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  • Les Palestiniens « envahisseurs étrangers »

    L'armée israélienne désavoue une brochure ultra-nationaliste rédigée par le rabbinat et a réprimandé l'officier responsable de sa diffusion aux soldats durant l'offensive à Gaza.

    La brochure officielle du rabbinat de l'armée israélienne appelait au nom de la Bible "à ne pas avoir pitié" des ennemis d'Israël : "Avoir pitié envers un ennemi cruel revient à se montrer cruel envers nos justes soldats (...) Nous sommes en guerre contre des assassins. A la guerre comme à la guerre." "La Torah nous interdit de remettre un seul millimètre (de la Terre d'Israël) à des non-juifs, que ce soit par des enclaves, des zones autonomes ou d'autres concessions manifestant notre faiblesse nationale." Il est tout à fait légitime de "faire un parallèle entre les Palestiniens d'aujourd'hui et les Philistins de la Bible" contre lesquels le roi David avait combattu, et dans les deux cas Israël fait face à des "envahisseurs étrangers" qui n'ont aucun droit à la Terre promise.

    "Ces déviations sont considérées comme très sérieuses notamment car elles peuvent créer des divisions au sein de l'armée", dit le communiqué…

  • Réchauffement climatique

    Des centaines de milliers de foyers et d'entreprises sont privés d'électricité, et des centaines d’écoles et d’administrations sont fermées, alors qu'une violente tempête de neige balaie les Etats-Unis du centre à la côte est. Au moins 19 morts ont été attribuées à cette intempérie.

    En octobre il y avait déjà eu une vague de froid sans précédent aux Etats-Unis.

  • L’avortement des adolescentes

    Une étude menée par des scientifiques de l’université de Nottingham indique que le nombre d’avortements réalisés sur des adolescentes ayant déjà avorté au moins une fois a augmenté de 68% entre 1991 et 2007.

    Les chiffres du Département de la Santé (DH) montrent que certaines femmes ont subi au moins huit avortements. Parmi les 5 897 jeunes filles ayant avorté en 2007, 13 adolescentes âgées de moins de 18 ans avaient déjà subi au moins 4 avortements.

    (via avortement-ivg)

  • Le patriarche Cyrille

    Le métropolite Cyrille de Smolensk et Kaliningrad a été élu hier, sans surprise, patriarche de Moscou et de toutes les Russies.

    Dans un message de félicitations, le président russe Dmitri Medvedev "a exprimé l'espoir d'un nouveau renforcement du dialogue entre l'Eglise et l'Etat pour le développement du pays et la consolidation des valeurs spirituelles".

    Avant l’élection, le métropolite avait notamment dénoncé "la pression agressive d'un sécularisme sans Dieu, qui domine la société occidentale" et les "tentatives d'une série de groupes protestants radicaux qui revoient les leçons chrétiennes et la morale des Evangiles".

    On sait que Cyrille, qui était président du département des relations extérieures du patriarcat de Moscou, est favorable au dialogue avec l’Eglise catholique.

    Rappelons que le numéro 198 (novembre 2008) de La Nef publiait un long et fort intéressant entretien avec le métropolite.

    Et l’on notera la bonne réaction du lobby Gay Russia:

    "Un homme ayant des convictions extrêmement antidémocratiques et homophobes et qui cache ses vues agressives derrière une démagogie habile a pris la tête de l'organisation religieuse la plus influente. L'Eglise orthodoxe (...) est largement utilisée par l'Etat pour sa propagande politique. Cette alliance douteuse entre un pouvoir autoritaire et une église agressive est une menace grave pour les libertés civiles en Russie. Le patriarche Cyrille n'est pas un simple homophobe, il y en a plein au sein de l'Eglise orthodoxe, mais ce nouveau chef fait la propagande de l'homophobie y compris dans les médias."

  • Les évêques espagnols et l’offensive athée

    Des publicités pour l’athéisme fleurissent sur les bus, en Angleterre, en Espagne, en Italie.

    La conférence épiscopale espagnole a réagi, par un intéressant communiqué qui précise la doctrine de l’Eglise sur la liberté religieuse. (un des points qui seront fatalement abordés lors des «colloques» entre la Fraternité Saint Pie X et Rome).

    Le titre du communiqué le proclame: «Une publicité préjudiciable à la liberté religieuse, sur les autobus publics».
    «L’utilisation d’espaces publics pour mal parler de Dieu devant les croyants est un abus qui conditionne injustement l’exercice de la liberté religieuse», affirment les évêques. «La liberté d’expression est un droit fondamental», par conséquent «tous peuvent l’exercer à travers des moyens licites». Cependant, «les espaces publics utilisés par les citoyens ne doivent pas être utilisés pour diffuser des messages qui offensent les convictions religieuses de beaucoup d’entre eux. En agissant ainsi, on lèse le droit au libre exercice de la religion, qui doit être possible sans que personne ne se sente nécessairement sous-évalué ou attaqué».

    Ils ajoutent qu’«insinuer que Dieu est probablement une invention des croyants, et affirmer qu’il ne les laisse pas vivre en paix ni profiter de la vie, est objectivement une insulte et une offense pour ceux qui croient». «Les autorités compétentes devraient protéger le plein exercice du droit à la liberté religieuse». De leur côté, «les catholiques respecteront le droit de tous à s’exprimer et seront disposés à agir, tantôt avec sérénité et mansuétude devant les injures, tantôt avec force et audace dans l’amour et dans la défense de la vérité: Dieu est amour».

    (via Eucharistie miséricordieuse)

  • Sainte Agnès seconde

    Cinq jours après le martyre de la vierge Emérentienne, les parents de la sainte et courageuse Agnès étaient venus, à la nuit, prier et pleurer sur son sépulcre. C'était le huitième jour depuis son martyre. Ils repassaient dans leur douleur les circonstances de cette mort cruelle qui lui avait mérité la palme, en l'enlevant à leur amour. Tout à coup, Agnès leur apparaît, couronnée et radieuse, au milieu d'une troupe de vierges éblouissantes de beauté et de lumière. A côté d'elle, à sa droite, était un agneau d'une blancheur éclatante, sous les traits duquel se manifestait le divin amant d'Agnès.

    La Vierge triomphante se tourne avec tendresse vers ses parents et leur dit: « Ne pleurez plus ma mort; félicitez-moi plutôt de l'heureuse société qui m'environne. Sachez que je vis maintenant dans le ciel auprès de Celui qui, sur la terre, a eu tout mon amour.»

    En mémoire de cette glorieuse apparition, la sainte Eglise revient encore aujourd'hui sur la douce mémoire d'Agnès; et cette fête s'appelle Sainte Agnès pour la seconde fois: Sanctae Agnetis secundo. Prions la tendre amante de l'Agneau sans tache de se souvenir de nous auprès de lui, et de nous présenter à ce divin Sauveur, en attendant qu'il nous soit donné de le posséder sans nuages au séjour de sa gloire. Unissons-nous à la sainte Eglise, et chantons avec elle aujourd'hui:

    Ant. A sa droite, un agneau plus blanc que la neige, le Christ, apparut, qui la consacrait comme son Epouse et sa Martyre.
    V/. Dans ton éclat et ta beauté, ô Vierge !
    R/. Avance, marche à la victoire, et saisis la couronne.

    (Dom Guéranger)

  • Eric Besson est bien sarkozyste…

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    On ne doute pas une seconde que les images de M. Besson, ministre de l’Immigration, jouant au football avec des immigrés clandestins, ne fassent le tour du monde.

    De telles images sont une pompe aspirante bien plus efficace que les lois les plus laxistes.

    Quand M. Besson dit en même temps qu’il veut rendre « étanche » la zone du Calaisis où se regroupent les immigrants illégaux, il se moque du monde. C’est de la politique de Gribouille.

    Mais cela confirme en effet que M. Besson est devenu sarkozyste…

  • La zone euro vue d’outre-Atlantique

    Martin Feldstein, professeur à Harvard et ancien président du Bureau national de recherches économiques des Etats-Unis, écrit sur vox.eu que « les avantages économiques d’une monnaie unique pour le commerce et la compétition internationale sont largement contrebalancés par un taux plus élevé de chômage et le risque d’une plus forte inflation à long terme. (…) La motivation première de la création de l’euro était politique, et non économique, (…) et la création de l’euro peut conduire à un conflit accru à l’intérieur de l’Europe et avec les Etats-Unis. (…) L’Allemagne résiste encore à tout déficit budgétaire substantiel et la BCE a un taux beaucoup plus élevé que la Réserve fédérale ou la Banque du Japon. L’Espagne avec un taux de chômage de 13% et un déficit commercial de 10% du PIB ne peut que vouloir une politique économique et fiscale plus expansive que l’Allemagne. Les pays plus petits peuvent maintenant prendre conscience qu’ils ont perdu le contrôle de leur avenir économique. (…) Dans ces circonstances, il est possible que un ou plusieurs pays puisse réellement sortir de la zone euro. »

    Dans le Financial Times, Gideon Rachman explique comment certains pays comme « l’Italie, la Grèce, l’Espagne, le Portugal, et peut-être l’Irlande, trouvent qu’il est plus difficile que jamais de conduire leurs finances publiques. Comme elles ne peuvent pas dévaluer leur monnaie, les économies plus faibles peuvent seulement restaurer la compétitivité en supprimant des emplois et en diminuant les salaires réels ». Cela, ajoute-t-il, « est à l’évidence une recette pour aboutir à l’agitation sociale, qui conduit à la crise politique… ».

    (via Open Europe)

  • Célébration des papes d’Avignon

    Les 9 et 10 mars prochain, des célébrations marqueront le septième centenaire du début du séjour des papes en Avignon (1309-1377).

    Le cardinal Poupard sera l’envoyé spécial du pape.

  • Le courage de la cohérence

    Le pape a reçu, le 24 janvier, le président de l'Union catholique de la presse italienne, Massimo Milone, à l'occasion du 50e anniversaire de sa fondation.

    Il a notamment déclaré :

    « Vous êtes engagés, j'en suis bien conscient, dans un devoir toujours plus exigeant, dans lequel les espaces de liberté sont souvent menacés et les intérêts économiques et politiques ont souvent l'avantage sur l'esprit de service et sur le critère du bien commun. (…) Je vous exhorte à ne pas céder aux compromis sur des valeurs si importantes, mais à avoir le courage de la cohérence, même au prix de votre personne : la sérénité de la conscience n'a pas de prix ».
    http://www.zenit.org/article-19982?l=french