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Culture de mort - Page 58

  • En mémoire des victimes

    Les sénateurs du Tennessee ont adopté, par 23 voix contre 3, un texte ordonnant l’érection d’un monument en mémoire des victimes de l’avortement sur le terrain du Capitole (siège du gouverneur et du parlement de l’Etat, au sommet de la colline de Nashville), mais financé sur fonds privés. Les députés avaient voté le même texte par 63 voix contre 15 la semaine dernière.

    Il y sera inscrit :

    « Monument du Tennessee aux enfants non nés. En mémoire des victimes de l’avortement : bébés, femmes et hommes. »

    Le député Bill Dunn, qui est à l’initiative du texte, a expliqué que le monument ne sera pas seulement dédié aux enfants avortés mais aussi aux « femmes contraintes à l'avortement », aux « pères qui ne peuvent pas protéger leur enfant à naître », aux « frères et sœurs qui perdent un frère et une sœur » et à « la société dans son ensemble qui devient grossière parce que la vie est dépréciée ».

    Il y a déjà deux monuments dans le jardin du Capitole : un aux victimes de l’esclavage, l’autre aux victimes de la Shoah. « Ces deux monuments déjà installés reconnaissent que des atrocités ont eu lieu parce que des êtres humains ont été traités comme moins qu'humains. Dans les deux cas, les vulnérables et les sans-défense ont été soumis à la volonté des puissants. Prendre la vie d’un bébé dans le sein de sa mère est lié à cette sorte d’inhumanité », a expliqué Bill Dunn.

    Il y a déjà dans le Tennessee un « Mémorial national pour les non-nés », à Chattanooga.

  • Alfie Evans

    Histoire d’en rajouter une couche sur la douleur des parents d’Alfie, ils ont fait lire par son père, hier soir, un texte où il s’exprime à la première personne pour remercier tous ceux qui se sont mobilisés et leur demander de « retourner à leur vie quotidienne », et il remercie le personnel de l’hôpital, à tous les niveaux, pour « sa dignité et son professionnalisme »… Soulignant que c’est sa dernière déclaration.

    Mais il y a eu des veillées pour Alfie un peu partout dans le monde. Ici place Saint-Pierre :

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  • Europe ?

    Il fut un temps où je passais assez souvent devant la station de métro Europe. Et je me demandais à quelle « Europe » cela faisait allusion. La question est désormais résolue, grâce à notre chère Pécresse : elle a décidé que la station allait s’appeler « Europe – Simone Veil ».

    Comme ça c’est clair, en effet.

  • Alfie Evans

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    Les trois juges d’appel ont confirmé hier soir la décision énoncée par « Justice Anthony Hayden » à son dernier jour, semble-t-il, à la section famille de la Cour suprême. On ne critique pas, et à plus forte raison on n’annule pas, un jugement d’un juge de la Cour suprême, surtout quand il est un porte-parole du lobby LGBT.

    Bref, les parents d’Alfie n’ont pas le droit de le transférer en Italie, bien que le gouvernement italien lui ait conféré la nationalité italienne et qu’un hélicoptère sanitaire de l’armée italienne se tenait prêt pour l’évacuation tandis qu’un avion était prêt à décoller de Rome. Tout au plus les juges concèdent-ils que les parents d’Alfie pourraient éventuellement emmener l’enfant chez eux, si les médecins le permettent. Mais pour l’heure les médecins ne le permettent pas.

    Ces médecins qui ont osé, il faut le dire parce que cela prouve leur mauvaise foi, affirmé devant les juges à l’audience d’hier qu’ils n’avaient jamais dit que l’enfant mourrait aussitôt après être débranché. Alors qu’on a la preuve qu’ils l’avaient dit. Sandro Magister cite le protocole qui avait été décidé : on installe soigneusement l’enfant sur les genoux des parents s’ils le désirent, on débranche l’enfant après lui avoir donné des médicaments « de confort », et « après que la mort aura été confirmée, la famille pourra le laver, l’habiller et passer du temps avec lui ». Ce qui ne se comprend évidemment que si la mort n’est qu’une question de minutes. (A 12h17 tout à l’heure cela faisait 62 heures qu’Alfie avait été débranché.)

    Sandro Magister souligne aussi que la présidente de l’hôpital romain du Bambino Gesù, Mariella Enoc, s’était rendue à Liverpool et que la direction de l’hôpital avait refusé de la recevoir… Elle a dit ce matin : « En de tels moments je crois que nous devons accepter ce que nous ne voulons pas accepter. Il y a une loi qui est plus forte que nous tous, et nous n’avons pas d’autre choix que d’attendre la mort de l’enfant. Je soupçonne que c’est le résultat d’une bataille idéologique et que la décision ne réponde pas strictement à des motifs juridiques. Je soupçonne qu’il y a une hostilité à l’encontre d’un hôpital du Vatican. Cette façon très rigide d’appliquer la loi montre qu’ils n’acceptent pas le dialogue, que nous n’avions pas initié en termes idéologiques à propos de la vie, mais en termes scientifiques à propos de la possibilité de soins. »

    Il est à noter aussi que, suite aux réactions passionnées que l’on imagine sur les réseaux sociaux, la police a annoncé qu’elle lisait toutes les réactions et qu’elle poursuivrait « les commentaires malveillants ou les comportements menaçants »…

    Car ce sont clairement les défenseurs de la vie et de la famille et du droit naturel qui sont les méchants, et les assassins et leurs protecteurs légaux qui sont les gentils…

    Cette affaire me conduit à deux réflexions :

    1. Les médecins de cet hôpital de Liverpool, comme ceux de l’hôpital de Reims (Vincent Lambert) se considèrent comme les propriétaires de leurs patients, avec droit de vie ou de mort – c’est-à-dire de mort – sans considération de l’autorité familiale, et en ce qui concerne Alfie de l’autorité de ses parents, qui sont, de droit naturel, et de bon sens, les seuls dépositaires de l’autorité. Et ils poussent leur folle dictature jusqu’à enfermer à clef leurs patients à tuer en attendant de pouvoir le faire.

    2. Nous avons aboli la peine de mort pour les criminels, mais nous avons donné aux juges le droit de condamner à mort des innocents…

    Il est clair que tout cela ne pourrait avoir lieu si l’on n’avait pas instauré le règne de la culture de mort impliquant le droit de tuer l’enfant dans le ventre de sa mère, puis toutes les aberrations de « genre » dont comme par hasard « Justice Anthony Hayden » est un militant et a été nommé pour cela juge des affaires familiales à la Cour suprême britannique…

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  • La vie est plus forte

    Le marathon judiciaire autour de la vie ou de la mort d’Alfie Evans a commencé en décembre 2016, sept mois après sa naissance. Il s’est théoriquement terminé le 20 avril dernier, quand la Cour suprême britannique a, pour la deuxième fois, donné tort aux parents de l’enfant et raison aux médecins qui voulaient le débrancher pour mettre un terme aux « souffrances » supposées de l’enfant (démenties par ses parents, les photos et les vidéos).

    Hier soir à 22h17 l’assistance respiratoire a été supprimée. Compte tenu de son état neurologique et général (y compris cardiaque et d’abord pulmonaire), l’enfant devait mourir en quelques minutes. Or il a commencé à respirer par lui-même. Six heures plus tard, il respirait toujours. Les médecins décidèrent alors de l’hydrater et de lui donner de l’oxygène.

    Et un juge de la Cour suprême doit revoir la question en ce moment même…

    Hier, Alfie Evans avait obtenu la nationalité italienne, parce que le pape avait fini par s’intéresser à son cas et avait demandé que l’enfant soit transféré à l’hôpital du Bambino Gesu. Mais les autorités britanniques avaient fait la sourde oreille et avaient procédé à l’euthanasie (ratée) de l’enfant sous haute protection policière à l’intérieur et à l’extérieur de l’hôpital.

    Sandro Magister rapporte la chronologie ecclésiastique de l’affaire, qui est tout simplement horrible pour notre Eglise.

    Le 20 février, le juge de la Cour suprême Anthony Hayden donne raison aux médecins qui veulent tuer Alfie, justifiant son jugement par le passage d’un message ambigu de François à Mgr Paglia, président de l’Académie pontificale « pour » la vie. (Comme par hasard "Justice Hayden" est l'auteur d'un livre intitulé "Les enfants et les familles de même sexe (sic): un guide juridique".)

    Le 9 mars, Mgr Paglia donne raison au juge Hayden, authentifiant donc l’interprétation euthanasique du message du pape.

    Le 4 avril, François évoque l’affaire dans un tweet qui est un modèle de jésuitisme : « J’espère sincèrement que tout le possible soit fait pour continuer à accompagner avec compassion le petit Alfie Evans… »

    Le 13 avril, l’archidiocèse de Liverpool se plaint que les parents d’Alfie et les autorités de l’hôpital n’arrivent pas à « se mettre d’accord sur un programme » pour arrêter la respiration de l’enfant. Il désapprouve les manifestations de soutien à Alfie autour de l’hôpital. Il fait part de l’engagement de l’évêque auxiliaire de Liverpool, Tom William, « aux côtés des médecins » sans rencontrer les parents du petit « qui ne sont pas catholiques ». Sic.

    Comme si le fait qu’ils soient ou non catholiques ait un rapport avec la doctrine de l’Eglise. Mais, en outre, le père de l’enfant… est catholique ! Le lendemain, il écrit l’archevêque, Malcom Patrick McMahon, pour lui… rappeler que lui-même… et son fils ! sont baptisés dans l’Eglise catholique, et pour lui demander de l’aide pour « faire sortir notre enfant de Grande-Bretagne afin qu’il soit soigné jusqu’à la fin naturelle de son existence terrestre ». Il n’y aura pas de réponse de l’archevêque. La cruauté ecclésiastique dans toute sa splendeur.

    Le 15 avril, François déclare lors du Regina Caeli, de façon moins ambiguë (grâce aux tout derniers mots) :

    « Je confie à vos prières les personnes, comme Vincent Lambert en France, comme le petit Alfie Evans en Angleterre et dans d’autres pays qui vivent, parfois depuis longtemps, dans un état de grave infirmité, médicalement assistés pour leurs besoins primaires. Il s’agit de situations délicates, très douloureuses et complexes.  Nous prions pour que chaque patient soit toujours respecté dans sa dignité et traité de manière adaptée à son état, avec l’accord des membres de la famille, des médecins et des autres professionnels de la santé, avec le plus grand respect pour la vie. »

    Le lendemain, 16 avril, la cour d’appel rejette le recours des parents, qui tentent aussitôt une dernière démarche auprès de la Cour suprême. Il y a à Liverpool une collaboratrice de La Nuova Bussola, qui contacte à Rome une personne pouvant organiser une entrevue avec le pape.

    Le 18 avril à 9h, le père d’Alfie rencontre François à Sainte-Marthe. A l’audience générale, le pape va appeler à prier pour Alfie et les personnes comme lui et il souligne que « le seul maître de la vie, de son commencement à sa fin naturelle, c’est Dieu, et qu’il est de notre devoir de tout faire pour protéger la vie ». Le même jour, le pape demande à la présidente de l’hôpital du Bambino Gesu de tout faire pour accueillir Alfie.

    Le même mercredi 18 avril, dans l’après-midi, la Conférence des évêques d’Angleterre et du Pays de Galles « rejette » les « critiques infondées » contre les décisions judiciaires et hospitalières britanniques, tout en prenant note de l’offre de l’hôpital romain, auquel il revient de se débrouiller.

    Le 20 avril, la Cour suprême confirme qu’il faut tuer Alfie « dans son propre meilleur intérêt ». Ses parents tentent un ultime recours auprès de la Cour européenne des droits de l’homme, aussitôt balayé.

    Le 23 avril, l’enfant est débranché. Le 24 il est vivant.

    Voici Alfie branché, juste débranché, et plusieurs heures après…

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    Addendum 17h45

    Un avion médicalisé est prêt pour emporter Alfie à Rome.

    Le juge qui statue est toujours Anthony Hayden...

     

    19h

    Selon le Sun, le juge demanderait à l'hôpital si l'enfant peut être envoyé chez ses parents. Un médecin aurait dit que ce n'est pas possible à cause des défenseurs d'Alfie qui permettent pas un accès sûr à l'hôpital...

     

    25 avril

    Le juge a décidé hier soir que l'enfant devait rester à l'hôpital. Les parents font appel. Une cour d'appel de trois juges doit se réunir à 14h.

  • Vincent Lambert

    Le tribunal administratif de Châlons-en-Champagne, saisi en urgence par la mère, un frère et une sœur de Vincent Lambert afin d’empêcher la mise à mort de ce dernier, a jugé qu’il était nécessaire, « pour statuer sur le bien-fondé de leur requête, d’avoir recours à une expertise qui devra déterminer si le tableau clinique que présente M. Vincent Lambert a évolué depuis 2014 ».

    Les experts auront un mois pour rendre leur rapport, à la suite de quoi le tribunal prendra sa décision.

    Pour le comité de soutien à Vincent Lambert c’est une « magnifique victoire ». D’autant qu’il y a eu effectivement une évolution du « tableau clinique » de Vincent Lambert depuis 2014 : « À l'évidence il a des relations, il suit les gens des yeux quand on l'appelle et il peut être rééduqué à re-manger par la bouche, ce qui n'était pas le cas en 2014 », souligne Me Jérôme Triomphe.

  • Chronique des cinglé·e·s

    Le Haut conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes a remis hier au président de l’Assemblée nationale François de Rugy son avis "Pour une Constitution garante de l’égalité entre les femmes et les hommes".

    Il en ressort qu’il n’y a pas eu de progrès depuis le stupide évêque qui en 585 au synode de Mâcon avait demandé si le mot latin « homo » englobait aussi les femmes. Plutôt, la situation a gravement empiré. Car ce n’est plus un évêque isolé qui étale son ignorance, c’est toute une bande d’experts laïques qui affirment que le mot « homme » ne désigne pas la race humaine, contrairement à toutes les définitions qui en ont été données depuis… le synode de Mâcon (et bien avant).

    C’est pourquoi le « Haut Conseil » demande qu’on bannisse l’expression « droits de l’homme », qui « désigne étymologiquement, historiquement et juridiquement la moitié du peuple seulement » (sic, comme le crétin de Mâcon !) et qu’on la remplace par « droits humains ».

    En fait il est inutile d’aller chercher une raison grotesque de préférer « droits humains ». C’est l’expression qui a cours dans d’autres langues, particulièrement l’anglais qui est la langue internationale la plus utilisée. On fera seulement remarquer à nos cinglé·e·s (si tant est qu’il y ait des hommes dans ce Haut Conseil), que ce sont les idéologues des droits de l’homme (donc ceux qui sont aussi à l’origine des revendications des cinglé·e·s), qui jusqu’ici tenaient dur comme fer à l’expression « droits de l’homme », contre ceux qui – par exemple Jean-Paul II – donnaient une définition des « droits humains » qui ne correspond pas du tout aux « droits » idéologiques. Notamment sur le droit à la vie…

    Or, précisément, le Haut Conseil demande que « le droit à la contraception et à l’avortement » soit « consacré » (sic) dans la Constitution. On ne savait pas que ce droit devait être égal pour les hommes et les femmes. Mais c’est parce que des hommes disent être des femmes et vice versa, sans doute.

    Parmi les délires du Haut Conseil on notera aussi qu’il doit être inscrit dans la Constitution que « l’écart entre le nombre de femmes et d’hommes nommé.e.s ne doit pas être supérieur à un ». En bref il doit y avoir autant d’ambassadeurs femmes que d’ambassadeurs hommes (et les transgenres, alors ?), et autant de préfets femmes que de préfets hommes (et les intersexes et asexués +, alors ?). – On constate au passage que le Haut Conseil ne sait même pas écrire les points médians qu’il prétend imposer à tous.

    On notera aussi, entre autres tristes farces, que le Haut Conseil veut supprimer le mot « fraternité », « qui exclut les femmes de la vie politique » (mais oui, c’est toujours l’évêque imbécile de 585 qui les inspire), et le remplacer par « adelphité ». Sic. Au moins ça donnera du boulot aux peintres et aux graveurs qui devront inscrire partout « Liberté, égalité, adelphité »…

    « Ou la mort » ?

    Et la mort. De la civilisation.

    *

    Addendum - Une autre expression utilisée par le magistère est "droits de la personne humaine", et c'est la plus précise. Mais sans doute doit-on la bannir aussi, puisque le mot "personne" est féminin et donc exclut la moitié de la population...

  • Avortement et immigration

    Tanya S. Chutkan, juge fédérale nommée par Obama à un siège de Washington créé pour elle, a décidé que les immigrées clandestines mineures devaient faire l’objet d’une vaste campagne d’information pour l’avortement, de toutes les manières possibles, et dans la langue de la fille quelle qu’elle soit.

    Le ministère de la Justice a l’intention de faire appel, car la mesure est évidemment une incitation aux mineures enceintes d’Amérique latine à venir se faire avorter aux Etats-Unis, alors qu’en outre toute dépense visant à faciliter un avortement est interdite par la loi fédérale.

    Le jugement de Tanya S. Chutkan fait suite à l’affaire dite « Jane Doe ». Le lobby de l’avortement (dit des « libertés civiles ») avait lancé une poursuite contre le gouvernement parce qu’il refusait l’avortement à une mineure réfugiée. En fait cette Mexicaine avait franchi la frontière uniquement pour se faire avorter. En octobre dernier, deux juges de Washington avaient prolongé l’interdiction faite à la jeune fille d’avorter. Décision annulée quatre jours plus tard par la cour d’appel fédérale.

  • Implant pour esclaves sexuelles

    Le NHS, service de « santé » d’Etat britannique, distribue l’implant contraceptif dans les écoles « comme des Smarties ». En 2015-2016 et 2016-2017, 10.593 filles de moins de 16 ans ont reçu un implant contraceptif, dont 39 filles de 12 ans et moins. Ces chiffres ne prennent pas en compte les filles n’ayant pas encore de numéro NHS (sans médecin traitant), et sous-estiment donc probablement beaucoup la réalité.

    Les dispositifs sont implantés sur le haut du bras et produisent un flux régulier d'hormone, la progestérone. Une pollution permanente qui peut provoquer sautes d'humeur, saignements constants, maux de tête et prise de poids, sans compter les cas où l’implant se retrouve dans une veine ou un poumon...

    Sous couvert de « réduction du taux de grossesses chez les adolescentes », il s’agit clairement d’une incitation à la débauche, alors même que les relations sexuelles sont théoriquement illégales avant 16 ans.

    Sans parler des risques d’exploitation sexuelle.

    En outre, le « respect de la confidentialité des patients » impose que les parents ne soient pas informés…

    L’opération a coûté environ un million de livres en deux ans.

    Le nombre de jeunes filles qui ont reçu un implant a plus que triplé en dix ans : 4.676 filles de moins de 16 ans en 2016-2017 contre 1.400 en 2006-2007.

  • Une affaire qui marche

    L’association Exit (Suisse romande) fait savoir qu’elle a pratiqué 286 « suicides assistés » en 2017, soit 32,5% de plus que l’année précédente.