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Toujours Grosdidier

« Le tribunal administratif a donné raison aux partis islamophobes contre la ville de Marseille », dit François Grosdidier.

Non. Le tribunal administratif a dit que la ville de Marseille avait enfreint la loi. Ce n’est pas vraiment la même chose.

Comme le souligne Jean-Marie Le Pen dans son communiqué, tous les soutiens municipaux de Sarkozy, Bayrou et Royal qui cherchent à faire financer l’islam sur les deniers publics se mettent hors la loi. Et ce sont Sarkozy, Bayrou et Royal qui sont coupables de ces violations de la loi. C’est particulièrement net avec ce Grosdidier qui veut financer une mosquée de l’UOIF dans sa ville et qui est secrétaire national à l’intégration dans le parti de Sarkozy.

« La République se discrédite à entretenir l'inégalité et à encourager l'Islam des caves », ose-t-il dire encore, alors que c’est lui et ses semblables qui se discréditent, vis-à-vis à la fois de la République laïque qui ne connaît ni ne finance aucun culte, que vis-à-vis de la France chrétienne qui ne peut considérer l’islam que comme une « religion » étrangère (rappelons inlassablement qu’il ne s’agit pas à proprement parler d’une religion, mais d’une idéologie totalitaire qui couvre tous les aspects de la vie individuelle et sociale).

Remonté à bloc depuis qu’il a participé, seul de son espèce, au congrès de l’UOIF, Grosdidier, l’homme qui organise chaque année, aux frais de la commune, une fête du ramadan dans sa ville de Woippy (pas moins de six soirées la dernière fois), dénonce l'« hypocrisie » qui consiste « à ne pas vouloir considérer l'Islam quasi-absent jusqu'aux années 50 mais aujourd'hui deuxième religion du pays ». Ce qui est sûr est que lui n’est pas hypocrite, il est ouvertement un propagandiste de l’islam, dont il ne sait absolument rien, comme sa prose et son action le prouvent abondamment.

Alors il ne craint pas d’ajouter que « la jurisprudence impose une modification réglementaire, voire législative ». C’est bien ce que pense son maître Sarkozy, comme les deux autres candidats en tête dans les sondages. Trois candidats antifrançais dans leur volonté de promouvoir l’islam comme ils sont antifrançais dans leur européisme. En toute bonne logique antinationale.

Mais comment peut-on imaginer voter pour ces fossoyeurs de l’identité et de la souveraineté de notre pays ?

Commentaires

  • Pauvre France ! Il est loin le temps d'un Charles De Gaulle, ou plus lointain encore le temps d'un Mac Mahon. Ces deux grands présidents doivent se retourner dans leur tombe à l'heure qu'il est. De Gaulle disait qu'il ne voulait pas de Colombey-Les-deux-Mosquées...il avait (déjà !!!) vu juste...

  • Petite question: "rappelons inlassablement qu’il ne s’agit pas à proprement parler d’une religion, mais d’une idéologie totalitaire qui couvre tous les aspects de la vie individuelle et sociale)" suite a cette affirmation, que proposez-vous concernant les musulmans ou plutot quel est votre but ultime: l'eradiquation de cette "ideologie"? le "bourrage de crane" de tous les musulmans en leur expliquant que leur religion est criminelle et illegitime? Virer tous les musulmans de France et d'Europe vers leurs pays d'origine respectifs et instituer une sorte de guerre froide et ideologique entre pays occidentaux et pays musulmans?
    Par ailleurs, en reponse a votre intervention sur le post intitule "ce n'est pas l'imam qui est piege", j'ai des connaissances sur l'Islam contrairement a ce que vous sous-entendez, et sur le Coran. Ainsi, pour lire le Coran et savoir quels versets sont les abrogeants, il faudrait avoir un classement chronologique des sourates, point sur lequel les savants ne parviennent pas à statuer, car le dernier verset ecrit dans le temps abroge le precedent. Vous ne retenez que ce que vous voulez bien retenir. De plus, est-ce ma memoire qui flanche ou bien avez-vous modifie votre post d'origine?

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