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Eglise - Page 34

  • Normalisation

    Pour les moins jeunes… le mot de « normalisation » renvoie à la reprise en mains par l’appareil soviétique de la Tchécoslovaquie du « Printemps de Prague » : le seul printemps de l’histoire qui fut immédiatement suivi d’un très long hiver.

    D’autre part on appela « Ostpolitik » la politique de Gribouille des occidentaux qui voulaient devenir les amis des communistes en croyant qu’ils changeraient ainsi le régime soviétique… Politique initiée par Willy Brandt et suivie par tous ceux qui souhaitaient vendre à Moscou la corde qui servirait à les pendre. Dont le Vatican qui fut ainsi coupable de trahison d’évêques, de prêtres et de millions de fidèles abandonnés à la dictature athée.

    La normalisation a pris aujourd’hui le visage de François. Et le régime qui profite de l’Ostpolitik est le communisme chinois.

    Les victimes sont les catholiques chinois.

    Le Vatican a annoncé la prorogation pour deux ans du fameux accord secret :

    « Le Saint-Siège, estimant que le début de l'application de l'Accord susmentionné - d'une valeur ecclésiale et pastorale fondamentale - a été positif, grâce à la bonne communication et à la coopération entre les parties dans la matière convenue, est résolu à poursuivre le dialogue ouvert et constructif pour promouvoir la vie de l'Église catholique et le bien du peuple chinois. »

    Le communiqué, chef-d’œuvre de la langue de bois communiste, est accompagné d’un long article de l’Osservatore Romano, où l’on apprend notamment que :

    « Aujourd'hui déjà, pour la première fois depuis de nombreuses décennies, tous les évêques de Chine sont en communion avec l'évêque de Rome et, grâce à la mise en œuvre de l'accord, il n'y aura plus d'ordinations illégitimes. »

    Aujourd’hui donc, toutes les potiches communistes faites évêques contre l’avis de Rome sont « en communion avec l’évêque de Rome » (leurs maîtresses et leurs enfants aussi ?), alors que la conférence des évêques de Chine n’est toujours pas reconnue par Rome et que l’Eglise officielle, à savoir l’Association patriotique des catholiques chinois, ne l’est pas davantage… à moins que ce soit un secret de l’Accord secret.

    Il est atroce de lire que « l'objectif pastoral du Saint-Siège est d'aider les catholiques chinois, longtemps divisés, à donner des signes de réconciliation, de coopération et d'unité pour une annonce renouvelée et plus efficace de l'Évangile en Chine ». En langage non communiste, cela veut dire : l’objectif est d’obliger tous les fidèles à se conformer aux diktats communistes et à subir en silence les persécutions renforcées.

    L’Eglise du silence, disait-on. La revoilà. Heureusement qu’il reste la voix du grand cardinal Zen. Mais hélas il n’est pas éternel.

  • Le mépris

    Bruno-Valentin-en-2014.jpgIl s’appelle Valentin. Bruno Valentin. Il est évêque depuis l’an dernier. Ce qui veut dire qu’il va sévir pendant longtemps.

    Pour l’heure il est évêque auxiliaire de Versailles. Co-auteur du communiqué républicain laïcard sur l’assassinat islamiste du professeur apôtre de la liberté de choquer et de blasphémer.

    Bruno Valentin est en charge de la triste affaire de ces catholiques de Saint Germain en Laye qui croient pouvoir bénéficier de la loi de l’Eglise leur permettant d’avoir la messe traditionnelle. Mais Bruno Valentin (en fait son patron évidemment) considère que cette loi ne doit pas s’appliquer à Saint Germain en Laye. Bien que les fidèles aient un prêtre et qu’il y ait une église libre et qu’ils ne demandent donc rien d’autre que le respect de leur droit à la messe traditionnelle.

    Bruno Valentin a fini par donner la raison du refus dans le journal Le Parisien :

    « Il y a entre 3.000 et 4.000 personnes qui vont à la messe le dimanche à Saint-Germain. Là, on parle de quelques dizaines de personnes. »

    Une quantité négligeable (même si c’est en fait plus d’une centaine). Fratelli tutti, musulmans, non-croyants... mais ces catholiques-là, ils ne comptent pas. Ils ne font pas partie des minorités qui aient notre attention.

    Et en plus ils sont arrogants, et ils refusent la main tendue. On leur avait proposé une messe une fois par mois le dimanche après-midi, et cette proposition « a été rejetée en bloc par un noyau de gens qui, manifestement, ont décidé de mener un combat de principe ».

    Le principe hallucinant d’avoir, par exemple, la messe tous les dimanches…

    Bref, si les nouveaux évêques sont de cet acabit, on n’a pas fini d’en baver…

  • Sourds et aveugles

    Comme on pouvait le prévoir sans risque de se tromper, la réaction des évêques de France à l’assassinat du prof de Conflans est un exemple parfait d’apostasie, et en l’occurrence d’apostasie face à l’islam. En fait la « Conférence des évêques de France » se contente de renvoyer au communiqué de l’évêque de Versailles et de son auxiliaire, en disant simplement : « La Conférence des évêques de France exprime sa profonde tristesse. Les catholiques prient pour lui et sa famille. La fraternité est une urgence. »

    L’évêque de Versailles et son auxiliaire évoquent quant à eux les valeurs de la République, citent la si opportune encyclique laïque de François, précisément sur les valeurs de la République, et concluent à l’urgence du rassemblement, « tous ensemble, croyants de toutes religions ou non-croyants ».

    Et je suis censé être représenté là-dedans ?

    En fait il y a pire. Il y a la réaction de Mgr Blanchet, évêque de Belfort-Montbéliard : c’est une lettre au président de l’association islamique de Belfort, à ses « chers amis musulmans » : Je sais combien le drame d'hier vous atteint, comme nous tous en France. Vous êtes particulièrement fatigués de dénoncer ces actes de barbarie commis prétendument au nom de l'Islam. Et pourtant, il faut continuer. En ces heures difficiles pour tous les musulmans de bonne volonté, redoublons d'énergie pour toute œuvre d'éducation à la paix. Témoignons encore davantage de la fraternité qui nous unit. » Etc.

    Naturellement, les politiques ne valent pas mieux, même si les représentants de la République sont davantage dans leur rôle à exalter les « valeurs de la République ». Gérald Darmanin part en guerre contre les associations « ennemies de la République ». « Il faut combattre l'islam politique avec la même force que le terrorisme », dit-il. On dirait, une fois de plus, un propos du Père Ubu. L’islam est forcément politique et l’islam est le combat pour soumettre la terre entière à l’idéologie du Coran. Mais la connaissance de l’islam est le grand tabou de notre époque.

    Cet après-midi les sénateurs vont voter un texte concocté par Philippe Bas, le chef de la droite Bruno Retailleau et le chef centriste Hervé Marseille, visant à inscrire dans la Constitution que « nul individu ou nul groupe ne peut se prévaloir de son origine ou de sa religion pour s'exonérer de la règle commune ». En gardant le flou sur la signification de « règle commune ». Mais pour prendre un exemple simple, puisque le « droit à l’avortement » est un « droit fondamental », toute critique de l’avortement deviendrait donc contraire à la Constitution et sanctionnée comme telle.

    Le chef de la droite à l’Assemblée, Damien Abad, veut quant à lui « instaurer des cours sur les valeurs de la République et la laïcité et que ces cours soient sanctionnés par une épreuve obligatoire au brevet pour être certain qu'ils soient donnés ». Pour reprendre le même exemple, il faudra dire que l’avortement est un droit des femmes pour obtenir le brevet (sic, ça existe encore ?).

    L’objectif est de sacraliser toujours davantage la « République », dont ils nous rebattent les oreilles tous les jours. Mais ce n’est certainement pas en faisant de la République une idole, au lieu d’être un système de gouvernement, que les dirigeants obtiendront des musulmans qu’ils acceptent un minimum de laïcité non idéologique.

     

    Addendum

    Quant à Mgr Lebrun, évêque de Rouen, il s’est rendu « avec les responsables des autres cultes, notamment musulmans », « devant la Stèle républicaine pour la paix et la fraternité ». La Stèle majusculaire de la République laïque.

  • Terribles Gribouilles

    Pour libérer Sophie Pétronin, 200 jihadistes ont été libérés. Des terroristes qui vont immédiatement reprendre les armes. Contre qui ? Contre les soldats français.

    Pour libérer qui ? Une femme qui dit ceci :

    « Pour le Mali, je vais prier, implorer les bénédictions et la miséricorde d'Allah, parce que je suis musulmane. Vous dites Sophie, mais c'est Mariam que vous avez devant vous. Appelez-les comme vous voulez, moi je dirais que ce sont des groupes d’opposition armés au régime. »

    On ne sait pas combien la France a donné d’argent pour la libération de « Mariam ». Mais il y avait aussi un missionnaire italien parmi les quatre otages libérés, et l’on dit que le Vatican a versé 10 millions d’euros.

    C’est sympathique de la part de François :les jihadistes vont pouvoir se réarmer sans puiser dans leur cagnotte…

  • Paroles du cardinal Zen

    Voici une rapide traduction d’un texte du cardinal Zen, qui est certes très long mais donne une vue d’ensemble, historique et actuelle, du problème chinois, qui est aussi un problème du Vatican. Il a l’autorité pour en traiter, et il ne mâche pas ses mots…

     

    Pour l’amour de la vérité je ne garderai pas le silence

     

    J'ai lu le discours du cardinal Parolin, secrétaire d'État de Sa Sainteté, à Milan le 3 octobre. C'était écœurant ! Il n'est nullement stupide ou ignorant, il a raconté une série de mensonges en regardant dans les yeux.

    Le plus répugnant a été l'insulte faite au pape émérite Benoît XVI en disant que celui-ci approuvait l'accord signé par le Saint-Siège il y a deux ans, sachant que notre très doux et très gentil Benoît ne viendra certainement pas le nier. C'était aussi très ridicule et humiliant pour l'innocent cardinal Re d'être utilisé une fois de plus pour soutenir les mensonges du Très Eminent Secrétaire.

    Parolin sait qu'il ment. Il sait que je sais qu'il est un menteur. Il sait que je dirai à tout le monde qu'il est un menteur. Il n'est pas seulement sans vergogne, mais aussi téméraire. Que n'osera-t-il pas faire maintenant ? Je pense qu'il n'a même pas peur de sa conscience.

    Je crains qu'il n'ait même pas la foi. J'ai eu cette impression lorsque Parolin, le secrétaire d'État, dans un discours commémoratif en l'honneur du cardinal Casaroli, a salué son succès dans l'établissement de la hiérarchie ecclésiastique dans les pays communistes d'Europe, en disant que « quand on cherche des évêques, on ne cherche pas des “gladiateurs”, qui s'opposent systématiquement au gouvernement et qui aiment se montrer sur la scène politique ».

    Je lui ai écrit pour lui demander si son intention avait été de décrire le cardinal Wyszynski, le cardinal Mindszenty et le cardinal Beran. Il a répondu sans le nier. Il a seulement dit que si j'étais mécontent de son discours, il s'en excusait. Mais celui qui méprise les héros de la foi n'a pas la foi !

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  • Persécution

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    Les fidèles de Saint-Germain en Laye, privés de messe traditionnelle, avaient trouvé l’ancienne chapelle de l’hôpital, inutilisée.

    Mais l’évêque de Versailles, qui refuse, nul ne sait pourquoi, qu’il y ait la messe traditionnelle à Saint-Germain en Laye, a fait fermer la chapelle à clef.

    La messe a été célébrée dimanche devant la chapelle.

    Comme dans un pays de persécution.

    Sauf qu’ici c’est l’évêque le persécuteur.

  • Une claque

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    Dans une lettre publiée hier, Mgr Vincent Guo Xijin informe les fidèles du diocèse de Mindong qu’il abandonne toutes ses fonctions et se retire dans une vie de prière.

    L’évêché de Mindong était le diocèse modèle de l’accord entre François et les communistes : l’évêque acceptait de devenir auxiliaire de l’évêque officiel qui était subitement reconnu par Rome.

    Mais Mgr Guo Xijin, refusant de s’affilier à l’Eglise officielle, n’était pas reconnu par les communistes. Et on lui coupa l’eau et l’électricité.

    Aujourd’hui il jette l’éponge. Montrant à l’évidence que l’accord de François est un marché de dupes, qui ne sert qu’à renforcer la persécution des catholiques fidèles.

    Dans sa lettre, il se décrit comme un « imbécile » et un « rustre » incapable de comprendre ce qui se passe dans « l’Eglise en Chine ».

    Il est clair que lui est un martyr et que c’est un autre qui est un imbécile et un rustre.

  • 700.000 euros

    Le Corriere della Sera révèle que dans le temps où il était substitut à la Secrétairerie d’Etat (jusqu’en juin 2018), le cardinal Becciu avait transféré 700.000 € à un compte australien.

    Selon Edward Pentin, du National Catholic Magister, ces fonds « extra-budgétaires » furent manifestement transférés à la nonciature australienne « pour un travail à réaliser ».

    Or c’était au moment où le cardinal Pell était persécuté par la justice australienne, le Vatican ne levant pas le petit doigt pour défendre le cardinal préfet du conseil pour l’économie, dont le premier ennemi était… le cardinal Becciu, qui refusait l’audit décidé par son confrère…

    Selon Mgr Alberto Perslasca, proche collaborateur du cardinal Becciu, ce dernier « utilisait des journalistes pour discréditer ses ennemis ». Ce que dément vivement l’intéressé. Sans dire à quoi ont pu servir les 700.000 €…

  • A la trappe…

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    La nouvelle victime de François est le cardinal Becciu. « Le Saint-Père a accepté la démission de sa charge de Préfet de la Congrégation pour la Cause des Saints et de ses droits liés au Cardinalat présentée par Son Éminence le Cardinal Giovanni Angelo Becciu. » On n’en saura pas plus, conformément à la pratique habituelle du Saint-Père. Il faudra attendre des informations d’ailleurs.

    Ce qui est certain est que la décision a été prise brutalement. Car le cardinal Becciu devait présider la cérémonie de béatification de Carlo Acutis le 10 octobre prochain.

    Le cardinal Becciu était en effet le préfet de la Congrégation pour les causes des saints de par la grâce de François, qui l’avait fait cardinal par la même occasion. C’était en l’été 2018. L’année précédente, le pape avait cassé l’ordre de Malte, démis son grand maître coupable de garder la morale catholique, et envoyé Mgr Becciu veiller au « renouveau spirituel et moral » de l’ordre.

    On dit que l’éviction de Becciu est due à sa responsabilité dans l’énorme (et compliquée) magouille immobilière à laquelle il a été mêlé quand il était numéro 2 de la Secrétairerie d’Etat. Mais si j’y ai compris quelque chose sa responsabilité personnelle précise est loin d’être définie.

    On sait aussi que Becciu s’était opposé au cardinal Pell et avait fait annuler l’audit que Pell avait programmé. Pell avait autorité pour le faire et Becciu n’avait pas autorité pour s’y opposer mais il avait gagné… avec, forcément, le soutien de François.

    Enfin, Mgr Vigano avait dénoncé Becciu parmi ceux qui ont couvert le cardinal McCarrick.

    Quoi qu’il en soit c’est un épisode de ce que Mario Tosatti appelait l’an dernier la « guerre des gangs » au Vatican (Parolin, Becciu, Pena Parra, l'Apsa, l'IOR, l'AIF). Il disait alors que jusque-là la seule victime avait été le général Gianni, démissionné du commandement de la gendarmerie vaticane suite à une fuite de ses services sur la suspension de cinq fonctionnaires. Eh bien il y a aujourd’hui une nouvelle victime.

    Quant aux fidèles ils n’ont rien le droit de savoir…

  • Un authentique salaud

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    Screenshot_2020-09-20 Bishop John Stowe ( BpStowe) Twitter.png

    « Je me joins à la nation pour pleurer le décès de Ruth Bader Ginsburg à l’occasion de Rosh Hashanah. Poursuivons son engagement passionné pour les paroles du Deutéronome : “La justice, c’est la justice que vous poursuivrez”. »

    Le propos est de Mgr John Stowe, évêque de Lexington, Kentucky, président de Pax Christi USA.

    Mgr Stowe s’était distingué en étant l’une des premières personnalités à condamner le « racisme » du lycéen de Covington, Kentucky, Nicholas Sandmann lors de l’incident au Lincoln Memorial de Washington le 18 janvier 2019, sur la foi d’une vidéo d’une minute, vue des millions de fois. On y voyait le jeune homme, avec une casquette de la campagne de Trump, toisant apparemment un vieil Indien avec un sourire dominateur et narquois, tandis que ses camarades, derrière, semblaient se moquer du vieil Indien.

    La condamnation du jeune homme avait été unanime. D’autant qu’il s’agissait d’un blanc trumpiste d’une école catholique qui venait de participer à la Marche pour la Vie… Il avait tout pour être exécuté par les médias. Ce qui fut fait.

    Suite aux menaces de mort qui s’ensuivirent, l’école dut fermer plusieurs jours. Toutefois la direction de l’école et l’évêque du lieu, qui avaient évidemment condamné « l’agression raciste », demandèrent à un détective privé d’enquêter sur ce qui s’était passé. La conclusion, irréfutable au vu des vidéos complètes, est que c’est Nicholas Sandmann qui fut agressé par le « vieil Indien », un militant extrémiste notoire qui, à la tête de sa petite troupe, était réellement menaçant. En outre, ce groupe de lycéens venait tout juste de se faire insulter de façon très grossière et raciste par un groupe d’« Hébreux noirs », et leur attitude n’était pas narquoise, c’était l’attitude de jeunes qui, venus pour une visite patriotique au Lincoln Memorial, viennent de se faire agresser et se trouvent immédiatement confrontés à une nouvelle agression : le sourire est de celui qui se dit : mais non, ce n’est pas possible…

    Dans les jours qui ont suivi cette révélation, les personnalités qui avaient accusé Nicholas Sandmann se sont platement excusées, à commencer par l’évêque de Covington qui se désola d’avoir réagi trop vite. (D’autant que le jeune homme avait attaqué le Washington Post et CNN en demandant des centaines de millions de dollars de dommages et intérêts – ce qui se termina, comme généralement aux Etats-Unis, par un arrangement secret.)

    La seule personnalité qui garda le silence fut Mgr John Stowe, évêque de Lexington, capitale du Kentucky. Et c’est lui qui, auteur de cette terrible injustice envers un jeune garçon, vient nous vanter le combat pour la justice de la pire militante avorteuse des Etats-Unis…

    Naturellement Mgr John Stowe est également connu pour son soutien au « mois des fiertés », de façon quasi blasphématoire. Voici le recto d’une carte postale qu’il avait éditée l’an dernier. Au verso une longue « prière » ornée de l’arc-en-ciel avec cette inscription « Vous êtes tous aimés de Dieu ».

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