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Islam - Page 11

  • Ridicule

    Le petit Macron est monté sur ses ergots pour demander à la nation de se mobiliser face à « l’hydre islamiste » et a promis un « combat sans relâche face au terrorisme islamiste ».

    Et il a immédiatement anéanti cette mâle détermination en précisant, deux fois de suite, qu’il fallait éradiquer un « islam dévoyé », et que « ce n’est en aucun cas un combat contre une religion, mais contre son dévoiement qui conduit au terrorisme ».

    Donc il se condamne à la paralysie. Car le terrorisme islamiste, cela se trouve dans le Coran, et (donc) dans toutes les mosquées. Cela ne veut pas dire que tous les musulmans soient des terroristes, cela veut dire que le terrorisme a sa justification dans le Coran (comme l’ont abondamment prouvé les publications de l’Etat islamique, s’il en était besoin). Il n’y a pas de différence de nature entre l’islam modéré et l’islam terroriste, mais seulement une différence de degré dans la mise en œuvre de l’idéologie islamique. Tant qu’on ne voudra pas le comprendre et l’admettre, toutes les rodomontades contre le terrorisme seront vaines. Surtout quand, en outre, on commence systématiquement par le nier.

  • Mensonge officiel

    « Il n’y a pas d’indication, contrairement à un certain nombre de fake news qui ont circulé sur les réseaux sociaux, sur une radicalisation éventuelle de l’auteur de ces assassinats », a affirmé ce matin la porte-parole sénégalaise du gouvernement français, à propos du policier qui a tué quatre de ses collègues à la Préfecture de police de Paris.

    Sauf que, « converti » il y a 18 mois, il fréquentait très assidûment la mosquée de l’Association musulmane Gonesse, dont l’imam, membre du Conseil théologique des musulmans de France dominée par les Frères musulmans, prêche pour un Etat islamique en citant Ibn Taymiyya, inspirateur des islamistes actuels, qui a écrit dans son traité La distinction entre les alliés :

    Quant au hadith raconté par certains selon lequel le Prophète est supposé avoir dit au retour de la bataille de Tabouk : « Nous revenons du djihâd mineur pour mener le djihad majeur »… c’est un faux hadith, qui n’a pas d’origine, et aucun de ceux qui connaissent les mots et actes du Prophète (pbsl) ne l’a transmis. Combattre les incroyants est la plus grande des causes. En fait, c’est la meilleure chose qu’une personne peut rechercher. Allah dit, Coran, 4:95 : « Ne sont pas égaux ceux des croyants qui restent chez eux - sauf ceux qui ont quelque infirmité - et ceux qui luttent corps et biens dans le sentier d’Allah. Allah donne à ceux qui luttent corps et biens un grade d’excellence sur ceux qui restent chez eux. Et à chacun Allah a promis la meilleure récompense, et Allah a mis les combattants au dessus des non-combattants, en leur accordant une rétribution immense.

    Addendum

    Il était musulman depuis beaucoup plus longtemps. Comme le gouvernement joue à l'autruche stupide, le parquet antiterroriste s'est lui-même saisi de l'affaire. L'homme était habilité secret défense, il était en charge de la maintenance informatique des services de renseignement, avait accès à tout ce qui concerne la lutte contre le terrorisme islamique et avait les adresses de tous les fonctionnaires. Selon une information du Parisien il avait informé sa femme par texto qu'il avait acheté un couteau à lame de céramique et elle lui avait répondu : "Dieu seul te jugera. Allahou akbar."

  • "Fraternité humaine"

    Le « Haut Comité de la Fraternité humaine », constitué dans le but de mettre en œuvre le fameux « Document sur la Fraternité humaine » signé par François et al-Tayeb à Abou Dhabi le 4 février dernier, s’est réuni pour la première fois à la Maison Sainte-Marthe le 11 septembre dernier (date anniversaire des célèbres attentats). Il s’agissait de préparer la première réunion publique, le 20 septembre à la Bibliothèque de New York. Il y avait là les 7 membres du Haut Comité : le très bientôt cardinal Miguel Ángel Ayuso Guixot, président du Conseil pontifical pour le Dialogue interreligieux, président du Haut Comité, Mgr Yoannis Lahzi Gaid, secrétaire personnel de François, le Pr Dr Mohamed Husin Abdelaziz Hassan, président de l’Université al-Azhar, Le juge Mohamed Mahmoud Abdel Salam, ancien conseiller de l’imam d’al-Azhar, Son Excellence Mohamed Khalifa Al Mubarak, président de l’Autorité culturelle et touristique d’Abou Dhabi (et de diverses sociétés d’immobilier et d’investissements touristiques), Yasser Saeed Abdulla Hareb Almuhairi, « écrivain et journaliste », et Sultan Faisal Al Khalifa Alremeithi, secrétaire général des… Frères musulmans.

    Les grincheux remarqueront que ça fait cinq musulmans pour deux catholiques. Mais ce n’est pas comme ça qu’il faut voir les choses : il y a deux représentants du Vatican, deux représentants de l’université al-Azhar, deux représentants d’Abou Dhabi (dont il se trouve qu’ils sont forcément musulmans mais c’est pas de leur faute). Quant au chef des Frères musulmans, je ne sais pas trop. Sans doute parce qu’il faut une autorité religieuse… Et puisque le document dit que l’islam a été voulu par Dieu, c’est normal.

    Bref, le 20 septembre on allait annoncer le premier grand projet du Haut Comité : la construction d’une « Maison de la Famille Abrahamique », sur « l'Île du Bonheur » à Abou Dhabi (là où il y a déjà le Louvre et Guggenheim). La dite Maison étant en fait constituée d’une église, d’une mosquée et d’une synagogue, sur une même fondation, autour d’un jardin (le paradis des trois religions). Mais on s’est aperçu in extremis qu’il n’y avait aucun israélite dans le Haut Comité. Alors on est allé chercher le rabbin Bruce Lustig, de la congrégation hébraïque de Washington, et on l’a agrégé au Haut Comité qui comprend donc désormais huit membres.

    Voici le projet de « Maison de la Famille Abrahamique ». On ne reconnaît que la mosquée, à gauche… (Il est possible que celle de droite fasse allusion à l'étoile de David. Auquel cas seule l'église serait totalement anonyme.)

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  • As salam aleikoum

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    Il y a eu hier au palais Brongniart une « Conférence internationale de Paris pour la paix et la solidarité », organisée par la Fondation de l’islam de France (FIF) et la Ligue islamique mondiale (LIM). De nombreuses personnalités étaient annoncées, dont Edouard Philippe et Emmanuel Macron, et bien sûr le nouvel archevêque de Marseille Mgr Aveline, la vedette étant Mohammed al-Issa, le secrétaire général de la LIM.

    Il n’y avait en fait ni le Premier ministre ni le président de la République, ni aucun représentant de l’Etat (alors que la FIF est une création de l’Etat), ni même Mgr Aveline. (Mais il y avait Mgr Defois… qui n’est plus archevêque de Lille depuis plus de dix ans.) C’est que la chose a fait polémique, en raison de la nature de la LIM, qui est la principale courroie de transmission islamiste du pouvoir saoudien (dotée des milliards de dollars ad hoc), et de la personnalité de son président, qui est l’ancien ministre de la « Justice » d’Arabie saoudite (garant de l’application stricte de la charia). Le CFCM, dont aucun responsable (d’aucune des ses composantes) n’était invité, considérait la conférence comme illégitime et avait appelé « les responsables des autres cultes à ne pas cautionner, par leur présence, cette initiative ». D’où le nombre des absents de marque…

    Pourtant, la plupart des observateurs ont été émus par la signature d’un «mémorandum d'entente et d'amitié entre les trois religions monothéistes», et conquis par la tonalité des interventions, particulièrement celle de Mohammed al-Issa, qui a lourdement insisté sur sa condamnation de l’islam politique, sur le fait que les musulmans doivent respecter la Constitution, les lois et les coutumes des pays où ils vivent, sur la vision nouvelle de la LIM qui « jette les ponts d’une coopération entre les religions », et patin-couffin, en bref on aurait dit un discours de François suivi de la signature du « document sur la fraternité humaine » d’Abou Dhabi…

    En fait tout cela se trouve déjà sur le site de la Ligue islamique mondiale depuis longtemps. Ce n’est donc pas une surprise.

    Quant à la sincérité de la chose, il faut être aussi aveugle qu’un journaliste occidental lèche-babouche pour y croire. Mohammed al-Issa a pourtant lui-même donné l’indice qui permet de s’en rendre compte, même quand on refuse obstinément de savoir qu’un idéologue musulman non seulement peut mentir, mais doit mentir dans un territoire pas (encore) musulman : cela fait partie des règles élémentaires du jihad. L’indice, c’est que Mohammed al-Issa a tenu à souligner que la Ligue islamique mondiale est une organisation « indépendante » qui n’appartient « à personne » : or elle a été créée par le pouvoir saoudien, son siège est à La Mecque, et son président est nommé par le pouvoir saoudien. Quand on sait qu’en Arabie saoudite il n’y a aucune liberté de pensée et que rien n’est indépendant de la famille régnante, on mesure le niveau de l’imposture. Mais cela doit bien faire rire Mohammed al-Issa de faire croire à tant de benêts occidentaux qu’il représente un islam modéré et démocratique… (D’ailleurs c’est pour cela que lui et ses semblables ont un torchon sur la tête : c’est pour se cacher le visage quand ils éclatent de rire…)

    Addendum

    Puis Mohammed al-Issa est allé inaugurer l’« Institut français de civilisation musulmane » à Lyon, en compagnie de Collomb et Castaner. Le ministre de l’Intérieur a déclaré que ce centre culturel islamique correspond à « une vision d’un islam ouvert qui s’inscrit pleinement dans la République ».

    Ils sont indécrottables.

    Mohammed al-Issa avait un très grand torchon sur la tête…

  • Encore un couteau fou

    Un jeune de 17 ans a blessé une femme au couteau et blessé deux autres personnes ce matin dans une école de Marseille avant la classe. Il a été arrêté peu après.

    La femme blessée a témoigné que l’agresseur avait crié « Allah Akbar », mais on insiste surtout, comme d’habitude, sur ses « propos confus ».

    Il va de soi qu’il s’agit une fois de plus d’une affaire de couteau fou. Il est urgent de créer une formation spéciale en psychiatrie du couteau. (Sans préjudice, naturellement, de la formation elle aussi nécessaire, en psychiatrie du véhicule fou.)

    Addendum

    Il a été interné en psychiatrie. L'agresseur. Ils n'ont donc pas encore tiré la conclusion du fait que c'est le couteau qui est fou...

  • Dérive indonésienne

    Pour la deuxième fois en quelques mois, Asianews alerte sur la vogue croissante du « hijrah » en Indonésie.

    Le terme (devenu « hégire » en français) désigne la « migration » de Mahomet de La Mecque vers Médine. Il est utilisé par ceux qui veulent voir les musulmans vivant chez les mécréants quitter ces pays pour rejoindre une « terre d’islam ». Comme il veut dire aussi « rupture », « séparation », il est également utilisé pour demander aux musulmans de rompre avec tout ce qui n’est pas strictement islamique. C’est ainsi qu’il est utilisé en ce moment en Indonésie, et de nombreuses vedettes donnent l’exemple de « hijrah » en se manifestant comme des musulmans de stricte observance. Ce qui a un impact considérable sur les jeunes, qui s'adressent aux organisations islamistes.

    La tendance à l’islamisation pure et dure est tellement importante que l’économie devient de plus en plus islamique.

    Les restaurants acquièrent des certificats halal, des hôpitaux donnent des médicaments halal, des shampoings sont « compatibles avec le port du voile », et les nouveaux réfrigérateurs Sharp (venant du Japon) sont garantis halal.

  • Un prêtre tué au Nigéria

    Le père Paul Offu est le 13e prêtre tué dans le monde cette année, et le deuxième au Nigéria. Selon la page Facebook du diocèse d’Enugu, ce prêtre, qui était curé de la paroisse Saint-Jacques-le-Majeur, a été abattu par des bergers peuls après qu’il eut refusé de s’arrêter avec sa voiture.

    Dédié à Mgr Kukah.

  • Là-bas aussi…

    Alors que les Fulanis (bergers peuls islamistes) sèment la terreur depuis des années dans plusieurs pays d’Afrique, génocidant les paysans catholiques et étendant sans cesse "leur" territoire, voici qu’un évêque catholique, Mgr Matthew Hassan Kukah, s’en prend… aux catholiques qui osent dire qu’ils en ont assez.

    Lors d’un séminaire sur les « fausses nouvelles et discours d’incitation à la haine », organisé par le Centre d’études africaines Olusegun Obasanjo de la National Open University du Nigeria, Mgr Hassan Kukah, évêque de Sokoto, a déclaré que « la diffusion de discours d’incitation à la haine à l’encontre des bergers Fulanis, en cours sur les réseaux sociaux, constitue une menace pour l’unité et la paix du Nigeria ». Les discours d’incitation à la haine envers un groupe particulier de personnes ont toujours précédé les génocides dans tous les coins du monde, a-t-il dit, comparant l’incitation à la haine envers les Fulanis à ce qui arriva aux Igbos avant la guerre civile nigériane (1967-1970). Avertissant que le pays se trouve au bord d’un précipice très dangereux, Mgr Kukah a invité les responsables du pays à tenir la situation bien en main et tous les Nigérians à être les gardiens de leurs propres frères en évitant d’utiliser le critère du profil ethnique et religieux dans leurs rapports les uns avec les autres.

    La référence aux Igbos avant la guerre civile est hallucinante, car là encore, là déjà, ce sont des chrétiens qui se sont fait massacrer par des musulmans…

    On trouvera ci-dessous le témoignage d’un autre évêque, Mgr Juan José Aguirre Muños, en Centrafrique, publié par la même agence Fides il y a deux mois. Certes, il faut attendre la fin pour qu’il remarque que les Peuls « bien armés » qui « laissent sur leur passage une traînée de sang qui s’allonge de jour en jour » sont musulmans, et que les paysans qu’ils massacrent sont chrétiens, mais enfin il le dit, après avoir clairement montré d’où vient la haine, et quels sont les véritables enjeux.

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  • Au Pakistan

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    Saima Sandar était infirmière, elle avait 30 ans et elle était chrétienne. Elle devait se marier en novembre prochain. Avec un chrétien. Mais auparavant elle avait eu une relation avec un musulman, Muhammad Waseem, puis ils avaient rompu. Lorsque Muhammad Waseem a appris que Saima allait se marier, il a commencé à la harceler, puis à la menacer : « Si tu ne te convertis pas à l’islam pour te marier avec moi, tu mourras. » Le 10 juillet il est entré à l’hôpital où travaillait Saima et il l’a tuée. Puis il a retourné l’arme contre lui…

  • Au Burkina Faso

    Le 27 juin, à Bani, dans le nord du Burkina Faso, un groupe djihadiste a contraint les habitants à se retirer chez eux, puis ils sont passés de maison en maison pour identifier les personnes selon leur appartenance religieuse. Quatre catholiques ont été tués. Le lendemain ils sont allés à Pougrenoma, un autre village de la même paroisse de Bourzanga. Ils ont laissé un message dans lequel ils intiment l’ordre aux chrétiens de se convertir au risque d’être exécutés à leur prochain passage.

    « Cette nouvelle attaque porte à douze en l’espace de deux mois les chrétiens catholiques tués par les terroristes à cause de leur appartenance religieuse dans le Diocèse de Ouahigouya », déclare un communiqué du diocèse.

    Face aux attaques de plus en plus récurrentes et les menaces pressantes, beaucoup de chrétiens ont commencé à quitter leurs villages pour rejoindre le centre des paroisses. C’est surtout le cas à Bourzanga où certains sont accueillis dans des familles et d’autres dans les locaux de la paroisse (fondée en 1963, elle compte 74.200 habitants dont 4.687 catholiques).