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Islam - Page 116

  • La spectaculaire dhimmitude gouvernementale

    Jean-Marc Ayrault et Manuel Valls ont participé (sic) ce matin à une célébration de la fête de l'Aïd à la Mosquée de Paris.

    Déclaration du Premier ministère :

    « A travers vous, je salue une grande religion de France. Je mesure la place qui est la sienne dans notre pays et dans notre histoire. J'entends la parole que vous portez pour rassembler les Femmes et les Hommes autour d'un message de paix et de concorde, dans le cadre de la République, et en accord avec ses principes et ses valeurs. (…) L’Islam de paix et de concorde, est partie prenante de notre pays et des valeurs qui le fondent. Très heureuse fête de l’Aïd el Kebir à vous toutes et tous ! »

  • Un gag musulman

    Oui, il y a des gags musulmans, mais seulement grâce à la mise en scène de la République : Manuel Valls a remis des « diplômes de la laïcité » à des imams.

    Lui, il était comme d’habitude sérieux comme l’imperator pour qui il se prend.

    Mais dans les mosquées c’était un éclat de rire général…

    (Euh… au fait, la formation des imams à la laïcité, c’est financé par le contribuable, bien sûr. Mais on a si peu l’occasion de rire…)

  • La grande mosquée de Metz

    La ville de Metz et l’association locale des musulmans vont signer officiellement et en public l’acte par lequel la municipalité met à la disposition des musulmans un terrain de 12.000 m2 pour l’implantation d’une grande mosquée.

    Si l’on en croit le journal local, l’accord sera voté le 31 octobre par le conseil municipal…

  • L’enseignement musulman de base

    Une explosion, dans une madrasa de Chittagong, au Bangladesh, a fait un mort et six blessés.

    Le mort est un jeune homme de 25 ans qui maniait des explosifs. Les six blessés ont tenté de se cacher mais ont été retrouvés par la police.

    L’enquête a montré (sans vraiment de surprise) que l’école coranique était une fabrique d’armes et de bombes.

    Le fondateur de la madrasa, Nayeb-e-Ameer Mufti Izharul Islam Chowdhury, 70 ans, a été arrêté. Il est affilié au groupe Harkatul Jihad al Islami.

  • Polygamie malaise

    Dans l’Etat de Kelantan (nord-est de la Malaisie), les autorités vont distinguer d’ici la fin de l’année la meilleure famille polygame. Plus exactement « le mari polygame modèle ». Dans cet Etat où un millier d’hommes, au bas mot, se marient plus d’une fois par an, la justice est submergée de plaintes de femmes qui accusent leur mari de mauvais traitements. Le concours, inventé l'an dernier, a pour but de tenter de réduire le nombre de ces plaintes en montrant en exemple le mari modèle. Plus de 200 hommes sont en compétition. En dehors des honneurs de la presse, le vainqueur recevra 31.000 ringitt (moins de 300 euros). Les critères sont l’engagement au travail, le comportement dans le contexte familial, et la somme des cadeaux que le mari fait à ses femmes…

  • « Détruire toutes les églises de la région »

    Le cheikh Abdoul Aziz bin Abdoullah, grand mufti d’Arabie Saoudite, chef du Conseil suprême des oulémas et du Comité permanent pour l’émission des fatwas, a redit, devant une délégation koweitienne, qu’il est « nécessaire de détruire toutes les églises de la région », car l’islam est la seule religion possible dans la péninsule arabique.

    L’agence Fides souligne que l’Arabie saoudite est un « pays allié de l’Occident sur la scène politique mondiale »…

    En juin dernier a été consacrée une nouvelle église catholique dans les émirats, et l’émir de Bahrein a donné un terrain pour la construction de ce qui sera la neuvième église catholique dans les émirats. Les chrétiens des émirats ont ouvertement souhaité « la mise en place de négociations afin de construire une église en Arabie Saoudite »…

  • Islam modéré au Maroc

    Un marchand ambulant marocain de 34 ans, Mohammed el-Baldi, a été arrêté le 28 août pour « prosélytisme chrétien ». Dès le 3 septembre il était condamné à deux ans et demi de prison et 1.500 dh d’amende par le tribunal de Taounate. A l’issue d’un « procès » sans avocat : aucun avocat de Taounate n’a accepté de défendre le converti…

    Sa famille (qui n’est pas convertie) est traitée comme un groupe de pestiférés dans son village d’Aïn Aicha, et lui-même a été tabassé par ses compagnons de prison dès son premier jour de détention. Au point qu’il a fallu le mettre seul dans une cellule pour éviter qu’il ne soit tué.

    L’Association marocaine des droits de l’homme s’active pour qu’il y ait rapidement un procès en appel.


    Communiqué de Chrétienté-Solidarité Persécutions

    Maroc : libérez Mohamed El Baldi !


    Mohamed El Baldi, sujet marocain âgé de  34 ans, de la ville de Taounate, a été arrêté le 28 août dernier et condamné le 3 septembre à 30 mois de détention, et emprisonné dans de terribles conditions à Aïn Aicha.

    Son crime : il s ‘est converti au christianisme et il ne l’a pas caché, ce qui est considéré comme un délit de prosélytisme.

    On lui a donc appliqué la loi frappant de six mois à trente mois de prison tout coupable du délit d’attitude pouvant ébranler la foi du musulman !

    Jusqu’ici, le royaume du Maroc, cher à beaucoup de Français, était pourtant encore un des rares pays d’islam à pratiquer certes une triste discrimination antichrétienne plutôt qu’à mettre en œuvre la persécution légale. C’est hélas désormais chose faite.

    Le Maroc aussi réprouve donc et combat la liberté religieuse au mépris total de l’article 18 de la Déclaration des droits de l’homme de 1948 qu’il a signée.

    Chrétienté-Solidarité Persécutions appelle donc tous ses militants et amis à soutenir la mobilisation de l’opinion internationale, et française en particulier, pour que le Maroc respecte son engagement. Il faut pour cela signer la pétition qui sera adressée à sa majesté le roi Mohammed VI.

  • Vers la totale islamisation du Soudan

    Les actes d’intimidation à l’encontre de prêtres et missionnaires de la part des autorités soudanaises sont en augmentation, constate l’agence Fides.

    Au cours du mois de septembre, quatre prêtres ont ainsi été convoqués à plusieurs reprises par les services de sécurité pour être interrogés. Un prêtre a indiqué qu’au cours des interrogatoires on l’a accusé d’être un espion au service d’un autre pays d’Afrique ayant entre autre passé une période d’entraînement à l’étranger. Le prêtre a répondu calmement que les accusations à son endroit étaient injustifiées, comme le démontre son passeport qui ne porte aucun visa récent d’entrée et de sortie du pays. Tant son passeport que son téléphone portable ont été séquestrés « pour vérifications ».

    Ces derniers temps, certains centres ecclésiaux ont été fermés, différents prêtres et missionnaires étrangers contraints de quitter le pays alors que d’autres se sont vus refuser le renouvellement de leur permis de séjour ou l’entrée dans le pays. Enfin, les réunions ecclésiastiques et les mouvements de fidèles sont contrôlés par un réseau d’informateurs.

    Le gouvernement de Khartoum a d’ores et déjà expulsé tous les missionnaires étrangers des autres confessions chrétiennes. Il est désormais à craindre que l’avenir de l’Eglise catholique au Soudan soit lui aussi en danger.

    Le président Omar el-Béchir avait annoncé clairement qu’après la création du Soudan du Sud, le Soudan deviendrait une république islamique à 100%…

     

  • « Réquisition » des biens des chrétiens

    Une fatwa signée de 36 oulémas de Douma, l’un des principaux faubourgs de Damas, légitime la réquisition et l’appropriation de la part de musulmans sunnites de biens, maisons et propriétés appartenant à des chrétiens, des druzes, des alaouites, et tout autre membre d’une minorité « ne professant pas la religion sunnite du prophète ». La fatwa invite ouvertement à « boycotter et à interrompre toute relation avec les habitants de Damas qui ont trahi les révolutionnaires ou les ont abandonnés ». Elle souligne que les propriétés confisquées seront utilisées en partie « pour acquérir des armes » et en partie pour aider les orphelins, les pauvres et les familles des « martyrs ».

  • Peshawar : l’horrible rumeur

    Après l’attentat qui a fait au moins 85 morts devant l’église anglicane de tous les saints à Peshawar, les chrétiens sont horrifiés par une rumeur persistante selon laquelle les morts et les (très nombreux) blessés seraient victimes de voleurs d’organes au sein même des hôpitaux. En fait il s’agit davantage que d’une rumeur, puisque l’information émane de représentants de diverses ONG. L’Eglise catholique demande une enquête sérieuse.

    Le Pakistan était connu pour son « tourisme des greffes », et a promulgué en 2010 une loi réglementant les transplantations d’organes. Le trafic d’organes a alors diminué, mais il semble qu’il ait repris dès l’année suivante. En juillet dernier, la Cour Suprême a demandé aux gouvernements provinciaux de prendre des mesures pour faire appliquer la loi. Les enquêtes de police avaient révélé que, 42 structures médicales dédiées aux transplantations illégales d’organes fonctionnaient au Pendjab…