Les derniers chiffres OFFICIELS de l'UE concernant les effets secondaires des vaccins (à court terme seulement).
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A Dijon
En raison des multiples réactions après l’annonce de l’expulsion de la Fraternité Saint-Pierre de Dijon, le diocèse a fini par pondre un communiqué, qui appelle l’expulsion une « mutation », rappelle que des prêtres diocésains célébreront la messe de saint Pie V, et ajoute :
Pour tous les autres services pastoraux, comme la catéchèse, le patronage, le scoutisme et les autres activités apostoliques, les familles qui le désirent trouveront le meilleur accueil auprès des paroisses locales de Saint Bernard de Fontaine et de Saint Bernard de Dijon, ou de toute autre paroisse du diocèse.
C’est tout le mépris des fidèles et des familles qui s’exprime ici, et bien sûr aussi le mépris de Benoît XVI.
Rien n’a donc changé à Dijon depuis les années 70…
Une pétition est en ligne.
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Un an après…
La Commission européenne ouvre une procédure d’infraction contre l’Allemagne, à la suite de l’arrêt de la Cour constitutionnelle du 5 mai 2020 qui remettait en cause (sans le dire ouvertement) la primauté du droit européen sur le droit national.
C’était une question très technique (le programme d’achat d’obligations de la Banque centrale européenne), mais pour tout observateur attentif le fond était clair : la Cour constitutionnelle allemande s’opposait frontalement au principal dogme antinational de l’UE. Et ce n’était pas passé inaperçu en Hongrie ou en Pologne. A Varsovie, le Premier ministre Mateusz Morawiecki avait dit à juste raison que c’était « l’un des jugements les plus importants de l’histoire de l’Union européenne ».
La Cour de Justice de l’UE avait réagi dès le 8 mai. Et deux jours plus tard la Commission européenne annonçait qu’elle pourrait ouvrir une procédure. Elle a mis néanmoins un an pour le faire effectivement. Sans doute parce qu’on ne peut pas traiter l’Allemand comme un Polonais ou un Hongrois…
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Un pétard pour une piqûre
L’Etat de Washington offre désormais un joint à tout adulte qui accepte de se faire injecter le poison appelé « vaccin contre le Covid ». C’est l’opération « joints for jabs », et ce n’est pas une blague. (L’usage « récréatif » du cannabis est légalisé dans cet Etat depuis 2012. Depuis le mois dernier les bars pouvaient offrir une consommation aux cobayes (une boisson alcoolisée, était-il spécifié : le verre du condamné).
Les Etats-Unis battent tous les records dans ce domaine. Il y a ici et là des tombolas avec divers lots à gagner, y compris des fusils.
J’apprends qu’en Roumanie on vient de s’y mettre aussi pour tenter de convaincre une population récalcitrante : c’est une portion de « mititei » (petits rouleaux de viande grillée) pour une piqûre… Et déjà les enfants, oui, on y piquait déjà les enfants, recevaient une glace…
On est réellement dans un monde de fous.
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Blasphème
Juin est le « mois de la fierté » LGBTQ+. L’université Notre Dame dans l’Indiana y participe activement. Au point d’orner l’article de son site internet de cette immonde illustration blasphématoire où la statue de la Sainte vierge préside à la chose.
(Rappelons que l’université s’appelle réellement « Notre Dame », en français, prononcé no-ou-ter-déim, parce qu’elle a été fondée par le père Sorin de la congrégation de Sainte Croix.)
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Saints Prime et Félicien
Fait plutôt rare, ces deux martyrs du temps de Dioclétien ont une messe propre. Certes, l’introït est celui qui avait été composé pour la fête des saints Côme et Damien, et l’on retrouve les autres pièces ici ou là. Mais l’antienne de communion est bien spécifique, puisqu’elle reprend une phrase de ce qui était l’évangile primitif (qui fut changé par la suite).
Ego vos elégi de mundo, ut eátis et fructum afferátis : et fructus vester maneat.
C’est moi qui vous ai choisis, afin que vous alliez, et que vous portiez du fruit et que votre fruit demeure.
A Ligugé (avec un verset du psaume 88 : « Invéni David servum meum, óleo sancto meo unxi eum » (J’ai trouvé David mon serviteur, je l’ai oint de mon huile sainte.)
Graduel dit des séquences de Notker, Xe siècle. On voit que seuls sont notés l'introït et la communion.
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Ils sont prêts à tout
Il y a en Inde un compte Twitter intitulé « No conversion » animé par des militants hindous antichrétiens extrémistes. Ils ont posté cette photo de Sonia Gandhi, présidente du Parti du Congrès jusqu’en 2017, devant sa bibliothèque. On y voit une Bible, un gros livre intitulé « Comment convertir l’Inde en une nation chrétienne », et l’on aperçoit le bras d’une statuette du Sacré Cœur.
La source a été rapidement trouvée : il s’agit d’une vidéo d’octobre 2020. Mais sur la vidéo il n’y a aucune trace de la Bible, ni du livre (dont ni le dos ni le titre ne sont crédibles) ni de la statue.
La supercherie ayant été éventée, le tweet a été supprimé. Mais cela montre qu’ils ne reculent devant rien.
« Cette image truquée montre jusqu'où peut aller la haine propagée par la fausse propagande. Sonia Gandhi est constamment dans la ligne de mire à cause de ses origines italiennes, qui sont liées à la foi chrétienne », a déclaré à AsiaNews Sajan K. George, président du Conseil général des chrétiens indiens (GCIC). (Sonia Gandhi s’appelle en effet Edvige Antonia Albina Maino et elle est née à Lusiana, Vénétie).
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Eurocrétin
Le monsieur s’appelle Heiko Maas, il est le ministre allemand des Affaires étrangères. Il a déclaré :
« Nous ne pouvons plus nous laisser prendre en otage par ceux qui paralysent la politique étrangère européenne avec leurs vetos. Ceux qui le font jouent, à plus ou moins long terme, avec la cohésion de l’Europe. Je le dis donc ouvertement : le veto doit disparaître, même si cela signifie que nous pouvons être mis en minorité. »
Cela revient périodiquement sur le tapis. Il reste quelques sujets où les décisions de l’UE doivent être prises à l’unanimité. C’est ce qui reste de la souveraineté des nations. Les européistes n’ont de cesse de vouloir faire disparaître cette survivance. Le prétexte cette fois c’est la Hongrie qui a plusieurs fois de suite bloqué des décisions de politique étrangère européenne.
Heiko Maas fait semblant de ne pas savoir que la règle de l’unanimité est inscrite dans le marbre du traité européen, et qu’il faudrait donc une fois encore changer le traité. Et que pour cela il faut… l’unanimité des Etats membres…
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Saint Médard
« S'il pleut à la Saint-Médard, il pleut quarante jours plus tard, à moins que Saint-Barnabé ne lui coupe l'herbe sous le pied. »
« Quand il pleut pour la Saint-Médard, il pleut quarante jours plus tard, à moins que Saint-Gervais soit beau, et tire Saint-Médard de l’eau. »
« Pleurs de Saint-Médard, quarante jours bousards. »
« S'il pleut à la Saint-Médard, le quart des biens est au hasard. »
« Le temps sera à la moisson, comme à la Saint-Médard nous l’avons. »
« Saint Médard, beau et serein, promet abondance de grain. »
« Saint Médard éclairci, fait le grenier farci. »
Le nombre de dictons de météo agricole sur saint Médard est étonnant. Le 8 juin serait-il donc un jour si particulier ? C’est d’autant plus étonnant que saint Médard n’est ce jour qu’en quatrième position dans le martyrologe romain. Le premier est saint Maximin. Puis il y a la martyre sainte Calliope, puis saint Guillaume évêque d’York.
Puis on a :
A Soissons, en France, l'anniversaire de saint Médard, évêque de Noyon, dont la vie et la mort précieuses sont rehaussées par de glorieux miracles.
A Rouen, saint Gildard évêque, frère du même saint Médard. Ces deux frères nés le même jour, sacrés évêques le même jour, moururent aussi le même jour, et entrèrent ensemble au ciel.Saint Médard et saint Gildard (ou saint Godard) furent aussi les assistants de saint Remi au baptême de Clovis.
Il y a une église Saint-Godard à Rouen, où fut d’abord gardé son corps, transféré ensuite à Soissons auprès de celui de son frère à l’abbaye fondée en 557 pour conserver les reliques de saint Médard. Abbaye détruite en 1793, en dehors de la « crypte » :
Il y a une église (partiellement) romane Saint Médard et saint Gildard à Crépon dans le Calvados, et une autre à Lhuys dans l’Aisne (diocèse de Soissons).
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Le Dr Knock a gagné
Tout bien portant est un malade qui s’ignore. Aujourd’hui le Dr Knock ajouterait : et qui a donc l’obligation (morale avant d’être légale) de se faire vacciner.
Le délire a atteint le langage lui-même, en plusieurs étapes, dont trois sont particulièrement notables :
D’abord on a commencé à parler de « malades » en évoquant les « cas positifs ». Chaque jour les médias, et des porte-parole gouvernementaux se sont mis à annoncer non pas qu’il y a eu encore 20.000 « cas » dits positifs selon des tests non fiables, mais 20.000 « malades » supplémentaires. Des malades qui pour la plupart n’avaient aucun symptôme et qui n’allaient pas être… malades.
Puis, peu après le début des vaccinations de masse, le Dr Knock-Véran a annoncé que désormais les personnes « avec comorbité » pouvaient se faire vacciner. Cela fut repris par tous les médias sans que personne pose la question : comorbidité de quoi ? Car s’il y a comorbidité, c’est que la personne souffre déjà d’une maladie. Or il s’agissait seulement de dire que des personnes malades d’autre chose que du Covid pouvaient se faire vacciner. Donc des personnes qui n’avaient pas le Covid. Donc qui n’avaient pas de « comorbidité ». (Je vois que l’on parle de nouveau de comorbidité, cette fois pour les adolescents qui vont se faire piquer.)
Et depuis que la vaccination s’est ouverte à presque tout le monde, dans des « vaccinodromes », les médias nous annoncent chaque jour le nombre de « patients » qui ont reçu leur « première dose », et leur « deuxième dose ». Des patients qui ne souffrent de rien. Des patients qui n’ont aucune pathologie. Mais qui sont des patients parce que ce sont des malades potentiels du Covid et qu’en se faisant vacciner ils guérissent du Covid qu’ils n’ont pas et que pour la plupart d’entre eux ils n’auraient pas eu…
Au fait, le « monsieur vaccin » du gouvernement a déclaré hier que « la vaccination devient une norme ». Pour ce qui me concerne ce n’est pas grave : je savais déjà que je suis anormal.