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  • "Médias aux ordres !"

    Dernières nouvelles de la liberté d'expression et de la liberté de la presse en France :

    « Médias aux ordres ! »

    « De nombreux médias de télévision et de radio avaient pris contact avec Aymeric Chauprade afin de faire des émissions ou des entretiens avec lui. Les déprogrammations d'émissions pleuvent ! Seules les télévisions étrangères (Russie, monde arabe) maintiennent leurs éditions. La presse écrite n'est pas en reste : certains qui avaient pris contact avec Aymeric Chauprade sont désormais aux abonnés absents ou se murent dans le silence de leur plume. La réaction de certains journalistes laisse à penser que des ordres ont été donnés pour qu'on ne tende pas le micro à un homme libre désormais de défendre sans entraves l'indépendance de la diplomatie et de la politique de Défense française et européenne. Combien de temps la presse refusera-t-elle de se saisir de cette affaire ? »

    (Communiqué du blog de soutien à Aymeric Chauprade)

  • Exemple tchèque

    Un premier groupe de 16 travailleurs étrangers qui ont perdu leur travail en République tchèque à la suite de la crise économique a quitté hier le territoire, en profitant d'une aide financière de l'Etat.

    Pour faciliter le rapatriement des étrangers licenciés, le gouvernement leur propose une somme de 500 euros et un billet d'avion gratuit pour rentrer chez eux.

    Le ministère de l'Intérieur a reçu 2.000 demandes pour bénéficier de cette aide dans les trois premiers jours du programme.

    Le gouvernement explique qu'il veut éviter le travail clandestin ainsi que le risque de délinquance et de crime organisé.

  • OTAN : les Américains font chou blanc

    Les ministres de la Défense de l'OTAN se sont réunis hier à Cracovie. Les Américains espéraient obtenir que leurs partenaires enverraient des troupes supplémentaires en Afghanistan, comme ils le martelaient depuis des mois, en donnant l'exemple : ils ont décidé d'envoyer 17.000 soldats supplémentaires. A défaut, disaient-il, qu'au moins ils envoient des hommes pour former la police afghane.

    Que dalle. L'Allemagne et l'Italie ont seulement promis d'envoyer quelques soldats pour les élections législatives.

    Bilan de la réunion, tiré par le porte-parole de l'OTAN :

    « La décision américaine a été bien accueillie et elle est étudiée de près par les alliés. » (Texte intégral.)

  • Les tribunaux de la charia en Europe

    Le commissaire aux droits de l'homme du Conseil de l'Europe, Thomas Hammarberg, demande à la Grèce de supprimer la possibilité accordée à la minorité musulmane de Thrace occidentale de faire appel à la charia dans les affaires familiales et de succession. Car cette compétence judiciaire dont disposent les trois muftis de Thrace (nommés par l'Etat), « pose de sérieux problèmes de compatibilité avec les normes européennes et internationales en matière de droits de l'Homme ».

    Avant de s'occuper de la Thrace et de sa très ancienne communauté musulmane, M. Hammarberg pourrait regarder vers la Grande-Bretagne, où il y a désormais une bonne dizaine de tribunaux islamiques, dont les compétences judiciaires vont bien au-delà des affaires familiales et de succession.

  • Les folies de la procréation assistée

    Nadya Suleman, la mère célibataire qui avait défrayé la chronique fin janvier en mettant au monde des octuplés, est menacée d'expulsion, parce que sa mère, à qui appartient la maison où elle habite (et qui y habite avec elle), ne rembourse pas ses emprunts.

    Les deux femmes habitent, près de Los Angeles, une maison de quatre pièces, avec les octuplés et les six premiers enfants de Nadya, tous conçus également par insémination artificielle...

  • Des évêques

    Les évêques catholiques de Terre Sainte protestent de façon véhémente, par un long communiqué commun, contre une émission prétendument satirique de la « chaîne 10 » (télévision israélienne très grand public, genre TF1) qui était un tissus d'ignobles blasphèmes contre le Christ et la Sainte Vierge (deux jours de suite, les 15 et 16 février).

    Ils demandent "au peuple israélien et à ses autorités de prendre les mesures appropriées contre une si inacceptable offense et ceux qui l'ont perpétrée". Et ils exigent "que la chaîne 10 reconnaisse sa responsabilité et présente des excuses publiques".

    Le patriarcat latin de Jérusalem n'hésite pas à mettre sur son site la vidéo de cette émission, et la retranscription de certains propos.

    L'article d'Eucharistie miséricordieuse

    Le communiqué des évêques (en anglais)

    La dépêche de Zenit qui traduit en français les principaux passages du communiqué

    La vidéo (en hébreu, sous-titrée en arabe) et la retranscription (en anglais)

    Addendum. YouTube a camouflé la vidéo. Désormais, pour la voir, il faut aller sur son site (à partir du lien qui demeure sur le site du patriarcat), s'inscrire et affirmer qu'on a plus de 18 ans, car elle "peut comprendre des contenus pouvant offenser certains utilisateurs". Mais c'est précisément pour cette raison qu'il fallait la laisser voir par tout le monde !

  • Mme « Benoît et moi » est en colère

    Elle cite deux articles de la « grande presse » qui l'ont fait bondir.

    Le premier dégouline de la bave habituelle contre le pape et contre l'Eglise, et ce qui est irritant est qu'il s'agit d'un magazine très grand public.

    Mais le second, je suis désolé de dire qu'il me fait hurler de rire, tant il contient de grotesques énormités.

    Il m'a mis de bonne humeur pour toute la journée. C'est pas bien, mais tant pis...

  • Le « foirage » de l’opération Benoît XVI de Nancy Pelosi

    Daniel Hamiche explique sur son blog que Nancy Pelosi, présidente de la chambre des députés des Etats-Unis, voulait une audience avec le pape afin de montrer qu'on pouvait parfaitement être catholique et favorable à l'avortement, comme en témoignerait sa photo officielle avec un Benoît XVI tout sourire.

    Or l'entrevue n'a duré que 15 minutes chrono, et surtout le pape a refusé d'être photographié avec la dame, ce qui est tout à fait excptionnel.

    Et le Vatican a ensuite publié communiqué aussi bref que clair, et dépourvu de toute formule diplomatique :

    « La Salle de Presse du Saint-Siège a confirmé ce midi la rencontre du Saint-Père avec Mme Nancy Pelosi, Présidente de la Chambre des États-Unis d'Amérique. Benoît XVI a profité de cette occasion pour indiquer à son hôtesse que "la loi morale naturelle et l'enseignement constant de l'Église relatif à la dignité de la vie humaine, de sa conception à sa fin naturelle, imposent à tout catholique, en particulier aux législateurs, aux juristes et responsables politiques, de s'associer aux personnes de bonne volonté pour développer un cadre juridique juste qui protège la vie à chacun de ses stades". »

    Commentaire de Daniel Hamiche :

    Ce « rebuke » - comme le qualifie toute la presse américaine de toutes tendances -, cette réprimande était tellement inattendue et surprenante que le pitoyable communiqué de presse de "Madame Speaker" traitant de cette audience privée papale, ne la mentionne pas... C'est à se demander, interroge la presse américaine, si c'est bien à la même audience qu'ont participé le Souverain Pontife et Madame Speaker ? Assaillis de questions et d'interrogations par les journalistes américains, les conseillers en communication de Pelosi se sont tous mis aux abonnés absents...

  • Ædificavit Noë altare Domino

    Ædificavit Noë altare Domino, offerens super illud holocaustum : odoratusque est Dominus odorem suavitatis, et benedixit ei, dicens : Crescite, et multiplicamini, et replete terram. Ecce ego statuam pactum meum vobiscum, et cum semine vestro post vos. Crescite, et multiplicamini, et replete terram.

    Noé bâtit un autel au Seigneur, et y offrit un holocauste ; et le Seigneur en sentit l'odeur suave et le bénit, disant : Croissez, multipliez-vous et remplissez la terre. Voici que moi j'établirai mon alliance avec vous, et avec votre postérité après vous. Croissez, multipliez-vous et remplissez la terre.

    (répons des matines)

    (neuvaine pour le pape)

  • Libertas n’est plus un parti européen

    Le bureau du Parlement européen a retiré hier soir à Libertas le statut de parti européen, qu'il lui avait conféré le 2 février.

    Cette décision était attendue, après la défection de deux des sept signataires de la demande de constitution du parti.

    L'Estonien Igor Grazin and le Bulgare Hristov Kouminev avaient en effet déclaré qu'ils n'avaient rien signé. Ce que conteste farouchement Declan Ganley, qui a montré leurs signatures lors d'une conférence de presse. Celle de Kouminev est visible ici, avec la photocopie de son passeport. Quand il déclare qu'il n'a « jamais eu de contact avec Libertas », c'est évidemment faux. « Ce sont deux hommes politiques expérimentés, ils ont fourni une copie de leurs passeports : ce n'est pas le genre de chose que vous faites quand vous ne savez pas de quoi il s'agit », disait la porte-parole de Libertas.

    Declan Ganley dénonce les pressions subies par les signataires pour qu'ils se rétractent : « Ce cas est un bel exemple montrant à quel point l'établissement de Bruxelles peut être antidémocratique. »

    Comme Declan Ganley affirme qu'il avait d'autres signatures en réserve, le feuilleton va peut-être se poursuivre...

    Addendum 20 février

    Contrairement à ce qu'affirmaient plusieurs sources d'information, le bureau du Parlement européen n'a pas retiré à Libertas son statut de parti européen. Il a demandé à des juristes d'examiner s'il peut conserver ce statut s'il apporte de nouvelles signatures ou s'il a perdu son statut en raison des deux défections.