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Genre princesse

Une mère britannique s’est indignée que Disneyland Paris ait refusé à son fils de 3 ans l’accès à l’activité « princesse d’un jour » (déguisement et maquillage). « Il porte sa robe chérie d’Elsa ["La Reine des neiges"] toute la journée, tous les jours… Il refuse même de l’enlever lorsqu’il doit aller se coucher », dit-elle…

Disneyland Paris a présenté ses excuses à la mère pour avoir fourni « une information erronée », et un porte-parole a souligné à ITV que c’était un « incident isolé qui ne reflète pas la politique ou les opinions de Disneyland Paris», qui est attaché à la « diversité »…

Commentaires

  • Cela prouve qu'à Disneyland Paris il y a encore des employés pas encore Complétement-Tarés-Théorie-du-Genre (CTTG), à ne pas confondre avec la CGT, bien qu'il y ait probablement beaucoup de CTTG à la CGT.
    Vu la politique ou les opinions de Disneyland Paris, ces employés risquent le licenciement pour non respect de la politique CTTG de la maison Disney.
    Ce n'est pas moi qui emmènerai des enfants dans ce parc d'attractions.

  • Il faudrait connaître le vécu de cet enfant, on omet souvent de le faire quand on constate comme inéluctable, presque "naturel", des comportements anormaux au sens naturel du terme.
    Ces employés doivent être musulmans.
    Quand à cette mère, qu'elle trouve un bon psychologue chrétien, surtout pas un psychanalyste freudien, pour son enfant. Et qu'elle emmène son enfant au Puy du Fou, elle lui évitera la propagande abêtissante de Disney.

  • Moi qui voudrait défiler le 14 juillet avec les gens de Polytechnique , j'espère enfin avoir gain de cause, Pourquoi eux et pas moi ?

  • @Bébert
    Si vous dites que vous vous sentez du "genre" polytechnicien, vous avez des chances. Si vous préférez défiler avec le FLN le 14 juillet, ce sera accepté tout de suite, genre ou pas genre.

  • Ce n'est pas la nature qui fabrique les homosexuels, ce sont les mères. La mère est naturellement castratrice. Regardez donc comment se comporte une femme avec son chat ou son chien; la première chose qu'elle fait, c'est de le faire châtrer pour qu'il ne cherche pas l'aventure au dehors et reste sous sa coupe. Qui n'a pas entendu ce dialogue entre deux femmes à propos d'un nouveau-né. Ah, c'est le bel âge. Ah oui c'est l'âge où on les a bien à soi. Ce comportement est tout à fait naturel, comme il est tout à fait naturel à l'homme, au père d'arracher son enfant des bras de son épouse pour le projeter dans le monde.
    Quant à l'entreprise Walt-Disney.... ses clients chrétiens sont les mêmes que ceux qui ont voté pour Macron, des dégénérés. (*)
    (*) ce mot est à prendre au sens propre, tel que donné par Wikipédia: Dégénéré provient du latin signifiant dénué de genre.
    Utilisé à l'origine pour qualifier les créatures au genre difficilement identifiables, tel que les hermaphrodites, les androgynes, les ambigus, les interlopes, et les transgenres.
    Détourné de son sens initial neutre vers le péjoratif pour devenir synonyme de bâtard, de métis, d'étranger, d'impur, de païen, de bestial ou de primitif par le clergé pour ostraciser les individus n'entrant pas dans les normes établies par celui-ci, ou refusant de s'y fondre.

  • Philippe,
    Quel type odieux et misogyne vous faites, bravo pour le catalogue, ça juste tellement plaisir...
    Merci Philippe...

  • Bonjour je suis une mère et je pense que Philippe a raison. J'ai trois fils et je vois bien que j'ai tendance à être très protectrice et aussi à développer plus leurs capacités artistiques ou affectives. Je suis heureuse d'avoir un mari qui tient son rôle en les emmenant faire des activités plus "viriles" car ce n'est pas moi qui le ferai. A Rome les enfants étaient confiés aux femmes jusqu'à 7 ans, puis aux hommes. Je pense que c'était un bon équilibre. Il n'y a rien de misogyne à dire que chacun a son rôle.

    Concernant le fait que des garçons aiment mettre une jupe, là encore, il ne faut pas se faire de frayeurs tout en sachant mettre tellement en valeur son fils comme "petit homme" que peu à peu de lui-même il ne verra ses déguisements que comme des moments de rigolade. Je n'irais pas jusqu'à interdire la jupe à mes fils, parfois ils s'amusent à mettre les costumes de ma fille et c'est très drôle. Savoir distinguer les deux. A une époque où les hommes portaient moult rubans, ils étaient aussi très prompts à se précipiter sur les champs de bataille.

    Je pense que c'est la mère ici qui est à mettre en psychiatrie. Elle doit être gênée par le petit appendice de son fils, probablement. Avec la volonté de puissance et de transformation qui caractérise notre société, chacun a l'impression qu'il va pouvoir transformer autour de lui la nature des choses et surtout des gens: les obliger à être autrement, à penser comme ceci ou cela. Ajoutez à cela la perte totale du sens de l'héritage (ce que nous devons à ceux qui nous ont précédés: notamment notre corps, mais aussi notre culture) eh bien on aboutit à l'idée que n'importe qui se dit qu'il peut transformer n'importe qui d'autre et que c'est normal. C'est ça, le changement permanent, la fluidité de tout, le transitoire comme norme. "no limit".


    Elle ne se rend pas compte qu'il serait bcp plus rassurant pour son fils qu'elle lui dise: "je t'aime comme tu es, tu as un beau corps de garçon, je suis fière que tu sois un garçon". "Un jour tu me quitteras et tu iras fonder un foyer": voilà ce qu'elle veut exorciser... Elle veut garder sa poupée à la maison avec la jolie robe d'Elsa... Pour éviter de regarder sa propre folie elle accuse les autres.

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