En fait on devrait condamner les haineux racistes islamophobes à des séances de rééducation. Où ils apprendraient par cœur : « L’islam est un bienfait pour Mossoul », « L’islam est un bienfait pour Qaraqosh », « L’islam est un bienfait pour Alep », « L’islam est un bienfait pour les chrétiens du Pakistan », « L’islam est un bienfait pour les coptes ». Etc. En plus, ça leur ferait apprendre la géographie.