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Islam - Page 234

  • La filière de la femme enceinte

    medium_PictoAge.jpgL’émission « Les maternelles » sur France 5, le 1er mai, n’a pas dû être suivie par de nombreux téléspectateurs. Elle était pourtant intéressante : on s’y penchait sur le sort des femmes enceintes faisant partie des innombrables clandestins qui arrivent en Espagne par bateau.

    Chaque jour, nous disait-on, arrivent dans les hôpitaux, surtout en Andalousie, des femmes sur le point d'accoucher qui ne parlent pas un mot d’espagnol et ne peuvent donc pas s'exprimer... Pour pallier ce problème, les sages-femmes d'un hôpital de Cadix ont mis en place un système de pictogrammes. Des panneaux en arabe, avec des dessins pour les femmes qui ne lisent pas l’arabe... L’un montre une tarte avec des bougies (quel âge medium_Picto4.jpgavez-vous ?) et deux enfants d’âge et de sexe différent (combien d’enfants avez-vous déjà mis au monde ?), un autre une femme qui a une grosse couture sur le ventre (avez-vous eu une césarienne ?), un autre est censé demander aux femmes si elles ont des contractions, si elles ont perdu les eaux...

    On pourra remarquer au passage qu’il serait plus simple de regarder si la femme a déjà eu une césarienne, plutôt que de passer par un affreux dessin. Mais c’est qu’on ne regarde pas si facilement le ventre d’une femme musulmane...

    Depuis la mise en place de ces pictogrammes, les accouchements se passent medium_Picto2.jpgmieux, nous expliquait-on. « Les femmes se sentent rassurées, moins anxieuses et sont capables de collaborer avec les sages-femmes. Donc, tout le monde est content, à tel point que l'idée commence à faire son chemin dans les autres services des hôpitaux... »

    Car ce phénomène « a déclenché une nouvelle ligne de travail dans les hôpitaux publics, qui s'appelle "l'attention multiculturelle". Les professionnels de la santé publique se préparent depuis des années pour faire face aux nouveaux patients qui n'ont rien à voir avec notre culture. »

    C’est surtout le même phénomène qu’à Mayotte ou en Guyane : venir accoucher en Europe permet aux femmes entrées illégalement de rester medium_Picto1.3.jpglégalement... et de faire venir leur famille.

    On voit que non seulement on ne fait rien contre l’immigration illégale, mais qu’on l’encourage.

    Rappelons que faire des enfants, pour les femmes musulmanes, c’est participer au jihad, donc, en l’occurrence, à la reconquête musulmane de l’Andalousie (où nombre de panneaux de signalisation routière sont désormais aussi en arabe), et plus largement à la conquête de l’Europe. Car il faut aussi rappeler aux naïfs que l’Espagne c’est l’Europe sans frontières, donc c’est la France.

  • Sud de la Thaïlande : le jihad contre les écoles

    Pradit Rasittanont, directeur du bureau régional de l'éducation pour le sud de la Thaïlande, fait savoir que 71 enseignants ont été tués et 68 blessés par des tirs et des explosions depuis janvier 2004 dans les provinces les plus méridionales de la Thaïlande, en proie à une rébellion islamiste, en clair au jihad malais.

    Quelque 166 des 1.098 écoles publiques de la région, frontalière de la Malaisie, ont été incendiées. Cinq d'entre elles ont été réparées et rouvertes, mais elles ont de nouveau été incendiées.

    Trente-deux écoles ont été incendiées pendant la période de vacances scolaires de six semaines qui vient de s'achever, « ce qui est sans précédent », a-t-il ajouté.

    Des soldats armés escortent les enseignants entre leur domicile et leur lieu de travail, et effectuent des patrouilles sur les campus des écoles et des universités.

    Au total, plus de 2.100 personnes ont été tuées depuis trois ans dans les « violences séparatistes » du Sud qui ont pris de l'ampleur depuis le coup d'Etat du 19 septembre dernier à Bangkok, en dépit des ouvertures de la junte, dirigée par un général… musulman.

    Hier soir, profitant d'une visite du chef (turc) de l'Organisation de la Conférence Islamique (OCI), le « Premier ministre intérimaire » Surayud Chulanont a annoncé un projet d'amnistie pour les rebelles du Sud qui feraient défection. En novembre dernier, il leur avait déjà promis qu’ils pourraient appliquer la charia islamique…

  • Islamisation

    A partir de demain 1er mai, l’alcool et les groupes musicaux seront interdits dans les hôtels de moins de cinq étoiles dans le royaume de Bahrein. Depuis les dernières législatives, les islamistes contrôlent 30 des 40 sièges du Parlement de ce petit archipel de la péninsule arabique. L’immense majorité des « touristes » de Bahrein viennent d’Arabie saoudite le week-end. L’économie de Bahrein devrait souffrir considérablement de cette prohibition, d’autant que vient d’être lancé un projet pharaonique de station balnéaire sur une île artificielle. Sur la péninsule, seule Dubai échappe désormais à la loi islamique.

  • Amsterdam : les découvertes d’un travailliste

    « Une école primaire d’Amsterdam-Nord a décidé de ne plus enseigner la vie à la ferme. Plusieurs élèves ont commencé à démolir la salle de classe quand on a parlé du cochon. Apparemment c’est allé aussi loin que cela. Ces enfants, de 9 et 10 ans, n’ont pas reçu chez eux les règles les plus élémentaires leur permettant de savoir pourquoi ils doivent aller à l’école. »

    L’homme qui écrit ceci dans le journal De Volkskrant n’est pas un agitateur d’extrême droite islamophobe. C’est Lodewijk Asscher, qui est conseiller municipal travailliste, et le chef du parti travailliste à Amsterdam.

    Choqué par ce qu’il découvre, il veut lancer un sévère avertissement aux parents islamistes, avec menace de suppression d’allocations. Cela même qui a été récemment rejeté au Parlement par le ministre de la Famille. Il est vrai que la demande émanait alors du « xénophobe » Parti de la Liberté.

    Le travailliste Lodewijk Asscher veut aussi tailler dans forêt de subventions municipales dont bénéficient toutes sortes de « fondations » et d’organisations travaillant pour le « multiculturalisme », dont le total s’élève à 160 millions d’euros par an.

    Il faut vérifier ce qu’elles font, dit Ascher, qui donne l’exemple suivant : « Un Marocain a retiré de la rue 50 jeunes qui étaient une énorme nuisance. Maintenant ils collectent des chaises roulantes pour les handicapés au Surinam, au Maroc et en Turquie. Tout à coup on lui a adjoint une association d’assistance sociale, qui essaie maintenant de lui prendre les jeunes, parce que cet organisme toucherait alors entre 4.000 et 6.000 euros par jeune. Ils sont incapables de retirer ces jeunes de la rue, et maintenant ils les veulent sur leur carnet d’adresses à cause des subventions. Notre Marocain ne veut plus faire ce qu’il a fait. Je le comprends. »

    Le conseiller municipal se dit aussi choqué par l’impuissance des associations d’assistance sociale censées tenter de ramener les jeunes délinquants dans le droit chemin. Il a découvert que dans un district d’Amsterdam une mère de dix enfants, dont la moitié sont « connus des services de police » pour des affaires criminelles, est conseillée par 35 travailleurs sociaux, et chacun d’eux n’a aucune idée de ce que fait l’autre…

  • Islam et Turquie, tels quels

    La presse turque rapporte que les trois personnes assassinées dans une maison d’édition chrétienne, à Malatya, dans l’est du pays, ont non seulement été égorgées, mais torturées. Le médecin qui a opéré l’une des trois victimes, qui n’était pas encore morte, explique : « Sa cuisse, ses testicules, son anus et son dos avaient été tranchés de dizaines de coups de couteau. Ses doigts avaient été coupés jusqu’à l’os. C’est clair que ces blessures ont été infligées pour le torturer. »

    D’autres témoignages révèlent que les trois hommes se sont vu infliger un supplice de près de trois heures par leurs cinq tortionnaires, et que ceux-ci s’intéressaient exclusivement à leurs activités de « missionnaires évangélistes ».

    A Bruxelles, un député européen allemand et socialiste d’origine turque, Vural Oger, a osé dire que « l’attitude ambiguë de l’Union européenne » vis-à-vis de la Turquie expliquait ce triple meurtre. Cette ambiguïté dans les négociations d’adhésion, a-t-il dit, a provoqué « une réaction dans la population turque » et « causé un problème d’identité en Turquie ». « La bourgeoisie  turque devient de plus en plus nationaliste et la population rurale de plus en plus islamiste. » Et d’insister : « L’Union européenne doit être consciente de sa responsabilité. »

    Ces propos ne sont pas seulement ignobles et insupportables. Ils sont absurdes. Les négociations avec l’Union européenne n’ont rien à voir dans la remontée du nationalisme et de l’islamisme turcs. La Turquie revient tout simplement à son national-islamisme d’avant Mustapha Kemal, dont le laïcisme occidental artificiellement imposé à la société turque s’est estompé jusqu’à disparaître (en dehors de l’armée) comme les observateurs le soulignent depuis des années. Et dans l’est de la Turquie , on ne sait même pas ce qu’est l’Union européenne.

    Ou alors, c’est que le génocide arménien et le génocide assyro-chaldéen sont aussi de la faute de l’Union européenne...

  • Islam réel

    Trois hommes, deux Turcs et un Allemand, ont été égorgés dans une attaque visant une maison d'édition chrétienne à Malatya, dans l'est de la Turquie.

    Deux autres personnes ont été grièvement blessées, dont un des suspects potentiels, qui se serait jeté par la fenêtre lors de l'intervention de la police.

    Un responsable du gouvernorat de Malatya a indiqué au téléphone à l'AFP que les locaux visés « étaient engagés dans des activités de prosélytisme ». Ce qui est strictement interdit. Les victimes ont donc eu ce qu’elles méritaient. Selon les préceptes de la tolérance islamique.

  • Toujours Grosdidier

    « Le tribunal administratif a donné raison aux partis islamophobes contre la ville de Marseille », dit François Grosdidier.

    Non. Le tribunal administratif a dit que la ville de Marseille avait enfreint la loi. Ce n’est pas vraiment la même chose.

    Comme le souligne Jean-Marie Le Pen dans son communiqué, tous les soutiens municipaux de Sarkozy, Bayrou et Royal qui cherchent à faire financer l’islam sur les deniers publics se mettent hors la loi. Et ce sont Sarkozy, Bayrou et Royal qui sont coupables de ces violations de la loi. C’est particulièrement net avec ce Grosdidier qui veut financer une mosquée de l’UOIF dans sa ville et qui est secrétaire national à l’intégration dans le parti de Sarkozy.

    « La République se discrédite à entretenir l'inégalité et à encourager l'Islam des caves », ose-t-il dire encore, alors que c’est lui et ses semblables qui se discréditent, vis-à-vis à la fois de la République laïque qui ne connaît ni ne finance aucun culte, que vis-à-vis de la France chrétienne qui ne peut considérer l’islam que comme une « religion » étrangère (rappelons inlassablement qu’il ne s’agit pas à proprement parler d’une religion, mais d’une idéologie totalitaire qui couvre tous les aspects de la vie individuelle et sociale).

    Remonté à bloc depuis qu’il a participé, seul de son espèce, au congrès de l’UOIF, Grosdidier, l’homme qui organise chaque année, aux frais de la commune, une fête du ramadan dans sa ville de Woippy (pas moins de six soirées la dernière fois), dénonce l'« hypocrisie » qui consiste « à ne pas vouloir considérer l'Islam quasi-absent jusqu'aux années 50 mais aujourd'hui deuxième religion du pays ». Ce qui est sûr est que lui n’est pas hypocrite, il est ouvertement un propagandiste de l’islam, dont il ne sait absolument rien, comme sa prose et son action le prouvent abondamment.

    Alors il ne craint pas d’ajouter que « la jurisprudence impose une modification réglementaire, voire législative ». C’est bien ce que pense son maître Sarkozy, comme les deux autres candidats en tête dans les sondages. Trois candidats antifrançais dans leur volonté de promouvoir l’islam comme ils sont antifrançais dans leur européisme. En toute bonne logique antinationale.

    Mais comment peut-on imaginer voter pour ces fossoyeurs de l’identité et de la souveraineté de notre pays ?

  • Le FN fait échec à la grande mosquée de Marseille

    Comme cela était attendu après l’avis du « commissaire du gouvernement », le tribunal administratif a annulé, pour excès de pouvoir et violation de la loi de 1905, la délibération de la municipalité de Marseille accordant à l’association « La mosquée de Marseille » un terrain de 8.600 m2 pour un loyer annuel de 300 euros.

    Le tribunal avait été saisi par le Front national, représenté par Bruno Gollnisch et Jacky Blanc, secrétaire départemental FN des Bouches-du-Rhône.

  • L’impasse

    Selon une étude publiée par Gabriele Marranci, chercheur à l’université d’Aberdeen, les mesures draconiennes prises en Grande-Bretagne pour empêcher la propagation de l’islamisme dans les prisons produisent l’effet inverse.

    « En particulier, la décision prise dans les prisons de haute sécurité de suspendre l’accès à certains programmes télévisés ou journaux a produit le résultat opposé » à ce qui était attendu. « Le manque de liberté d’expression dont souffrent les prisonniers musulmans et la continuelle atmosphère de suspicion les entourant a pour effet d’augmenter le sentiment de frustration et de dépression », qu’ils surmontent en se projetant dans une vision plus radicale de l’islam.

    Le chercheur cite comme autres exemples contreproductifs les restrictions touchant les prières en commun, et l’interdiction faite aux prisonniers de lire le Coran pendant les pauses de travail. « Mes conclusions suggèrent que les efforts entrepris par le Service des prisons en Ecosse, en Angleterre et au Pays de Galles pour montrer qu’il s’attaque au problème de la radicalisation en prison facilitent en fait la formation d’une vision essentialiste de l’islam. »

    Le problème est que l’islam est, aussi, une religion. Et qu’il est toujours « contreproductif » de brimer les sentiments religieux. Surtout quand ils ont comme exutoire naturel une idéologie de conquête...

  • Mahomet flouté

    L’éditeur de manuels scolaires Belin a flouté le visage de Mahomet dans une miniature du XIIIe siècle reproduite dans un manuel d’histoire de cinquième. L’affaire s’est répandue dans les journaux à la fin de la semaine dernière, parce que Charlie Hebdo en a fait état. Cela circulait sur internet depuis quelques jours. L’affaire a en fait été lancée par le site athéisme.org.

    Comme on peut l’imaginer au seul énoncé de ces « références », le commentaire est : haro sur l’éditeur, ce lâche, ce pleutre, qui se soumet au religieusement correct. Et certains de nos amis s’engouffrent sans réfléchir dans cette campagne.

    Qu’en est-il en réalité ?

    D’abord, il s’agit d’un livre édité en 2005. Les sourcilleux gardiens de la liberté d’expression ne sont pas très vigilants.

    Le livre a d’abord été imprimé en avril 2005 et présenté à des enseignants. Plusieurs professeurs ont fait part à l’éditeur du « caractère provocant aujourd’hui d’une telle représentation du prophète Mohammed et par conséquent, de la difficulté d’enseigner sereinement dans des classes très hétérogènes », selon l’explication donnée par l’éditeur, langue de bois comprise. Dans l’édition publiée à la rentrée suivante, Belin a donc décidé de « flouter » le visage du prophète de l’islam, en surimpression, comme on le fait à la télévision, afin que l’altération soit bien visible.

    Il ne s’agit donc pas d’une lâcheté de Belin, mais d’une conséquence de l’islamisation des écoles. Avant de crier haro sur l’éditeur, il vaudrait mieux lire le rapport Obin, commandé par l’Education nationale et terminé en juin 2004, et qui fut occulté tant il était explosif (grâce à une fuite, il a pu circuler sur internet). En voici un petit extrait :

    « Devant l’abondance des contestations et une parole débridée des élèves, qu’ils ne parviennent pas à maîtriser, la réaction la plus répandue des enseignants est sans doute l’autocensure. La peur des élèves, une mauvaise expérience d’une première année d’enseignement, et on décide de ne pas aborder telle question sensible du programme. Cette attitude est sans doute largement sous-estimée, car les intéressés n’en parlent qu’avec réticence ; mais elle ne constitue pas vraiment une surprise. Il n’en est pas de même du second type de réactions, rencontré à plusieurs reprises et qui consiste, devant l’abondance des contestations d’élèves s’appuyant sur le Coran, à recourir au livre sacré pour tenter de légitimer l’enseignement. Ainsi ce professeur qui déclare en toute candeur s’appuyer sur les élèves inscrits à l’école coranique (« mes bons élèves » dit-il), garants de l’orthodoxie musulmane, afin d’invalider les contestations venant d’autres élèves. Le comble est sans doute atteint avec ce professeur enseignant avec le Coran sur son bureau (édition bilingue, car certains élèves n’ont foi qu’en la version arabe, langue qu’il ne lit pas !), et qui y recourt dès que des contestations se manifestent. On peut alors parler d’une véritable théologisation de la pédagogie. »

    En fait, chez Belin aussi, on aurait dû lire le rapport Obin avant de mettre dans un livre une miniature représentant Mahomet...

    La question n’est pas celle de l’autocensure de l’éditeur, mais celle des troubles provoqués dans les classes par le déferlement de l’islam.

    Ce n’est pas à Belin qu’il faut s’en prendre, mais aux dirigeants politiques qui ont laissé et laissent se développer une immigration musulmane, qui ont laissé et laissent se développer dans les quartiers (pas seulement dans les banlieues des grandes villes, soulignait le rapport Obin) un islam radical imposant sa loi jusque dans les écoles.