Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Islam - Page 121

  • Egypte : l’intelligentsia contre les islamistes…

    Depuis le 5 juin, des centaines d’intellectuels et de personnalités du monde de la culture manifestent en permanence devant le ministère égyptien de la Culture, pour réclamer la démission du ministre, qu’ils accusent d’avoir limogé des dizaines de fonctionnaires pour le seul motif qu’ils ne seraient pas affiliés aux Frères musulmans.

    Plus largement, ils protestent contre l’islamisation de la culture.

    On constate que l’actuel ministre, Alaa Abdel Aziz, qui est le sixième (sic) depuis la révolution, était lui-même dans la rue, il y a un an, devant le ministère, pour réclamer le limogeage de Sameh Mahran, le président de l’Académie des Arts, qu’il accusait de corruption. Sameh Mahran est toujours président de l’Académie des Arts…

    On constate surtout qu’avant la révolution la première qualité du ministre de la Culture était d’être un expert en égyptologie, et qu’aujourd’hui c’est d’être un homme lige des Frères musulmans.

  • Ils s’en prennent aussi aux enfants coptes

    Le 10 avril j’évoquais « l’industrie des enlèvements de coptes » en Egypte. On enlève des adultes, mais aussi des enfants. Et cela finit éventuellement en drame. Ainsi, au début de la semaine, un garçon de six ans, Cyril Yusuf Saad, a été enlevé. La famille a payé la rançon (30.000 livres, soit 3.257 €), mais le ravisseur a tué l’enfant et jeté son corps dans les égouts…

    Raymond Ibrahim, sur Gatestone, donne deux exemples récents de garçons enlevés puis libérés après rançon, et il évoque le cas différent des filles, des centaines d’adolescentes enlevées, violées, et « converties » à l’islam pour être mariées à leurs ravisseurs.

    (Via Poste de Veille)

  • Les suites judiciaires de l’attaque du 9 mars à Lahore

    Des centaines de musulmans avaient attaqué un quartier chrétien à Lahore, le 9 mars dernier. Ils avaient incendié 178 maisons. Tous les chrétiens avaient dû fuir, quelque 120 d’entre eux avaient été soignés pour brûlures à l’hôpital.

    La police avait arrêté 83 musulmans : 52 ont été relâchés, 31 ont été mis en liberté provisoire sous caution.

    A l’origine de l’attaque, un « blasphème ». L’auteur du « blasphème » (dont tout le monde sait qu’il est innocent), Sawan Masih, a été incarcéré, et son procès vient de s’ouvrir. Ses avocats avaient demandé sa libération sous caution, et se sont ravisés : Sawan Masih doit rester en prison, pour sa sécurité : s’il sortait il se ferait aussitôt lyncher…

    (Fides)

  • Violences antichrétiennes au Bangladesh

    Hier, des dizaines de musulmans ont attaqué le village tribal de Tivipara et Bagja, à majorité catholique, au Bangladesh. Ils ont volé 40 vaches, 50 chèvres, une camionnette, des fruits et des outils. Et ils ont menacé de revenir pour incendier les maisons. Les femmes et les enfants ont trouvé refuge dans la mission catholique.

    Puis les mêmes musulmans ont attaqué, non loin de là, à Bolakipur, le séminaire diocésain (de Dinajpur). Ils ont violemment frappé et blessé des séminaristes ainsi que le recteur, le P. Uzzal.

    Le 5 juin, déjà, la paroisse de Tumilia avait été attaquée et pillée, le curé et un autre prêtre avaient été frappés.

    (Asianews)

  • Un rapport sur le jihad français

    Le rapport parlementaire « fait au nom de la commission d’enquête sur le fonctionnement des services de renseignement français dans le suivi et la surveillance des mouvements radicaux armés » paraît n’avoir guère suscité l’attention des médias. Sans doute à cause de son titre politiquement correct, qui refuse l’« amalgame » et la « stigmatisation ». Il pousse même l’hypocrisie jusqu’à commencer par une analyse des menaces terroristes de « l’ultra-gauche », de « l’extrême droite radicale », des « mouvances corses et basques », en trois paragraphes, alors que tout le reste du rapport concerne bien évidemment le terrorisme islamique, qui était le seul objet réel de l’enquête. (On notera que le seul acte terroriste imputé à « l’extrême droite radicale » est la brève occupation du toit d’une mosquée en construction à Poitiers…)

    La Croix a néanmoins interrogé le rapporteur, Jean-Jacques Urvoas, et ses propos reproduits par l’Observatoire de l’islamisation ne sont pas sans intérêt. Ainsi souligne-t-il que la surveillance de « l’islam de France » ne peut qu’être très superficielle, puisque sur le plan national cinq agents des services de renseignement en sont chargés, et que sur le plan local il en est de même : ainsi à Marseille deux policiers sont chargés de la surveillance des mosquées... « On est très loin d’écouter tous les prêches des imams de France chaque vendredi ! » Au détour de l’entretien on apprend aussi que les « prières de rue » sont « encore nombreuses, contrairement à ce que l’on dit parfois ».

    Dans le rapport lui-même, on peut lire par exemple ceci :

    « Il convient de ne pas écarter le risque d’un attentat sur le territoire national commandité de l’étranger, réalisé par une cellule terroriste extérieure ou par des individus résidant en France et formés à l’étranger. Ancien directeur du contre-terrorisme puis directeur adjoint de la DST jusqu’en février 2007, Jean-François Clair souligne que ce type d’action est « de plus en plus le fait de jeunes qui sont nés ou ont grandi en France, sont extrêmement réactifs et prêts à aller combattre ou s’entraîner au combat dans les pays musulmans où se déroulent des conflits : l’Afghanistan […], la Tchétchénie, l’Irak, la Somalie […], la Syrie et le Sahel ».

    « À l’appui de cette thèse, on constate le développement très préoccupant des filières djihadistes à destination des zones d’instabilité. Si l’opération Serval au Mali a endigué un mouvement vers le Sahel qui tendait à s’amorcer à la faveur de la sanctuarisation des groupes (katibates) djihadistes, la Syrie est devenue dans le même temps un enjeu d’implantation des groupes de cette mouvance, dont Jabhat al Nousra est le porte-étendard local. À ce sujet, une personne entendue par la commission d’enquête a qualifié d’« exponentiel » le nombre de jeunes allant « faire le djihad » dans ce pays. Le phénomène n’est d’ailleurs pas propre à la France : des effectifs de volontaires convergent vers la Syrie depuis toute l’Europe. Plusieurs dizaines de Français ou de résidents français combattent dans les rangs des groupes islamistes dans ce pays, groupes dont les objectifs et les méthodes sont clairement terroristes. L’allégeance récente du groupe Jabhat al Nousra à Al-Qaida a en ce sens levé toute ambiguïté. À tout moment, ces hommes peuvent être amenés à tenter de commettre des attentats sur notre territoire.

    « L’attrait pour la Syrie s’explique aussi pour partie par le fait qu’il s’agit d’une terre de djihad qu’il est aisé de rallier depuis l’Europe. La plupart des candidats djihadistes prennent un vol pour Istanbul puis rejoignent en car ou en voiture la frontière turco-syrienne, dénuée de contrôles efficaces.

    « Par ailleurs, les conséquences du Printemps arabe ont plus encore brouillé les cartes. Non seulement le contexte est favorable aux mouvements islamistes, mais la montée des risques djihadistes dans certains pays, comme la Tunisie, contribue à rapprocher la menace terroriste de nos frontières.

    « De surcroît, la Libye et l’Égypte sont en proie à des difficultés sécuritaires très importantes. Le salafisme violent s’y développe. Des réseaux de trafic d’armes (en provenance notamment des stocks de l’armée libyenne de l’ancien régime) et des réseaux de transit de volontaires sont particulièrement actifs dans cette région. »

    Comme quoi même nos députés peuvent dire des vérités. Entre eux.

  • La tyrannie islamique en République centrafricaine

    « La crise en République centrafricaine est ignorée par les moyens de communication de masse et la population, en majorité chrétienne, se sent abandonnée par la communauté internationale » remarquent les responsables chrétiens locaux contactés par l’agence Fides.

    Au début du mois, la commission Justice et Paix de la conférence épiscopale avait dénoncé « une rébellion d’extrémisme religieux aux intentions maléfiques caractérisées par la profanation et la destruction programmée et planifiée des édifices religieux, notamment des chrétiens et, en particulier, les églises catholiques et protestantes ».

    Cette rébellion qui a pris le pouvoir au mois de mars, la Sekela, est islamiste. Et elle fait régner la terreur islamiste :

    « Déjà, au cours de ces derniers mois, un certain nombre de chrétiens ont été tués ou blessés. Les rebelles recherchent les prêtres et autres travailleurs chrétiens alors que les lieux de culte et les propriétés privées de chrétiens sont attaqués et saccagés. De nombreux chrétiens ont abandonné leurs maisons en zone rurale et sont trop épouvantés pour y retourner. Plus de 200.000 personnes ont été évacuées, alors que 49.000 réfugiés ont été enregistrés dans les pays limitrophes. » (Fides)

  • L’agresseur en soutane

    Un militaire qui effectuait une mission Vigipirate à la Défense, samedi, a été attaqué par un homme qui l’a blessé à la gorge avec un cutter.

    Selon BFM TV, l’agresseur portait « une soutane ou une robe religieuse ».

    Tout compte fait, il portait une djellaba sous un blouson.

    On l’a vu prier peu avant l’agression.

    Mais ce n’était pas avec son bréviaire.

    Donc il ne faut pas faire d’amalgame.

    (On apprend que le 7 mai un homme a fait irruption dans la brigade de gendarmerie de Roussillon en criant "Allah est grand" avant de s'en prendre à un gendarme à l'accueil, le blessant avec un couteau au niveau du cou. Mais on ne fera pas d'amalgame entre jihad et islam.)

  • Le jihad à Londres

    Les deux meurtriers de Londres, qui ont massacré un soldat à coups de couteaux et de hachoir, sont d’origine nigériane et chrétienne, convertis à l’islam. On ne connaît que le nom de l’un des deux, qui a changé son prénom de Michel pour Moujahid : le combattant. Après avoir massacré le soldat, ils sont restés sur place pour revendiquer hautement leur geste au nom d’Allah.

    Réaction de David Cameron :

    « Ce n’était pas seulement une attaque contre la Grande-Bretagne et le mode de vie britannique. C’était aussi une trahison de l’islam et des communautés musulmanes qui apportent tant à notre pays. Rien dans l’islam ne justifie un tel acte épouvantable. »

    Encore un qui n’a jamais ouvert le Coran…

  • Noor ?

    Malek Chebel, avec son Association pour un islam des Lumières, lance une revue. Elle est intitulée Noor. Sic. « Nour », en arabe, c’est la lumière. Le mot est utilisé dans l’islam (comme dans le christianisme) pour parler de la lumière divine. Qui est évidemment totalement incompatible avec « les Lumières ». Le jeu de mots est donc plus que douteux. Ce qui n’a guère d’importance. On laissera Malek Chebel à ses chimères. Mais ce qui est inacceptable (et devrait l'être aussi pour les partisans des Lumières) est d’orthographier le titre d’une revue francophone comme s’il s’agissait d’une revue en anglais.

  • Bristol a un maire musulman

    Il a prêté serment lundi. Il s’appelle Faruk Choudhury.

    « A 38 ans, ce mari et père comblé de trois enfants, qui incarne désormais le renouveau de la politique locale anglaise, a porté haut les couleurs du parti travailliste mais aussi la cause de sa communauté d’origine, en réussissant un doublé historique : devenir le premier édile musulman de la cité et de surcroît le plus jeune jamais plébiscité par les suffrages. » (Oumma.com)