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  • Décadence sans fin

    Dans la seule journée d’hier :

    — Le président de la République a reçu à l’Elysée une quinzaine (sic) de lobbies d’invertis et travestis, et leur a assuré (puisqu’il fait les lois aussi) que l'extension de la PMA à toutes les femmes serait promulguée en 2019. Toutefois ce ne sera pas facile pour les femmes qui n’ont pas de vagin. Et c’est manifestement discriminatoire envers les hommes qui en ont un.

    — Comme le Président ne peut pas tout faire il laisse les députés voter quelques lois : l'Assemblée nationale a voté la réforme des divorces contentieux pour qu’ils soient plus simples et plus rapides. Il s’agit essentiellement de la suppression de l’audience de conciliation (parce qu’il ne faut pas essayer de se réconcilier) dans les divorces qui ne sont pas « par consentement mutuel » (mutuel veut dire que l’on ne demande pas le consentement des enfants).

    — Haro sur Valérie Pécresse parce que, comme l’a révélé Le Canard enchaîné, le conseil régional d’Ile-de-France accorde une subvention à l’association Marthe et Marie qui accueille des femmes enceintes en difficulté pour leur permettre de garder leur enfant. Valérie Pécresse a tenté de se justifier en disant qu’elle donnait aussi des subventions aux pourvoyeurs d’avortements, mais ça ne marche pas : il est obligatoire de donner aux avorteurs et aux propagandistes de l’avortement parce que c’est un droit fondamental des femmes, il est interdit de donner à ceux qui veulent aider les femmes enceintes parce que c’est de l’obscurantisme réactionnaire.

  • Saint Clément Ier

    Lettre de saint Clément aux Corinthiens, 45-50 :

    Vous rivalisez d'ardeur, frères, dans les choses du salut. Vous vous êtes longuement penchés sur les Écritures saintes, qui sont véridiques, qui nous viennent du Saint-Esprit Vous savez quelles ne contiennent ni injustice, ni fausseté. Vous n'y trouverez pas que des justes aient été chassés par des hommes pieux. Les justes ont été persécutés, mais par des pécheurs ; emprisonnés, mais par des impies ; lapidés, mais par des méchants ; mis à mort, mais par des hommes remplis d'une honteuse et criminelle jalousie. Ces souffrances, ils les ont endurées glorieusement.

    Que dire en effet, frères ? Est-ce par des hommes craignant Dieu que Daniel a été jeté dans la fosse aux lions ? Ananias, Azarias et Misaël, est-ce par des serviteurs doués au service inestimable et glorieux du Très-Haut, qu'ils ont été jetés dans la fournaise ardente ? En aucune façon. Qui donc les traitait de la sorte ? Des individus odieux, remplis de toute espèce de malice, et qui excitèrent leur rage jusqu'à livrer aux tortures des serviteurs de Dieu, saints et irréprochables, ignorant que le Très-Haut protège et défend ceux qui servent son saint nom en toute pureté de conscience. A Lui soit la gloire dans les siècles des siècles. Amen.

    Quant à ceux qui ont souffert avec confiance, la gloire et l'honneur ont été leur héritage, Dieu les a exaltés et les a inscrits dans le livre, pour y conserver leur mémoire aux siècles des siècles. Amen.

    C'est à ces exemples que nous devons, nous aussi, adhérer, frères. "Attachez-vous aux saints, car en s'attachant à eux on se trouve sanctifié " Et dans un autre endroit : " Tu seras pur avec le pur, élu avec l'élu, mais rusant avec le fourbe" (Ps 17, 26-27). Attachons-nous donc aux hommes purs et justes, car ce sont eux qui sont les élus de Dieu. Que signifient parmi vous les querelles, les éclats, les dissensions, les schismes et la guerre ? N'avons-nous pas un seul Dieu, un seul Christ, un seul esprit de charité répandu sur nous, une seule vocation dans le Christ ? Pourquoi déchirer et écarteler les membres du Christ ? Pourquoi vous révolter contre votre propre corps ? en venir à ce point de démence d'oublier que nous sommes membres les uns des autres ? Souvenez-vous des paroles de Jésus, Notre Seigneur : "Malheur à cet homme! Mieux vaudrait pour lui n'être pas né que de scandaliser un seul de mes élus ! Mieux vaudrait pour lui se voir passer autour du cou une pierre à moudre et être précipité dans la mer que de pervertir un seul de mes élus" (Mt 26, 24 ; Lc 17, 2).

    Or, votre schisme en a perverti beaucoup, il en a jeté beaucoup dans le découragement, beaucoup dans le doute, nous tous dans la tristesse !
    Et votre querelle se prolonge !

    Reprenons la lettre du bienheureux Apôtre Paul. Que vous a-t-il écrit dans les commencements de l'Évangile ? En vérité, il était inspiré par l'Esprit lorsqu'il vous a écrit au sujet de Céphas et d'Apollos, car à cette époque déjà vous formiez des partis ; mais cela vous rendait alors moins coupables, car vos partis se formaient autour d'Apôtres autorisés ou d'hommes éprouvés par eux. Mais aujourd'hui voyez quels hommes vous ont troublés et comment se sont affaiblis votre charité fraternelle et le renom de sainteté qu'elle vous donnait.

    C'est une honte, bien-aimés, une honte par trop grande ; c'est indigne d'une conduite soumise au Christ qu'on raconte que l'Église de Corinthe s'est révoltée contre ses presbytres à cause d'un ou deux individus. Et le bruit n'en est pas venu seulement jusqu'à nous, mais aussi jusqu'à ceux qui ne partagent pas notre foi, de sorte que le nom du Seigneur est blasphémé à cause de votre folie, et que vous vous exposez vous-mêmes à des dangers.

    Faisons donc disparaître ce mal au plus vite, et jetons-nous aux pieds du Maître et supplions-le avec larmes de se montrer favorable, de nous réconcilier, de rétablir chez nous la pratique pieuse et sainte de la charité fraternelle. Car la charité est une porte de justice qui s'ouvre sur la vie, selon qu'il est écrit : "Ouvrez-moi les portes de justice, j'entrerai et je rendrai grâce au Seigneur. C'est ici la porte du Seigneur, c'est par elle que les justes entreront" (Ps 117,19-20).

    Beaucoup de portes nous sont ouvertes : celle de la justice est celle du Christ. Bienheureux ceux qui entrent et dirigent leur marche "dans la sainteté et la justice" (Lc 1, 75), et qui accomplissent sans désordre tous leurs devoirs !

    Quelqu'un est-il fidèle, capable d'exposer une connaissance, quelqu'un est-il sage dans le discernement des discours, ou chaste dans sa conduite ? Il doit être d'autant plus humble qu'il paraît plus grand, et chercher l'utilité commune de tous et non la sienne.

    Les sommets où nous porte la charité sont ineffables. La charité nous unit à Dieu, "la charité couvre une multitude de péchés" (1 P 4, 8). La charité supporte tout, la charité est longanime ; rien de mesquin dans la charité, rien d'orgueilleux. La charité ne fait pas de schisme, ne fomente pas de révolte ; elle accomplit toutes choses dans la concorde ; c'est la charité qui fait la perfection de tous les élus de Dieu ; sans la charité, rien n'est agréable à Dieu. C'est dans la charité que le Maître nous a tirés à lui ; c'est à cause de la charité qu'il a eue pour nous, que Notre Seigneur Jésus-Christ a donné son sang pour nous, selon le dessein de Dieu, sa chair pour notre chair, son âme pour nos âmes.

    Vous voyez, bien-aimés, combien la charité est chose grande et admirable, et il n'est pas possible d'en expliquer la perfection. Qui peut être trouvé capable d'y atteindre, sinon celui à qui Dieu en a fait la grâce ?

    Prions-le donc, et demandons à sa miséricorde d'être trouvés dans la charité, loin de toute acception de personnes, exempts de reproches. Toutes les générations, depuis Adam jusqu'à ce jour, ont passé, mais ceux qui ont été trouvés dans la charité par la grâce de Dieu demeurent dans le séjour des saints, qui se manifesteront lorsque apparaîtra le royaume du Christ. Il est écrit en effet : "Entrez dans vos chambres un instant, jusqu'à ce que soient passées ma colère et ma fureur ; et je me souviendrai d'un jour favorable, et je vous ferai remonter du tombeau" (Is 26, 20 ; Ez 37, 12).

    Heureux sommes-nous, bien-aimés, si nous accomplissons les commandements de Dieu dans la concorde de la charité, afin que nos péchés nous soient remis à cause de la charité. Il est écrit en effet : "Heureux qui est acquitté de son péché, absous de sa faute. Heureux l'homme à qui le Seigneur n'impute aucun tort et dont la bouche est sans fraude " (Ps 31,1-2).

    Cette béatitude s'adresse à ceux qui ont été élus de Dieu par Notre Seigneur Jésus-Christ, à qui soit la gloire dans les siècles des siècles. Amen.

  • Incroyable république

    Le parquet général de Rennes a formé aujourd'hui un pourvoi en cassation après la décision de la cour d'appel d'autoriser le petit Fañch, 19 mois, à garder son tilde.

    Ils n’ont vraiment rien d’autre à faire, et ils n’ont plus d’autres principes à faire respecter que des vieilleries jacobines…

  • Alerte !

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    Heureusement que la municipalité de Strasbourg est là pour nous alerter sur les vrais dangers. Aux élections européennes, il faut absolument voter. Pour contrer l’effroyable menace que fait peser Donald Trump…

    Est-ce qu’à Strasbourg on a interverti l’asile d’aliénés et l’hôtel de ville ?

  • La pilule

    L’Agence européenne du médicament réclame une modification de la notice des pilules de contraception hormonale pour « mettre en garde contre les risques de dépression et de suicide ». Elle s’appuie sur une étude danoise réalisée en 2017 : sur 500 000 femmes prenant la pilule, 69 999 ont tenté de se suicider et 71 se sont suicidées.

    Il semble que seuls les journaux suisses (20 minutes Suisse, Nouvelliste) en parlent, du moins dans la presse francophone.

  • Vincent Lambert

    Les experts mandatés par la justice estiment que Vincent Lambert est dans un « état végétatif chronique irréversible » : « dans un état d'incapacité fonctionelle psycho-motrice totale en 2018 comparable cliniquement à celui enregistré en 2014 ». Ils ne reconnaissent aucune amélioration, mais ils considèrent aussi, et c’est le plus important, que l’alimentation et l’hydratation du patient ne relèvent pas « de l’acharnement thérapeutique ou d’une obstination déraisonnable ». Ils concluent en faveur du transfert de Vincent Lambert dans un établissement spécialisé pour qu’il puisse accéder aux meilleurs soins « si le maintien au CHU de Reims s'avérait impossible pour des raisons autres que relevant de la simple technique médicale ».

    Le tribunal administratif de Châlons-en-Champagne examinera les suites à donner au rapport le 19 décembre.

  • Dérive

    Comme toute loi de transgression morale, la loi Leonetti ne peut que conduire à des dérives. En voici une évidente.

    Léah est une jeune femme handicapée de 19 ans. Elle est atteinte du syndrome de l’hémiplégie alternante de l’enfance, qui a retardé son développement moteur et mental et provoque régulièrement des crises d’épilepsie. Dernière crise en date, le 19 août dernier, qui l’a obligée à un séjour de deux mois en réanimation au CHU de Caen. Sédatifs et respirateur artificiel lui ont de nouveau sauvé la vie, comme à chacune de ses crises.

    Mais cette fois, les médecins ont jugé que la durée d’hospitalisation avait été trop longue. Ils ont décidé que les soins de Léah relevaient de l’« obstination déraisonnable ». Ils ont envoyé un mail à l’avocat des parents pour notifier, en s’appuyant sur la loi Leonetti, qu’ils ne comptaient plus la soigner à sa prochaine crise.

    Dénonçant une décision « cynique et incompétente », Frédéric Zerbib, l’avocat des parents, s’est insurgé : « Cette loi est contre les traitements inutiles, disproportionnés et lorsqu’ils n’ont d’autres effets que le maintien artificiel en vie ! Mais pour elle la réanimation a montré toute son utilité. La raison avancée est le profond handicap mental et moteur de la patiente. Rien à voir avec la loi Leonetti ».

    Entre deux crises, Leah mène pourtant une vie heureuse, en IME le jour, en famille le soir. Elle ne parle pas, mais exprime très bien sa volonté et ses préférences à l’aide de signes. Pour l’audience au tribunal, les parents ont tourné des petites vidéos, montrant une Léah « réactive, parfois souriante et capable de comprendre et d’exécuter des ordres simples ».

    Les parents, domiciliés à Fourneville dans le Calvados, ont saisi la justice en référé.

  • Pas encore mûre…

    L’autorité judiciaire française n’est pas encore mûre pour reconnaître le « déni d’enfant », semble-t-il. En effet, le parquet général fait appel du jugement de la mère de la petite fille qui avait vécu ses deux premières années sans soins dans un coffre de voiture et qui est gravement autiste.

    La mère a été condamnée en théorie à cinq ans de prison dont trois avec sursis, mais on a aussitôt évoqué un aménagement de peine qui lui permettrait d’échapper à la prison.

  • En Chine

    Les autorités ont démoli sans préavis, le 11 novembre, l’église et tous les bâtiments de la paroisse catholique de Chaocheng, construits en 1930… dans le style chinois. Les bâtiments étaient originellement ceux du couvent des Sœurs de Notre Dame de Chine, repliées à Taiwan après la Seconde Guerre mondiale.

    Comme le motif de la « sinisation » ne tenait pas, les autorités prétendent que les bâtiments furent construits sans autorisation…

    C’est la quatrième église détruite dans la province de Shandong depuis le début de l’année.

  • Sainte Cécile

    Le mercredi 20 octobre 1599, le cardinal [Sfondrate] commanda d'enlever le pavé aux abords de l'autel. On déblaya ensuite la terre qui se trouvait sous les dalles, et on dégarnit les fondations du mur qui fermait l'enceinte souterraine. Ce mur ayant été attaqué lui-même, et une ouverture pratiquée avec beaucoup d'efforts dans son épaisseur, les regards pénétrèrent enfin dans l'espace vide qui s'étendait sous l'autel. Deux sarcophages de marbre blanc, placés côte à côte, à 3 pieds au-dessous du sol, apparurent aux yeux de Sfondrate.

    Transporté d'une sainte joie, le cardinal songe à s'entourer de témoins respectables avant de procéder à l'ouverture des tombeaux. Il mande aussitôt l'évêque d'Isernia, vice-gérant du cardinal-vicaire; Jacques Buzzi, chanoine de la congrégation de Latran, et les Pères Pierre Alagona et Pierre Morra, de la Compagnie de Jésus. Ils arrivèrent bientôt accompagnés de plusieurs personnes de la maison du cardinal.

    Après une nouvelle reconnaissance des lieux, on s'empressa d'ouvrir le premier tombeau, celui qui se trouvait le plus près de l'entrée du souterrain. Les ouvriers ayant enlevé la table de marbre qui le recouvrait, on aperçut dans l'intérieur un coffre en bois de cyprès. Ce cercueil ne présentait aucune trace de serrure, et la planche du dessus n'était point fixée avec des clous. Elle était fort mince et retenue au moyen d'une coulisse, en dedans de laquelle on pouvait la faire aller et venir. Sfondrate et les assistants furent quelque temps incertains sur les moyens qu'il leur fallait prendre pour ouvrir cette arche sacrée, que déjà tant d'indices leur désignaient comme celle-là même où reposait Cécile. Enfin le cardinal découvrit lui-même le moyen à employer, et de ses mains, tremblantes d'émotion, il enleva respectueusement le frêle obstacle qui dérobait la vue du corps de la vierge.

    Le moment fut solennel. Après huit siècles d'obscurité et de silence, Cécile apparaissait encore une fois aux yeux des fidèles du Christ, dans l'ineffable majesté de son martyre. C'était bien encore dans l'intérieur du cercueil l'étoffe précieuse, quoique un peu fanée par le temps, dont Paschal avait fait garnir les parois. Les siècles avaient respecté jusqu'à la gaze de soie que le pontife avait étendue sur les restes glorieux de Cécile, et à travers ce voile transparent, l'or dont étaient ornés les vêtements de la vierge scintillait aux yeux des spectateurs. (…)

    Mais qui n'eût aspiré à contempler de plus près la dépouille mortelle de l'épouse du Christ? Sfondrate leva enfin avec un profond respect le voile qui recouvrait le trésor que les mains d'Urbain et de Paschal avaient successivement confié à la terre, et les assistants eurent sous les yeux Cécile elle-même, dans toute la vérité de son sacrifice.

    Elle était revêtue de sa robe brochée d'or, sur laquelle on distinguait encore les taches glorieuses de son sang virginal; à ses pieds reposaient les linges teints de la pourpre de son martyre. Etendue sur le côté droit, les bras affaissés en avant du corps, elle semblait dormir profondément. Le cou portait encore les cicatrices des plaies dont le glaive du licteur l'avait sillonné; la tête, par une inflexion mystérieuse et touchante, était retournée vers le fond du cercueil. Le corps se trouvait dans une complète intégrité, et la pose générale, conservée par un prodige unique, après tant de siècles, dans toute sa grâce et sa modestie, retraçait avec la plus saisissante vérité Cécile rendant le dernier soupir, étendue sur le pavé de la salle du bain. On se croyait reporté au jour où le saint évêque Urbain avait renfermé dans l'arche de cyprès le corps de Cécile, sans altérer en rien l'attitude que l'épouse du Christ avait choisie pour exhaler son âme dans le sein de son Epoux. On admirait aussi la discrétion de Paschal qui n'avait point troublé le repos de la vierge, et avait su conserver à la postérité un si grand spectacle.

    (Dom Guéranger, Sainte Cécile et la société romaine, ch. 22)

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    On demanda au sculpteur Stefano Maderno d’immortaliser dans le marbre le corps de sainte Cécile tel qu’il était apparu. Ce fut le chef-d’œuvre de Maderno qui ensuite, éclipsé par le Bernin, se fit douanier… En réalité, si Maderno était très habile à reproduire ce qu’il voyait, le chef-d’œuvre est la sainteté de Cécile…

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    C’est dans l’église Sainte-Cécile du Trastevere, construite sur la maison de la martyre au Ve siècle. Elle avait été rénovée au IXe siècle par le pape Pascal qui découvrit le tombeau après une vision. L’église a été refaite à l’âge baroque, mais on a gardé la mosaïque qui représente le Christ avec sainte Cécile, d’autres saints, et le pape saint Pascal représenté (à gauche) avec une auréole carrée, ce qui montre que la mosaïque a été réalisée de son vivant.

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