Le centre de Planning dit par antiphrase « familial » de Bayonne a fermé, par « manque de bénévoles ». (Puisqu'on n'y fait que la promotion de la contraception et de l'avortement, il s'agit d'une institution clairement anti-familiale.)
Cette bonne nouvelle ne figure que dans un discret article de Sud Ouest, heureusement répercuté par le Salon Beige qui ajoute : « Si le Planning familial perdure ailleurs, c'est souvent parce que l'association est généreusement subventionnée par les pouvoirs publics. Qu'en serait-il si demain l'Etat coupait toute subvention ? »
Commentaires
Il y a environ une centaine de centres du planning dans l'hexagone. 1% de baisse, on ne va pas cracher dessus, c'est un début. A part une forte participation au massacre, ils propagent la culture de mort dans les établissements scolaires, y compris "catholiques" sous contrat. C'est cette action en amont qui est la plus ignoble. Si les parents, soucieux de la santé mentale et morale de leurs enfants boycottaient systématiquement les séances proposées par le planning et en parlaient dans les associations de parents, ces subversifs auraient moins de poids.
Les fanatiques qui tiennent ces centres commencent à (mal) vieillir et ne recrutent pas vraiment de nouveaux fanatiques. C'est fatigant, d'être fanatique. Sans le soutien indéfectible des gouvernements de droite ou de gauche, le planning disparaîtrait.
Il est intéressant de noter que
http://www.sudouest.fr/2016/01/18/le-planning-familial-a-ferme-faute-de-bras-2245721-3944.php
ne donne pas accès à l'article (réservé aux abonnés) mais fournit 5 commentaires,
Deux s'étonnent de n'avoir pas vu d'appel au recrutement de bénévoles, un "note que l'association se donnait le droit de ne pas respecter le droit français" et deux signalent que les femmes confrontés à une grossesse "non souhaitée"/"imprévue" ont besoin d'une réelle écoute et non d'une "solution toute prête".