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François (pape) - Page 76

  • Le 17 décembre... et le 13 octobre

    Ce jour qui est à la fois la première « férie privilégiée » de l’Avent, avec la première antienne O, et le mercredi des quatre temps, est aussi le jour anniversaire de François : Jorge Mario Bergoglio est né le 17 décembre 1936.

    Ce 17 décembre 1936, sainte Faustine, la messagère de la Divine Miséricorde, écrivait :

    « J’ai offert ce jour pour les prêtres, j’ai souffert plus que jamais intérieurement et extérieurement. Je ne savais pas qu’on pouvait tant souffrir en un jour. Je tâchais de faire l’Heure Sainte, pendant laquelle mon esprit goûta l’amertume du Jardin des Oliviers. Je lutte toute seule, soutenue par Son bras contre toutes les difficultés qui se dressent comme des murs infranchissables devant moi. Cependant j’ai confiance dans la force de Son Nom et je n’ai peur de rien. »

    C’est Kelly Bowring qui le signale sur son blog From Rome, soulignant que sainte Faustine a souffert son pire jour de souffrance, se sentant comme Jésus à Gethsémani trahi par Juda, le jour de la naissance du pape.

    Kelly Bowring est notamment l’auteur d’une trilogie fondée sur les apparitions et les révélations privées :

    "Chers enfants", les messages de Notre Dame de Medjugorje,

    Les secrets, châtiment et triomphe (des deux cœurs de Jésus et Marie),

    La grande bataille a commencé (la grande tribulation, le grand avertissement et le Miracle, la grande persécution, le grand châtiment, la grande victoire : comment aborder en paix la fin de notre temps)…

    A priori, et aussi à voir la présentation sur internet de sa maison d’édition, et la couverture de son dernier livre, on pourrait croire que Kelly Bowring n’est qu’un illuminé frappadingue. Mais il est professeur de théologie, bardé de diplômes, dont un doctorat de l’Université pontificale Saint Thomas d’Aquin (l’Angelicum).

    Quoi qu’il en soit, ses rapprochements peuvent être pleins de signification. On a vu le 17 décembre 1936. Il est intéressant de voir aussi ce qu’il dit du 13 octobre. Il n’y a guère que lui, me semble-t-il, qui ait fait attention au fait que la fameuse Relatio post disceptionem du synode extraordinaire a été publiée le 13 octobre.

    Et il souligne ce qu’a dit de ce texte Mgr Athanasius Schneider :

    « C’est la première fois dans l’histoire de l’Église qu’un tel texte hétérodoxe a été réellement publié comme un document d’une rencontre officielle d’évêques catholiques sous la direction d’un pape, même si ce texte n’avait qu’un caractère préliminaire. »

    Le 13 octobre 1884, Léon XIII eut sa vision terrifique de l’avenir de l’Eglise et composa la prière à saint Michel Archange pour combattre l’influence du démon. Saint Jean-Paul II disait : « Même si aujourd'hui on ne récite plus cette prière à la fin de la célébration eucharistique, je vous invite tous à ne pas l'oublier mais à la réciter pour obtenir d'être aidés dans le combat contre les forces des ténèbres et contre l'esprit de ce monde. »

    Le 13 octobre 1917, c’était la « danse du soleil » à Fatima, au terme de laquelle le soleil, secoué de tremblements, chuta en zig-zag vers la foule terrifiée.

    Le 13 octobre 1973, c’est le troisième et dernier message de la Vierge à Akita au Japon :

    « L’action du diable s’infiltrera même dans l’Église, de sorte qu’on verra des cardinaux s’opposer à des cardinaux et des évêques se dresser contre d’autres évêques. Les prêtres qui me vénèrent seront méprisés et combattus par leurs confrères. Les églises et les autels seront saccagés. L’Église sera pleine de ceux qui acceptent les compromis. Le démon poussera beaucoup de prêtres et de consacrés à quitter le service du Seigneur. Il s’acharnera spécialement contre les âmes consacrées à Dieu. La perspective de la perte de nombreuses âmes me rend triste. Déjà la coupe déborde; si les péchés croissent en nombre et en gravité, bientôt il n’y aura plus de pardon pour ceux-ci. »

    D’où la conclusion de Kelly Bowring :

    « Le 13 octobre 2014, premier jour du schisme catholique qui se développe ? » Ou, selon le titre de son article: Le jour dont on se souviendra comme du début du schisme catholique?

  • Le "chemin désormais tracé" ?

    Dans les lineamenta du prochain synode, en préambule aux « questions sur la première partie », on lit ceci :

    Le nouveau chemin tracé par le Synode Extraordinaire s’insère dans le contexte ecclésial plus vaste dessiné par l’exhortation Evangelii Gaudium du Pape François, c’est-à-dire en partant des « périphéries existentielles », avec une pastorale caractérisée par la « culture de la rencontre », capable de reconnaître l’œuvre libre du Seigneur, notamment en dehors de nos schémas habituels, et d’assumer, sans entrave, une condition « d’hôpital de campagne », si utile à l’annonce de la miséricorde de Dieu. Les paragraphes de la première partie de la Relatio Synodi répondent à ces défis ; ils exposent les aspects qui forment le cadre de référence le plus concret sur la situation réelle des familles, au sein duquel la réflexion peut être menée.

    Les questions proposées ci-après, qui se réfèrent expressément aux aspects de la première partie de la Relatio Synodi, entendent faciliter le nécessaire réalisme dans la réflexion des divers épiscopats, évitant ainsi que leurs réponses puissent être fournies selon des schémas et perspectives propres à une pastorale qui ne ferait qu’appliquer la doctrine, sans respecter les conclusions de l’Assemblée synodale extraordinaire, et qui éloignerait leur réflexion du chemin désormais tracé.

    Le chemin désormais tracé (et sur lequel il serait donc impossible, interdit, de revenir), si j’ai bien compris, c’est celui d’une Eglise qui sort d’elle-même pour aller aux périphéries, et se faire hôpital de campagne pour les blessés de la vie auxquels elle dispense la miséricorde.

    Cette Eglise qui sort d’elle-même, cela veut donc dire qu’elle laisse à l’intérieur son dogme et sa doctrine et qu’elle ne s’en préoccupe plus, étant désormais loin des vieux grimoires, pour pouvoir développer une pastorale qui s’inspire non plus de la doctrine mais d’une prétendue « miséricorde » déconnectée de la doctrine, déconnectée de la vérité, alors que les deux mots (et les deux réalités) sont étroitement liés dans la Sainte Ecriture (20 fois dans les psaumes).

    Le 1er décembre, le cardinal Ludwig Müller, préfet de la congrégation pour la doctrine de la foi, a explicitement prévenu que « toute division entre théorie et pratique de la foi serait le reflet d’une subtile hérésie christologique ».

    Il y a donc toujours un gardien de la foi. C’est la bonne nouvelle…

  • François repart à l’attaque

    Les « lineamenta » pour le prochain synode ont été publiés hier (en italien, les autres langues vont suivre). C’est un questionnaire qui reprend les éléments du rapport du synode extraordinaire. On comprend pourquoi François a tenu à ce que les paragraphes du rapport qui ont été rejetés par les pères restent néanmoins dans le rapport : c’est qu’on les reprend, pour repartir à l’attaque sur la communion aux divorcés remariés et l’accueil des homosexuels…

    Ces questions sont envoyées aux évêques, qui pourront les soumettre à qui ils veulent.

    Le cardinal Baldisseri a précisé que ce sondage sera « l'approfondissement des questions qui ont été traitées au cours des débats, toutes les questions, mais surtout celles dont il est nécessaire de discuter de manière plus détaillée ».

    Bref, on va vraiment se focaliser sur les divorcés remariés et les homosexuels pour faire passer à tout prix la « pastorale » hétérodoxe de François.

    La question qui concerne l’accès des divorcés remariés à la communion est la n° 38 :

    « Il est nécessaire d’approfondir davantage la pastorale sacramentelle des divorcés remariés, en examinant aussi la pratique des églises orthodoxes et en ayant présente à l’esprit 'la distinction entre situation objective de péché et circonstances atténuantes'. Dans quelles perspectives peut-on agir ? Quelles sont les démarches possibles ? Quelles suggestions permettraient de remédier à des formes d’empêchements non dues ou non nécessaires ? »

    Celle qui concerne l'homosexualité est la n° 40 :

    « Comment la communauté chrétienne porte-t-elle son attention pastorale sur les familles où il y a des personnes ayant une tendance à l’homosexualité ? Comment, en évitant toute discrimination injuste, prendre soin, à la lumière de l’Évangile, des personnes qui sont dans de telles situations ? Comment leur présenter les exigences de la volonté de Dieu en ce qui concerne leur situation ? »

    Via Sandro Magister

    N.B. - On constate que sur les homosexuels l'angle d'attaque a changé. Pour contourner le problème, on ne parle plus de l'Eglise mais des familles. C'est pourquoi François, dans son interview à la Nacion, évoque ce thème comme si c'était celui du synode passé, alors que, comme on le voit maintenant, il s'agit du synode futur.

  • Quand François retourne à La Nacion

    C’est semble-t-il la troisième interview du pape dans le grand quotidien argentin.

    Le titre reproduit une phrase de François dans cette interview :

    « Dieu a mis en moi une bonne dose d’inconscience. »

    Sic. Ce qui, assurément, relativise tout le reste.

    Un moment il ne craint pas d’affirmer :

    « Voyez, j’ai écrit une encyclique, bien vrai, c’était un gros travail. »

    Un gros travail, assurément, de signer l’encyclique à l’évidence pensée et manifestement rédigée par son prédécesseur.

    Cette affirmation est une partie de sa réponse à cette question :

    « Est-ce que vous pensez que certains secteurs (de l’Eglise) sont désorientés, pourquoi disent-ils que le navire est sans gouvernail, particulièrement après le dernier synode extraordinaire ? »

    Et François répond d’abord : « Ces expressions me paraissent bizarres. Je n’ai pas connaissance que quiconque les utilise. » Alors qu’il sait parfaitement qu’elle est du cardinal Burke.

    Il lui arrive aussi de faire les questions et les réponses, comme ici à propos des évêques et cardinaux qui ne sont pas sur la ligne Kasper :

    « Vous pourriez me demander : “Est-ce qu’il y en a qui sont complètement obstinés et ne bougeront pas de leurs positions ?”. Oui, il y en a sûrement. Mais ce n’est pas mon problème. L’affaire est de prier le Saint-Esprit pour les convertir. »

    Car, comme le martèle François, c’est le Saint-Esprit qui agit au synode, et qui veut que l’Eglise aille de l’avant… dans la ligne Kasper.

    « Je n’ai pas peur parce que c’est la voie que Dieu nous demande de suivre. Plus encore, le pape en est le garant ultime, le pape est là pour s’occuper du processus. Nous devons aller de l’avant. »

    A propos du paragraphe du rapport d’étape du synode sur les homosexuels, il ose affirmer :

    « Le synode s’est occupé des familles et des personnes homosexuelles en relation avec leurs familles. Nous devons trouver un chemin pour aider ce père ou cette mère auprès  de leur fils ou fille. C’est cela qu’a fait le synode. C’est pourquoi quelqu’un (sic) a mentionné les facteurs positifs dans le premier projet. »

    Mais ce n’est pas vrai. Le rapport d’étape ne parlait pas du tout de l’homosexuel vis à vis de sa famille. Il parlait exclusivement des dons et qualités que les homosexuels ont à offrir à l’Eglise, de leur orientation sexuelle qui doit être « appréciée » par « nos communautés ». François confond avec l’intervention proprement scandaleuse d’un couple (le troisième dont il est question ici), qu’il a trouvé tellement bonne qu’il en a oublié le texte du rapport… (Addendum: il pense en fait au prochain synode.)

    Le blog de Jeanne Smits, NewsVA, La Nacion 1 (en), La Nacion 2 (en)

  • Attention, haute théologie

    François, dans son discours officiel (et non dans des propos improvisés) à la Commission théologique internationale, hier 5 décembre :

    « Dans la composition toujours plus diversifiée de la Commission, je tiens à souligner la plus grande présence des femmes – mais pas encore tant que cela… Elles sont les fraises du gâteau, mais nous en voulons plus ! »

  • Sourire arc-en-ciel

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    Le 25 novembre, alors qu’il allait prononcer son discours au Parlement européen, François s’est fait remettre une écharpe arc-en-ciel par la Verte Ulrike Lunacek, auteur du célèbre rapport contre l’homophobie, elle-même lesbienne militante, co-présidente de l’intergroupe du Parlement européen sur les droits LGBT, et aujourd’hui, en outre, vice-présidente du Parlement européen (même s’il y a 14 vice-présidents, c’est un titre qui compte, surtout pour le lobbying LGBT). Le cadeau se fait sous le regard attendri de Martin Schulz, le président socialiste du Parlement européen, co-auteur du discours du pape si l’on en croit l’Osservatore Romano. François est ravi.

  • « Vie consacrée »

    J’ai fini par me résoudre à lire la « Lettre apostolique du pape François à tous les consacrés à l’occasion de l’année de la vie consacrée », qui a commencé au premier dimanche de l’Avent.

    C’est un texte pénible à lire, parce que c’est vide, et parce que, à chaque ligne de ce pensum qui se veut un hymne à la vie consacrée, on pense que le pape qui écrit cela, ou qui signe cela, est celui-là même qui détruit le plus florissant des récents instituts de vie consacrée, les Franciscains de l’Immaculée.

    Il les détruit notamment parce qu’ils étaient de plus en plus tournés vers la liturgie traditionnelle, qui fait horreur à François (sauf quand elle est orthodoxe). Et ce qui est le plus spectaculaire, dans la lettre aux consacrés, est qu’on n’y trouve pas une seule fois les mots « liturgie » ou « messe », pas davantage que le mot « sacrements ».

    On ne voit d’ailleurs pas ce qui est spécifiquement catholique dans cette vie consacrée dont parle le pape. Il est beaucoup question de communion, mais le mot paraît être surtout un synonyme de réunionite. Le leitmotiv est toujours le même : il faut « sortir » pour « aller aux périphéries ». Donc d’abord sortir pour organiser des réunions pour savoir comment on sera le plus efficace… On sait ce que ça a donné dans les diocèses depuis 50 ans…

    J’avais déjà remarqué que dans son discours aux supérieurs majeurs des ordres et congrégations de religieux, il y a un an, François paraissait ignorer totalement la vocation monastique contemplative. J’avais titré : « A-t-on supprimé les moines ? »

    Dans la lettre apostolique, il y a deux fois le mot « monastère », la première fois dans une énumération des divers lieux de vie consacrée, la deuxième fois pour conseiller aux monastères… « de se rencontrer, ou bien se relier de manières plus variées pour échanger les expériences sur la vie de prière », etc. Mais est-ce que c’est la vocation monastique ? Si le moine vit à l’intérieur d’une clôture après avoir fait vœu de stabilité, ce n’est pas pour franchir sans cesse cette clôture sous divers prétextes. Est-ce vraiment si difficile à comprendre ? Ou est-ce une infirmité jésuite ?

  • Le pape et le terrorisme catholique

    Le pape dans l’avion :

    « Il est vrai que devant ces actes terroristes qui ne sont pas seulement commis dans cette zone mais aussi en Afrique, il y a une réaction qui consiste à dire: “si c'est l'islam, je me mets en colère”. Et tant de fidèles de l'islam sont offensés. Tant et tant de musulmans disent mais “nous ne sommes pas cela, le Coran est un livre de paix, un livre prophétique de paix.” Cela n'est donc pas l'islamisme. Je comprends cela. Je crois sincèrement que l'on ne peut pas dire que tous les musulmans sont des terroristes. On ne peut pas le dire. De même que l'on ne peut pas dire que tous les chrétiens sont tous des fondamentalistes. Nous en avons aussi. Toutes les religions ont ce genre de groupes. »

    Le P. Lombardi, qui a une explication pour tout, a omis de préciser où les fondamentalistes catholiques commettent les mêmes actes terroristes que les islamistes.

    Addendum

    "Le coran est un livre de paix." C'est devenu tellement habituel qu'on n'y fait même plus attention. Mais on ne doit jamais laisser passer cet énorme mensonge idéologique. Ou cette erreur tragique.

  • Le pape à la mosquée

    Jean-Paul II a été le premier pape à entrer dans une mosquée. Qui était aussi le tombeau de saint Jean Baptiste.

    Benoît XVI a été le premier pape à « se recueillir » dans une moquée. Mais c'était après l'affaire de Ratisbonne, et il avait été pris par surprise par le mufti qui s’était arrêté devant le mihrab pour faire une prière.

    François est le premier pape à prier dans une mosquée, devant le même mihrab, volontairement et ostensiblement, après avoir dit en regardant la coupole : « Nous devons adorer Dieu. Nous devons adorer Dieu. Nous ne devons pas seulement le prier et le glorifier, nous devons l’adorer. » Et juste après avoir répondu « Oui, bien sûr, nous sommes d’accord » au mufti qui lui demandait s’il était d’accord avec les versets du Coran qu’il venait de réciter et qui parlaient d’un « Dieu d’amour et de justice ».

    Puis il a déclaré dans l’avion :

    « Quand le mufti m'a expliqué les éléments de la mosquée avec tant d'attention et de respect, expliquant la place de Marie dans le Coran, de Jean Baptiste, j'ai alors ressenti le besoin de prier. J'ai demandé “est ce que je peux prier un peu?”. Il m'a dit, oui. J'ai prié pour la Turquie, pour la paix, pour le mufti, pour tous, pour moi qui en ai besoin, j'ai vraiment prié. J'ai surtout prié pour la paix: “mais Seigneur, arrêtons là les guerres”. Ce fut un moment de prière sincère.» Sic.

    Le prochain pape sera-t-il le premier pape musulman ?

  • Un portrait du pape

    « Après des mois je brise mon silence sur ce pontificat et sur l'Eglise; sur le Synode non plus je n'ai pas prononcé un mot. Je le brise et après je le rétablis, me taisant à nouveau. J'ai mes raisons. »

    Ainsi commence, de façon mystérieuse, un long article d’Antonio Mastino (du site "Papale papale"). Sur le pape. C’est à la fois une analyse au vitriol du pontificat et un portrait à l’acide du pape. Avec des inexactitudes dans les détails, et quelques outrances. Mais l’ensemble est d’une très cruelle perspicacité, correspondant à ce que j’ai moi-même constaté depuis la première minute où j’ai vu « François » apparaître à la loggia du Vatican.

    C’est un article à lire, parce qu’il contient, aussi, des informations qui n’apparaissent nulle part ailleurs. Et parce qu’on sent bien qu’il a beaucoup coûté à son auteur. Qu’on remercie pour sa franchise.

    C’est chez Benoît et moi, naturellement.

    La première minute, c’était ça :

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    Et avant...

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