Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 12

  • Attention : la fête de la musique donne le sida

    « Je ferai distribuer 1,1 million de préservatifs dans les 38 villes qui célèbrent la fête de la musique », a déclaré Roselyne Bachelot.

  • L’islam

    Un bon résumé :

    • L’islam n’est ni une religion ni un culte. C’est un système politico-religieux absolutiste.
    • L’islam a des composantes religieuses, légales, politiques, économiques et militaires.
    • La croyance religieuse n’est qu’une des facettes du système, qui permet ensuite de faire pénétrer les autres composantes
    • L’ Islamisation progressive a lieu lorsque les musulmans sont suffisamment nombreux dans un pays pour faire de l’agitation et réclamer de prétendus
    “droits religieux.”

    Lu sur le blog de François Desouche, en « préambule » d’un tableau indiquant l’action des musulmans dans un pays en fonction de leur nombre. On peut discuter tel ou tel point (car un tableau n’est pas une analyse), mais c’est fort intéressant.

  • La pression socialiste pour les PACS en mairie

    Le conseil de Paris a adopté hier un vœu du PS demandant que « l’ensemble des mairies d’arrondissement accueillent des cérémonies de PACS et de parrainage civil ».

    Le PS, le PC, le MRC, les Verts, et cinq conseillers UMP ont voté pour.

    Il s’agit évidemment de montrer le PACS comme un « vrai » « mariage » (homosexuel), alors que la loi prévoit que ce contrat fait l’objet d’une déclaration conjointe au greffe du tribunal d'instance (cf. le PACS à la mairie de Tourcoing samedi dernier).

    D’autre part, dans un communiqué, Anne Hidalgo, première adjointe au maire de Paris, élue du XVe arrondissement, déplore que le maire UMP de l’arrondissement et la majorité des élus UMP refusent « d’organiser des cérémonies de signature du PACS ». Elle invite les élus à se retrouver sur le parvis de la mairie du XVe le 28 juin, jour de la « marche des fiertés » (des seules fiertés contre-nature), pour manifester « leur volonté de voir la mairie du XVe entrer enfin dans le XXIe siècle »...

  • Martin Schulz et les Irlandais

    L’ineffable Martin Schulz, chef du groupe socialiste au Parlement européen, distribue les blâmes plus vite que son ombre, s’en prenant nommément, et de façon souvent grossière, aux chefs d’Etat et de gouvernement qui ne lui plaisent pas. On l’a vu avec le président polonais, plus récemment avec Berlusconi (lequel avait répliqué précédemment qu’il y a quelques décennies Martin Schulz aurait pu être choisi comme kapo...). On se souvient aussi comment ce grand démocrate avait tenté d’empêcher la formation du groupe ITS au Parlement européen.

    Après le référendum français de 2005, il s’en était pris aux socialistes français qui avaient fait campagne pour le non, et plus généralement aux hommes politiques français qu’il accusait de ne pas avoir fait campagne sur la Constitution européenne elle-même mais sur d’autres sujets.

    Cette fois, bien sûr, il s’en prend au Premier ministre irlandais Brian Cowen :

    « Je crois nécessaire une évaluation critique du rôle du gouvernement irlandais. 70% des Irlandais ont dit ne pas savoir ce qu’il y avait dans le traité. C’est la faute du gouvernement. Depuis six semaines, l’Irlande est gouvernée par un homme qui n’a pas fait grand-chose (pour expliquer le traité). Une fois de plus, la politique européenne a été sacrifiée sur l’autel des intérêts nationaux. »

    C’est évidemment très injuste. Brian Cowen a mobilisé tout le ban et l’arrière-ban de l’establishment politique, médiatique, économique, pour faire campagne pour le oui. Il a même présidé une conférence de presse commune des trois principaux partis (ce qui n’est quand même pas banal) pour montrer l’unité de la classe politique en faveur du traité. Et s’il n’est là que depuis six semaines, c’est parce que l’ancien Premier ministre a démissionné de façon à ce que le scrutin ne soit pas pollué par les considérations de politique intérieure... Tout a été fait, au contraire, pour le oui. Ce n’est assurément pas la faute de Brian Cowen si les Irlandais ne savaient pas ce qu’il y a dans le traité.

    Pour faire bonne mesure, Martin Schulz s’en est pris également au commissaire européen Charlie McCreevy, qui selon lui a déclaré « Je ne connais pas le traité, je ne l’ai pas lu, c’est trop compliqué. » « C’est scandaleux ! », s’exclame Martin Schulz (qui ne semble pas savoir que Brian Cowen lui-même a avoué qu’il ne l’avait pas lu, parce qu’il n’avait « pas eu le temps »...). Et lui, il l’a lu ?

    J’ai retrouvé cette autre déclaration de McCreevy : « J’imagine qu'il y a moins de 250 personnes parmi la totalité des 4,2 millions d'Irlandais qui ont lu le traité de la première à la dernière page. J’imagine aussi qu'il y a moins de 10% des 250 qui comprend chaque section et sous-section. » Ce qui est simplement réaliste, quoique sans doute optimiste, car le traité est littéralement illisible. Et McCreevy d’ajouter : « Je ne m’attends pas à ce que des Irlandais sains d’esprit le lisent. » Même un commissaire européen peut être de bon sens...

    On aimerait que Martin Schulz nous dise combien d’Allemands sains d’esprit ont lu le traité et savent ce qu’il y a dedans.

    Il est vrai qu’on ne leur demande pas leur avis. C’est beaucoup plus démocratique. C’est la démocratie à la Martin Schulz  : vous n’avez pas besoin de le savoir, on sait pour vous.

    Pour faire voter oui, Charlie McCreevy s’en tenait à des arguments basiques, comme celui-ci : « Si l’Irlande vote non, elle deviendra un paria. » On voit ici que le commissaire et Martin Schulz sont d’accord...

    Et que les Irlandais ont préféré l’honneur d’être paria que le déshonneur d’être les valets de ces gens-là.

  • La Défense nationale en lambeaux

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    Le Livre Blanc sur la Défense programme, comme on le savait déjà, la destruction de pans entiers de notre défense nationale.

    La France de Nicolas Sarkozy s’en remet à l’OTAN et à l’Union européenne.

    C’est un funeste pas de plus dans la dérive euromondialiste.

    Un Etat sans défense nationale n’est pas un Etat qui se respecte. Nicolas Sarkozy détruit encore un peu plus le respect que notre patrie savait inspirer dans le monde.

  • La profanation des sépultures de Saugon

    Communiqué de Bernard Antony, président de l’AGRIF

    La profanation de deux sépultures au cimetière de Saugon en Gironde, accompagnée de l’éparpillement des ossements de l’une d’elle, est d’emblée présentée par le maire de la commune comme probablement un acte de vandalisme sans autre signification, sous le prétexte qu’il ne connaîtrait pas dans la commune de secte aux mœurs macabres.

    Or, quoi qu’il en soit de la résidence des auteurs de cette action ou de leur appartenance, ce qu’ils ont fait s’inscrit dans toute une continuité d’actes odieux inspirés, on le sait, par la culture de mort du courant dit néo-sataniste.

    Mais par une sorte de réflexe dialectique d’un antiracisme raciste, ces actes ne suscitent d’indignation que s’il s’agit de profanations de tombes musulmanes ou israélites.

    L’AGRIF, qui refuse toute discrimination dans la dénonciation d’abominations barbares et anti-humaine s, dénonce pareillement toutes les profanations.

    Dans cette affaire encore, elle sera partie civile et charge son avocat bordelais de mettre en route la procédure.

  • Saint Grégoire Barbarigo

    Né dans une noble famille de Venise en 1625, Grégoire Barbarigo reçoit une éducation soignée dont se charge son père lui-même. Jeune homme d'une grande pureté de vie, il s'oriente vers la diplomatie puis vers la prêtrise. Le Pape Alexandre VII, qui le connaît bien, le nomme évêque de Bergame, puis cardinal. Après sept ans, il est transféré à Padoue. Il y restera trente-trois ans, sauf quand il sera appelé à Rome pour collaborer avec le Pape. Pour appliquer dans son diocèse le Concile de Trente, il prend comme modèle saint Charles Borromée, il crée des œuvres de bienfaisances, multiplie les "écoles de doctrine chrétienne" (où il aime à faire lui-même le catéchisme), recueille des jeunes filles pauvres, etc., mais "le séminaire de Padoue est sa plus grande gloire": il veille à la formation tant humaine que spirituelle des candidats au sacerdoce. Tourmenté par la déchirure avec l'Eglise d'Orient, ce "grand solitaire" crée dans son séminaire des chaires d'Hébreu, de syriaque, de chaldéen et de grec, ce qui est une nouveauté pour l'époque. Et pourtant cet humaniste prêche avec simplicité, car c'est avant tout une âme de prière. Il meurt à Padoue en 1697. L'Eglise n'a pas cessé de vénérer sa mémoire et Jean XXIII, originaire lui-même du diocèse de Bergame, eut la joie de confirmer son culte par une canonisation "équipollente".

    (Fichier hagiographique de l'Abbaye Saint-Benoît de Port-Valais)

  • Le non irlandais et la démocratie selon les eurocrates

    Communiqué de Bernard Antony, président de l’Institut du Pays Libre

    N’en déplaise à Alain Lamassoure, le non irlandais n’est pas seulement celui d’un petit nombre d’européens.

    Il a exprimé la volonté de centaines de millions d’européens auxquels on veut imposer un ordre européen totalitaire dont ils ne veulent pas !

    Les commentaires des idéologues eurocrates sont très plaisants à analyser. Ils révèlent combien ils baignent dans la vieille conception jacobine de la démocratie selon laquelle c’est une minorité de citoyens « éclairés », « conscients et organisés » qui doivent dicter la « volonté » générale. Car celle-ci, selon le vieux subterfuge idéologique rousseauiste, ne doit pas être confondue avec la volonté des peuples lorsque celle-ci ne va pas dans le sens de l’histoire !

    On voit bien là combien le système politique issu de la Révolution dite française n’est pas du tout celui de la libre expression politique des citoyens mais celui de leur nécessaire soumission, par habile manipulation ou par contrainte si nécessaire, pour imposer un constructivisme idéologique ressortant d’une secrète religion d’initiés.

    Contre cette domination il faut partout affirmer avec les Irlandais le temps de la reconquête des pays libres.

  • Toujours Vaclav Klaus !

    Alors que Nicolas Sarkozy se rend à Prague pour rencontrer les chefs de gouvernement tchèque, slovaque, polonais et hongrois,  le président tchèque Vaclav Klaus en remet une couche contre l’européisme dans un entretien publié par le quotidien Lidove Noviny :

    « Laissons les gens qui vivent sur le continent européen être tchèques, polonais, italiens, danois... et ne faisons pas d’eux des Européens. C’est un projet erroné. La différence entre le Tchèque, le Polonais, l’Italien, le Danois et l’Européen est la même qu’entre la langue tchèque, polonaise, italienne et danoise et l’esperanto. L’européisme est l’esperanto : une langue artificielle, morte. »

    Vaclav Klaus est le seul dirigeant européen à avoir réagi au référendum irlandais en déclarant que le traité de Lisbonne est « fini » et qu’il n’est « plus possible de poursuivre sa ratification ».

    Le quotidien tchèque Hospodarske Noviny considère que c’est au gouvernement tchèque de transformer l’essai irlandais : « Topolanek (le Premier ministre) a le doigt sur la détente (...), l’ODS (son parti) a une chance unique d’enterrer définitivement le traité. (...) La Tchéquie hésite : selon de nombreux diplomates, analystes et commentateurs, elle pourrait asséner un coup mortel au projet de réforme de l’UE.

    NB - La réaction officielle de Vaclav Klaus, vendredi, au vote irlandais: « Les résultats constituent, espérons-le, un message clair pour tous. C'est une victoire de la liberté et de la raison sur des projets élitistes artificiels et sur la bureaucratie européenne. Le projet de traité de Lisbonne s'est achevé aujourd'hui avec la décision des électeurs irlandais et sa ratification ne peut continuer. »

    Précisions.

    En République tchèque, le traité de Lisbonne est toujours en phase d'examen par la Cour constitutionnelle (qui prend manifestement son temps...), or le projet de loi de ratification ne peut être discuté au Parlement qu'après l'avis positif de la Cour.

    La République tchèque présidera l'Union europénne après la France, au premier semestre 2009, la période pendant laquelle le traité de Lisbonne est censé entrer en vigueur (avant le référendum irlandais, c'était le 1er janvier 2009, maintenant on dit juin 2009...).

  • Dernières nouvelles du fils Bling-bling

    Jean Sarkozy, 21 ans, devrait être « élu » aujourd’hui président du groupe UMP au conseil général des Hauts-de-Seine.

    Hier, il s’est fiancé avec Jessica Sebaoun, l'héritière de l’empire Darty. Une fête de famille a eu lieu dans l'après-midi à Neuilly-sur-Seine, dans un hôtel particulier près de la mairie. Selon le Parisien, « Nicolas Sarkozy et son épouse Carla sont passés dans la soirée ainsi que le ministre de l'Immigration Brice Hortefeux, Isabelle et Patrick Balkany ». Ce même quotidien précise que Jean a offert à Jessica « un diamant de chez Tiffany en guise de bague de fiançailles ».

    Jean et Jessica étaient début juin en Israël afin, dit-on, de « s'imprégner de la culture juive » de Mlle Darty.