Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Islam - Page 117

  • Pourquoi l’islam est irrécupérable

    Une longue réunion sur les lois sanctionnant le « blasphème » a eu lieu au Conseil de l’idéologie islamique (sic), organisme pakistanais officiel dont le rôle est de vérifier la compatibilité des lois présentées au Parlement avec la charia. A l’issue de la réunion, Allama Tahir Ashrafi, membre du dit Conseil et président du Conseil des oulémas du Pakistan, a annoncé que tous les membres du Conseil étaient tombés d’accord pour que soit voté au Parlement un amendement à la loi anti-blasphème, stipulant que… les fausses accusations de blasphème constituent un blasphème en soi et doivent donc être punies de la même façon que les blasphèmes contre le Prophète et le Coran, c’est-à-dire par la peine de mort…

    « Cet amendement permettra de s’assurer que personne n’utilisera la religion à des fins personnelles », a souligné Allama Ashrafi, ajoutant ces nouvelles dispositions « réduiraient au silence par la même occasion les détracteurs de la loi anti-blasphème »…

    « Je dédie cet amendement à tous ceux, y compris Salman Taseer et Shahbaz Bhatti, qui se sont battus pour la Vérité », a osé ajouter le président des oulémas. On rappellera que Salman Taseer et Shahbaz Bhatti ont été assassinés parce qu’ils se battaient contre la loi anti-blasphème…

    Le pauvre Paul Bhatti trouve que cet amendement est « une bonne chose ». Certes, s’il était vraiment appliqué, il conduirait en fait à la quasi suppression des procès pour blasphème, puisque la plupart des accusations sont fausses, lancées par vengeance ou pour s’accaparer le bien du voisin chrétien. Et plusieurs affaires retentissantes de ce genre ont eu lieu récemment. Mais dans l’une d’elles, on a vu que l’imam qui avait porté la fausse accusation et s’en était publiquement vanté a été relaxé : lui-même et tous les témoins se sont finalement rétractés…

    Bref, l’amendement ne servira à rien devant une justice gangrenée par l’islamisme. Et surtout on n’arrange pas les choses en ajoutant la peine de mort à une peine de mort illégitime.

    Et pendant ce temps-là Asia Bibi est toujours en prison, condamnée à mort, dans l’attente d’un procès en appel qui ne vient pas.

    Pour avoir une idée de ce qu’est le très officiel Conseil de l’idéologie islamique, on ajoutera qu’il est au centre d’une polémique pour avoir affirmé qu’en cas de viol un test ADN ne peut pas en soi désigner le violeur, puisque selon la charia il faut quatre témoins pour prouver un viol.

    Le Conseil explique qu’on l’a mal compris. En fait, le test ADN peut être une preuve « supplémentaire », mais la première preuve nécessaire est celle des quatre témoins…

    (Eglises d'Asie)

  • Pas de dhimmitude à la cour d’appel de Nîmes

    En première instance, la mère et l’oncle de l’enfant qu’ils avaient envoyé à l’école avec un tee-shirt « Jihad, né le 11 septembre », « Je suis une bombe », avaient été relaxés. Mais le parquet avait fait appel. A l’audience le parquet avait réclamé 1.000 euros d’amende contre la mère et 3.000 contre l’oncle. La cour d’appel de Nîmes est allée bien au-delà, condamnant la mère à 2.000€ d’amende et deux mois de prison avec sursis, et l’oncle à 4.000€ d’amende. Plus 1.000€ de dommages et intérêts à la mairie de Sorgue, plus 1.000€ au titre des frais de justice.

  • Triste première en Slovénie

    Le Premier ministre slovène, Alenka Bratušek, a posé samedi la première pierre de la première mosquée de Slovénie, dans le nord de la capitale Ljubljana.

    Il y avait là de nombreuses personnalités, dont le ministre des Affaires religieuses du Qatar, qui finance 70% de la construction. Ainsi que le chef des oulémas de Bosnie-Herzégovine, et Bakir Izetbegović, fils de l’ancien président islamiste de Bosnie-Herzégovine et lui-même représentant de la communauté bosniaque à la présidence collégiale de Bosnie-Herzégovine.

    Bref, une grande mosquée qatari-bosniaque, avec un minaret de 40 mètres…

    Lors du dernier recensement, 47.000 Slovènes se sont déclarés musulmans…

    news-2013-Juni-ljubljana_dzamija2_763578273.jpg

    Sur la photo de la prière de bénédiction de la première pierre on ne voit pas le Premier ministre slovène. Forcément : c’est une femme. En revanche on voit le co-président de Bosnie-Herzégovine (à gauche)… Les dépêches, les articles et les photos ne font état de la présence d’aucun dignitaire catholique, semble-t-il. C’est déjà ça…

  • Fin du lycée musulman des Pays-Bas…

    Le vice-ministre néerlandais de l’Education a annoncé que le gouvernement supprimait les subventions au lycée musulman Ibn Khaldoun de Rotterdam. Il y avait déjà eu des problèmes, mais cette fois il y a eu une fraude massive au bac (« examen final ») en juin dernier : 42 élèves au moins sont poursuivis pour vol ou distribution de sujets du bac. En outre, il a été découvert à cette occasion que beaucoup d’enseignants n’ont pas les qualifications requises.

    L’arrêt des subventions contraint l’établissement à fermer. C’était le seul lycée musulman des Pays-Bas.

  • A Mulhouse, un quartier contre la mosquée

    Les habitants du quartier Dornach de Mulhouse sont mobilisés contre le projet de mosquée de Mili Görüs. Une pétition a recueilli 800 signatures, et il y avait 300 personnes jeudi dernier à la réunion organisée par l’Ascen (association de sauvegarde du cadre de vie environnement nature), tellement remontées que le maire de Mulhouse a dû écourter son intervention.

    On remarquera le discours très clair du président de l’association, Philippe Lallemant :

    « Il s’agit de préserver Dornach d’un gigantesque complexe cultuel, culturel et commercial… et politique – car Millî Görüs est un mouvement nostalgique de l’empire ottoman, hostile à la nature laïque de l’État turc. Millî Görüs a des sympathies pour le Hamas, il est proche des Frères musulmans, ainsi que d’Ennahda en Tunisie. Il défend une vision traditionnelle de l’islam et entend empêcher l’intégration à la culture occidentale. »

     

  • La dictature antiraciste version dhimmitude

    Un site islamique a dénoncé la prétendue « islamophobie » d’une question sur un emballage d’Apéricube, et l’accusation s’est évidemment répandue à la vitesse d’internet.

    Le groupe Bel s’est mis à plat vendre pour s’excuser et demander humblement le pardon des maîtres de l’opinion :

    « Nous sommes bien conscients que cette question a pu choquer. Elle est totalement inappropriée et ne reflète en aucun cas la position de Bel, dont les valeurs font du respect des croyances, de la culture et des convictions de chacun un principe fondamental. Nous présentons nos plus sincères excuses. »

    Quelle était cette ignoble question islamophobe ?

    Celle-ci :

    « Où le problème du foulard islamique est-il apparu en 1989 ? »

  • Oman au secours de la mosquée de Roissy-en-Brie

    « Située à 25 km de Paris, au cœur de la Seine-et-Marne, la commune conjugue les atouts d'une petite ville briarde et les plaisirs de la campagne », lit-on sur Wikipedia. Mais Roissy-en-Brie c’est aussi une association musulmane qui avait décidé de construire une méga-mosquée, d’un coût estimé à 2,6 millions d’euros.

    La « première pierre » (en fait quatre briques) avait été posée le 5 juin 2010 par le cheikh Saïd Ramadan Al Bouti, Mohammad Nasereddine, Chantal Brunel et Sylvie Fuchs.

    « Un cas d’école », avais-je alors expliqué dans Daoudal Hebdo.

    Le cheikh Saïd Ramadan Al Bouti était un Kurde syrien, directeur du département des croyances et religions de la faculté de la charia de Damas, auteur d’une quarantaine de livres, qui était déjà venu le 10 janvier pour le « lancement du projet de construction » de la mosquée, en compagnie du président du CFCM Mohammed Moussaoui et du recteur de la Grande Mosquée de Paris Dalil Boubakeur. (On en parle désormais au passé car il a trouvé la mort dans l’attentat du 21 mars 2013 contre la mosquée al-Imane de Damas, qui fit 50 morts.)

    Mohammad Nasereddine est le président de l’association musulmane locale, qui veut une super grande mosquée.

    Chantal Brunel est le député UMP de la circonscription, secrétaire nationale de l’UMP. Elle dit ouvertement qu’une partie de sa « réserve parlementaire » va à l’association des musulmans de Roissy-en-Brie. Sur son blog, elle parlait du « Grand Savant El Sheikh Mohamad Saïd Ramadan EL BOUTI », qu’elle avait eu l’honneur de rencontrer le 10 janvier et auquel elle s’adressait le 5 juin. (Mentions supprimées de son blog après la publication par l’Observatoire de l’islamisation de la définition du jihad par le Grand Savant dans un de ses livres traduits en français.)

    Sylvie Fuchs est le maire communiste de Roissy-en-Brie. Elle a baissé le prix du terrain de 10%.

    Il convient d’ajouter que le conseil général a accordé une subvention de 185.000 €, le maximum autorisé pour un « centre culturel », et que le conseil régional (où siège Chantal Brunel) y est aussi allé de sa subvention.

    Le cheikh Saïd Ramadan Al Bouti avait donné de l’argent, ainsi que de fortunés anonymes du côté du Golfe.

    Mais cela était loin de faire le compte. Et cette année, faute d’argent, les travaux ont dû s’arrêter.

    Or, miracle. Le sultanat d’Oman vient de verser 1,8 million d’euros. Et les travaux ont pu reprendre… A la grande satisfaction de l’UMP Sylvie Brunel, de la communiste Sylvie Fuchs, et de toute la communauté dhimmie de Seine-et-Marne.

  • L’imam blasphémateur, menteur et persécuteur acquitté…

    Au Pakistan, l’imam qui avait formulé une fausse accusation de blasphème contre la jeune chrétienne Rimsha Masih a été acquitté.

    L’affaire avait fait grand bruit, il y a un an, parce que c’était la première fois qu’une mineure était arrêtée pour blasphème, et qu’en outre il s’agissait d’une déficiente mentale. Un mois après, elle était libérée, et se réfugiait à l’étranger avec sa famille, tandis que l’imam à l’origine de la plainte était arrêté.

    Des témoins oculaires certifiaient que c’était l’imam qui avait profané le Coran, et l’imam lui-même s’en était vanté, disant que c’était « la seule façon d’expulser les chrétiens de ce quartier ». De fait 600 familles s’étaient enfuies sous les menaces de mort.

    Fin novembre 2012, la haute cour d’Islamabad déclarait nulle la plainte contre Rimsha Masih, et reconnaissait (c’était également une première) qu’il y avait eu machination ourdie par l’imam, alors même que celui-ci et les témoins s’étaient rétractés.

    Puisque les témoins s’étaient rétractés, l’imam, réellement coupable de « blasphème » envers le Coran, et en outre de mensonge, mais surtout de fausse accusation pouvant conduire à une condamnation à mort, a donc été acquitté lors de son propre procès…

     

  • Pourquoi on peut brûler les églises coptes

    Poste de veille a traduit ce document émanant du bureau du parti de la liberté et de la justice (vitrine politique des Frères musulmans et parti majoritaire, qu'on le veuille ou non) à Helwan (ou Hélouan, au sud du Caire).

    Parti de la liberté et de la justice - Helwan

    Le Pape de l'Église [Tawadros II, pape de l'Eglise copte] a contribué au renversement du premier Président islamique élu.

    Le Pape de l'Église a qualifié la charia islamique de loi arriérée, inflexible et régressive.

    Le Pape de l'Église commandite les Black Bloc pour répandre le chaos et le banditisme, et attaquer des mosquées.

    Le Pape de l’Église a demandé aux coptes de participer aux manifestations du 30 juin pour renverser le Président islamique.

    Le pape de l'Église s'est opposé aux articles [de la Constitution] sur l’identité islamique et s’est retiré de la commission constitutionnelle.

    Le Pape de l'Église est le premier à avoir répondu à l'appel du [général] el-Sissi demandant de lui donner un mandat pour tuer des musulmans, aboutissant à la mort de 500 personnes (avant le massacre d'aujourd'hui [14 août]).

    Le Pape de l'Église a envoyé au comité constitutionnel actuel un mémorandum demandant l'abrogation des articles sur la charia.

    Après tout cela, les gens se posent cette question : pourquoi les Frères musulmans brûlent-ils des églises ?

    N.B. :
    Incendier des lieux de culte est un crime.
    Toutefois, la guerre de l’Église contre l’islam et les musulmans est encore plus criminelle.
    À toute action, il y a une réaction.

     

  • Islam pratique

    De plus en plus de musulmans enlèvent leurs enfants des écoles pour pratiquer l’école à la maison, ou IEF (instruction en famille). Sur une page Facebook qui est dédiée à l'IEF, et qui compte 600 membres, 100 mères sont musulmanes.

    Amis de l’intégration et de l’islam de France, bonjour :

    « Ce qui m’a poussée à faire l’IEF c’est avant tout les fatwas des savants qui interdisent de mettre les enfants chez les kouffars ».

    «  Les mamans doivent mettre dans un coin de leur tête qu’elles n’aimeraient pas passer 6 heures par jour avec des non-musulmans, à vivre comme eux »…

    « En premier lieu ce sont des raisons religieuses qui me poussent à instruire mes enfants moi-même à la maison. J’ai l’intime conviction que l’école française laïque est totalement incompatible avec ma religion, l’Islam et ses valeurs ».

    « L’enfant à l’école est amené surtout à fréquenter des non-musulmans alors que le Prophète (…) a mis en garde contre les mauvaises fréquentations »… « donc suivre un enseignement de ce type amène les jeunes enfants à prendre pour amis des mécréants et à les imiter dans leurs manières ou pire à éprouver de l’amour pour eux »…