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Le chocolatier belge Godiva a été acheté par un groupe turc. Conséquence : il ne fabrique plus de pralines à l’alcool.
Face aux interrogations des amateurs, la direction répond de façon pitoyable et stupide :
« La stratégie est d’offrir une même gamme à tout un chacun. Les pralines avec de l’alcool s’adressent uniquement aux adultes or nous avons la volonté d’offrir nos produits de manière universelle au plus large panel possible. »
Il est urgent que Godiva change de logo… et de nom, puisqu’il s’agit de la fameuse lady Godiva qui selon la légende avait traversé Coventry entièrement nue sur un cheval… Tout au moins il serait indiqué de lui mettre un niqab.
Qu'il donne force à nos actes, qu'il brise les dents de l'ennemi, qu'il aide dans les circonstances difficiles, qu’il nous donne la grâce de bien faire.
Il y a 50 ans, le dimanche 3 septembre 1967, Mgr Pierre Boussard, évêque de Vannes, consacrait l’autel et bénissait la chapelle de Notre Dame de Joie, accolée au château de Pontcalec.
(Notre Dame de Joie, correspondance de l'abbé Berto, Nouvelles Editions Latines)
Panem de cælo dedísti nobis, Dómine, habéntem omne delectaméntum et omnem sapórem suavitátis.
Un pain qui vient du ciel, tu nous as donné, Seigneur, ayant toute délectation et toute la saveur de la suavité. (Sagesse XVI. 20.)
Dans le sens littéral du livre de la Sagesse, c'est de la manne qu'il s'agit, aliment qui vraiment venait du ciel et qui était toute saveur. C'était la figure de l'Eucharistie.
Ici c'est la réalité qui est chantée, le Pain Eucharistique. Vrai pain du ciel, car il est le corps du Verbe Incarné dont la vision rassasie dans l'éternité les Anges et les Bienheureux. Nourriture de notre vie spirituelle aussi, en ce sens que la grâce du sacrement, en augmentant la foi, l'espérance et la charité, entretient en nous la pensée du Christ-Jésus et nous incite à nous donner de plus en plus à lui. Placés ainsi sans cesse, de toute la force de notre libre vouloir, sous son influence, ne n'est plus nous qui vivons, c'est lui qui vit en nous, nourrissant notre intelligence et notre volonté de sa propre lumière et de sa propre joie.
C'est cette lumière et cette joie que l'Église communiante chante ici.
Une belle phrase, d'abord réservée, qui monte en joie enthousiaste sur Domine et qui se détend sur omne delectamentum en un motif très gracieux, retenu par la tristropha, le salicus, la clivis allongée, le porrectus, comme pour évoquer à loisir toutes les joies de l'amour. Elle se relie très étroitement à la suivante qui reprend l'idée de délectation et la développe sur suavitatis en un motif d'une exquise suavité.
Le torculus la-do-fa, relié au salicus et les quatre notes qui suivent, retenues par le quilisma, sont admirables de grâce souple et légère.
Dom Baron
Dans la vidéo les moines de Triors font suivre l’antienne du premier verset du psaume 77, qui est le psaume correspondant à l'antienne puisque c'est celui qui parle également de la manne :
Et mandávit núbibus désuper * et jánuas cæli apéruit Et pluit illis manna ad manducándum * et panem cæli dedit eis Panem angelórum manducávit homo * cibária misit eis in abundántia
Et il commanda aux nuées d’en haut, et il ouvrit les portes du ciel. Et il fit pleuvoir sur eux la manne à manger, et le pain du ciel il leur donna. L’homme mangea le pain des anges ; il leur envoya de la nourriture en abondance.
Le Dr Adrian Owen, chercheur en imagerie et neuroscience cognitive à l’université de l’Ontario de l’ouest, au Canada, a mis au point une méthode pour permettre aux patients en état végétatif (« en état d’éveil non-répondant, ne présentant aucun signe extérieur de conscience ») de communiquer en répondant à des questions par oui ou non, qu’il raconte dans son livre Into the grey zone sur le point de sortir.
C’est le résultat de 20 ans de travail.
La première patiente avec laquelle il a travaillé en 1997, une fois sortie son coma, l’a encouragé à poursuivre ses recherches : « Je ne donnais aucune réponse et j'étais enfermée, sans espoir, mais le scanner a montré au monde que j’étais là. C’était magique, ce scanner m’a trouvée ».
En 2006 il a prouvé que l’IRM pouvait permettre de détecter des réponses de patients ne présentant aucun signe de conscience.
En 2011, il a montré qu’on pouvait obtenir les mêmes résultats par l’électroencéphalographie, qui coûte moins cher que l’IRM et qui est surtout transportable.
Mais il souligne que cela ne fonctionne que chez un patient sur cinq : si le cerveau n’est pas trop endommagé.
Une mère britannique s’est indignée que Disneyland Paris ait refusé à son fils de 3 ans l’accès à l’activité « princesse d’un jour » (déguisement et maquillage). « Il porte sa robe chérie d’Elsa ["La Reine des neiges"] toute la journée, tous les jours… Il refuse même de l’enlever lorsqu’il doit aller se coucher », dit-elle…
Disneyland Paris a présenté ses excuses à la mère pour avoir fourni « une information erronée », et un porte-parole a souligné à ITV que c’était un « incident isolé qui ne reflète pas la politique ou les opinions de Disneyland Paris», qui est attaché à la « diversité »…
Ce message a été affiché dans les halls de deux tours du quartier des Izards, à Toulouse, où les trafiquants de drogue ont installé leur QG (au point de mettre des barrières de chantier dans les escaliers pour empêcher le passage – les habitants doivent prendre l’ascenseur).
On goûtera le style très particulier, voire recherché (« assumerais ») du message, mais il ne dit pas ce qui se passe quand on prévient qu’on est complice de la police…
Sharon Masih avait 15 ans, il était lycéen à Burewala, non loin de Multan au sud du Pendjab (Pakistan). Il subissait régulièrement des menaces voire des violences de la part de plusieurs de ses camarades musulmans qui voulaient qu’il se convertisse à l’islam. Le 30 août il a été une fois de plus pris à partie. La violence a monté et à force d’être frappé Sharon Masih s’est écroulé sans connaissance. Il a été transporté à l’hôpital mais il était déjà mort.
« La violence commence sur les bancs des écoles, dans la mesure où les manuels utilisés à partir de l’école primaire instillent chez les élèves la haine et l’intolérance envers les non musulmans » explique à l’agence Fides Anjum James Paul, enseignant chrétien pakistanais et président de la Pakistan Minorities Teachers’ Association (PMTA).
Il ne faut pas regarder bien loin pour constater les conséquences malheureuses du rejet du plan de Dieu pour l’intimité et l’amour humain. La libération sexuelle que le monde promeut ne tient pas ses promesses. Au contraire, la promiscuité est la cause de tant de souffrances inutiles, de cœurs brisés, de solitudes et du fait de considérer les autres comme des moyens de satisfaction sexuelle. En tant que mère, l’Eglise cherche à protéger ses enfants du mal du péché, comme expression de sa charité pastorale.
Dans son enseignement sur l’homosexualité, l’Eglise guide ceux qui la vivent en distinguant leurs identités de leurs attirances et de leurs actions. Tout d’abord il y a les personnes elles-mêmes qui sont bonnes en soi puisqu’elles sont enfants de Dieu. Ensuite, il y a les attractions vers le même sexe, qui ne sont pas peccamineuses si elles ne sont pas voulues ni suivies mais qui contrastent toutefois avec la nature humaine. Enfin, il y a les rapports de même sexe qui sont des péchés graves et qui nuisent au bien-être de ceux qui y prennent part. Ceux qui s’identifient comme membres de la communauté LGBT méritent qu’on leur dise cette vérité dans la charité, tout particulièrement de la part des prêtres qui parlent au nom de l’Eglise sur un sujet aussi complexe et délicat.