Voilà un certain temps que le Dr Robert Malone tire la sonnette d’alarme à propos des vaccins. Or il n’est pas n’importe qui, et encore moins un complotiste. Les traqueurs de fake news de nos grands médias du mensonge sont bien obligés de reconnaître qu’il est le principal inventeur de l’ARN messager (mais non pas de son application au « vaccin »).
Le Dr Malone réagit à la dernière recommandation du Centre américain de contrôle et de prévention des maladies, le CDC. Brusquement, le CDC a déclaré qu’il fallait de nouveau porter le masque à l’intérieur, parce que « les personnes entièrement vaccinées qui sont infectées par le variant Delta risquent de le transmettre à d'autres personnes ».
Malone : « Nous avons assisté à une progression d'informations de plus en plus désespérées et abruptes, en commençant par l'alerte de Pfizer il y a quelques semaines, selon laquelle ils pensaient que nous aurions besoin d'un rappel au bout de six mois, et la réprimande de Fauci, puis la volte-face du gouvernement qui a dit que nous aurions besoin de rappels pour les bénéficiaires de Pfizer au bout de six mois chez les personnes âgées et immunodéprimées, et enfin la bombe lâchée hier soir. »
Il est désormais probable que la charge virale chez les personnes vaccinées et les personnes non vaccinées soit « similaire ». Il se pourrait qu’elle soit supérieure. « C'est précisément ce que l'on verrait si un renforcement dépendant des anticorps (ADE) se produisait. Qu'est-ce que le renforcement dépendant des anticorps ? En bref, le vaccin rend le virus plus infectieux qu'il ne le serait en l'absence de vaccination, le virus se répliquerait à des niveaux plus élevés qu'en l'absence d'infection. C'est le pire cauchemar du vaccinologue. C'est arrivé avec le virus respiratoire syncytial dans les années 60 qui a causé plus de décès d'enfants chez les vaccinés que chez les non vaccinés. C'est arrivé avec Dengvaxia, le vaccin contre la dengue. Et c'est ce qui s'est passé avec pratiquement tous les autres programmes de développement de vaccins contre les coronavirus, en tout cas chez l'homme, connus dans l'histoire, et c'est ce contre quoi les vaccinologues comme moi mettent en garde depuis le début, à savoir le risque de renforcement dépendant des anticorps. »
Le Dr Malone ajoute que le renforcement dépendant des anticorps semble plus apparent chez les personnes auxquelles on a injecté le vaccin de Pfizer. « Donc, nous savons maintenant que la protection de Pfizer s'estompe à six mois. Et ce que les données semblent suggérer, c'est que ceux qui ont reçu Pfizer, qui est probablement le moins immunogène des trois en termes de durabilité, de durée de protection, et sont maintenant dans la phase de déclin de la réponse immunitaire, semblent être infectés. Donc, cela suggère que c'est exactement ce que l'on pouvait anticiper, c'est-à-dire que la fenêtre de plus grande susceptibilité au renforcement dépendant des anticorps se trouve dans cette longue phase d'affaiblissement au fur et à mesure que la réponse au vaccin décline. Et je ne veux pas paraître alarmiste, mais ce qui semble se déployer, c'est le pire des scénarios, où le vaccin dans sa phase de déclin fait que le virus se réplique plus efficacement qu'il ne le ferait autrement. Et des gens ont mis en garde contre ce phénomène depuis le début de cette campagne de vaccination précipitée. »
Le Dr Malone a également critiqué Fauci, qui a récemment accusé, par une « série de déclarations trompeuses », les personnes non vaccinées d'être responsables des mutants. Le Dr Malone dit que « les mutants qui échappent à la pression sélective du vaccin se développent très probablement chez les personnes qui ont été vaccinées, et non chez les personnes non vaccinées. C'est donc un autre mensonge commode. Si les données sont cohérentes avec [le renforcement dépendant des anticorps], nous devons arrêter la campagne de vaccination. Nous devons changer d’axe et accélérer autant que possible les traitements médicamenteux, qui ont été largement bloqués et supprimés au niveau de la FDA. »