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  • Les 17 héros tchèques sortent une nouvelle carte

    Les 17 sénateurs qui ont déposé le 29 septembre un recours devant la Cour constitutionnelle tchèque contre le traité de Lisbonne vont y ajouter des points supplémentaires.

    « Ce sont des points qui concernent le traité de Rome ou l'amendement de Lisbonne au traité », a déclaré Jiri Oberfalzer, le chef de file de ces sénateurs. Un de ses collègues a précisé que leur teneur sera divulguée quand ils auront été soumis à la Cour.

    Petite explication de la phrase de Jiri Oberfalzer : il n'y a juridiquement qu'un seul traité européen, à savoir le traité de Rome, modifié par le traité de Maastricht, modifié par le traité d'Amsterdam, modifié par le traité de Nice, modifié par le traité de Lisbonne. D'où l'expression « amendement de Lisbonne au traité ». Si les sénateurs en viennent à poser des questions sur le traité de Rome lui-même, on n'est pas sorti de l'auberge. (Et on ne s'en plaindra pas...)

    Le secrétaire de la Cour constitutionnelle, Tomas Langasek, a déclaré que toute nouvelle démarche, quelle qu'elle soit, complique le travail de la Cour, qui n'a pas d'autre choix que de l'examiner, ce qui retardera d'autant l'examen du recours. Le début de cet examen était initialement prévu la semaine prochaine.

    Mais non, Vaclav Klaus n'est pas seul !

  • La citation du jour

    Jean-Claude Gaudin, dans l'émission Vie privée Vie publique, sur France 3, le 9 octobre :

    « J'aide, si vous voulez, un peu, l'école catholique, parce que l'école catholique à Marseille a 12 écoles catholiques dans le secteur Nord de Marseille où la plupart des enfants sont musulmans. »

  • Saint Edouard le Confesseur

    Neveu du Martyr du même nom, Edouard s'est vu attribuer devant les hommes et devant Dieu le beau titre de Confesseur. L'Eglise, dans le récit de sa vie, relève avant tout les vertus qui lui méritèrent une appellation si glorieuse ; on ne doit pas négliger toutefois de saluer dans son règne de vingt-quatre ans l'un des plus fortunés que l'Angleterre ait connus. Les Danois, si longtemps maîtres, soumis au dedans pour toujours, au dehors contenus par la fière attitude du prince ; Macbeth, l'usurpateur du trône d'Ecosse, vaincu dans une campagne que Shakespeare a immortalisée ; et ces lois d'Edouard restées jusqu'à nos temps l'une des bases du droit britannique ; et sa munificence pour toutes les nobles entreprises, dans le même temps qu'il trouvait le secret de réduire les charges de son peuple : tout montre assez que le plus suave parfum des vertus qui firent de lui l'intime de Jean le bien-aimé, n'a rien d'incompatible en histoire avec la grandeur des rois.

    (Dom Guéranger)

  • Le gouvernement tchèque "prêt à négocier"

    Le gouvernement tchèque s'est réuni pour examiner la demande de Vaclav Klaus. Le Premier ministre Jan Fscher a déclaré :

    « Après avoir minutieusement évalué tous les aspects nationaux et internationaux, le gouvernement déclare qu'il est prêt à négocier avec ses partenaires européens une solution possible à la situation présente. »

    Il ne suggère aucune « solution » précise mais juge qu'elle doit être trouvée au prochain Conseil, les 29 et 30 octobre, car le suivant, en décembre, serait trop tardif pour que le traité puisse être définitivement ratifié avant la fin de l'année, ce qui est toujours son objectif...

    Le principal conseiller politique de Vaclav Klaus, Ladislav Jakl, a déclaré à l’Irish Times qu'il n'était pas question d'accepter de pseudo garanties à l'irlandaise : « Le président ne se satisfera pas d’une quelconque déclaration, mais de garanties réelles pour tous les citoyens. Pour lui, cette condition est fondamentale, nécessaire, incontournable. »

  • Sarkozy laisse se répandre l’anarchie

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Les émeutes d'une supposée « ultra gauche » à Poitiers et les émeutes de « jeunes » supporteurs de l'équipe algérienne de football à Marseille, accompagnées de leur lot de violences contre les biens, les personnes, et les forces de l'ordre, soulignent la dégradation continue de la situation.

    La gravité des faits, à Poitiers et à Marseille, oblige les médias à en parler. Mais partout en France se produisent des faits de ce genre, qui, s'ils sont moins spectaculaires, pourrissent tout autant la vie de nos concitoyens.

    On constate que les forces de l'ordre n'ont plus jamais la maîtrise de la situation. Cela vient de ce qu'ils reçoivent des ordres paralysants, de la part d'une hiérarchie tétanisée par la peur de la « bavure ». Les policiers sont en vérité livrés aux hordes qui peuvent les attaquer impunément.

    Telle est la politique de Nicolas Sarkozy, qui a rangé son Kärcher avant de s'en servir, et laisse se développer l'anarchie.

  • Le pitoyable cirque de la présidentielle afghane

    Pour la seconde fois en moins d'une semaine, la Commission des plaintes électorales (ECC) a changé les règles de recomptage des voix du premier tour de l'élection présidentielle du 20 août en Afghanistan (il y a plus de sept semaines) pour revenir à une procédure favorisant le chef de l'Etat sortant.

    Tous les détails de la sordide cuisine dans cette dépêche de Reuters.

    Lire la suite

  • La dictature européenne

    Lu sur le site de radio Prague :

    « Selon un article du journal britannique The Sunday Times, des diplomates européens, notamment allemands et français, réfléchissent à une façon de « dépasser l'obstacle Klaus », soit en destituant le président Klaus, soit en modifiant la constitution tchèque, pour retirer au président son droit de veto. »

    Sic. L'article est .

    Toutefois il leur faut des complices en République tchèque. Or, non seulement le gouvernement intérimaire de Jan Fscher n'a aucunement l'intention de destituer Klaus ou de modifier la Constitution, mais l'Associated Press note :

    « Dimanche, plusieurs influentes personnalités politiques tchèques ont laissé entendre que l'exigence de Vaclav Klaus sur la charte des droits fondamentaux n'était pas totalement illégitime. Des déclarations qui suggèrent que le gouvernement tchèque pourrait appuyer éventuellement la demande présidentielle et tenter d'obtenir gain de cause auprès de Bruxelles. »

    Le président du parti social-démocrate, notamment, qui n'est pas suspect de sympathie envers Vaclav Klaus dans quelque domaine que ce soit, a déclaré que le gouvernement n'avait pas d'autre choix que de négocier avec les autres pays de l'UE le moyen de satisfaire la demande du président.

  • Jeunes Français en goguette (3)

    Le procureur de Pontoise a requis un non-lieu dans l'affaire de la collision entre un véhicule de police et une moto à Villiers-le-Bel (Val d'Oise) où deux adolescents avaient trouvé la mort en novembre 2007.

    "Les jeunes circulaient sur une moto qui n'était pas destinée à la route, dépourvue de freins et d'éclairage, sans casques et ils étaient tributaires de la priorité", a déclaré à l'AFP le procureur Marie-Thérèse de Givry.

    Le 25 novembre 2007, le drame qui avait coûté la vie à deux adolescents, dans une collision entre leur moto et une voiture de police avait provoqué deux jours de violences entre jeunes et forces de l'ordre.

    Une centaine de policiers avaient été blessés par des tirs d'armes à feu, un commissaire roué de coups, des bâtiments publics et des commerces détruits.

  • Jeunes Français en goguette (2)

    Sept personnes ont été interpellées et six policiers blessés dans la nuit de dimanche à lundi à Marseille, où plusieurs milliers de supporteurs sont descendus dans la rue après la victoire de l'Algérie en match de qualifications au Mondial-2010.

    Les supporteurs ont commencé à envahir le quartier du Vieux-Port vers 22H00, à pied, en voiture ou en scooter, arborant des drapeaux algériens et manifestant leur joie à coup de klaxons. Des vitrines de magasins et des abribus ont été saccagés dans le centre-ville.

    Sept personnes ont été placées en garde en vue au groupe de violences urbaines, pour "dégradation, outrage, rébellion et coups et blessures sur agents ayant autorité".

  • Jeunes Français en goguette (1)

    Près de 250 personnes, selon la police, ont investi samedi le centre de Poitiers. Se réclamant d'un collectif anticarcéral, masqués et cagoulés, ils ont brisé une vingtaine de vitrines, des abribus, des cabines téléphoniques.

    Outre les bris de vitrine, plusieurs monuments ont été tagués, comme le Baptistère Saint-Jean, l'un des plus anciens monuments chrétiens de France, a constaté une correspondante de l'AFP.