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Liturgie - Page 67

  • La dictature bergogliesque

    Nouvelle étape de la persécution de la messe traditionnelle : les évêques qui avaient cru pouvoir accorder des dérogations pour que la messe traditionnelle puisse continuer à être célébrée dans telle ou telle paroisse avaient tort et doivent en référer à Rome, « qui évaluera les cas individuels ». C’est un coup d’arrêt aux tentatives de contournement de Traditionis custodes par quelques rares évêques qui invoquaient le canon 87. François s’assoit sur le canon 87. Il n’y a qu’un seul canon, c’est lui. Et c'est une interdiction de fait de la messe traditionnelle aux nouveaux prêtres. En attendant la suite de la destruction de ce qui reste de l’Eglise latine…

    Le Saint-Père, lors de l'audience accordée le 20 février au soussigné Cardinal Préfet du Dicastère pour le Culte Divin et la Discipline des Sacrements, a confirmé ce qui suit concernant la mise en œuvre de Son Motu Proprio Traditionis custodes du 16 juillet 2021.

    Les dispenses suivantes sont réservées de manière spéciale au Siège Apostolique (cf. C.I.C. can. 87 §1) :

    - l'utilisation d'une église paroissiale ou l'érection d'une paroisse personnelle pour la célébration de l'Eucharistie en utilisant le Missale Romanum de 1962 (cf. Traditionis custodes art. 3 §2) ;

    - l'octroi de la permission aux prêtres ordonnés après la publication du Motu proprio Traditionis custodes de célébrer en utilisant le Missale Romanum de 1962 (cf. Traditionis custodes art. 4).

    Comme le prévoit l'art. 7 du Motu proprio Traditionis custodes, le Dicastère pour le Culte Divin et la Discipline des Sacrements exerce l'autorité du Saint-Siège dans les cas susmentionnés, en surveillant l'observation des dispositions.

    Si un évêque diocésain a accordé des dispenses dans les deux cas susmentionnés, il est tenu d'en informer le Dicastère pour le Culte Divin et la Discipline des Sacrements, qui évaluera les cas individuels.

    En outre, le Saint-Père confirme - après avoir déjà exprimé son assentiment lors de l'audience du 18 novembre 2021 - ce qui a été établi dans les Responsa ad dubia avec les notes explicatives annexées du 4 décembre 2021.

    Le Saint-Père a également ordonné que le présent Rescrit soit publié dans L'Osservatore Romano et, par la suite, dans le commentaire officiel des Acta Apostolicae Sedis.

    Du Vatican, le 20 février 2023

    Arthur Card. Roche
    Préfet

  • Mardi de la Quinquégésime

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    (Rembrandt)

    Les trois répons des matines. Les deux premiers viennent du chapitre 22 de la Genèse (le sacrifice d’Isaac, qui annonce celui du Christ à la fin du Carême), le troisième vient du chapitre 24, quand Abraham envoie le chef de ses esclaves chercher une femme pour Isaac : l’expression « Deus domini mei Abraham » s’y trouve trois fois.

    ℟. Angelus Dómini vocávit Abraham, dicens : * Ne exténdas manum tuam super púerum, eo quod tímeas Dóminum.
    ℣. Cumque extendísset manum ut immoláret fílium, ecce Angelus Dómini de cælo clamávit, dicens.
    ℟. Ne exténdas manum tuam super púerum, eo quod tímeas Dóminum.

    L’Ange du Seigneur appela Abraham, disant : N’étends pas la main sur l’enfant, puisque tu crains le Seigneur. Et comme il étendait la main pour immoler son fils, voici que l’Ange du Seigneur cria du ciel, disant : N’étends pas la main sur l’enfant, puisque tu crains le Seigneur.

    ℟.Vocávit Angelus Dómini Abraham de cælo, secúndo, dicens: Benedícam tibi, * Et multiplicábo te sicut stellas cæli.
    . Possidébit semen tuum portas inimicórum tuórum, et benedicéntur in sémine tuo omnes tribus terræ.
    ℟. Et multiplicábo te sicut stellas cæli.

    L’Ange du Seigneur appela Abraham, du ciel, une seconde fois, disant : Je te bénirai, Et je multiplierai ta postérité comme les étoiles du ciel.Ta postérité possédera les portes de tes ennemis et en ta postérité seront bénies toutes les nations de la terre. Et je multiplierai ta postérité comme les étoiles du ciel.

    ℟.Deus dómini mei Abraham, dírige viam meam:  * Ut cum salúte revértar in domum dómini mei.
    . Obsecro, Dómine, fac misericórdiam cum servo tuo.
    ℟.Ut cum salúte revértar in domum dómini mei.

    Dieu de mon seigneur Abraham, dirige mes pas, afin que je revienne sain et sauf à la maison de mon seigneur. Je te prie, Seigneur, fais miséricorde à ton serviteur, afin que je revienne sain et sauf à la maison de mon seigneur.

  • Lundi de la Quinquagésime

    Le martyrologe de ce jour commence ainsi :

    A Tyr, en Phénicie, la commémoraison de bienheureux martyrs, dont le nombre n'est connu que de Dieu seul. Tous successivement, sous l'empereur Dioclétien, par ordre de Véturius chef de la milice, trouvèrent la mort en de nombreux genres de tourments : ils furent d'abord déchirés sur tout le corps à coups de fouet, puis, exposés à des bêtes féroces de différentes espèces, mais par une intervention divine ils ne reçurent aucun mal; on ajouta ensuite les tortures du feu et du fer, supplice dans lequel s'acheva leur martyre. Cette glorieuse multitude avait, pour l'animer à la victoire, les évêques Tyrannion, Silvain, Pelée et Nil et le prêtre Zénobe. Dans un heureux combat, ces derniers, avec tous les autres, obtinrent la palme du martyre.

    On y trouve aussi ceci :

    Le même jour, saint Eucher, évêque d'Orléans, qui brilla par ses miracles d'un éclat d'autant plus grand que des envieux l'avaient accablé de plus de calomnies.

    (Ne pas confondre Eucher évêque d’Orléans au début du VIIIe siècle avec Eucher évêque de Lyon après avoir été sénateur d’Aix puis moine à Lérins, au Ve siècle.)

  • Quinquagésime

    Quand Jésus demande à l’aveugle ce qu’il veut qu’il lui fasse, l’aveugle répond, dans les Bibles modernes : « Seigneur, que je recouvre la vue. » Et dans les Bibles encore plus modernes, celles qui s’expriment en français basique et ont donc supprimé du dictionnaire le verbe recouvrer (dont la soi-disant Bible de la liturgie, bien sûr) : « Seigneur, que je retrouve la vue. »

    Dans la liturgie latine, la Vulgate dit : « Dómine, ut vídeam. » Seigneur, que je voie.

    En grec, le verbe est ἀναβλέπω : anablepo. De fait, le préfixe ana veut dire « de nouveau ». Que je voie de nouveau. Mais dans le grec de la koinè les préfixes ont assez souvent un sens affaibli, voire annihilé. Et c’est le cas ici. On ne sait pas si l’aveugle de saint Luc était aveugle de naissance, mais c’est bien le cas de l’aveugle de saint Jean. Or saint Jean utilise le même verbe anablepo. L’aveugle né ne peut pas voir « de nouveau ». Donc le verbe veut seulement dire « voir », et la Vulgate a (une fois de plus) raison.

    L’évangile de ce dimanche commence par l’annonce de la Passion et de la Résurrection, aux apôtres qui n’y « comprennent rien ». Parce qu’ils sont aveugles. D’où le miracle : Jésus guérit un aveugle pour montrer aux apôtres qu’ils doivent guérir de leur cécité intérieure. Afin qu’ils « voient ».

    Le répons des matines explicite cela, en faisant dire à l’aveugle : « Ut videam lumen ». Que je voie la lumière.

    ℟. Cæcus sedébat secus viam, transeúnte Dómino, et clamávit ad eum: et ait illi Dóminus: * Quid vis ut fáciam tibi? * Dómine, ut vídeam lumen.
    . Stans autem Jesus, jussit illum duci ad se, et cum appropinquásset, interrogávit eum, dicens.  * Quid vis ut fáciam tibi ?
    . Glória Patri, et Fílio, * et Spirítui Sancto.
    ℟. Dómine, ut vídeam lumen.

    Un aveugle était assis le long du chemin, au passage du Seigneur ; il cria vers lui et le Seigneur lui dit : Que veux-tu que je te fasse ? - Seigneur, que je voie la lumière. Et Jésus s’arrêtant ordonna qu’on le lui amenât, et comme l’aveugle approchait, il l'interrogea disant. Que veux-tu que je te fasse ? Gloire au Père, au Fils, et au Saint-Esprit. Seigneur, que je voie la lumière.

    Le missel du Barroux commente :

    « Première annonce de la Passion et de la Résurrection : tout notre Carême sera une montée à Jérusalem, où doit être immolé le véritable Agneau pascal. Comme les apôtres, nous avons du mal à comprendre un tel amour. Aussi, avec l’aveugle, demandons à Jésus d’ouvrir nos yeux à la lumière de la foi, et de nous délivrer de la captivité du péché et de l’erreur. »

    La lumière, dans la liturgie du carême, ce sera d’abord la lumière du baptême. Les pères grecs en étaient venus à appeler le baptême du seul mot d’« illumination ».

    Le missel du Barroux dit encore :

    « Après les basiliques de saint Laurent et de saint Paul, c’est celle de saint Pierre qui nous accueille aujourd’hui, en attendant d’inaugurer solennellement le Carême dimanche prochain dans la basilique du Saint-Sauveur (Saint-Jean-de-Latran). A cette progression dans la dignité des basiliques répond la progression des leçons de l’évangile de ces trois dimanches : appel, enseignement, illumination : les trois étapes que doivent franchir les candidats au Baptême. »

    Illuminés par le baptême, nous voyons la lumière dans l’hostie consommée, comme le chante la liturgie byzantine juste après la communion :

    Nous avons vu la vraie lumière, nous avons reçu l’Esprit céleste, nous avons trouvé la vraie foi. Nous adorons la Trinité indivisible, car c’est elle qui nous a sauvés.

  • Sainte Bernadette

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    J’aime soigner les pauvres et les malades, je resterai chez les Sœurs de Nevers.

    Je ne vivrai pas un instant que je ne le passe en aimant.

    J’aurai toujours assez de santé mais jamais assez d’amour.

    Jésus seul pour maître, Jésus seul pour richesse, Jésus seul pour ami.

    Dieu parle au cœur sans aucun bruit de parole.

    O Jésus donnez-moi, je vous prie le pain de l’humilité… le pain de Charité…

    Je suis moulue comme un grain de blé.

    Je n’oublierai personne.

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    Ci-dessous la somptueuse église Sainte-Bernadette de Nevers, construite en 1966, “monument historique” en 2000, label du "Patrimoine du XXe siècle" en 2005. « Bonne Mère comme on vous défigure », avait-elle dit lorsqu’on lui avait montré la maquette de la statue de la grotte de Lourdes. Elle serait sans doute restée sans voix devant l’église qui porte son nom, à quelques pas de son couvent… Mais on n’arrête pas le progrès…

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  • Media vita

    Media vita in morte sumus; quem quaerimus adjutorem, nisi te, Domine, qui pro peccatis nostris juste irasceris. Sancte Deus, Sancte fortis, Sancte misericors Salvator, amarae morti ne tradas nos.

    ℣.1 In te speraverunt patres nostri, speraverunt et liberasti eos. Sancte Deus...

    ℣. 2 Ad te clamaverunt patres nostri, clamaverunt et non sunt confusi. Sancte Deus...

    Gloria Patri et Filio et Spiritui Sancto. Sancte Deus...

    Au milieu de la vie, nous sommes dans la mort : quel secours chercher, sinon toi, Seigneur ? toi qui à bon droit es irrité de nos péchés : Saint Dieu, Saint fort, Saint Sauveur miséricordieux, ne nous livre pas à la mort amère.

    En toi ont espéré nos pères: ils ont espéré et tu les as libéré. Saint Dieu...

    Vers toi ont crié nos pères: ils ont crié et ne furent pas confondus. Saint Dieu...

    Gloire au Père et au Fils et au Saint Esprit. Saint Dieu...

    Le répons Media vita par les moines de Saint-Wandrille (avec seulement le premier verset).

    Sur cette pièce voir ce que j'en disais en 2018 (avec le chant de Silos), et Solesmes en 1930.

  • Jeudi de la sexagésime

    Ce jour se poursuit la lecture de la Genèse : l’arc-en-ciel de l’Alliance, la vigne et l’ivresse de Noé, la malédiction de Cham, la mort de Noé 350 ans après le Déluge.

    L’Eglise n’a pas fixé de fête pour ce jour. On pourrait pourtant faire mémoire de saint Onésime, premier cité au martyrologe :

    A Rome, le bienheureux Onésime, dont parle l'apôtre saint Paul dans l'épître à Philémon. Saint Paul l'ordonna évêque d'Ephèse après saint Timothée et lui confia le ministère de la prédication. Onésime, emmené prisonnier à Rome puis lapidé pour la Foi du Christ, fut d'abord inhumé dans cette ville ; de là, son corps fut transféré à Ephèse où il avait été ordonné évêque.

    C’est Baronius qui imposa dans le martyrologe de 1584 cette mention d’Onésime évêque d’Ephèse. Parce que saint Ignace, dans sa lettre aux Ephésiens, évoque trois fois leur évêque Onésime. Mais ce nom n'était pas si rare. Selon saint Jérôme (repris notamment par la tradition copte) il fut ordonné par saint Paul évêque de Bérée en Macédoine.

    La liturgie byzantine, qui célèbre la « mémoire du saint apôtre Onésime » le 15 février, insiste sur le fait qu’il était évêque, sans préciser de quelle ville. Il est fort intéressant de constater que ce personnage, qui dans la touchante lettre de saint Paul à Philémon était un esclave en fuite, soit devenu évêque. On dit souvent que dans son épître saint Paul ouvre discrètement la voie à l’abolition de l’esclavage. Mais si le résultat a été l’épiscopat de l’ancien esclave, c’est un effet plutôt spectaculaire.

    Tu brillas par la liberté de ton esprit, par l'indépendance de ton âme en la noblesse de la foi, et t'affranchis de la servitude ici-bas pour devenir un divin serviteur en inclinant ton cou sous le joug du Christ ; alors tu courus affranchir les hommes de l'esclavage spirituel et les conduire vers la liberté de la grâce.

    Toi que les chaînes de saint Paul ont affranchi de l'esclavage de l'erreur, tu as reçu comme honneur la liberté de la grâce et, devenu fils de Dieu, tu as accédé à l'héritage divin.

    Toi qui fus poussé vers la foi par le divin clairon de saint Paul, toi qui fus illuminé mystiquement par la parole de vérité, et auquel fut rendu témoignage pour ta pratique des vertus et pour la fermeté de ta foi, qui pourrait faire ton éloge comme il se doit ou célébrer les labeurs par lesquels tu mis un frein à l'erreur ? Car, au sortir de ta condition d'esclave ici-bas, tu fus consacré comme hiérarque en l'Esprit saint ; et des Apôtres non seulement tu as reçu l'enseignement, mais tu as partagé aussi la couronne et les honneurs ; c'est pourquoi nous te vénérons, bienheureux Onésime, tous en chœur.

  • Saints Faustin et Jovite

    Butler :

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    Tillemont :

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    N.B. "Bresse" est Brescia.

    Tableau d'Étienne Louis Advinent (XVIIIe) en l'église Saints Faustin et Jovite de Quissac (Gard) :

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  • Saint Valentin

    A Rome, sur la voie Flaminienne, l'anniversaire de saint Valentin, prêtre et martyr. Après avoir donné des preuves multiples de son pouvoir de guérir et de sa science, il fut meurtri de coups de bâton et décapité, sous l'empereur Claude.

    Ainsi s’exprime le martyrologe, et c’est tout ce que l’on sait de saint Valentin, sinon que l’empereur est Claude II qui régna entre 268 et 270. Pourtant son culte se développa. Le bienheureux cardinal Schuster explique :

    « La fête de ce martyr de la persécution de Claude II, tout différent du Valentin de Terni, se trouve déjà dans le Gélasien. Sa basilique cimitérale sur la voie Flaminienne, érigée par le pape Jules (337-352) et restaurée par Honorius Ier, était la première que rencontraient les pèlerins, quand, avides de visiter les sépulcres des anciens héros de la Foi, ils approchaient de la Ville éternelle. Le culte de saint Valentin prit un développement intense, spécialement dans la Sabine et dans le Latium, où lui furent dédiées un très grand nombre d’églises. A Rome on en comptait quatre ; mais dès le temps de Paschal Ier, son corps fut transporté à Sainte-Praxède, pour que, hors de l’enceinte de la Ville, il ne risquât pas d’être profané par les Sarrasins. »

    La mention de saint Valentin de Terni se trouve également en ce jour au martyrologe :

    A Terni, saint Valentin, évêque et martyr. Après une longue flagellation, il fut détenu en prison ; et, comme on ne pouvait vaincre sa constance, il en fut arraché au milieu de la nuit pour être décapité, sur l'ordre de Placide préfet de la ville.

    On lit encore :

    A Terni, les saints Procule, Ephèbe et Apollone, martyrs. Tandis qu'ils veillaient auprès du corps de saint Valentin, ils furent arrêtés sur l'ordre du consulaire Léonce, et mis à mort par le glaive.

  • Lundi de la Sexagésime

    L’arche de Noé au XIe siècle.

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    Hexateuque de Canterbury.

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    Fresque de Saint-Savin.

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    Cathédrale de Monreale.

    ℟. In artículo diéi illíus ingréssus est Noë in arcam et fílii eius,
    * Uxor illíus et uxóres filiórum eius.
    . Deléta sunt univérsa de terra, remánsit autem solus Noë, et qui cum eo erant in arca.
    ℟. Uxor illíus et uxóres filiórum eius.

    En ce jour même, Noé entra dans l’arche, et ses fils, et sa femme et les femmes de ses fils.
    Et tout fut effacé de la terre, mais resta seul Noé, et ceux qui étaient avec lui dans l’arche, sa femme et les femmes de ses fils.

    Explication du répons.