Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Gouvernement - Page 20

  • Le laïque Chevènement…

    Jean-Pierre Chevènement déclare au Parisien qu’il va accepter de devenir le président de la Fondation pour les œuvres de l’islam de France.

    Cela surprend certains. Mais c’est conforme à la laïcité socialiste. « Aujourd’hui, être un bon laïque, c’est encourager la construction de moquées en France », avait décrété Jean Glavany, le secrétaire national du PS à la Laïcité.

    Chevènement se fait donc lui aussi le fourrier de l’islam. Il veut sa médaille de la dhimmitude avant de mourir. Chacun son truc. Mais ce n’était pas la peine de lutter contre la disparition de la France dans le machin européen si c’est pour favoriser sa disparition dans l’islam.

  • Des mosquées qui n’ont rien à voir avec l’islam

    Ayant tenu à suivre des cours de politiquement correct pour ne pas induire mes lecteurs en erreur, j’ai fini par comprendre, ou plutôt par acquérir cet automatisme : le terrorisme n’a rien à voir avec l’islam.

    C’était pas facile, pourtant : le jihad n’a rien à voir avec l’islam, Allahou Akbar n’a rien à voir avec l’islam, le drapeau de l’islam n’a rien à voir avec l’islam, l’Etat islamique n’a rien à voir avec l’islam… Bon. Mais avec beaucoup de volonté et en frisant l’overdose de Padamalgam, j’y suis parvenu. (Donc vous aussi, si vous le voulez, vous y arriverez.)

    Oui mais voilà. Manuel Valls dit aujourd’hui dans Le Monde qu’il est « favorable à ce que, pour une période à déterminer, il ne puisse plus y avoir de financement de l'étranger pour la construction des mosquées » et que « les imams soient formés en France et pas ailleurs ».

    Qu’est-ce à dire ? Il y a donc des mosquées qui n’ont rien à voir avec l’islam ? Et des imams qui ne sont pas musulmans ? A cause de pays étrangers pas musulmans ? Qui c’est ? L’Arabie saoudite et le Qatar. Ce sont les deux principaux pays qui financent les mosquées. Deux pays qui n’ont donc rien à voir avec l’islam.

    Il va falloir que je prenne des cours supplémentaires. Parce que là c’est quand même difficile. D’autant plus difficile que ces pays qui financent les mosquées terroristes sont nos amis, qu’on s’embrasse à tout va et qu’on s’entre-décore…

    Quoique… J’ai peut-être une piste. Regardez ces photos. Il y a bien quelqu’un qui est au cœur de tout ça et qui, de fait, n’a rien à voir avec l’islam…

    864706.jpg

    Bct2u4GIQAAooL6.jpg

  • Sans procès

    Il semble que personne ne trouve bizarre que les jihadistes soient systématiquement abattus.

    Nous sommes dans un « Etat de droit », où toute personne a « droit à un procès équitable », et où le bannissement de la peine de mort est un principe idéologique intangible. Or, chaque fois qu’il y a un acte jihadiste, le jihadiste est tué sans autre forme de procès. On lui applique la peine de mort anticipée, sans procès. Et personne ne paraît même le remarquer. Sous prétexte qu’on abat un ignoble assassin, on ne voit pas qu’on répond à la barbarie par la barbarie.

    On ne me fera pas croire que des tireurs d’élite n’aient jamais d'autre possibilité de neutraliser un terroriste que de le tuer.

    Et c’est flagrant, quasi caricatural, dans le cas de Saint-Etienne du Rouvray : on a abattu un homme sur le parvis d’une église armé d’un… couteau !

    Ce sont les Américains qui ont établi cette nouvelle procédure, notamment avec Ben Laden (même s’ils l’appliquaient avant, et si les véritables promoteurs de la chose sont, depuis très longtemps, les Israéliens). Ils ne sont pas allés au Pakistan pour capturer Ben Laden, mais pour le tuer. Parce qu’il ne fallait pas qu’il y ait un procès. Où l’on serait bien obligé de parler des millions de dollars qui lui avaient été donnés par la CIA, et des millions de dollars qui lui avaient été donnés par la famille régnante saoudienne.

    Pour nos jihadistes, c’est la même chose. Les attentats se multiplient, et il n’y aura jamais de procès. Parce que les jihadistes ne doivent pas pouvoir expliquer dans un procès qu’ils appliquent l’idéologie islamique telle qu’elle se trouve dans le Coran et les Hadiths, qu’ils font le jihad parce que c’est une obligation de l’islam, qu’ils ne font qu’imiter le « beau modèle », Mahomet, comme doit le faire tout musulman.

    Et il ne faut pas croire la désinformation sur les jihadistes qui n’en sont pas, qui sont des déséquilibrés tombés on ne sait comment dans une « radicalisation » dont eux-mêmes ne savent à peu près rien. J’avais été très impressionné par la retranscription des échanges entre Mohammed Merah et les policiers qui l’assiégeaient. Cet homme qui était soi-disant un jeune paumé qu’on voyait beaucoup plus en boîte de nuit qu’à la mosquée avait une connaissance très étendue et très approfondie de l’islam. Or c’est précisément ce que l’on ne doit pas savoir. C’est pourquoi il faut tuer Mohammed Merah et ses semblables. Pour que les Français croient qu’on a abattu quelques cinglés, et ne sachent pas ce qui les attend…

    ------

    N.B. En ce qui concerne Mohammed Merah il fallait aussi éviter de s'étendre sur son activité d'agent de renseignement des services français (autre analogie avec Ben Laden).

  • La dictature de la culture de mort

    Communiqué du conseil de l’ordre des pharmaciens mettant fin aux discussions sur une éventuelle clause de conscience :

    pharmaciens.jpg

    On notera la révérence appuyée à la culture de mort. Au point qu’on se demande comment il a pu y avoir une discussion sur un projet de clause de conscience… Sans doute s’est-on aperçu au fil des discussions que le nombre de pharmaciens pro-vie était énorme et tout à fait contradictoire avec l’idéologie officielle, et qu’il était donc urgent de les faire taire.

    Et pourtant le projet de texte n’était qu’une clause de conscience très affaiblie et très relative :

    « Sans préjudice du droit des patients à l’accès ou à la continuité des soins, le pharmacien peut refuser d’effectuer un acte pharmaceutique susceptible d’attenter à la vie humaine. Il doit alors informer le patient et tout mettre en œuvre pour s’assurer que celui-ci sera pris en charge sans délai par un autre pharmacien. Si tel n’est pas le cas, le pharmacien est tenu d’accomplir l’acte pharmaceutique. »

    Marisol Touraine se disait « confiante », car « en tout état de cause, un changement du code de déontologie doit être validé par la ministre des Affaires sociales et de la Santé », et « celle-ci ne laisserait jamais place à une telle disposition ».

    C’est sans doute aussi pourquoi on a arrêté une discussion finalement vaine puisqu’elle se heurtait à la dictature de la culture de mort.

    Laurence Rossignol, ministre « des Familles », s’est « réjouie » de l’arrêt de la discussion, car elle « craint les organisations hostiles au droit des femmes à disposer de leur corps »…

    N.B. Quand on voit que le vice-président que propose Donald Trump est l'un des gouverneurs les plus pro-vie des Etats-Unis, on constate que l'océan entre nous est vraiment très large et profond...

  • Le drame Ayrault

    Le drame d'Alep qui est aujourd'hui assiégée par les troupes de Saddam Hussein avec l'appui des forces russes…

    Ainsi vient de parler sur France 2 notre ministre des Affaires étrangères, Jean-Marc Ayrault.

    Saddam Hussein est ressuscité et a pris le pouvoir en Syrie, et Alep est devenue une ville rebelle... (Rebelle à Saddam Hussein, peut-être pas à Assad, après tout…)

    Quelques heures plus tôt, le même calamiteux osait parler ainsi de son nouvel homologue britannique Boris Johnson sur Europe 1 :

    Vous avez vu quel a été son style pendant la campagne ? Il a beaucoup menti aux Britanniques. Maintenant, c'est lui qui est au pied du mur pour défendre son pays, mais aussi pour que la relation avec l’Europe soit claire.

    S’il y a quelque chose de clair, c’est que ce triste Ayrault nous fait honte.

  • Et maintenant une médaille…

    Le gouvernement a créé une « médaille nationale de reconnaissance » pour honorer des gens… qui n’ont rien fait d’autre qu’être au mauvais endroit au mauvais moment.

    Les « hommages » grotesques aux victimes des attentats ne suffisaient pas. Il a fallu créer une médaille, la première de l’histoire qui sera décernée à des gens qui n’ont rien fait et n’ont même pas fait semblant de faire quoi que ce soit. Une médaille pour « manifester l’hommage de la nation » à ces héros…

    On a les héros qu’on peut.

  • Une diffamation surréaliste

    Sur Le Figaro-Vox, entretien avec Gilles Clavreul, délégué interministériel à la lutte contre le racisme et l'antisémitisme (Dilcra):

    - Les groupes d'extrême droite tels que les identitaires sont classés comme étant infréquentables et parfois dissous. Les Indigènes bénéficient-ils d'une certaine complaisance politique et médiatique?

    - Des passerelles existent entre les deux camps. Sur l'antenne de Radio Courtoisie, on a pu entendre un panégyrique d'Houria Bouteldja, comparée à Barrès par Bernard Antony, le leader historique de la droite intégriste. Il y a des échanges idéologiques constants entre ces formes de haine, mais aussi des convergences: sur la dénonciation du complot juif, la haine des francs-maçons ou encore l'homophobie.

    Je ne sais pas ce que boit ou ce que fume M. Clavreul, mais c’est finalement assez caractéristique de l’idéologie de ces gens-là. On ne s’embarrasse pas de la vérité, on invente n’importe quoi pourvu que ça puisse nuire à « l’extrême droite », puisqu’il ne s’agit pas de lutter contre un racisme inexistant (sauf de la part de certains qu’on n’a pas le droit de nommer), mais toujours contre « l’extrême droite »…

    On suppose pourtant que M. Clavreul sait que Bernard Antony est le président fondateur de l’AGRIF, organisation antiraciste reconnue par la République… Et que le même Bernard Antony sait aussi déposer plainte pour diffamation, et que, n'en déplaise à M. Clavreul, il lui arrive de faire condamner ses diffamateurs...

    Addendum

    Bernard Antony, président de l’AGRIF, communique :

    Dans le Figarovox de ce jour, M. Gilles Clavreul, Délégué interministériel à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme (Dilcra), ose écrire ceci : « Sur l'antenne de Radio Courtoisie, on a pu entendre un panégyrique d'Houria Bouteldja, comparée à Barrès par Bernard Antony, le leader historique de la droite intégriste ».

    M. Clavreul tronque totalement les propos de Bernard Antony qui consistaient à ironiser sur les écrits de Mme Bouteldja, une de ses principales ennemies politiques. L’écoute de l’intégralité de l’émission, facilement disponible, permet de mesurer l’étendue suffocante du mensonge de M. Clavreul.

    M. Clavreul semble ignorer totalement que l’AGRIF a été la seule à intenter des procès à Mme Bouteldja pour racisme antiblanc et anti-français, devant le tribunal de Toulouse, en appel et en cassation. Elle a en outre poursuivi le principal idéologue du PIR, M. Saïd Bouamama, devant le Tribunal de Paris puis la Cour d’Appel. Déboutée, elle s’est pouvue en cassation.

    M. Clavreul se ridiculise totalement par ses hallucinants propos calomniateurs. Bernard Antony déclenche ce jour les poursuites qui s’imposent pour diffamation.

  • Suppression de la liberté scolaire

    Le ministre de l’Education anciennement nationale a officiellement annoncé l’abolition de la liberté d’enseignement en France à partir de la prochaine rentrée : le régime actuel de simple déclaration d’ouverture d’une école hors contrat sera remplacé par un régime d’autorisation administrative préalable : il faudra faire la demande au moins quatre mois avant l’ouverture prévue. En outre, les contrôles vont être multipliés dans les écoles existantes, ainsi que dans les foyers où l’on pratique l’école à la maison. Officiellement pour s’assurer du niveau scolaire, en réalité (et l’on ne s’en cache pas), pour vérifier le degré d’adhésion aux « valeurs de la République ».

    Dès hier, le cardinal Ricard, archevêque de Bordeaux et président du conseil épiscopal pour l’Enseignement catholique, a publié un communiqué disant notamment :

    Depuis plusieurs décennies, l’Eglise a manifesté l’attention qu’elle porte à la liberté d’enseignement. Or, ce nouveau dispositif d’autorisation préalable serait malgré les assurances apportées, une atteinte au principe même de cette liberté constitutionnelle en posant des conditions à l’ouverture des établissements scolaires. Aujourd’hui, l’épiscopat français entend, par ma voix, exprimer à ce sujet à la fois son inquiétude et ses plus grandes réserves.

    Les motivations de la réforme envisagée méritent, il est vrai, d’être justement examinées, et notamment la lutte contre la radicalisation. Cette lutte est nécessaire mais pas à n’importe quel prix et certainement pas à celui de la liberté d’enseignement.

    Le système actuel de déclaration, pleinement appliqué, et si besoin renforcé, répond d’ores et déjà aux exigences légitimes de contrôle par l’Etat.

    Il n’y a donc pas lieu de réformer dans l’empressement et par un biais inapproprié des questions aussi importantes.

    On peut regretter que le cardinal Ricard utilise le vocabulaire du politiquement correct en évoquant la « radicalisation », comme si cela touchait toutes les confessions religieuses, comme s’il y avait des écoles où l’on prêche le terrorisme catholique…

    Cela dit, le mot « radicalisation » ne trompe personne, au point que Najat Belkacem fait savoir que les contrôles des écoles hors contrat ont une visée surtout pédagogique et détectent non une éventuelle radicalisation mais des « failles pédagogiques ». Cela devient de plus en plus difficile d’inventer des euphémismes.

    Il n’en reste pas moins que l’islamisme est très évidemment le prétexte pour la suppression de la liberté scolaire et la mise sous surveillance des écoles hors contrat existantes, qui, lorsqu’elles sont confessionnelles, sont presque toutes catholiques.

    Et c’est une grande satisfaction, assurément, pour Najat Belkacem, musulmane au Maroc et laïcarde en France, de pouvoir porter un tel coup au droit à l’école catholique.

    On n’oubliera pas toutefois que le vrai responsable est François Hollande.

  • Nauséabond

    « Des voix déchaînées ont obtenu l'annulation d'un concert au nom d'un ordre moral nauséabond et décomplexé. N'acceptons jamais cela. (…) Les démocraties en Europe sont confrontées à la violence, à la montée de l'extrême droite, à la radicalisation d'une partie de leurs enfants, à la radicalisation aussi du débat public. »

    Propos d’Audrey Azoulay, qui est paraît-il notre ministre de la Culture, à propos du « concert » d’un rappeur antifrançais et islamiste (dont le nom de scène est un hommage à Jacques Mesrine*) après la cérémonie de commémoration de la bataille de Verdun.

    Ce qui est nauséabond, madame Azoulay, c’est d’oser assimiler les patriotes qui ont heureusement obtenu l’annulation de ce « concert » aux terroristes de l’Etat islamique.

    * Celui qui se fait appeler aujourd'hui Black M avait pour nom de scène, il y a peu, Black Mesrimes, très subtil amalgame de Jacques Mesrine, Black et rimes. Il est connu pour avoir chanté cette "conne de France", "pays de kouffars".

  • Palliatifs ?

    Comme cela avait été annoncé, c’est bien Véronique Fournier qui a été nommée officiellement, le 15 avril, présidente du Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie, créé au début de l’année.

    Véronique Fournier est connue comme militante de l’euthanasie.