Ce message a été affiché dans les halls de deux tours du quartier des Izards, à Toulouse, où les trafiquants de drogue ont installé leur QG (au point de mettre des barrières de chantier dans les escaliers pour empêcher le passage – les habitants doivent prendre l’ascenseur).
On goûtera le style très particulier, voire recherché (« assumerais ») du message, mais il ne dit pas ce qui se passe quand on prévient qu’on est complice de la police…
Commentaires
On appréciera surtout la peine inutile qu'ils se donnent : il est bien évident que la police n'a absolument pas besoin de complicité pour arrêter un trafic à ciel ouvert. Si la police le voulait, elle pourrait intervenir. Avec ou sans "complices", elle ne fera rien. Elle a mis deux ans à venir arrêter le trafic de voitures qui se faisait quotidiennement en pleine rue en face du collège où je travaille. Pourquoi avoir attendu 2 ans? ben, comme ça...
Les Français n'ont que ce qu'ils méritent.
La police s'adapte à l'attitude scandaleuse des magistrats qui relâchent presque immédiatement les trafiquants. Les policiers devraient refuser les missions de protection des magistrats et les laisser tous seuls dans les salles d'audience.