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Le Dr Knock a gagné

Tout bien portant est un malade qui s’ignore. Aujourd’hui le Dr Knock ajouterait : et qui a donc l’obligation (morale avant d’être légale) de se faire vacciner.

Le délire a atteint le langage lui-même, en plusieurs étapes, dont trois sont particulièrement notables :

D’abord on a commencé à parler de « malades » en évoquant les « cas positifs ». Chaque jour les médias, et des porte-parole gouvernementaux se sont mis à annoncer non pas qu’il y a eu encore 20.000 « cas » dits positifs selon des tests non fiables, mais 20.000 « malades » supplémentaires. Des malades qui pour la plupart n’avaient aucun symptôme et qui n’allaient pas être… malades.

Puis, peu après le début des vaccinations de masse, le Dr Knock-Véran a annoncé que désormais les personnes « avec comorbité » pouvaient se faire vacciner. Cela fut repris par tous les médias sans que personne pose la question : comorbidité de quoi ? Car s’il y a comorbidité, c’est que la personne souffre déjà d’une maladie. Or il s’agissait seulement de dire que des personnes malades d’autre chose que du Covid pouvaient se faire vacciner. Donc des personnes qui n’avaient pas le Covid. Donc qui n’avaient pas de « comorbidité ». (Je vois que l’on parle de nouveau de comorbidité, cette fois pour les adolescents qui vont se faire piquer.)

Et depuis que la vaccination s’est ouverte à presque tout le monde, dans des « vaccinodromes », les médias nous annoncent chaque jour le nombre de « patients » qui ont reçu leur « première dose », et leur « deuxième dose ». Des patients qui ne souffrent de rien. Des patients qui n’ont aucune pathologie. Mais qui sont des patients parce que ce sont des malades potentiels du Covid et qu’en se faisant vacciner ils guérissent du Covid qu’ils n’ont pas et que pour la plupart d’entre eux ils n’auraient pas eu…

Au fait, le « monsieur vaccin » du gouvernement a déclaré hier que « la vaccination devient une norme ». Pour ce qui me concerne ce n’est pas grave : je savais déjà que je suis anormal.

Commentaires

  • Bravo!
    « La vaccination devient une norme » est ridicule dans la bouche d’un « médecin » la vaccination a toujours été une norme de soin thérapeutique ciblé. Mais ici « la vaccination devient une norme » pour une maladie ne relevant pas d’une nécessité vaccinale surtout expérimentale, la vaccination devient une norme d'une « pandémocrasie » d’État, dont le masque est le drapeau de sa politique déconstructiviste sociale.
    « Dis-moi quelle Etat masque et je te dirai quel sera son futur instrument de dictature sociale »
    N. B. Le fait de parler des « comorbidités » prouve que ce vaccin rajoute un risque certain pour les malades d’autre chose. Donc c’est un véritable aveu de parler de cela.

  • Puisque les néologismes piteux sont à la mode chez nos adversaires, je vous propose, Monsieur Daoudal, cette expression que j'ai entendue : "se faire injecter", sans complément d'objet.
    Il faut combattre aussi sur le terrain du langage. Si vous dites aux gens : "Va (ou ne va pas) te faire injecter", "Ah tiens, vous vous êtes fait injecter ?", vous marquez des points contre ce prétendu vaccin, qui s'avère d'ores et déjà être un dangereux poison.
    Si l'intérêt des peuples reprend un jour la main sur celui des financiers innommables, des ignobles politiciens et des infâmes journalopes, il y aura un nouveau Nuremberg et bien des gens seront pendus.

  • Oh oui, prions le Saint Esprit pour qu'ils soient un jour tous pendus!

  • Macron s'est fait gifler. Bravo au courageux talocheur ! C'en est toujours une que les Allemands n'auront pas !

  • Pardon, j'oubliais le lien :
    https://www.youtube.com/watch?v=Da_6giNcXE4&ab_channel=OasisV2

  • Pas plus tard qu’hier mardi, la circulation était anormalement ralentie dans les deux sens.
    Dans le sens opposé, un policier municipal arrêtait chaque véhicule pour s’adresser au conducteur.
    Dans le sens où je roulais, c’était une femme revêtue d’une surblouse chirurgicale jetable qui faisait de même.
    Que faisaient-ils là tous les deux ?
    Lorsque vint mon tour d’être arrivé à sa hauteur, elle me dit :
    « Il nous reste des doses de vaccins Pfizer, ça vous tente ? »

  • Comme à la cantoche : il n'y a plus de frites ! Ah, revoilà des frites ! Après le coup de la pénurie, ils nous font celui du rab. Je connais des gens assez sots pour s'être faits injecter comme ça.

  • Pour certaines personnes, il faudrait reprogrammer leurs cellules-souche adultes pour en faire des neurones en état de marche et leur ré-injecter d'urgence.

  • s'être fait injecter, pardon.

  • "il faudrait reprogrammer leurs cellules-souche adultes pour en faire des neurones en état de marche"
    La véritable intelligence ne vient pas du cerveau, elle vient du cœur et des reins. C'est une des leçons de leur "pandémie", aussi convaincante que la conquête lunaire par les Amerloques et les Arabes du désert changés par CNN en super-pros du looping en Boeing. Ah oui, faut pas oublier le chêne multiséculaire de la charpente de Notre-Dame, qui s'enflamme comme du Zyklon B au moindre contact avec un mégot mal écrasé !

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