Juin est le « mois de la fierté » LGBTQ+. L’université Notre Dame dans l’Indiana y participe activement. Au point d’orner l’article de son site internet de cette immonde illustration blasphématoire où la statue de la Sainte vierge préside à la chose.
(Rappelons que l’université s’appelle réellement « Notre Dame », en français, prononcé no-ou-ter-déim, parce qu’elle a été fondée par le père Sorin de la congrégation de Sainte Croix.)
Commentaires
Il est intéressant de voir à quel point les militants LGBT (combien sont ils ?) Ne respectent rien...
Ce sont les dirigeants de l'université ND qui ne respectent pas leur religion. Ils n'en sont pas à leur coup d'essai, entre honorer Obama, persécuter les étudiants pro-vie et faire donner des conférences à tous les pourris de la planète, ils ont l'habitude....
Ma connaissance de l'anglais américain et de cet argot de voyous en général est limitée, mais dans les meilleures bandes de mes chers Laurel et Hardy le mot dame n'est guère flatteur. Il y a en particulier un court-métrage prodigieux de 1933, Twice two, où Laurel et Hardy sont mariés avec Laurel et Hardy. Nos deux compères sont déguisés en mégères (deux belles-sœurs) qui se haïssent horriblement et se balancent des tartes à la crème dans la figure. Madame Hardy (Laurel) est d'une méchanceté jubilatoire et elle traite Madame Laurel (Hardy) de "dame", ce qui met l'autre dans une rage folle.
Bref, je ne sais si c'est une bonne idée, chez ces barbares, d'avoir maintenu "Notre-Dame". Lady serait meilleur. Mais c'est vrai qu'avec les LGBTQRSTUV, etc, il s'agit plutôt d'hommes qui ne disposent pas des organes appropriés pour profiter des plaisirs de la vie comme les femmes. Ils utilisent à cette fin des organes de remplacement tout à fait répugnants pour les gens de bonnes moeurs, ce que ne faisaient pas Laurel et Hardy, qui furent deux grands séducteurs... de femmes, précisons-le !