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  • Comment on tue le patient pour prendre son cœur

    On avait inventé une définition de la mort (la mot « cérébrale ») qui permette de prendre sur le mort (?) ses organes, dont le cœur toujours battant. Mais ça ne suffit pas. Les donneurs d’organes sont de plus en plus vieux, les salauds, avec des cœurs dont je ne vous dis pas l’état… Bref on ne peut rien en faire. Aujourd’hui il faut attendre un an pour avoir un cœur d’occasion correct, et un quart des demandeurs meurt avant… Il fallait faire quelque chose. On a trouvé : c’est simple, il suffit de prendre le cœur… avant la « mort cérébrale ». Et de réinventer la mort par arrêt cardiaque. Mais par arrêt cardiaque provoqué, et en utilisant une technique qui permet d’éviter l’ischémie, le stress qui rendait le cœur inutilisable jusqu’ici… C’est hallucinant, mais ce n’est hélas pas une blague. Voici comment ça se passe, au CHU de Liège. C’est une première prometteuse. Comme on dit dans les films, certaines scènes peuvent choquer un public jeune ou sensible :

    Le professeur Defraigne explique qu’« en état de mort cérébrale, à cœur battant, il n’y a pas de souci d’ischémie ‘chaude’ préalable : on clampe l’aorte, on perfuse le cœur avec un liquide de conservation froid, ce qui provoque l’arrêt du cœur et le protège, on prélève le cœur que l’on place dans de la glace pour le protéger, puis on le réimplante ». Chez une personne en arrêt cardiaque, le protocole est différent : « le patient est installé au bloc opératoire, où sa ventilation mécanique est stoppée. Suivent une analgésie, puis la sédation de fin de vie ». Le cœur finit par s’arrêter de battre. On attend 5 minutes « pour vérifier l’absence ‘d’autoresuscitation’ cardiaque ». Le cœur est ensuite réanimé « à même la poitrine du donneur », à l’aide d’une assistance circulatoire durant une trentaine de minutes. A l’issue de ce temps d’observation, le prélèvement est réalisé puis l’implantation chez le receveur.

  • RIP Mgr Morlino

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    Il était évêque de Madison, dans le Wisconsin. Il était un évêque catholique, il avait fait de son séminaire moribond un séminaire florissant, et il était d’une grande bienveillance envers la messe de saint Pie V, qu’il célébrait lui-même, et il avait soutenu publiquement Mgr Vigano. Il est mort samedi soir trois jours après des tests cardiaques…

    Ici, le 30 juin dernier, il présidait une messe de saint Pie V « coram episcopo » célébrée par un prêtre qu’il venait d’ordonner :

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    Ici il célébrait lui-même la messe des apôtres Pierre et Paul, le 29 juin 2014, dans la chapelle du centre pastoral diocésain de Madison :

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  • Toujours pire

    La cathédrale est l’église mère du diocèse, parce que c’est celle de l’évêque, et elle s’appelle ainsi parce qu’on y voit, dans le chœur, la cathèdre de l’évêque : la chaire depuis laquelle il enseigne la foi.

    Mais ça c’était avant.

    Hier, Mgr Dollman, nouvel archevêque de Cambrai, a été installé… dans la salle des fêtes. Le « Palais des grottes ». Avec un petit orgue électronique minable et des guitares, ça va de soi.

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    A vrai dire, vu le goût actuel des évêques et leur sens du sacré, ça pourrait bien être la nouvelle cathédrale. Ils font des églises plus moches que des salles des fêtes.

  • Saint Silvestre

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    La fête de ce saint abbé du Mont-Fano, près de Fabriano, fut introduite dans le calendrier sous Léon XIII, qui voulut de la sorte lui accorder les honneurs que l’Église a accoutumé de rendre aux fondateurs d’Ordres religieux.

    Au XIIIe siècle, alors que nombreux étaient, en Italie, les monastères bénédictins déchus de ce haut degré de sainteté et de science qu’ils avaient atteint durant les siècles précédents, saint Silvestre sut donner une vie nouvelle au vieux tronc de l’arbre planté par le saint patriarche du Mont-Cassin, en fondant une jeune famille religieuse qui, par la suite, avec la bénédiction de Dieu, se répandit en divers monastères et reçut du Seigneur la grâce de la fécondité des saints. La messe Os iusti est celle du Commun des Abbés ; seules les collectes sont propres, mais elles révèlent le goût liturgique moderne. Les deux dernières, en particulier, ne nous disent rien de spécial, et on ne sait vraiment pas pourquoi le rédacteur les a préférées aux prières du Commun. Collecte — « O Dieu très clément, qui avez appelé à la solitude le bienheureux Abbé Sylvestre, tandis qu’il méditait devant un tombeau ouvert la vanité de ce monde, et qui avez daigné l’orner des mérites d’une vie très sainte ; nous vous supplions de faire que, méprisant à son exemple les .biens de la terre, nous jouissions du bonheur de votre éternelle compagnie. »

    L’allusion historique contenue dans cette collecte se rapporte à ce qui est raconté dans la vie de saint Silvestre. Tandis qu’il assistait un jour aux funérailles d’un parent, regardant le cadavre défiguré il commença de réfléchir, et il se dit : Ego sum quod hic fuit ; quod hic est, ego ero : Je suis à présent ce que celui-ci fut naguère ; bientôt je serai moi aussi ce qu’il est maintenant. Cette bonne pensée suffit pour le décider à laisser le monde aux hommes vains et à se faire moine. Tant est grande la force d’une bonne pensée, quand elle ne demeure pas simplement à l’état de pensée, mais est exécutée avec diligence.

    Parmi les exemples des Saints que nous devons imiter, se trouve leur persévérance dans le bien. Saint Silvestre mourut presque nonagénaire, le 26 novembre 1267 ; mais, durant sa longue vie monastique il ne s’arrêta jamais, ne se relâcha jamais de sa ferveur première par ennui ou par lassitude.

    Bienheureux cardinal Schuster

    La gravure montre "saint Silvestre abbé premier fondateur des moines silvestrins" devant un crucifix (et avec le loup qui était devenu son gardien quand il était ermite), il dit un extrait de l’Exsultet pascal : « O inæstimábilis diléctio caritátis: ut servum redímeres, Fílium tradidísti ! ». O inestimable amour de la charité : pour racheter l’esclave tu as livré le Fils !

  • 27e et dernier dimanche après la Pentecôte

    La lecture du troisième nocturne des matines est le début de l’explication de l’évangile du jour par saint Jérôme.

    Nous sommes invités à comprendre : c’est un signe que ce qui vient d’être dit recèle un sens mystérieux. Voici ce que nous lisons en Daniel : « Le temps d’une demi-semaine il fera cesser le sacrifice et l’oblation et sur l’aile du Temple sera l’abomination de la désolation jusqu’à la fin et la fin sera accordée sur une solitude ». Et à ce propos l’Apôtre dit que l’Homme d’iniquité et l’Adversaire doit se dresser contre tout ce qu’on appelle Dieu et qu’on vénère, osant même se tenir dans le Temple de Dieu, et se donner lui-même pour Dieu ; que sa venue, par l’influence de Satan, détruira et réduira à être délaissés de Dieu ceux qui l’auront accueilli.

    Cela peut s’entendre simplement de l’Antichrist ou de l’image de César que Pilate fit placer dans le Temple, ou de la statue équestre d’Adrien qui se dresse encore aujourd’hui au lieu même du Saint des Saints. Dans l’Ancien Testament, abomination signifie aussi idole ; et c’est pourquoi on ajoute « de la désolation », parce que l’idole a été placée dans le Temple en désolation et en ruines.

    On peut comprendre l’abomination de la désolation comme toute doctrine perverse. Quand nous la verrons se tenir dans le lieu saint, c’est-à-dire dans l’Église, et se faire passer pour Dieu, nous devrons fuir de la Judée vers les montagnes, c’est-à-dire abandonner la lettre qui tue et l’erreur judaïque, nous approcher des montagnes éternelles d’où Dieu répand son admirable lumière et nous tenir sur le toit et sur la terrasse où les traits enflammés du diable ne peuvent parvenir, ne pas descendre ni prendre quoi que ce soit de la maison de notre ancienne vie ni chercher ce qui est derrière nous, mais bien plutôt semer dans le champ des Écritures spirituelles afin d’en recueillir des fruits, et ne pas emporter une seconde tunique, qu’il n’est pas permis aux Apôtres de posséder.

    Ce texte commence ainsi : « Quando ad intelligentiam provocamur, mysticum monstratur esse quod dictum est. » Quand nous sommes incités à comprendre, cela montre que ce qui est dit est mystique, ou mystérieux. « Que celui qui lit comprenne » (qui legit intelligat), dit l’Evangile. Ce qui est à comprendre n’est pas seulement le sens littéral, c’est surtout la réalité spirituelle qui se cache sous les mots. Saint Jérôme distingue ainsi l’historica interpretatio – l’interprétation historique, et l’intelligentia spiritalis, la compréhension spirituelle. Et quand il emploie le mot « intelligentia », ou le verbe « intelligere », c’est dans le sens « mystique », parce que ce qui est vraiment à comprendre est toujours le sens spirituel. Il est significatif que dans ce bref texte, quand il dit qu’on peut comprendre l’abomination de la désolation comme l’Antichrist ou l’image de César la statue équestre d’Adrien, il n’emploie pas le mot « intelligere » mais « accipere », et quand il dit qu’on peut comprendre cette expression comme « toute doctrine perverse », là il emploie « intelligere ». (Et dans l'épître de ce jour saint Paul dit "intellectus spiritalis".)

  • Ça craint…

    Dernières nouvelles de la planète :

    — Une étude ultra-scientifique publiée par Nature Climate Change nous apprend que le changement climatique fait peser 467 menaces différentes sur la planète. Pas 466 ou 468, exactement 467.

    Une étude ultra-super-scientifique de l’université d’Hawaï nous apprend que « l’humanité va être confrontée aux impacts dévastateurs combinés d’aléas climatiques multiples qui interagissent » : il pourra y avoir jusqu’à six catastrophes climatiques en même temps. Mais pour New York on n’en prévoit que quatre.

    Pour rappel, parmi les dingueries quotidiennes, cette annonce hyper-ultra-super-scientifique qu’en 2048 il n’y aura plus de poissons dans la mer. En 2048 précisément.

    Quant on n’a plus de religion, on a des superstitions. Et pour qu’une superstition s’impose elle doit être apocalyptique. Et aujourd’hui l’apocalypse doit être scientifique. La doublement fausse apocalypse. Car la vraie ne s’annoncera pas, et elle sera autrement plus brutale, et elle finira bien pour les élus…

  • A Rome

    Lu sur New Liturgical Movement :

    L'université pontificale Saint-Thomas d'Aquin à Rome, plus communément appelée Angelicum, a récemment institué deux messes hebdomadaires dans le rite traditionnel. La messe du mardi a lieu dans le rite romain et la messe du jeudi dans le rite dominicain, toutes deux à 12h30. Elles sont célébrées en l'église des Saints Sixte et Dominique, qui se trouve à côté de l'université et qui est administrée par les pères dominicains.

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  • Désinformation épiscopale

    Lu sur le site du diocèse de Tours, à l’occasion de la dédicace de l’église Saint-Pie X de Saint-Cyr sur Loire, qui aura lieu demain :

    L’église St-Pie-X est édifiée alors que se tient à Rome le Concile de Vatican II. Le premier document publié (Constitutions sur la liturgie, le 4 décembre 1963) demande de multiplier les autels provisoires plus proches de l’assemblée et tournés vers elle (tout en maintenant durant la durée de l'expérience, l'ancien autel au fond de l’église).

    Il n’y a strictement rien de tel, ni dans la lettre ni dans l’esprit, dans la constitution conciliaire sur la liturgie. Il est pénible de lire sans arrêt que la messe face au peuple a été demandée par Vatican II, mais sur le site du diocèse de saint Martin, c’est une scandaleuse désinformation.

    De toute façon, pauvre saint Pie X :

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  • Saint Jean de la Croix

    Lettre à un religieux. Traduction de l’abbé Jean Maillart s.j., 1695.

    La paix de Jésus-Christ, mon fils, soit toujours en votre âme. J'ai reçu la lettre de V[otre] R[évérence], où vous me marquez que Notre Seigneur vous a donné de grands désirs de l'aimer seul sur toutes choses, et où vous me demandez quelques avis pour arriver à cette fin. J'ai beaucoup de joie de ces saints désirs, et j'en aurai davantage si vous les mettez à exécution. Pour cet effet, vous ferez réflexion que les goûts et les douceurs que l'âme sent, viennent ordinairement de l'affection des choses qui lui paraissent bonnes, convenables, agréables et précieuses. De sorte que sa passion se réveille, et sa volonté les espère; elle se plaît en elles lorsqu'elle les possède, elle craint de les perdre, et elle s'afflige lorsqu'elle en est privée. Ainsi la diversité de ses mouvements et de ses passions lui cause diverses inquiétudes. Afin que vous puissiez mortifier et éteindre ces différentes passions, vous devez vous persuader que rien de tout ce qui peut contenter le cœur n'est Dieu. Car, comme l'imagination ne peut se représenter Dieu, ni l'entendement le comprendre, de même la volonté ne peut le goûter; et comme l’âme ne peut le posséder en cette vie tel qu'il est en son essence, de même toute la douceur et tout le plaisir, quoique sublimes, qu'elle goûte, ne peuvent être Dieu. En effet, elle ne peut rien désirer qui ne soit un objet particulier et distingué des autres objets, comme elle ne peut rien connaître qu'en particulier et qu'en détail. C'est pourquoi, ne sachant pas ce que c'est que Dieu en lui-même, elle n'en peut avoir le goût; et toutes les puissances de l’âme ne sauraient l'atteindre, parce qu'il surpasse infiniment leur capacité.

    Il est donc nécessaire que l'âme qui veut s'unir à Dieu, étouffe les sentiments de joie que les choses supérieures ou inférieures, temporelles ou spirituelles, lui peuvent imprimer, afin que, purifiée de la sorte, elle s'occupe uniquement à aimer son Créateur. Car, si la volonté peut en quelque façon embrasser Dieu et parvenir à son union, elle ne peut le faire par le moyen de ses passions, mais par le seul amour divin. Et parce qu'il n'y a aucune douceur dont la volonté est capable, qui soit véritablement cet amour, il n'y a aussi aucun sentiment propre à faire l'union de l’âme avec Dieu, hors l'opération de la volonté. Car l'opération de la volonté est fort différente de son sentiment, puisque l'amour est cette opération par laquelle elle s'unit à Dieu, et elle ne s'unit point par le sentiment qui ne réside en l'âme que comme la fin et le terme de son opération.

    J'avoue bien que les sentiments peuvent exciter l'âme à aimer Dieu, lorsque la volonté ne s'y arrête pas et passe plus outre; mais si elle demeure attachée à ces sentiments, ils ne conduiront pas l'âme à Dieu, et ils la retarderont en son chemin. L'opération de la volonté fait un effet contraire, elle engage tellement l'âme à aimer Dieu sur toutes

    choses, qu'elle met en lui seul toute son affection, toute sa joie, tout son goût, tout son plaisir, et qu'elle méprise tout le reste. C'est pourquoi celui que la douceur attire à l'amour de Dieu renonce incessamment à cette douceur pour aimer Dieu purement et sans goût; parce que s'il comptait sur les tendresses sensibles, il les regarderait comme la fin de son amour; et ainsi son amour se terminerait à la créature et non pas au Créateur. La volonté doit donc se borner à l'amour de Dieu qui lui est incompréhensible, et non aux choses créées qui peuvent la toucher sensiblement. Elle aime selon les règles de la foi un objet certain, véritable, infiniment parfait, mais elle l'aime dans l'obscurité de ses connaissances et dans la privation de tout sentiment corporel.

    Ainsi celui-là tomberait dans un grand égarement, qui prendrait la privation des consolations spirituelles pour l'éloignement de Dieu, et l'abondance des délices intérieures pourra présence et pour ses faveurs particulières. Celui-là s'égarerait encore davantage, qui chercherait cette douceur en l'amour de Dieu, et qui s'y plairait. En obéissant à sa passion, il s'attacherait non pas à Dieu, mais au goût sensible ; il n'agirait plus selon la simplicité de la foi, ni selon la pureté de la charité divine. Son amour ne s'élèverait pas au-dessus de tout le créé, et sa volonté ne monterait pas jusques à Dieu, qui est inaccessible à tout ce qui est matériel. L'âme ne peut recevoir les aimables embrassements du Seigneur que dans le dépouillement de tout le sensuel. Le roi-prophète semble nous insinuer cette vérité, lorsqu'il fait dire à Dieu : Ouvrez votre bouche, et je la remplirai. Les sentiments délicieux ferment et serrent la bouche du cœur; l'amour pur l'ouvre et l'élargit, et alors Dieu la remplit, nourrit la volonté et apaise sa faim, Isaïe nous enseigne aussi que le cœur doit avoir soif de Dieu, pour boire ces eaux divines. Vous tous, dit-il, qui brûlez de soif, venez aux eaux, etc. Il invite en cet endroit à l'union divine tous ceux qui n'ont soif que de Dieu, parce qu'ils y trouveront de quoi l'étancher. Il est donc nécessaire que V. R., si elle désire arriver à la perfection, et jouir d'une profonde paix d'esprit, consacre entièrement sa volonté à Dieu pour s'unir à lui, et qu'elle ne l'occupe nullement des choses créées. Je prie la divine Majesté de vous faire un aussi grand saint que je le souhaite.

  • Le cardinal Müller

    LifeSiteNews a publié une grande interview du cardinal Gerhard Müller. On lira avec intérêt la traduction de Jeanne Smits, notamment dans ce qu’il interprète comme l’athéisme qui se répand dans l’Eglise.

    Et voici trois phrases qui ne passent pas inaperçues.

    Lorsque j'étais préfet de la Congrégation pour la foi (2012-2017) personne ne m'a rien dit de ce problème, très probablement parce qu'on aurait craint de ma part une réaction trop « rigide ».

    ...

    Amoris laetitia doit être absolument en accord avec la Révélation, et ce n'est pas à nous d’être en accord avec Amoris laetitia, du moins pas dans l'interprétation qui contredit, de manière hérétique, la Parole de Dieu. Et ce serait un abus de pouvoir que de sanctionner ceux qui insistent pour une interprétation orthodoxe de cette exhortation apostolique et de tous les documents magistériels pontificaux.

    ...

    Il est irritant de voir des personnes sans éducation théologique promues au rang d’évêques qui à leur tour, pensent devoir en remercier le pape au moyen d’une soumission puérile.

    Et cette réponse laconique et lapidaire à une longue question:

    Chacun peut réfléchir aux critères selon lesquels certains sont promus et protégés, tandis que d’autres sont combattus et éliminés.