Le parti du progrès (« populiste ») claque la porte du gouvernement norvégien, mettant ainsi celui-ci en minorité au Parlement.
La raison (ou la goutte qui fait déborder le vase) : le « rapatriement » d’une « Norvégienne » d’origine pakistanaise membre du Front al-Nosrah puis de l’Etat islamique, après le « rapatriement » d’une autre femme jihadiste et de ses deux enfants.
« La coupe est pleine… Nous nous sommes déclarés en permanence prêts à rapatrier des enfants innocents mais nous ne faisons pas de compromis avec des personnes qui ont rejoint des organisations terroristes et qui œuvrent activement à la destruction des valeurs sur lesquelles la Norvège s'est construite », a déclaré Siv Jensen, présidente du parti du progrès et jusqu’ici ministre des Finances.