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Justice - Page 25

  • Les suites de l’attentat au saucisson

    Communiqué de Michel Guiniot, SD du FN 60, SR du FN en Picardie, Président du Groupe FN au Conseil Régional de Picardie

    Les deux garnements qui ont récemment déposé trois tranches de saucisson sur le bureau d'une enseignante, qu'ils supposaient de religion musulmane, ne pensaient certainement pas que leur acte prendrait une pareille tournure : la gendarmerie, le procureur, le droit de « retrait » des professeurs et l'intervention inévitable du professionnel de la lutte contre le racisme Dine Bouacha !

    Le ministère public estimant que les textes répriment les injures à caractères racistes ou les tags nazis mais pas les rondelles de saucisson, celui-ci n'envisage pas de poursuites pénales.

    Du coup, le représentant de la Licra plaide pour des stages de citoyenneté « dans une mosquée par exemple » !
    La citoyenneté implique une idée de laïcité, ce qui ne peut être le cas ni d'une mosquée, ni d'un temple, ni d'une synagogue, ni d'une église !

    M. Bouacha devrait réfléchir un peu avant de parler, car Estrées-Saint-Denis ce n'est pas encore Téhéran !

  • La dérive des magistrats

    Communiqué de Jean-Marie Le Pen

    La cour d'appel de Paris a relaxé le DAL, alors que ce groupuscule gauchiste avait été condamné en première instance pour avoir occupé la rue de la Banque, à Paris, pendant deux mois et demi.

    Les magistrats ont décrété que l'"association" de M. Eyraud avait eu raison d'installer des tentes dans la rue pour y parquer des « mal-logés » africains, au nom de « l'état de nécessité », qui innocente celui qui commet une infraction pour échapper à une menace ou à un danger imminent.

    Les magistrats précisent que « le simple fait de ne pouvoir vivre dans un logement ayant une surface normale représente une menace », et soulignent que grâce à cette action les protégés de M. Ayraud ont eu gain de cause.

    Cet arrêt est une insulte pour tous les Français condamnés à vivre dans un logement trop petit par la politique de préférence étrangère, ainsi approuvée par la « Justice ».

  • La chute de Pierre Bédier, fourrier de l'islam et de l'immigration

    La Cour de cassation a rejeté mercredi le pourvoi formé par Pierre Bédier, rendant définitive son inéligibilité et l'obligeant à quitter son mandat de président du conseil général des Yvelines.

    En décembre 2006, il avait été condamné pour "corruption passive" et "recel d'abus de biens sociaux" (pour plusieurs centaines de milliers d'euros, quand il était maire de Mantes-la-Jolie), à 18 mois de prison avec sursis, 50.000 euros d'amende et trois ans de privation des droits civiques (soit six ans d'inéligibilité). En mai 2008, la cour d'appel de Paris avait divisé l'amende par deux, mais avait confirmé le reste de la peine.

    Secrétaire d'État chargé des Programmes immobiliers de la Justice, il avait dû démissionner de ce poste en janvier 2004 après avoir été mis en examen.

    Réélu député des Yvelines en 2007 avec quelques centaines de voix d'avance, il a démissionné le 15 avril dernier, après avoir demandé la prolongation de sa mission parlementaire sur le développement solidaire et l'immigration, ce qui a permis à sa suppléante, Cécile Dumoulin, de lui succéder à l'Assemblée nationale, sans qu'une nouvelle élection soit organisée...

    Pierre Bédier a surtout été le maire de Mantes-la-Jolie de 1995 à 2005. Il avait notamment organisé les HLM selon des critères ethniques afin de résoudre le problème des frictions entre communautés, et avait résolu le problème de la polygamie en procurant aux familles polygames deux appartements sur le même pallier.

    Le site Riposte laïque décrivait joliment le système Bédier :

    « Le système Bédier, à Mantes, est fort simple. Pour lui, Mantes est une mosaïque de communautés, qu'il faut chacune caresser dans le sens du poil, en les arrosant abondamment pour récupérer leurs voix. "Pierre" est le chef du village, qui fait donc profiter chaque groupe, sur des bases ethniques, de sa générosité. Dans cette stratégie, il n'oublie pas, bien sûr, les religieux, et, à Mantes, les imams. Bien qu'une grande mosquée existe, il n'hésite pas, au lendemain d'une victoire électorale, à concrétiser une promesse électorale. Il accorde une deuxième mosquée aux musulmans, au détriment d'un centre social. » (Laquelle mosquée s'est ouverte en 2006 avant même que la cession du terrain ait été votée en conseil municipal.)

    L'un de ses grands agents électoraux était le recteur de la (première) mosquée, Ali Berka, directeur pour la France de la Ligue islamique mondiale (organisme saoudien propriétaire de la mosquée). J'en avais dit plus ici.

  • Une lettre du Dr Villette, qui a perdu en appel

    Chers correspondants et amis,

    Je viens de recevoir un appel téléphonique de mon avocat, Maître Minvielle, me disant que nous avons perdu en appel dans le procès que m'a intenté l'AFM (l'Association Française contre les Myopathies) pour avoir stigmatisé les pratiques eugénistes liées au DPI (Diagnostic Pré Implantatoire et au DPN (Diagnostic Pré Natal).

    Comme on dit : "un partout  et balle au centre" puisque j'avais gagné en première instance !

    Bien sûr je vais en Cassation et cela se terminera, qui que ce soit qui gagne en Cassation, devant  la Cour Européenne...

    Mais tout cela coûte très cher et je vous invite à rejoindre mon Comité de Soutien et à être le plus généreux possible, en considérant l'importance de ce procès.

    J'entendais hier le Dr Mirabel lors de la soirée grenobloise de l'ADV  (Association pour les Droits de la Vie) et il disait qu'il n'est pas "politiquement correct" de critiquer l'eugénisme actuel en le comparant aux méthodes nazies, dès 1933.
    Prudemment, il n'a pas fait la comparaison: il a seulement dit que ce n'était pas politiquement correct, mais tout le monde a fait le lien.

    J'ai perdu en appel mais la bataille continue et elle dépend de vous, de votre générosité.

    Votre cotisation est à adresser à la CNFC (Confédération Nationale des Familles Chrétiennes), Sanctuaire St Joseph du Saint Sauveur, 26600 Chantemerle les Blés, CCP Lyon, N° 973 10 V  en mentionnant: "pour le Comité de Soutien du Dr Doublier-Villette".

    Je publierai le jugement sur http://www.lunivers.info dans le courant de la semaine, dès que mon avocat me le communiquera.

  • Les mots et les faits

    Au petit matin du 1er janvier 2006, une bande de « jeunes » avait semé la panique dans le train Nice-Lyon en agressant et volant de nombreux voyageurs entre Saint-Raphaël et Draguignan.

    « Ce qui s'est passé dans le train Nice-Lyon est totalement inacceptable et les coupables seront recherchés et punis comme il se doit », avait déclaré Jacques Chirac.

    « Le temps de l'impunité dans les TER, c'est terminé » avait déclaré Nicolas Sarkozy en se rendant sur place.

    Sur les 21 voyous qui avaient participé à cette équipée sauvage, neuf furent mis en examen (essentiellement pour des faits commis... dans un autre train). Le procès vient seulement d'avoir lieu. Sur les neuf, un seul s'est rendu au tribunal : Mohamed Ali Baya. Il a été condamné à 6 mois de prison avec sursis, mise à l'épreuve et interdiction de prendre le train pendant deux ans... Le meneur, Henis Zorgati, absent, a écopé de 18 mois de prison ferme. Un autre, Hatem Sakli, a été condamné à 6 mois de prison avec sursis. Et trois autres prévenus se voient infliger une amende de 1.000 à 1.500 euros.

    Le 22 avril dernier, à Nice, Nicolas Sarkozy affichait une fois de plus sa fermeté et annonçait une nouvelle loi contre les bandes...

  • La provocation de Fofana : islamiste

    Le procès du "gang des barbares", 27 jeunes accusés du rapt d'un juif de 23 ans Ilan Halimi, assassiné après trois semaines de calvaire début 2006, s'est ouvert devant la cour d'assises des mineurs de Paris, et leur chef présumé, Youssouf Fofana, a d'emblée défié les juges.

    Collier de barbe et crâne rasé, Fofana, 28 ans, d'origine ivoirienne et accusé d'avoir porté les coups fatals à Ilan Halimi, est arrivé tout sourire dans le box, vêtu d'un sweat-shirt blanc et levant un poing vers le ciel en criant "Allah vaincra".

    Et dès l'appel des accusés effectué par la présidente, il continue la provocation. En guise de date de naissance, il répond: "le 13 février 2006, à Sainte-Geneviève-des-Bois", donnant ainsi la date et le lieu de la découverte du corps agonisant de Ilan Halimi, qui devait mourir pendant son transfert à l'hôpital.

    Pour nom, il choisit "africaine barbare armée révolte salafiste", tandis que la présidente se contente de lui signaler que ce n'était pas ce qui figurait sur ses documents.

    (AFP)

  • Les coqs d’Oloron n’ont plus le droit de chanter

    Afin de "protéger la santé publique et la tranquillité des riverains", le maire PS d'Oloron-Sainte-Marie Bernard Uthurry a pris un arrêté interdisant le chant du coq, qui constitue un trouble "manifestement illicite" à l'ordre public, nous apprend Novopress Aquitaine. Les propriétaires des coqs qui ne respectent pas l'arrêté sont désormais passibles d'une amende de 68 euros.

    Comme e-deo, je ne résiste pas au plaisir de reproduire l'arrêt de la cour d'appel de Riom rendu le 7 septembre 1995, que cite Novopress en commentaire de cette information :

    « Attendu que la poule est un animal anodin et stupide, au point que nul n'est encore parvenu à le dresser, pas même un cirque chinois; que son voisinage comporte beaucoup de silence, quelques tendres gloussements et des caquètements qui vont du joyeux (ponte d'un œuf) au serein (dégustation d'un ver de terre) en passant par l'affolé (vue d'un renard); que ce paisible voisinage n'a jamais incommodé que ceux qui, pour d'autres motifs, nourrissent du courroux à l'égard des propriétaires de ces gallinacés; que la cour ne jugera pas que le bateau importune le marin, la farine le boulanger, le violon le chef d'orchestre, et la poule un habitant du lieu-dit La Rochette, village de Salledes (402 âmes) dans le département du Puy-de-Dôme. Par ces motifs: statuant publiquement et contradictoirement, infirme le jugement, déboute le sieur Rougier de son action et le condamne aux dépens... »

  • Les dates du Dr Villette en justice

    L'audience en appel du procès intenté par l'AFM (Téléthon) au Dr Villette a eu lieu le 11 février en la fête de Notre Dame de Lourdes.

    Le jugement en appel devait être rendu le 25 mars en la fête de l'Annonciation.

    Il a été renvoyé au 13 mai, en la fête de Notre Dame de Fatima.

  • Œil pour œil

    La presse espagnole publie des interviews d'une Iranienne venue se faire soigner à Barcelone après avoir été défigurée, et rendue aveugle, par de l'acide que son agresseur lui avait jeté au visage parce qu'elle refusait sa demande en mariage.

    Elle se dit soulagée par l'arrêt de la Cour suprême iranienne qui a finalement condamné son agresseur à recevoir dix gouttes d'acide sulfurique dans chaque œil.

    En première instance, l'homme avait été condamné à perdre un œil, selon la charia qui applique la loi du talion mais considère aussi qu'un homme vaut deux femmes.

    La victime a insisté pour qu'il perde comme elle les deux yeux, et pour cela a renoncé à l'indemnisation de 20.000 euros.

    Ce doit être un progrès vers l'égalité entre les sexes...

  • Affaire Siné : la jurisprudence variable du Juge Schir

    Communiqué de Bruno Gollnisch

    M. Sinet, alias Siné, « humoriste » d'extrême-gauche ayant passé sa vie à conchier les valeurs traditionnelles, notamment dans l'ordurier journal « Charlie-Hebdo », s'était permis des réflexions grasses et viles sur l'identité juive de la fiancée de Jean Sarkozy, fils de l'actuel Chef de l'Etat.

    Pousuivi par la LICRA, « ligue de vertu » professionnelle, il vient d'être relaxé par la Sixième chambre du Tribunal correctionnel de Lyon, que préside M. Fernand Schir.

    Ce dernier estime en l'espèce, paraît-il, que « la liberté d'expression l'emporte sur le respect des croyances surtout dans le style de la satire, un genre qui se situe dans l'exagération et l'outrance »

    Ce tribunal et ce magistrat avaient fait preuve de la même mansuétude envers l'imam Bouziane de Vénissieux justifiant les violences que, selon lui, les maris musulmans pouvaient s'autoriser contre leurs femmes.

    En revanche, ce tribunal et ce magistrat m'avaient très lourdement condamné pour avoir, en réponse à des questions de journalistes sur les camps de la deuxième guerre mondiale, estimé en substance que « ce débat, qui doit être libre, relève des historiens ».

    M. Schir avait en outre distribué sur mon dos, des dommages-intérêts considérables à des organisations qui n'y avaient aucun droit.

    Moralité : M. Schir, comme l'a relevé l'Avocat Général de Paris Philippe Bilger dans son livre consacré à la liberté d'expression [1], a une étrange conception de la liberté d'expression. Une chose est sûre : mieux vaut être devant lui un imam salafiste justifiant les violences faites aux femmes ou un plumitif stigmatisant l'identité juive de jeunes époux qu'un député européen s'exprimant de façon mesurée sur la liberté de recherche dans l'Histoire de l'Europe.

    P.S. Pour m'éviter l'inculpation d'outrage à magistrat, on voudra bien considérer que ce communiqué a été rédigé « dans le style de la satire, un genre qui se situe dans l'exagération et l'outrance »...et qui garantit, cela va de soi, l'impunité.

    [1] Le titre du livre est : « J'ai le droit de tout dire » (par antiphrase, sans doute). Editions du Rocher. M. Bilger, que je ne connais pas, y considère le jugement qui m'a frappé d'injuste et de politique, en termes très sévères à l'égard de M. Schir.