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  • Pour les chrétiens algériens

    A l'appel d'Europae Gentes et de Chrétienté Solidarité, rassemblement de soutien aux chrétiens persécutés en Algérie et en terre d'Islam.

    Samedi 14 juin à 17 h 00- Place Saint Augustin – PARIS

    (Voir le texte de Bernard Antony sur son blog)

    Alors que les élections au Conseil français du culte musulman ont été un nouvel épisode des luttes d’influence entre l’Algérie et le Maroc, on n’a pas entendu parler des luttes d’influence entre la France et l’Italie aux élections du Conseil algérien du culte chrétien...

  • Miserere mei, Deus, quoniam conculcavit me homo

    Miserere mei, Deus, quoniam conculcavit me homo ; tota die impugnans, tribulavit me.

    Conculcaverunt me inimici mei tota die, quoniam multi bellantes adversum me.

    Ab altitudine diei timebo ; ego vero in te sperabo.

    In Deo laudabo sermones meos ; in Deo speravi ; non timebo quid faciat mihi caro.

    Tota die verba mea execrabantur ; adversum me omnes cogitationes eorum in malum.

    Inhabitabunt, et abscondent ; ipsi calcaneum meum observabunt.

    Sicut sustinuerunt animam meam, pro nihilo salvos facies illos ; in ira populos confringes.

    Deus, vitam meam annuntiavi tibi ; posuisti lacrimas meas in conspectu tuo,

    Sicut et in promissione tua : tunc convertentur inimici mei retrorsum.

    In quacumque die invocavero te, ecce cognovi quoniam Deus meus es.

    In Deo laudabo verbum ; in Domino laudabo sermonem ; in Deo speravi : non timebo quid faciat mihi homo.

    In me sunt, Deus, vota tua, quæ reddam, laudationes tibi ;

    Quoniam eripuisti animam meam de morte, et pedes meos de lapsu, ut placeam coram Deo in lumine viventium.

    Ayez pitié de moi, ô Dieu, car l'homme m'a foulé aux pieds; m'attaquant tout le jour, il m'a tourmenté. Mes ennemis m'ont foulè aux pieds tout le jour; car il y en a beaucoup qui me font la guerre. La hauteur du jour me donnera de la crainte; mais j'espérerai en Vous. Je louerai en Dieu les paroles qu'Il m'a fait entendre; j'espère en Dieu; je ne craindrai point ce que la chair peut me faire.Tout le jour ils avaient mes paroles en exécration; toutes leurs pensées tendaient à me faire du mal. Ils s'assembleront et se cacheront; ils observeront mes démarches. De même qu'ils en ont voulu à ma vie, Vous ne les sauverez nullement; dans Votre colère Vous briserez les peuples. O Dieu, je Vous ai exposé toute ma vie; Vous avez mis mes larmes devant Vous, selon Votre promesse. Alors mes ennemis devront retourner en arrière. En quelque jour que je Vous invoque, je connais que Vous êtes mon Dieu. Je louerai en Dieu la parole qu'Il m'a donnée; je louerai dans le Seigneur Sa promesse. J'espère en Dieu; je ne craindrai point ce que l'homme peut me faire. Je connais, ô Dieu, les vœux que je Vous ai faits, et les louanges, dont j'ai à m'acquitter envers Vous. Car Vous avez délivré mon âme de la mort, et mes pieds de la chute, afin que je me rende agréable devant Dieu à la lumière des vivants.

    (Psaume 55, tradution Fillion)

  • La charia, à Lille, en juin 2005

    A propos du jugement de nullité de mariage délivré par le tribunal correctionnel de Lille, altermedia rappelle que « le même tribunal de Lille s’était déjà illustré en 2005 pour empêcher l’incinération du corps d’un homme non croyant qui en avait exprimé le désir au motif qu’il était d’origine musulmane ». En fait c’est une cour d’appel, via la Cour de cassation, qui avait rendu un arrêt conforme à la charia et non au droit français.

    Je ne m’en souvenais plus que très vaguement. J’ai retrouvé l’article que j’avais écrit à l’époque, paru dans le n° 1092 de National Hebdo (23 juin 2005). Le voici, au cas où ça intéresserait mes visiteurs, mais surtout afin de l’avoir sous la main plus facilement. Car on n’a pas fini d’en voir...

    Une première : la justice française applique la charia

    La cour d'appel de Paris a ordonné l'inhumation d'Amar Bergham, donnant ainsi raison à sa veuve, et avalisant surtout la fatwa de la Ligue islamique du Nord, dont elle reprend les arguments sans la moindre réserve.

    Amar Bergham est mort le 13 mai. Ses trois enfants voulaient incinérer son corps, conformément à ses dernières volontés. Mais sa veuve (qui n'est pas la mère des enfants et qui était en instance de divorce avec le défunt) refusait l'incinération, au motif que son mari était musulman. Ce à quoi les enfants répondent que leur père se proclamait athée.

    L'affaire a été portée devant la justice. En première instance, le tribunal a donné raison aux enfants. La veuve a fait appel, mais son recours a été jugé irrecevable. Elle a alors formé un pourvoi en cassation. La Cour de cassation a cassé la décision de la cour d'appel de Douai: celle-ci avait rejeté le recours en arguant du fait que les délais avaient été dépassés, or la seule raison pour laquelle l'appel n'avait pu être enregistré est que le greffe était fermé. L'affaire a donc été renvoyée devant la cour d'appel de Paris, qui a donné raison à la veuve.

    L'arrêt est un modèle de justice islamique, comme on peut le constater en comparant ses attendus avec la fatwa de la Ligue islamique du Nord, produite par la veuve devant la justice, et appuyée par le témoignage de son président Amar Lasfar.

    La fatwa disait ceci : « Seule une autorité judiciaire musulmane dans un pays musulman doit définir et vérifier les causes de l'apostasie d'une personne. » En effet, un musulman est réputé rester musulman, quels que soient ses propos et quelle que soit son attitude vis à vis de la religion. Seul un tribunal islamique officiel, donc dans un pays musulman, peut constater l'apostasie, ce qui est une procédure exceptionnelle, car on juge là le pire des crimes. Procédure en tout état de cause impossible en ce qui concerne Amar Bergham, puisqu'il était français.

    Le maire de Lille Martine Aubry, le préfet du Nord et le procureur de Lille avaient pris la décision, malgré le jugement du tribunal et le rejet de l'appel, de « suspendre » l'incinération du défunt. La fatwa primait la justice française.

    La cour d'appel de Paris va plus loin. Elle avalise la fatwa, et tout le droit islamique en la matière. En effet, tout en considérant qu'il « résulte des attestations produites qu'Amar Bergham n'était pas un pratiquant régulier », elle estime que « rien ne permet d'affirmer qu'il avait entendu rompre tous liens avec ses traditions, l'absence de respect des obligations de l'Islam [avec un i majuscule] n'étant pas déterminante ». C'est exactement ce que dirait un tribunal islamique. De ce fait, M. Bergham n'ayant « pas fait le choix expressément et de manière certaine d'un mode de funérailles ayant un caractère irréversible, violent et contraire à sa tradition », il convient d'ordonner l'inhumation de son corps.

    Ainsi importe-t-il d'abord, pour la justice laïque française, de faire respecter "la tradition" auquel le défunt est supposé appartenir, et non ses dernières volontés contestées. On constate enfin que dans son élan de défense de l'islam, la cour d'appel de Paris condamne l'incinération comme un mode de funérailles "violent". Or ce qui est violent est par définition contraire à la loi. L'incinération serait-elle subrepticement devenue illégale ? Ou illégale seulement pour les musulmans ?

  • Pression islamique (et immigrationniste) tous azimuts

    L'agence Reuters rapporte que le tribunal correctionnel d'Orléans a condamné un imam à 1.500 euros d'amende pour avoir « célébré des mariages religieux sans qu'au préalable les mariages civils n'aient été prononcés ».

    Les nouveaux époux, pour la plupart des immigrés en situation irrégulière, s'étaient prévalus de ces célébrations... pour obtenir de l'état-civil français un mariage en bonne et due forme.

    Selon l’avocat de l’imam, «  la Grande Mosquée de Paris a suivi avec intérêt l'évolution de ce dossier, cette affaire constituant une première juridique ».

    « Il va bien falloir que la loi française commence à appréhender d'une manière différente la religion musulmane », a-t-il ajouté.

    Après tout, il est vrai que c’est pour nuire à l’Eglise catholique, et non à l’islam, qu’on a imposé que le mariage civil ait lieu avant le mariage religieux.

  • La Cour de cassation en pleine dérive antinationale

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    La Cour de cassation valide la préférence étrangère et la « discrimination positive ».

    Par un arrêt hallucinant, elle justifie le fait que des salariés du Synchrotron, de nationalité étrangère, bénéficient d’une prime dite d’expatriation, même s’ils vivent depuis toujours sur le territoire français.

    La Halde s’était émue de cette évidente discrimination anti-française. Mais la Cour de cassation renvoie la Halde à la seule occupation qui doit être la sienne : la chasse aux discriminations visant les étrangers.

    Car, pour la Cour de cassation, la discrimination anti-française que pratique la société Synchrotron est « pertinente », et n’est pas une « discrimination prohibée ».

    Par cette seule formule, la Cour de cassation édicte qu’il existe des discriminations légitimes : celles dont les Français sont les victimes.

    L’insupportable dérive antinationale des autorités de la République a donc atteint notre plus haute juridiction. Il n’y a plus d’institution pour protéger les Français en France.

  • La Cour de cassation valide la préférence étrangère

    La Cour de cassation a donné raison à une société qui verse une prime dite d’expatriation à ses salariés de nationalité étrangère, y compris ceux qui résident depuis toujours en France. Et par cet arrêt, la Cour de cassation désavoue la Halde , qui avait  montré que cette clause était discriminatoire...

    Un ingénieur français de la société Synchrotron avait saisi la justice et la Halde pour que cesse cette discrimination. Ayant perdu en appel, il se pourvoit en cassation. La Cour de cassation auditionne la Halde , qui souligne que la clause litigieuse est contraire aux dispositions du code du travail et aux traités européens, et produit une jurisprudence en ce sens de la Cour elle-même.

    Mais rien n’y fait. La Cour de cassation balaie tranquillement le traité européen, qui dans son article 12 interdit « toute discrimination exercée en raison de la nationalité », en considérant que cet article « n’est destiné qu’à garantir la libre circulation des travailleurs ». Sic. Elle ne fait même pas mention du code du travail. Et elle décide que l’avantage en question repose « sur une raison objective, pertinente, étrangère à toute discrimination prohibée ».

    Il est donc pertinent que mon collègue et voisin, né en France comme moi, mais qui a gardé la nationalité de ses parents, touche une prime « d’expatriation »...

    Cela, ce n’est pas de la « discrimination prohibée ». C’est donc de la discrimination légitime : de la discrimination positive.

    Cet arrêt de la Cour de cassation va bien évidemment dans le sens de la politique voulue par Nicolas Sarkozy. Il va faire jurisprudence dans le cadre de la préférence étrangère qui est mise en place. Cela dépasse bien entendu de loin la question des ingénieurs du Synchrotron. Il s’agit d’établir et de garantir la préférence étrangère.

    Quant à la Halde , qui croyait pouvoir montrer ainsi qu’elle s’occupe de toutes les discriminations, la Cour de cassation lui signifie qu’elle ne doit s’occuper que des « discriminations prohibées », dont par principe, et par cet arrêt, les Français ne peuvent pas être victimes.

    (Pour plus de détails, voir l’article de Marie Hautetfort, des éditions Lamy, sur le site des Echos, et le commentaire d’Olivier Carer, sur altermedia.)

  • La CGT, filière de régularisation des clandestins

    Communiqué de Marine Le Pen

    Moins de deux mois après le mouvement de grève des travailleurs clandestins encadré par la CGT , plus de 350 régularisations ont été accordées par les préfectures en Ile de France.

    Alors que Nicolas Sarkozy et Brice Horetefeux se défendent de procéder à des régularisations massives, la CGT qui multiplie les pressions sur les préfectures et brandit de nouvelles menaces de grève pour obtenir l’accélération des régularisations, affirme que 400 nouveaux dossiers vont  être déposés.

    Marine Le Pen, député européen, vice-présidente du FN dénonce la duplicité du gouvernement et l’irresponsabilité de François Fillon qui a fait de la CGT le seul interlocuteur dans cette affaire, alors même que le syndicat exige depuis le début du mouvement la “régularisation systématique” de milliers de clandestins.

  • Commentaire sur le voyage à Beyrouth de Nicolas Sarkozy

    Communiqué de Bernard Antony

    Selon les médias, Nicolas Sarkozy a fait part au député du Hezbollah Mohammed Raad de ses préoccupations sur la sécurité des soldats français de la FINUL.

    En clair, cela revenait à demander au Hezbollah de ne pas nuire à cette sécurité puisqu’il est au sud Liban où il règne en maître et surveille tout, la seule force qui puisse le faire. Cela revient à placer nos troupes onusiaques sous la bienveillante protection du Hezbollah. Or ces troupes ne pourront rien faire si la guerre reprenait entre Israël et le Hezbollah, ce qui serait inéluctable lors d’une attaque de l’Iran.

    Il apparaît évident que le retrait de nos troupes inutiles et à la présence très coûteuse pour notre armée de plus en plus démunie s’impose.

  • Le CNI fait de l’acnée

    Le CNI annonce qu’il reprend son « entière indépendance d’action » vis-à-vis de l’UMP. « Cette indépendance permettra de préparer et de présenter librement des listes et des candidats aux diverses élections. »

    Mais bien sûr...

    Les deux députés « CNI » sont deux députés UMP, comme ceux du « Forum des républicains sociaux » et ceux du « MPF » sont UMP. Ils ne sont élus que parce que l’UMP a voulu les faire élire.

    Et entre deux élections, on a le prurit de l’indépendance...

    Ce serait seulement dérisoire, s’il ne s’agissait pas de tromper les électeurs.

  • L’unité française à Beyrouth

    Lu dans L’Union, éditorial de Jean-Michel Roustand :

    « Si Nicolas Sarkozy voulait réellement apporter un message d’unité, c’est avec Ségolène Royal qu’il aurait dû se rendre au Liban. Là, en emmenant les chefs de parti, la prétendue unité française prête le flanc à la critique. D’un côté, il manquait celui du Front National qui à lui seul pèse plus lourd que plusieurs participants réunis. D’autre part, Bayrou comme symbole de l’unité a dû faire sourire nombre d’adhérents de l’UDF, du Nouveau Centre ou du MoDem. Enfin, qui peut, sans éclater de rire, affirmer que la présence de Cécile Duflot (Verts), du radical Jean-Michel Baylet et de la communiste Marie-George Buffet était indispensable pour changer le cours de l’histoire libanaise ? Bien flattés par Nicolas Sarkozy, ils ont réellement cru que la France avait besoin d’eux et qu’ils allaient porter le message universel de la France. Quand on n’arrive pas à conquérir Pau ou que l’on ne passe pas la barre des 3,5% à la présidentielle, ça coule de source. »