Chaque jour, nous disait-on, arrivent dans les hôpitaux, surtout en Andalousie, des femmes sur le point d'accoucher qui ne parlent pas un mot d’espagnol et ne peuvent donc pas s'exprimer... Pour pallier ce problème, les sages-femmes d'un hôpital de Cadix ont mis en place un système de pictogrammes. Des panneaux en arabe, avec des dessins pour les femmes qui ne lisent pas l’arabe... L’un montre une tarte avec des bougies (quel âge avez-vous ?) et deux enfants d’âge et de sexe différent (combien d’enfants avez-vous déjà mis au monde ?), un autre une femme qui a une grosse couture sur le ventre (avez-vous eu une césarienne ?), un autre est censé demander aux femmes si elles ont des contractions, si elles ont perdu les eaux...
Depuis la mise en place de ces pictogrammes, les accouchements se passent mieux, nous expliquait-on. « Les femmes se sentent rassurées, moins anxieuses et sont capables de collaborer avec les sages-femmes. Donc, tout le monde est content, à tel point que l'idée commence à faire son chemin dans les autres services des hôpitaux... »
Car ce phénomène « a déclenché une nouvelle ligne de travail dans les hôpitaux publics, qui s'appelle "l'attention multiculturelle". Les professionnels de la santé publique se préparent depuis des années pour faire face aux nouveaux patients qui n'ont rien à voir avec notre culture. »
C’est surtout le même phénomène qu’à Mayotte ou en Guyane : venir accoucher en Europe permet aux femmes entrées illégalement de rester légalement... et de faire venir leur famille.
On voit que non seulement on ne fait rien contre l’immigration illégale, mais qu’on l’encourage.
Rappelons que faire des enfants, pour les femmes musulmanes, c’est participer au jihad, donc, en l’occurrence, à la reconquête musulmane de l’Andalousie (où nombre de panneaux de signalisation routière sont désormais aussi en arabe), et plus largement à la conquête de l’Europe. Car il faut aussi rappeler aux naïfs que l’Espagne c’est l’Europe sans frontières, donc c’est la France.