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Gouvernement - Page 19

  • La guerre contre l’enfant à naître continue !

    Communiqué de Choisir la vie

    Notre gouvernement continue de mener une guerre sans précédent contre l'enfant à naître.

    Après la nouvelle circulaire de Marisol Touraine parue en juillet, relative " à l'amélioration de l'accès à l'interruption volontaire de grossesse (IVG) et à l'élaboration de plans régionaux" qui vise à augmenter l’accès à cette pratique, voici l'annonce fracassante de Mme Laurence Rossignol, de l'instauration d'un délit d'entrave numérique à l'avortement ! 

    À l'approche des élections présidentielles, jamais notre gouvernement ne se sera autant précipité pour prendre des mesures draconiennes contre celui qui est devenu son ennemi public numéro 1: l'enfant à naître. 

    Celui-ci est recherché, poursuivi, traqué, éliminé. Les mailles du filet se resserrent pour qu'aucun enfant "non désiré" ne puisse échapper à une mort certaine.  Cette volonté implacable de prendre pour cible l'être le plus innocent, le plus fragile, est d'autant plus choquante qu'aujourd'hui une autre guerre frappe la France!

    La véritable mission de notre gouvernement, en vue du bien commun, doit consister à s'attaquer aux vrais ennemis de la nation et non de s'acharner sur celui qui ne peut se défendre.

    Choisir la Vie, depuis sa création, a choisi d'être la voix des sans-voix et de se placer résolument du côté de ces sans-voix que sont les enfants dans le sein de leur mère - ce lieu qui, naturellement, devrait être celui de la plus grande protection et qui est devenu maintenant le lieu le plus dangereux au monde pour un enfant! 

    Comme l'a souligné très justement Laurence Rossignol, ministre des Familles, de l'Enfance et des Droits des femmes, invitée de France Info samedi dernier, " 40 ans après le vote de la Loi Veil sur l'interruption volontaire de grossesse , les anti-avortement n'ont jamais désarmé, pas une fois, pas une heure ".

    Oui, Madame Rossignol, l'armistice n'a pas été signé !  Choisir la Vie ne désarmera pas, ne lâchera pas, et annonce dés à présent une riposte pour le 28 septembre et une mobilisation massive des défenseurs de la Vie pour le 22 janvier, date à laquelle aura lieu la 11ème édition de la MARCHE POUR LA VIE à PARIS.

    Cécile EDEL Présidente de Choisir la Vie

    *

    La réponse d'Afterbaiz'

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  • Quand Najat se plante

    Mme Belkacem, du haut de sa fierté ministérielle, a voulu faire méchamment la leçon à Nicolas Sarkozy, et elle s’est méchamment vautrée :

    La ministre de l'Éducation que je suis connaît PARFAITEMENT les premières phrases de ce livre, Tour de France par deux enfants, d'Ernest Lavisse, sous la IIIe République : « Autrefois, notre pays s'appelait la Gaule et les habitants les Gaulois. »

    Pas de bol. La phrase en question n’est pas du tout la première phrase (ni une autre) du Tour de France par deux enfants, livre qui n’est pas du tout de Lavisse, mais de « G. Bruno », pseudonyme d’Augustine Fouillée. La phrase citée est bien de Lavisse, mais dans son manuel de cours élémentaire. On ne peut pas confondre les deux : le Tour de France est aussi bienveillant envers la religion que Lavisse est laïque.

    En outre, sa tirade chaotique à valeur de « cours d’histoire » façon raton laveur est à côté de la plaque :

    Faut-il faire un cours d'histoire à Monsieur Sarkozy qui visiblement en a bien besoin ? Oui, il y a parmi nos ancêtres des Gaulois, mais aussi des Normands, des Celtes, des Burgondes… Les Niçois nous ont rejoints, les Corses, les Franc-Comtois, la Guadeloupe, la Martinique et puis après aussi des Arabes, des Italiens, des Espagnols…C’est ça la France. Stop aux discours étriqués qui ne nous mènent nulle part. Stop au repli sur soi.

    Or Sarkozy avait fait sa sortie sur les Gaulois précisément en soulignant que nombre de Français venaient d’ailleurs, et loin du « repli sur soi » il soulignait que c’était son cas :

    Mon père est hongrois, on ne m’a pas appris l’histoire de la Hongrie. Mon grand-père maternel est grec, on ne m’a pas appris l’histoire de la Grèce. Au moment où je suis français, j’aime la France, j’apprends l’histoire de France, je parle le français et mes ancêtres sont les ancêtres de la France. C’est ça l’assimilation.

    Ce qui est spectaculaire, dans cette anecdote, c’est qu’elle ne fait pas le « buzz » sur les réseaux sociaux. Le ministre de l’Education nationale se plante sur un sujet qui est directement de sa compétence, elle se ridiculise face à un ancien président de la République en campagne, et ça fait flop, alors qu’on attendrait un énorme fou rire de la twittosphère et autres Facebook.

    Cela montre à quel point quand on s’appelle Belkacem, ministre femme originaire du Maghreb et toujours de nationalité marocaine (j’allais écrire musulmane), on est protégé par les médias et par les préjugés de la pensée unique. C’est véritablement impressionnant.

  • Augmenter l’effort d’avortement…

    Une circulaire mise en ligne par le ministère de la santé rappelle les « nouvelles mesures pour l’accès à l’IVG » entrées en vigueur en 2016 et presse les Agences régionales de santé (ARS) d’intégrer ces dispositions dans leurs plans régionaux, « au plus tard fin novembre ». L’objectif affiché de cette circulaire est d’ « augmenter l’offre sur tout le territoire et ainsi de proposer un réel choix de la méthode aux femmes qui souhaitent interrompre une grossesse ».

    Les ARS doivent « procéder à un diagnostic territorial en concertation avec leurs acteurs locaux », suivi de l’« élaboration d’un plan régional d’accès à l’IVG ». La circulaire présente « une trame » dont « les ARS peuvent s’inspirer pour établir leurs plans ».  Le ministère voit dans « le recueil de données » un enjeu majeur pour « garantir une meilleure connaissance de l’accès l’IVG sur les territoires et prévoir ainsi toutes les mesures d’accompagnement ».

    Parmi les priorités du ministère figure « la simplification et l’amélioration du parcours des femmes », qui implique la garantie d’« une offre d’IVG diversifiée », « y compris en période estivale ». Pour cela, les établissements publics de santé pourront désormais « recruter des praticiens contractuels pour réaliser des IVG ». Pour faciliter ce recrutement, une modification du Code de la santé publique est imminente, et « autorisera la conclusion de contrats comportant une quotité de travail inférieure à quatre demi-journées par semaine ».

  • La dictature avance

    Laurence Rossignol, ministre « des Droits des femmes », annonce qu’elle va fermer des sites qui prétendent que l’avortement n’est pas la bonne solution :

    « Le 28 septembre, je ferai une annonce pour expliquer comment nous allons faire reculer ces sites manipulateurs; des mesures seront prises pour faire cesser ces sites qui trompent les femmes », a-t-elle déclaré sur France Info.

    Le premier site à devoir tomber pour crime de non-conformité à la culture de mort obligatoire est semble-t-il celui qui s’intitule « Afterbaize.com ». Un site qui parle comme les jeunes, et qui évoque tous les aspects de la sexualité, de façon décontractée, sans se focaliser spécialement sur l’avortement, et sans considérations religieuses ou morales, mais sans cacher que l’avortement tue un bébé.

    La mère à sa fille enceinte :

    — Je ne te laisserai pas faire la même erreur que moi.

    La fille :

    — C’est moi l’erreur ?

    Laurence Rossignol va tenter de justifier légalement cette censure en utilisant le concept de « délit d’entrave numérique » à l’avortement.

    En 1993 a été institué le délit d’entrave à l’avortement, qui permet de poursuivre pour ce motif quiconque dirait le chapelet devant un avortoir.

    En 2014, le délit d’entrave a été étendu de façon à pouvoir poursuivre ceux qui tentent d’empêcher de « s’informer » sur l’avortement. Etant entendu qu’il s’agit de l'information à sens unique sur le « droit » à l’avortement, toute autre information sur l’avortement étant précisément une « entrave » (cet amendement fut voté à l’unanimité par le Sénat).

    Et c’est ce que va faire jouer Laurence Rossignol : les sites qui parlent de l’avortement autrement que pour célébrer ce « droit » et expliquer comment en bénéficier sont des sites qui tendent à empêcher de s’informer sur l’avortement et doivent donc être supprimés.

    Car la culture de mort est un totalitarisme.

  • Négationnisme

    Le ministère des Droits des femmes lance une « campagne culturelle » de six mois contre le « sexisme ».

    Une femme sur deux déclare avoir changé sa façon de s'habiller pour éviter une remarque sexiste et près de 40% ont renoncé à fréquenter certains lieux en raison des commentaires et harcèlements qu'elles y affrontaient, affirme Laurence Rossignol.

    Pas un mot sur l’islam, sur les ghettos où les jeunes filles doivent se voiler (c’est de cela pourtant qu’elle parle), ni des agressions sexuelles par les « réfugiés », ni de ce que subissent en général les femmes sous le règne de l’islam… Ni de ce que le Coran dit des femmes…

    Il faut dire que la principale marraine de l’opération est Julie Gayet, ce qui signe l’imposture.

    On appréciera aussi le clin d'œil appuyé à l'idéologie du genre:

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  • عيد الأضحى

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    Affichettes réalisées par le ministère français de l’Agriculture, pour l’« abattage rituel » lors de l’Aïd al-Adha.

    « La langue de la République est le français » (article 2 de la Constitution de la République française).

    « La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte » (article 2 de la loi de 1905).

  • Lutte contre l’obésité

    Le surpoids et l’obésité sont en hausse constante. Le gouvernement a décidé d’agir. Que va-t-il faire ? Créer une nouvelle taxe

    Contre l’obésité, un impôt nouveau… Car l’impôt guérit tout et résout tous les problèmes.

    Donc le ministère de l’Économie et des Finances envisage d’imposer une taxe supplémentaire pour tous les produits au-dessus d’un certain contenu calorique.

    Problème : cela touchera en premier lieu les ménages les plus pauvres, dont le budget alimentation représente une part plus élevée, et qui consomment justement davantage de ces produits. « Rien n’empêcherait d’adjoindre à cette taxation une mesure de redistribution (éventuellement une prestation attribuée sous condition de ressources) visant à restaurer le pouvoir d’achat des ménages les plus modestes », prévoit Bercy.

    Autrement dit on va redonner à ceux qui se goinfrent de produits provoquant l’obésité l’argent qu’on leur a pris pour qu’ils se goinfrent moins. On gardera seulement l’argent de plus riches, qui auront les moyens de continuer à consommer ces produits…

    Donc il ne s’agit pas de lutter contre l’obésité, mais de racler quelques sous supplémentaires…

    Pourquoi ? Parce que les deux taxes qui ont été récemment créées dans le même but (ponctionner de l’argent en faisant croire qu’on s’occupe de la santé) ont un rendement très insatisfaisant : la taxe sur les boissons sucrées et édulcorées a rapporté un peu moins de 400 millions d’euros en 2014, la taxe sur les boissons énergisantes type RedBull, n’a rapporté que 3 millions, alors qu’on en attendait 65 ! Et cela parce que le fabricant a réduit le taux de caféine pour échapper à la taxe. Mauvais joueur…

  • Diplômes de taqiya

    Certaines universités françaises, depuis l’an dernier, délivrent aux musulmans qui veulent être officiellement imams ou aumôniers dans les hôpitaux et les prisons, un « diplôme universitaire » qui garantit que son possesseur est un musulman républicain pur porc. Enfin, purement... laïque. Et, contrairement à d’autres DU, ceux-là sont subventionnés par l’Etat.

    Naturellement, l’intitulé du diplôme en question, qui est clairement un diplôme de « non-radicalisation », ne fait aucune référence à l’islam. Ainsi à Rennes il s’appelle « Religion, droit et vie sociale ». Bien entendu il est ouvert à tous, mais seuls des musulmans suivent les cours, puisqu’il s’agit d’obtenir un diplôme certifiant que l’on n’est pas radicalisé… A Toulouse il s’appelle « Droit et religions »…

    On apprend qu’en janvier prochain l’Université Paris II-Assas va ouvrir à… Melun, avec le soutien du ministère de l'Intérieur, une classe pour une trentaine d’« étudiants » voulant acquérir un tel diplôme, dont on ne connaît pas encore le nom. Je trouve quant à moi que « diplôme universitaire de taqyia » conviendrait bien.

    « Ces cours devront être un espace de dialogue. Il ne faut surtout pas stigmatiser cette religion (…) Je vais choisir des enseignants représentant différents courants», dit Frédéric Debove, le directeur de l’institut de droit et d’économie de Melun…

  • Islam laïque…

    Bernard Cazeneuve a annoncé officiellement hier la création de la Fondation de l’islam de France. Une fondation d’utilité publique, donc laïque, qui sera présidée par le grand dhimmi Jean-Pierre Chevènement, comme il l’avait annoncé lui-même.

    Comme cette fondation ne pourra lever de fonds que pour des réalisations « laïques » (culturelles, socio-éducatives), on lui « adossera » une association cultuelle. Ni l’une ni l’autre ne pourra recevoir de fonds étrangers hors UE. (Que le Qatar et l’Arabie saoudite ne s’inquiètent pas : ils pourront toujours financer l’islamisation, via les innombrables associations cultuelles non sponsorisée par l’Etat.)

    Cette initiative est doublement mauvaise :

    1 – Elle fait croire, une fois de plus, et le ministre insiste lourdement, qu’il peut y avoir un « islam de France » pleinement en phase avec les « valeurs de la République ». Ce qui est un mensonge, et un mensonge qui profite à l’islamisation.

    2 – La séparation entre une fondation et une association cultuelle est inévitable en raison de la loi de 1905, mais c’est aussi un élément majeur de ce mensonge sur la possibilité d’un « islam républicain ». Cette séparation est celle qui permet depuis des années le financement municipal des mosquées : la loi de 1905 interdit de financer la construction des mosquées, mais elle permet toutes les subventions aux associations culturelles. Lesquelles financent les mosquées (où elles sont installées), puisqu’en islam il n’y a aucune distinction entre le cultuel et le culturel.

  • Le berger à la bergère

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    Robert Ménard, le maire de Béziers – et ancien secrétaire général de Reporters sans frontières – a fait placarder dans sa ville une affiche rappelant que Midi Libre, le seul quotidien régional, qui mène une campagne permanente contre sa municipalité, appartient au ministre Baylet, qui tient « tous les jours l’info en laisse ». L’affiche n’a pas plu à Baylet, comme on s’en doute, et il a fait signer par les journalistes de son quotidien un communiqué intitulé « Ménard calomnie la rédaction de Midi Libre ». Communiqué soulignant donc à quel point, si l’info est en laisse, ce sont les journalistes qui ont la marque du collier.

    La municipalité de Béziers a réagi, en soulignant que si cela se passait plus au sud, « un baron politique local propriétaire de l’unique quotidien tout en étant ministre à la capitale – on parlerait de république bananière ».

    La municipalité rappelle qu’au lendemain de l’attentat de Nice, Midi Libre, rendant compte de la manifestation devant l’Hôtel de Ville, n’a pas dit un mot du discours du maire, ni même mentionné sa présence, alors qu’on donnait la parole aux opposants. Qu’en juin, la ville avait perdu un procès contre une association d’aide aux clandestins et que cela avait fait la une de Midi Libre, mais qu’en juillet, quand la ville a gagné le second procès, il n’y a pas eu un seul mot dans le journal. Pas un mot non plus sur la messe de la feria, qui a rassemblé quelque 4.000 personnes.

    La municipalité signale aussi que sa campagne d’affiches a coûté 190 €, tandis que le groupe de presse de Baylet reçoit chaque année près de 2 millions de subventions de l’Etat, subventions votées par… Baylet quand il est député ou sénateur.