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Culture de mort - Page 137

  • Une victoire contre la culture de mort

    La Cour suprême des Etats-Unis, par 5 voix contre 4, a rejeté hier la plainte contre la loi du Texas qui restreint les possibilités d’avortement dans cet Etat.

    La Cour suprême a donc jugé comme les magistrates d’appel que la loi ne portait pas « atteinte au droit à l’avortement », quoique qu’elle conduise à la fermeture d’au moins un tiers des avortoirs et interdise l’avortement au-delà de vingt semaines.

  • Ben oui

    Je lis sur Le Salon Beige qu’à deux semaines du premier dimanche de l’Avent sont programmées « seulement 62 veillées de prière pour la vie naissante » en France, et que des régions entières sont vides de veillées.

    C’est que, quand ça les arrange, les clercs écoutent le pape. Or le pape a bien souligné que la défense de la vie n’était pas une priorité…

  • Dominique et Mohammed : le parquet va en cassation

    Le Français Dominique et le Marocain Mohammed ont procédé samedi dernier à leur parodie de mariage, puisque la cour d’appel avait confirmé, contre l’avis du parquet, le jugement de première instance permettant la cérémonie pourtant contraire à une convention franco-marocaine.

    Le parquet général vient de former un pourvoi en cassation. Le procureur général Jacques Dallest juge « utile » que la Cour de cassation puisse se prononcer sur ce « conflit de normes juridiques ».

  • La Cour suprême des Etats-Unis fidèle à la culture de mort

    Coup sur coup, la Cour suprême américaine a refusé de se prononcer sur deux lois adoptées en Oklahoma, rejetant ainsi tout ce qui pourrait conduire à freiner l’avortement sans remettre en cause ce « droit » de tuer qu’elle défend bec et ongles.

    Le 4 novembre elle a refusé de se prononcer sur le recours de l’Etat d’Oklahoma contre l’arrêt de la cour suprême de l’Etat invalidant la loi restreignant l’usage de la pilule abortive.

    Le 11 novembre elle a refusé de se prononcer sur le recours de l’Etat d’Oklahoma contre l’arrêt de la cour suprême de l’Etat invalidant la loi qui obligeait toute femme enceinte souhaitant avorter à faire une échographie.

    Dans les deux cas, la Cour suprême des Etats-Unis confirme donc « l’inconstitutionnalité » des deux lois, et fait savoir clairement qu’elle continuera de sabrer toute loi restreignant d’une façon ou d’une autre le massacre des enfants à naître.

  • La parodie de mariage s’étend à Hawaï

    La loi sur le « mariage » homosexuel a été votée, à une très large majorité, par le Sénat de Hawaï. Elle n’a plus qu’à être signée par le gouverneur, qui y est très favorable.

    Comme à l’accoutumée, Barack Obama (qui en outre se dit natif de Hawaï) a envoyé son message de félicitation :

    « Je veux féliciter le parlement de Hawaii pour avoir adopté une loi défendant l’égalité au mariage. Grâce à ce vote, Hawaii rejoint le nombre croissant d’Etats reconnaissant que nos frères et sœurs homosexuels doivent être traités par la loi de façon équitable. »

  • Bravo les Croates !

    Le Parlement croate a approuvé hier la convocation d’un référendum contre le mariage homosexuel. 151 voix pour, 13 contre, 5 abstentions.

    Enfin. C’est le 17 juin dernier que l’initiative populaire « Au nom de la famille » avait remis les signatures de 749.316 citoyens au président du Parlement. Le Parlement est dans l’obligation d’autoriser le référendum s’il est demandé par au moins 10% des électeurs. Ici ils sont 20%... Mais la gauche au pouvoir a tout fait pour que l’initiative n’aboutisse pas. Bien sûr il a fallu soigneusement recompter les signatures, ce qui est extrêmement long… Et l’on a prétendu que ce qui relève des droits de l’homme ne peut être soumis à référendum, et aussi que l’initiative ne disait pas où, dans la Constitution, il faudrait stipuler que le mariage est entre un homme et une femme…

    Le temps a passé, mais finalement « Au nom de la famille » a eu gain de cause, et l’on voit que les idéologues homosexualistes sont très minoritaires même au sein de la coalition de gauche…

    Bref, le référendum aura lieu le 1er décembre. On s’attend à une majorité de plus de 60% pour l’inscription du mariage naturel dans la Constitution.

    Ce qui ne va pas plaire aux maîtres de l’Europe…

  • Premier effet concret de la stratégie de François

    Le Chicago Tribune explique comment le vote du soi-disant mariage homosexuel dans l’Illinois a été acquis grâce aux propos de François. Extrait de la traduction de Corrispondenza Romana par Benoît et moi.

    Le Chicago Tribune met en lumière un aspect particulier de l'affaire, faisant noter comment en Illinois, les activistes gays ont trouvé un allié insolite dans le Pape, se réclamant de sa désormais célèbre sortie faite sur le vol de retour des JMJ de Rio de Janeiro, quand il a affirmé « si une personne est gay et cherche Dieu de bonne foi, qui suis-je moi pour la juger? ».

    Selon le journal de Chicago, ces paroles ont conduit à un "examen de conscience" plusieurs parlementaires catholiques, parmi lesquels la démocrate Linda Chapa LaVia, et le président de la Chambre Michael Madigan. Ce dernier a souligné comment les commentaires du Pape sur l'homosexualité ont assuré entre 5 et 10 voix, décisifs pour le passage de la loi.

    Comme le rapporte le site américain LifeNews.com (1) qui commente cette nouvelle, Linda Chapa LaVia a justifié son vote en faveur du mariage homosexuel en affirmant que « comme catholique disciple de Jésus et du Pape, le Pape François, il est clair pour moi que notre doctrine religieuse catholique a en son centre l'amour, la compassion et la justice pour toutes les personnes ». De son côté, Madigan, sans nommer directement le Pape, a fait malgré tout une claire référence à ses observations, en déclarant: « pour ceux à qui il arrive d'être gays et qui vivent leur relation de manière harmonieuse et productive, mais illégale, qui suis-je, moi, pour juger qu'ils devraient être dans l'illégalité ? ».

    *

    Mon commentaire. Ce n’est pas pour rien que la miséricorde et la vérité sont étroitement liées dans les psaumes et dans la doctrine catholique. Tout centrer sur la miséricorde en signalant que la vérité est connue, c’est favoriser l’erreur et le péché. Forcément. Car hélas la vérité n’est pas connue. Et même si elle l’a été, si maintenant on la tait, c’est qu’elle n’est peut-être plus la vérité pour notre temps… Et plus elle est gênante plus on s'empresse de l'oublier...

    (1) En fait il ne s’agit pas de LifeNews (qui ne parle que de l’avortement) mais de LifeSiteNews. Et c’est le Chicago Tribune, cité par LifeSiteNews, qui rapporte les propos des parlementaires.

  • Avis aux Africains : il suffit de se dire homosexuel

    Saisie par les Pays-Bas au sujet de trois demandeurs d’asile africains homosexuels, la Cour de Justice européenne décide que les homosexuels peuvent être considérés comme formant « un certain groupe social » persécuté qui leur permet d’obtenir le statut du réfugié. Car lorsqu’il y a une législation contre l’homosexualité, les homosexuels « constituent un groupe à part ».

    Cela dit, ajoute la Cour, pour qu’il y ait persécution, il faut qu’elle atteigne « un certain niveau de gravité ». Et l’existence d’une loi pénalisant l’homosexualité ne suffit pas. Mais… s’il est prévu une peine d’emprisonnement, cela suffit à constituer un acte de persécution.

    Or l’homosexualité est punie de peines de prison (quand ce n’est pas la peine de mort) dans la grande majorité des pays africains.

    Autrement dit tout(e) Africain(e), ou presque, se disant homosexuel(le), peut exiger le statut de réfugié dans le pays européen de son choix.

    C’est beau, la justice européenne, quand même.

    Addendum. Comme le rappelle un lecteur, la France applique cette jurisprudence depuis longtemps.

  • Un référendum pour détruire le mariage en Irlande

    Le gouvernement irlandais a décidé d’organiser en 2015 un « référendum sur le mariage homosexuel », et va « activement soutenir » le camp du oui.

  • Favoriser l’avortement

    Le Haut conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes a remis au gouvernement le « volet 2 » de son « Rapport relatif à l’accès à l’IVG ». On se souvient que le « volet 1 » visait à lutter de façon urgente contre les sites internet qui cherchent à aider les femmes à ne pas avorter, et d’abord en créant un site gouvernemental de propagande pour l’avortement. Ce qui fut aussitôt réalisé. On peut donc supposer que le « volet 2 » sera lui aussi rapidement mis en œuvre.

    Il contient pas moins de 34 « recommandations » pour faire en sorte que l’avortement ne soit plus un droit « à part » mais devienne un « droit à part entière » (mais oui, on fait du style), et d’« améliorer » l’accès à l’avortement.

    La première recommandation vise à remplacer dans le code de la santé publique l’expression : « La femme enceinte que son état place dans une situation de détresse peut demander à un médecin l’interruption de sa grossesse », par : « La femme qui ne souhaite pas poursuivre une grossesse peut demander à un-e médecin de l’interrompre ». La situation de détresse remplacée par le simple « souhait » de tuer l’enfant à naître : il faut vraiment avoir atteint le dernier degré de la barbarie pour pouvoir écrire cela sans frémir.

    2- Il faut supprimer l’obligation du délai de réflexion de 7 jours entre les deux consultations (il ne faut pas permettre à la femme de réfléchir).

    3 - Il faut supprimer la clause de conscience des médecins (au motif qu’il existe une clause de conscience générale).

    Parmi les autres recommandations, on note l’interdiction de la fermeture d’avortoirs, l’obligation stricte de pratiquer des avortements dans tous les établissements disposant d’un service de gynécologie ou de chirurgie, et le faire jusqu’à 12 semaines, la permission de pratiquer l’avortement par aspiration dans les centres de santé et les centres de planification ou d’éducation familiale (sic), la gratuité totale de l’avortement et de tout ce qui va autour..

    Et bien sûr de multiples appels à renforcer la propagande pour l’avortement par tous les moyens (aussi chez les étudiants en médecine) et naturellement à débloquer toujours plus d’argent…