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  • "Fraternité humaine"

    Le « Haut Comité de la Fraternité humaine », constitué dans le but de mettre en œuvre le fameux « Document sur la Fraternité humaine » signé par François et al-Tayeb à Abou Dhabi le 4 février dernier, s’est réuni pour la première fois à la Maison Sainte-Marthe le 11 septembre dernier (date anniversaire des célèbres attentats). Il s’agissait de préparer la première réunion publique, le 20 septembre à la Bibliothèque de New York. Il y avait là les 7 membres du Haut Comité : le très bientôt cardinal Miguel Ángel Ayuso Guixot, président du Conseil pontifical pour le Dialogue interreligieux, président du Haut Comité, Mgr Yoannis Lahzi Gaid, secrétaire personnel de François, le Pr Dr Mohamed Husin Abdelaziz Hassan, président de l’Université al-Azhar, Le juge Mohamed Mahmoud Abdel Salam, ancien conseiller de l’imam d’al-Azhar, Son Excellence Mohamed Khalifa Al Mubarak, président de l’Autorité culturelle et touristique d’Abou Dhabi (et de diverses sociétés d’immobilier et d’investissements touristiques), Yasser Saeed Abdulla Hareb Almuhairi, « écrivain et journaliste », et Sultan Faisal Al Khalifa Alremeithi, secrétaire général des… Frères musulmans.

    Les grincheux remarqueront que ça fait cinq musulmans pour deux catholiques. Mais ce n’est pas comme ça qu’il faut voir les choses : il y a deux représentants du Vatican, deux représentants de l’université al-Azhar, deux représentants d’Abou Dhabi (dont il se trouve qu’ils sont forcément musulmans mais c’est pas de leur faute). Quant au chef des Frères musulmans, je ne sais pas trop. Sans doute parce qu’il faut une autorité religieuse… Et puisque le document dit que l’islam a été voulu par Dieu, c’est normal.

    Bref, le 20 septembre on allait annoncer le premier grand projet du Haut Comité : la construction d’une « Maison de la Famille Abrahamique », sur « l'Île du Bonheur » à Abou Dhabi (là où il y a déjà le Louvre et Guggenheim). La dite Maison étant en fait constituée d’une église, d’une mosquée et d’une synagogue, sur une même fondation, autour d’un jardin (le paradis des trois religions). Mais on s’est aperçu in extremis qu’il n’y avait aucun israélite dans le Haut Comité. Alors on est allé chercher le rabbin Bruce Lustig, de la congrégation hébraïque de Washington, et on l’a agrégé au Haut Comité qui comprend donc désormais huit membres.

    Voici le projet de « Maison de la Famille Abrahamique ». On ne reconnaît que la mosquée, à gauche… (Il est possible que celle de droite fasse allusion à l'étoile de David. Auquel cas seule l'église serait totalement anonyme.)

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  • Saint Lin

    Le texte suivant de saint Irénée (liminaire du livre III du traité Contre les hérésies) est important en ce qu’il atteste de la véracité de ce que dit la tradition catholique quant à la succession apostolique à Rome. (Subsidiairement il permet aussi de dater le livre de saint Irénée, puisque l’évêque de Rome est alors saint Eleuthère et qu’il régna de 175 à 189.)

    Comme il serait trop long, dans un ouvrage tel que celui-ci, d'énumérer les successions de toutes les Églises, nous prendrons seulement l'une d'entre elles, l'Église très grande, très ancienne et connue de tous, que les deux très glorieux apôtres Pierre et Paul fondèrent et établirent à Rome; en montrant que la Tradition qu'elle tient des apôtres et la foi qu'elle annonce aux hommes sont parvenues jusqu'à nous par des successions d'évêques, nous confondrons tous ceux qui, de quelque manière que ce soit, ou par infatuation, ou par vaine gloire, ou par aveuglement et erreur doctrinale, constituent des groupements illégitimes : car avec cette Église, en raison de son origine plus excellente, doit nécessairement s'accorder toute Église, c'est-à-dire les fidèles de partout, — elle en qui toujours, au bénéfice de ces gens de partout, a été conservée la Tradition qui vient des apôtres.

    Donc, après avoir fondé et édifié l'Eglise, les bienheureux apôtres remirent à Lin la charge de l'épiscopat ; c'est de ce Lin que Paul fait mention dans les épîtres à Timothée (1). Anaclet lui succède. Après lui, en troisième lieu à partir des apôtres, l'épiscopat échoit à Clément. Il avait vu les apôtres eux-mêmes et avait été en relations avec eux : leur prédication résonnait encore à ses oreilles et leur Tradition était encore devant ses yeux. Il n'était d'ailleurs pas le seul, car il restait encore à cette époque beaucoup de gens qui avaient été instruits par les apôtres. Sous ce Clément, donc, un grave dissentiment se produisit chez les frères de Corinthe ; l'Eglise de Rome adressa alors aux Corinthiens une très importante lettre pour les réconcilier dans la paix, renouveler leur foi et leur annoncer la Tradition qu'elle avait naguère reçue des apôtres, à savoir : un seul Dieu tout-puissant, Créateur du ciel et de la terre, qui a modelé l'homme, fait venir le déluge, appelé Abraham, fait sortir son peuple de la terre d'Egypte, conversé avec Moïse, donné la Loi, envoyé les prophètes, préparé un feu pour le diable et ses anges. Que ce Dieu-là même soit annoncé par les Eglises comme étant le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, tous ceux qui le veulent peuvent l'apprendre par cet écrit, tout comme ils peuvent connaître par lui la Tradition apostolique de l'Église, puisque cette lettre est plus ancienne que les actuels fauteurs d'erreur qui imaginent faussement un autre Dieu au-dessus du Créateur et de l'Auteur de tout ce qui existe. A ce Clément succède Évariste ; à Évariste, Alexandre ; puis, le sixième à partir des apôtres, Xyste est établi; après lui, Télesphore, qui rendit glorieusement témoignage ; ensuite Hygin ; ensuite Pie ; après lui, Anicet ; Soter ayant succédé à Anicet, c'est maintenant Eleuthère qui, en douzième lieu à partir des apôtres, détient la fonction de l'épiscopat. Voilà par quelle suite et quelle succession la Tradition se trouvant dans l'Eglise à partir des apôtres et la prédication de la vérité sont parvenues jusqu'à nous. Et c'est là une preuve très complète qu'elle est une et identique à elle-même, cette foi vivifiante qui, dans l'Église, depuis les apôtres jusqu'à maintenant, s'est conservée et transmise dans la vérité.

    (1) 2 Tim. 4, 21 : « Tâche de venir [à Rome] avant l'hiver. Eubule, Pudens, Lin, Claudia, et tous les frères te saluent. »

  • 15e dimanche après la Pentecôte

    Allelúia, allelúia. Quóniam Deus magnus Dóminus, et Rex magnus super omnem terram. Allelúia.

    Alléluia, alléluia. Parce que le Seigneur est un Dieu grand, un grand roi qui domine toute la terre. Alléluia.

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    Parce que le Seigneur… « En eux-mêmes ces mots n’ont pas de sens, faute d’une proposition principale », nous dit dom Baron qui connaissait sa grammaire… « En fait, ajoute-t-il, c’est l’idée du graduel qui continue. »

    En fait, on n’a pas besoin d’une construction grammaticale pour laisser libre cours à sa joie. « Parce que », disent les enfants dans une affirmation péremptoire et sans réplique. Parce que le Seigneur est un grand Dieu. C’est comme ça, et c’est pourquoi je chante alléluia. La proposition principale, si l’on veut en trouver une, c’est : Alléluia. Ce verset est le troisième du psaume 94, qui nous invite à venir exulter et jubiler pour le Seigneur : donc à chanter Alléluia, parce qu’il est un grand Dieu.

    La mélodie de ce verset est subtilement balancée en deux phrases, qui se terminent toutes deux sur la tonique, sol, tandis que la première partie de la première phrase a une cadence sur la quinte (ré), et la première partie de la deuxième phrase a une cadence sur la tierce (si). Ré-sol-si-sol. La fin ne reprend pas le jubilus (ce qui est très rare mais était le cas dimanche dernier), mais utilise une formule finale de graduel du 7e mode (celle qu’on trouve au 12e dimanche).

    Selon dom Johner cet alléluia était primitivement chanté pendant la procession de Pâques. D’où son aspect plus solennel encore que joyeux.

  • Ils étaient neuf

    L’université de Caroline du Nord à Charlotte avait organisé le 10 septembre une « conférence sur le privilège blanc ». Sujet crucial du moment, comme chacun sait, mobilisant tout le ban et l’arrière ban des militants contre la discrimination et tutti quanti.

    L’université de Charlotte, c’est 30.000 étudiants. Mais il y avait en tout en pour tout neuf étudiants. 9. Dont deux étaient là seulement pour rendre compte de l’événement dans des journaux étudiants. Deux autres étaient venus parce qu’un professeur leur avait offert des points supplémentaires s’ils y allaient. Les cinq autres étaient des étudiants de droite, venus par curiosité voir de plus près ce qu’était cette curieuse idéologie.

    La réunion était animée par deux « référents diversité » du campus qui outre le « privilège blanc » ont abordé la « masculinité toxique » et l’égalité LGBTQ… Ils ont notamment expliqué que si la « discrimination raciale » peut viser n’importe qui, le « racisme » proprement dit provient intrinsèquement et uniquement des Blancs en raison même de leur « blancheur ».

    « Cette définition me donnait l’impression que j’avais tort juste en étant moi-même et en acceptant le corps avec lequel je suis née », a réagi l’une des étudiantes. C'est bien de quoi il s'agit.

  • Quelle époque…

    Les évêques des Philippines prennent position contre le divorce :

    « Le divorce est, d’abord et avant tout, anticonstitutionnel. »

    On imagine Jésus répondant à la question des pharisiens sur la répudiation :

    « Le divorce est, d’abord et avant tout, anticonstitutionnel. »

    Et on imagine la tête des pharisiens…

    Bien sûr, dans le cadre d’un débat parlementaire, pour contrer une proposition de loi sur le divorce, il est parfaitement légitime, et de bonne politique, que les évêques soulignent l’aspect anticonstitutionnel du divorce, puisque selon la Constitution « le mariage, en tant qu’institution sociale inviolable, est le fondement de la famille et doit être protégé par l’Etat ».

    Mais ce n’est pas « d’abord et avant tout ». C’est de façon circonstancielle et juridique. Les évêques ont d’autres références « d’abord et avant tout ». C’est l’Evangile, c’est Jésus rappelant que de par la loi naturelle instaurée de volonté divine, « l’homme quittera son père et sa mère et s’unira à sa femme, et ils seront deux en une seule chair », comme la Genèse le dit dès la création de l’homme et de la femme.

    Et dans un pays qui est encore très majoritairement catholique, il est plus pitoyable encore de voir des évêques se comporter en simples garants de la Constitution pour défendre le mariage…

  • Saint Matthieu

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    Lorsque les artistes de l’Occident médiéval se mirent à représenter les évangélistes selon le tétramorphe d’Ezéchiel, conformément à l’exégèse de saint Jérôme puis de saint Grégoire le Grand (intégrée dans la liturgie), ils conservèrent logiquement aux « Vivants » leurs ailes, donc le symbole de saint Matthieu était un homme ailé. Il fut très vite assimilé à un ange, puis à un ange qui dicte son évangile à Matthieu.

    Ci-dessus les Heures d’Anne de Bretagne, enluminure de Jean Bourdichon. C’est un des aboutissements de la dérive : ici l’ange montre à saint Matthieu l’évangile tout fait, descendu du ciel (comme le Coran…), qu’il n’a plus qu’à recopier.

    Une autre dérive, qui montre jusqu’où allait la décadence de la Renaissance, est celle qui montre l’ange comme une sorte d’androgyne (ou d’éphèbe), penché dans une pose plus ou moins lascive sur l’évangéliste et le contemplant d’un regard langoureux. Le doigt de l’ange, qui souvent indiquait à saint Matthieu l’endroit où il doit écrire (ou là où il a fait une faute ?), se met à caresser sa main… Le sommet est sans doute atteint avec une peinture du Caravage qui était destinée comme les deux autres sur Matthieu à l’église romaine Saint-Louis des Français, mais qui fut, quand même, refusée. On n’en a qu’une photographie en noir et blanc, parce qu’elle a été détruite pendant la Seconde Guerre mondiale (dans un bombardement sur Berlin). Cette peinture aurait pu faire une affiche pour un film LGBT…

    Le Caravage reprit donc ses pinceaux, et produisit ce qui est une de ses toiles les plus puissantes, mais où on n’a plus aucun souvenir que l’ange est à l’origine un homme…

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  • L’or du Linceul

    Dans son deuxième livre sur le Linceul de Turin, Giulio Fanti, professeur d’ingénierie industrielle à l’université de Padoue, avait déjà signalé que les microparticules d’or trouvées sur le tissu provenaient de pièces byzantines, ce qui prouve son existence avant sa découverte en France et avant la date définie en 1988.

    Giulio Fanti a repris ses recherches sur ces microparticules, avec son collègue Claudio Furlan, du Centre d’analyse pour la certification à la même université de Padoue. Ils les ont analysées par la méthode de « fluorescence X à dispersion d’énergie », et ont obtenu des conclusions précises, qu’ils ont détaillées dans un article publié sur Science Direct (Elsevier) en août dernier. Sur ce site on ne peut en lire qu’un très bref résumé, mais « Medievalists.net » en a tiré l’essentiel il y a quelques jours :

    Parmi les 17 microparticules provenant du Linceul, cinq d'entre elles sont à 100% d'or pur et pourraient être liées à l'environnement d’or dans lequel le Linceul était exposé avant le délitement byzantin du XIe siècle. Deux des microparticules sont composées d'or (93–96%) avec des impuretés métalliques d'argent et de cuivre et pourraient être liées aux pièces de monnaie byzantines frappées entre 1028 et 1078; quatre d'entre elles sont composés d'or (70–89%) et pourraient être liées à des pièces frappées au cours de la période allant de 1059 à 1180; l'une d'entre elles est composée d'or (32%) et pourrait être liée à une pièce frappée de 1143 à 1180 par l'empereur Manuel I.

    Ils soulignent que les particules d’alliage d’or et d’argent avec des traces de cuivre sont typiques de l’électrum byzantin, qu’on ne trouve nulle part ailleurs en corrélation possible avec le Linceul.

    Ceci est conforme à l’hypothèse, que rappellent les chercheurs, selon laquelle le Linceul aurait été à Constantinople (au moins) jusqu’au sac de la ville par les Croisés en 1204. Ils rappellent le témoignage de Robert de Clari : « Il y eut un autre moutier qu’on appelait Madame Sainte Marie des Blachernes où le linceul où Notre Seigneur fut enveloppé y était qui chaque vendredi était dressé tout droit, si bien qu’on y pouvait bien voir la figure de Notre Seigneur. Et personne ne sut, ni Grec ni Français ce que ce linceul devint quand la ville fut prise. » Il est possible que ce soit lors de ses ostensions que des poussières d’or se déposèrent sur le tissu, ou parce qu’il était conservé dans de l’or, ou qu’on lui faisait toucher des pièces d’or.

    (Le texte de Robert de Clari : “Il y en eu un autre des moustiers, que on apeloit madame Sainte Marie de Blakerne, où li sydoines là où Nostre Sire fu envelopés, y estoit, qui chascun vendredi se dressoit tous drois, si que on y povoit bien voir las figure Nostre Seigneur; ne ne seut on onques, ne Grieu ne François, que cist sydoines devint quant la ville fu prise.”)

  • Vive le voile islamique

    L’institution Sainte Jeanne d’Arc de Dakar (celle où notre Sibeth a eu son brevet) avait exclu 22 élèves qui refusaient d’enlever leur voile islamique, alors que le règlement intérieur interdit ce couvre-chef.

    Les 22 élèves ont été réintégrées hier, sur ordre de François.

    Heureusement qu’il y a le pape pour garantir la propagande islamique dans les écoles catholiques.

    Pour sauver la face, on dit que les filles ne portent plus un « voile islamique », mais un « foulard scolaire »…

    Ben oui, l’hypocrisie jésuite en prime.

    (Via Le Forum catholique)

  • Vendredi des quatre temps

    Lætétur cor quæréntium Dóminum : quærite Dóminum, et confirmámini : quǽrite fáciem ejus semper.
    Confitémini Dómino et invocáte nomen eius : annuntiáte inter gentes ópera ejus.

    Que le cœur de ceux qui cherchent le Seigneur, se réjouisse : cherchez le Seigneur et soyez fortifiés, cherchez sans cesse sa face.
    Louez le Seigneur et invoquez son nom, annoncez ses pauvres parmi les peuples.

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    L’antienne d’introït, commune au jeudi après le IVe dimanche de Carême, est tirée du psaume 104 et invite tous ceux qui cherchent le Seigneur à se réjouir, car ils le trouveront sûrement, et en Lui ils se désaltéreront à la source de tout bien. Beaucoup, dans un apparent service de Dieu, recherchent quae sua sunt et se trouveront eux-mêmes, c’est-à-dire la vanité et la misère.

    Cherchez uniquement le Seigneur, dit le Psalmiste ; cherchez son visage, c’est-à-dire cherchez-le avec sincérité et franchise ; cherchez-le toujours, sans duplicité du cœur, sans transaction entre Lui et la nature corrompue.

    Saint Benoît, dans sa Regula Monachorum fait de cette recherche de Dieu le mot d’ordre de son institut, l’unique condition pour juger de la vocation des aspirants à la vie monastique. Il ne regarde ni à la naissance, ni à l’âge, ni à la science du novice ; il est uniquement attentif à scruter l’esprit de celui-ci, pour savoir s’il recherche vraiment Dieu, et si, pour le trouver, il suit la route de l’humilité et de l’obéissance, celle-là même qui a été tracée par le Christ. Toute autre voie est mauvaise.

    Bienheureux cardinal Schuster

  • Insupportable

    Emmanuel Macron, qui n’a pas élevé d’enfants, nous explique que nous ne pouvons pas le faire tout seuls, « on ne naît pas parent, personne. Il faut répondre à l'appel de parents parfois démunis, terrorisés ». Sic.

    Par conséquent, les parents doivent s’en remettre à l’Etat. Macron installe une « commission d’experts » pour réfléchir à ce que doit être l’accompagnement des « mille premiers jours de l’enfant ».

    Macron remet au goût du jour l’idéologie communiste antifamiliale. Votre bébé appartient à l’Etat. Par principe, selon le dogme énoncé par Macron, vous êtes incapable de l’éduquer. Une armée de psychiatres va donc décider à votre place.

    Et au bout des « mille jours » pendant lesquels ils vous auront pourri la vie, il faudra le mettre à l’école obligatoire.

    L’enjeu, dit clairement Boris Cyrulnik, le chef de la commission, est d’arriver à une « société plus égalitaire », vaccinée et bien en rangs.

    Dans « une démocratie comme la nôtre », le totalitarisme fait sans cesse de nouveaux progrès.