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Islam - Page 235

  • Sarkozy et la loi de 1905

    Sarkozy et la loi de 1905

    Dans une interview à La Croix , Nicolas Sarkozy déclare qu’il renonce (dans l’immédiat) à modifier la loi de 1905, car « c’est un sujet sur lequel on ne peut avancer sans consensus », et qu’il faut donc poursuivre la discussion « avec l’ensemble des religions ». Il s’en tient à trois objectifs, qui concernent tous trois, bien sûr, l’islam : mettre à la disposition des musulmans des lieux de culte (ce qui est contraire à la loi de 1905), « couper l’islam des influences étrangères » (alors qu’il les a institutionnalisées dans le CFCM), et « aider les élus locaux à pouvoir répondre aux demandes des communautés présentes dans leurs villes » (ce qui ne peut se faire qu’en violant ou en contournant la loi de 1905)...

  • Ce n’est pas l’imam qui est piégé

    On peut voir sur divers blogs un écho d’un article du Figaro intitulé « Un imam radical piégé par la télévision italienne ». Il y est question du « climat de haine et de violence que de prétendus imams prêchent dans leurs mosquées », des « exemples de fanatisme religieux qui se multiplient dans les mosquées italiennes ». Or voici que « les invectives » d’un de ces « prétendus imams » ont été filmées à son insu par une caméra cachée de la RAI. Et l’on cite deux de ces « invectives » :

    « Ne fréquentez aucun étranger [à l’islam]. Ne faites aucun compromis avec les athées. Il faut les tuer, un point c’est tout. »

    « Les femmes sont inférieures à l’homme. Soumettez-les. N’hésitez pas à les battre. Elles fileront droit. »

    Ces propos ne sortent pas de l’esprit dérangé d’un imam aussi prétendu que fanatique. Ils viennent du Coran. Pour la première citation : sourate 4, 89 et 91, sourate 2, 190 à 193. Pour la seconde : sourate 2, 282, sourate 4, 11 et 34. (N.B. Certaines traductions édulcorées à l'usage des Occidentaux ne parlent pas de « frapper » la femme. Mais le texte du Coran est en arabe. En arabe, le mot utilisé est ضَرَبَ. Ce verbe veut bien dire frapper. Un dictionnaire donne ces équivalences : « battre, casser la gueule à qqn, donner des coups à, frapper, talocher ». C’est assez clair ?)

    Rappelons que le Coran est la parole incréée de Dieu, et que le devoir d’un imam est d’abord de connaître cette parole et de l’inculquer aux fidèles.

    S’offusquer de tels propos, c’est tomber dans le piège de la fausse distinction entre « l’islam radical » et « l’islam modéré », entre les « fanatiques » et les musulmans de bon aloi. L’islam qu’on dit « radical », « fanatique », « intégriste », n’est rien d’autre que l’islam du Coran. L’islam que Dieu a révélé à Mahomet, en une parole qui est irréformable.

    Il en est de même avec le jihad. Et il y a dans le Coran une insistance bien plus grande sur la nécessité et l’obligation du jihad que sur le traitement à réserver aux juifs, aux chrétiens, aux athées, et aux femmes.

    Un imam qui appelle au jihad, ce n’est pas un fanatique ni un intégriste, c’est un imam qui récite le Coran. Il faut toujours garder cela à l’esprit. Et tenter de le faire savoir aux naïfs.

  • Quelle politique face à l’islam?

    A lire sur le blog de Bernard Antony , la déclaration finale du colloque "Quelle politique face à l'islam ?", qui s’est tenu samedi à Paris. Elle est intitulée Proposition en vue d’une politique de paix et de cohésion nationale par rapport à l’islam, et elle est soumise aux candidats à l’élection présidentielle. Elle résume clairement ce qu’est l’islam par rapport au christianisme et à notre civilisation, et se conclut par six points sur lesquels les musulmans doivent s’engager pour être acceptés dans la société française.

    Le blog présente aussi le discours de clôture de Bernard Antony en vidéo.

  • L’islam pakistanais… en Grèce

    Des centaines d'immigrés pakistanais ont participé à Athènes à une manifestation musulmane sans précédent, à l'appel d'une association de la communauté pakistanaise en Grèce, l'Unité. Brandissant des drapeaux verts avec des symboles islamiques, les manifestants ont défilé dans le centre-ville avant de se rassembler devant la mairie d'Athènes pour prier à l’occasion de « l’anniversaire de Mahomet ».

    Le chef de « l'Unité », Javed Aslam, a été arrêté en novembre dernier à Athènes après une demande d'extradition d'Islamabad, qui l'accuse de trafic de clandestins.

    Le nombre d'immigrés pakistanais en Grèce s'élève à environ 30.000 dont la moitié vit à Athènes. Il y a en tout environ 100.000 musulmans à Athènes, majoritairement albanais. Le gouvernement s'est engagé en juillet 2006 à y construire une grande mosquée d'ici trois ans…

  • Bertinotti ne peut pas voir Lépante en peinture

    Plusieurs publications italiennes rapportent que Fausto Bertinotti, le président communiste de la chambre italienne des députés, a fait retirer de sa salle où il reçoit ses invités une peinture représentant la bataille de Lépante. Interrogé à ce sujet, il a déclaré qu’il avait fait cela parce que la toile était intitulée « Bataille navale entre les chrétiens et les barbares », et qu’il s’agissait de sa part d’une initiative pour « la paix et le dialogue ».

  • L’église Sainte-Croix d’Aghtamar

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    L’inauguration de l’église restaurée de la Sainte-Croix d’Aghtamar, sur le lac Van, en Turquie, doit avoir lieu aujourd’hui. Il s’agit d’une magnifique église arménienne du Xe siècle, qui avait été « abandonnée » au début du XXe siècle après le génocide arménien.

    Le gouvernement turc avait fait l’effort sans précédent d’inviter à la cérémonie le catholicos arménien, Karekine II. Mais celui-ci a fait savoir qu’il n’était pas question que le patriarcat participe à une cérémonie laïque pour l’inauguration d’une église transformée en musée.

    Car si le gouvernement turc aime à restaurer les vestiges chrétiens pour faire venir les touristes occidentaux, et prétendre ainsi qu’il est tolérant, il n’est évidemment pas question de les ouvrir au culte.

    Il y a eu des discussions pour savoir si on devait rétablir la croix au sommet de l’édifice. L’architecte turc a fait valoir que la croix est un signe distinctif des églises et que la silhouette de celle-ci serait incomplète si on n’y remettait pas la croix (comme cela se voit de façon manifeste sur la photo). Mais il n’a pas eu gain de cause... Même pour une église qui s’appelle Sainte-Croix...

  • Le juge et le Coran

    Un juge allemand a refusé le divorce immédiat à une femme d’origine marocaine battue par son mari, au motif que le Coran ne condamne pas ce genre de pratique.

    Cela suscite un véhément concert de protestations en Allemagne, toutes tendances confondues.

    Mais personne ne remarque qu’il s’agit là d’un indice (comme nous commençons aussi à en avoir en France) de l’influence croissante de la charia jusque dans les tribunaux laïques, ce qui est un signe terrifiant de l’islamisation sous couvert de multiculturalisme.

  • Un colloque politique de Chrétienté-Solidarité sur l'islam

    Quelle politique face à l’Islam
    en France et en Europe

    Colloque organisé par Chrétienté Solidarité

    Le samedi 31 mars 2007

    De 10h à 18h, au 6 rue Albert de Lapparent 75007 Paris

    10 euros – 5 euros étudiants et chômeurs

    L’Islam, qui n’est pas qu’une religion, mais aussi le mode de vie d’une nation, celle des croyants, avec son droit, sa culture, ses interdits et son impérialisme, demeure mal connu des Français et surtout de nos hommes politiques ainsi que de notre clergé. Inquiet, un certain nombre de Français, de plus en plus important, s’interroge sur la politique que la France doit mener face à l’Islam. Mais la campagne présidentielle ne leur apporte nullement de réponses concrètes ou convaincantes. Le sujet n’est que très peu traité et il est souvent question d’immigration et non d’Islam. Or l’Islam dépasse largement la question de l’immigration puisqu’il est la deuxième religion de nos concitoyens. Le colloque organisé par Chrétienté Solidarité a pour objectif, non seulement de faire les constats qui s’imposent, mais aussi de proposer des solutions, une vraie politique de la France face à l’Islam. La synthèse des intervenants de ce colloque, tous éminents spécialistes de la question, fera l’objet d’une charte que nous soumettrons à tous les candidats aux élections présidentielles afin qu’ils se déterminent sur ce sujet malheureusement tabou. 

    10 h ouverture des portes – visites des stands

    10h30 Louis Chagnon : Les conquêtes arabo-musulmanes du VIIe siècle jusqu’à nos jours. Quelle politique pour y mettre un terme ? 

    11h30 René Marchand : L’Islam, une nation à part entière. La coexistence est-elle possible ? Comment ?

    12h30 déjeuner libre – visite des stand – dédicace des livres des intervenants

    14h30 Joachim Véliocas : L’islamisation de la France. Quelle politique face à l’infiltration de notre société par les organisations islamistes ?

    15h30 Intervention et témoignage d’une Française d’origine musulmane convertie au christianisme.

    16h30  Bernard Antony  : Une charte sur la politique de la France face à l’Islam.

  • Quand la loi coranique prime la loi française

    La dépêche de l’AFP, du 9 mars, m’avait échappé. Novopress-Lyon l’a reproduite et commentée, et Vox Galliae a signalé l’information, qui mérite en effet d’être connue : le tribunal administratif de Lyon a rendu un jugement qui s’appuie sur la charia, et uniquement sur la charia.

    Le tribunal a annulé une décision du préfet du Rhône qui rejetait une demande de regroupement familial faite par une Algérienne à qui avait été confié son neveu par une décision algérienne de justice appliquant la kafala, à savoir l’adoption coranique.

    A deux reprises, la préfecture du Rhône avait rejeté la demande de cette Algérienne, au motif que « la venue en France de cet enfant âgé de deux ans aurait pour conséquence de l’éloigner de son milieu social, culturel et familial habituel », et que « l’intérêt supérieur de l’enfant était de demeurer en Algérie auprès de ses parents biologiques ».

    Mais le tribunal administratif a annulé cette décision, « entachée d’erreur de droit », car « le préfet du Rhône ne tient pas compte de la situation familiale telle que l’acte de kafala l’a organisée ».

    Ainsi le droit coranique prime-t-il la loi française. Et c’est une « erreur de droit » que de ne pas entériné une décision fondée sur la charia.

  • La corde pour nous pendre

    Le curé de la paroisse Saint-Théodore de Cologne a décidé de consacrer le produit de la quête de dimanche prochain à l’édification de la grande mosquée de la ville. Son grand argument : les imams de l’organisation Ditib (Union turque islamique des affaires théologiques, qui dépend directement du gouvernement d’Ankara) « sont des gens très cultivés, raisonnables, gentils, humains, qui font un travail formidable avec les jeunes. »

    Lénine disait que les capitalistes lui vendraient même la corde pour les pendre. Les curés ne sont pas capitalistes. Ils donnent la corde.