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Culture de mort - Page 99

  • Le virus de l’avortement

    Toutes les occasions sont bonnes à prendre pour la culture de mort, et le virus Zika est une occasion toute particulière pour décupler la propagande en faveur de l’avortement. Du coup Women on waves reprend du service et cingle vers l’Amérique latine.

    Le prétexte est que le virus Zika pourrait provoquer des « microcéphalies », et les bébés atteints de cette maladie, qui ne marcheront pas et ne parleront pas, n’ont que peu de temps à vivre après une terrible déchéance. Sauf que la Brésilienne Ana Carolina Caceres était atteinte de microcéphalie et qu’elle est aujourd’hui journaliste après être passée par l’université. Et qu’elle se sent personnellement attaquée par la propagande actuelle qui se déchaîne dans son pays…

  • La loi d’euthanasie votée à main levée

    La loi d’euthanasie Claeys Leonetti a été définitivement adoptée hier par l’Assemblée nationale et par le Sénat, à main levée…

    Elle ne parle pas ouvertement d’euthanasie mais en institue une forme, la « sédation profonde et continue jusqu’au décès », et rend les directives anticipées « contraignantes et non opposables » (si Philippe Pozzo di Borgo avait signé une directive anticipée avant son accident et que celui-ci se produise maintenant, il mourrait, comme il n'a cessé, en vain, de le dire).

    Plusieurs intervenants, dont le ministre Marisol Touraine, ont une fois encore souligné que cette loi était une « étape historique ». Une étape vers la prochaine loi qui osera nommer et imposer l’euthanasie active, comme chez nos voisins du Bénélux.

    Le Salon Beige a publié cette photo de l’Assemblée nationale au moment du vote :

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  • Au service de la culture de mort

    Un « grand jury » du comté de Harris (Houston) au Texas, saisi de l’affaire des vidéos du Center for Medical Progress sur les ventes de tissus de fœtus avortés par le Planning familial, a blanchi le Planning familial et inculpé les auteurs des vidéos, David Daleiden et Sandra Merritt.

    Ils sont inculpés de « falsification de documents gouvernementaux » (ils avaient de faux permis de conduire pour cacher leur identité) et viol de la loi texane interdisant « la vente et l’achat d’organes humains », puisque dans les vidéos ils font semblant de vouloir acheter des tissus…

    Ils encourent en théorie jusqu’à 20 ans de prison et 10.000 $ d’amende.

    D’autres précisions sur ce délire, hélas authentique, ici.

    LifeSite a aussitôt lancé une pétition pour demander que les charges à l’encontre de David Daleiden et Sandra Merritt soient abandonnées et que le Planning familial soit poursuivi.

    L’affaire est d’autant plus stupéfiante que cela se passe au Texas, où la majorité de la population est pro-vie. A commencer par le gouverneur, Greg Abbott, qui dès l’été dernier a demandé une double enquête sur l’action du Planning familial à la commission de la santé de l’Etat, et au procureur général du Texas. Deux enquêtes qui se poursuivent, a-t-il précisé.

    Lors de l’affaire des vidéos, Greg Abbott avait publié un texte en quatre paragraphes indiquant ses intentions, chaque paragraphe commençant par une lettre du mot LIFE. Dans le troisième il demandait que soient supprimées toutes les subventions au Planning familial, et dans le quatrième que soit criminalisée tout vente ou transaction de tissu fœtal par un avortoir, quels que soient les motifs.

    Il serait étonnant que David Daleiden et Sandra Merritt soient condamnés au Texas. Mais cette affaire montre à quel point on en est venu à tout inverser. Dans tous les domaines : ainsi ce documentaire Salafistes qu’on veut interdire pour « apologie du terrorisme » alors que c’en est une dénonciation (mais qui ne plaît pas à l’islam comme les vidéos ne plaisent pas aux avortueurs).

  • 13.000 dollars

    Ça va coûter cher de résister à la dictature homosexualiste. Divers commerçants l’ont déjà constaté. Près de New York, un couple qui propose sa ferme pour différentes cérémonies vient d’être condamné à 10.000 dollars d’amende et 3.000 dollars de dommages et intérêts pour avoir refusé d’accueillir une parodie de mariage entre deux lesbiennes. (Exactement 3.000 dollars de pretium doloris, pour la souffrance mentale infligée aux plaignantes...)

    Pourtant les propriétaires avaient seulement demandé que la cérémonie elle-même ne se déroule pas chez eux, ils soulignaient qu’ils avaient déjà embauchés des homosexuels, qu’ils avaient accueilli l’anniversaire d’une petite fille adoptée par des lesbiennes… Rien n’y a fait.

    En outre ils doivent suivre des cours de sensibilisation et apposer une affiche sur les méfaits des discriminations…

  • Un archevêque LGBT

    800px-Mgr_JCL_Hollerich_cath_20111016.jpgL’archevêché de Luxembourg a signé la « charte de la diversité ».

    Le « premier rendez-vous diversité » de l’année 2016 a été, le 12 janvier, une « conférence LGBTI », organisée par la Charte en collaboration avec BNP Paribas, classée deuxième au classement mondial des entreprises gay-friendly. On ne sait pas si Mgr Jean-Claude Hollerich ou un représentant de l’archevêché était là, mais ce fut un « grand succès », et il ne fut question bien sûr que de l’engagement des entreprises à soutenir la cause LGBT et à accorder les pleins droits aux personnes transgenre et intersexe. C’est ce à quoi s’engage l’entreprise archevêché de Luxembourg, qui dit avoir 300 salariés et qui croit bon d’insister et de préciser qu’elle est une entreprise de l’Eglise catholique…

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    (Via Riposte catholique)

  • + Michel Tournier +

    Les nécrologies de Michel Tournier n’oublient pas de signaler les insupportables dérapages de l’écrivain sur l’avortement, par son article Pour en finir avec la famine et l’avortement (Nouvel Observateur, 1996) et surtout Les avorteurs sont les fils des monstres d’Auschwitz (Newsweek, 1989).

    A mettre à son actif, donc.

    Toutefois, il convient de rappeler que pour cet auteur d’ouvrages plus glauques que glauques l’avortement était une conséquence inéluctable de la « société hétérosexuelle » qu’il avait en horreur, et qu’il posait donc en modèle à promouvoir la « société homosexuelle » dont il est une sorte de prophète.

  • Un de moins

    Le centre de Planning dit par antiphrase « familial » de Bayonne a fermé, par « manque de bénévoles ». (Puisqu'on n'y fait que la promotion de la contraception et de l'avortement, il s'agit d'une institution clairement anti-familiale.)

    Cette bonne nouvelle ne figure que dans un discret article de Sud Ouest, heureusement répercuté par le Salon Beige qui ajoute : « Si le Planning familial perdure ailleurs, c'est souvent parce que l'association est généreusement subventionnée par les pouvoirs publics. Qu'en serait-il si demain l'Etat coupait toute subvention ? »

  • “La ch’tiote !”

    Dans L’Homme Nouveau, « L’humeur de Pasquin » :

    Aux urgences gynécologiques, dans le pays minier, une gamine et sa mère... le quart-monde, genre pauvres qui vote Le Pen, en jogging. Babaches de pauvres, qu’il est de bon ton de mépriser quand on a fait des études, et qu’on jouit du pouvoir du savoir, comme ce jeune interne. Aux urgences donc, la gamine a 15 ans. « Elle a mal au ventre » dit la mere, « on sait pas quoi ! ». La sage-femme qui, elle, garde plutôt ses jugements sévères pour les prétentieux, prend soin de la fille, la questionne et l’examine. « Il est plus que probable que tu sois enceinte... le sais-tu ? ». « Bah non ! »... Arrivée de l’interne, échographie, diagnostic de la sage-femme confirmé : « Tu es enceinte de 6 mois. » L’interne, sentencieux devant ce déni de grossesse : « C’est trop tard, mais si tu avais fait attention et réagi a temps, on aurait pu pratiquer une IVG. » « Une quoi ? » dit la fille. « Un avortement » reprend l’interne. « Ah ben non ! Avorter c’est quand même tuer son bébé et y a pas de raison de faire ça, faut pas faire ça, moi je suis contre ! » répond d’une traite la jeune fille, femme, mère. Alors que l’interne, décontenancé et les certitudes en déroute, quitte la salle, la sage-femme pose sa main sur le ventre de la gamine et lui dit : « C’est toi qui as raison ». Mais oui, c’est toi qui as raison la ch’tiote, au-delà de ta négligence initiale, tu donnes une leçon de bon sens, de simplicité, de sagesse, de maturité et de sens des responsabilités. T’as raison, la ch’tiote, faut pas faire ça. Ta résistance simple et efficace écroule le Planning familial, Ie bourrage de crâne scolaire et périscolaire, les subventions et tout le tintouin budgétisé depuis trente ans pour faire oublier cette vérité toute simple que tu rappelles à contretemps : « Avorter c’est quand même tuer son bébé ! ». La connivence qui s’est tissée, là, entre la gamine et la sage-femme, est une révolution. Ceux qui pensaient avoir gagné la partie n’en mesurent pas la portée : ils ont déjà perdu. Les pauvres aiment les enfants et ils sont plus nombreux que les bobos. Et il y aura toujours une sage-femme pour préférer, à les faire disparaître, les faire naître. Elle commence bien cette nouvelle Année, elle va nous plaire !

  • Obsession

    Marisol Touraine s’est exprimée devant les caméras de télévisions sur l'essai thérapeutique de Rennes qui a mal tourné.

    Elle parlait le dos à un mur où il y avait plusieurs affiches. Une seule était visible, à sa droite : « IVG c’est mon choix. »

  • Ils portent plainte !

    Le Planning familial américain a osé porter plainte contre le Center for Medical Progress qui a réalisé les vidéos où l’on voit les gens du Planning vendre des morceaux de fœtus, voire des fœtus entiers. Sous prétexte qu’évidemment les auteurs des vidéos se sont présentés sous de fausses qualités.

    Ces plaintes sont aussi immondes que dérisoires. Elles auront surtout pour résultat de faire connaître encore davantage les crimes du Planning familial américain.