La source du conflit :
Le jeu d’Ursule et de ses complices :
Qui est Zelensky, responsable de la guerre :
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Après le dimanche joyeux que nous venons de célébrer, les chants d’aujourd’hui nous frapperont par la mobilité des sentiments et des impressions. Alors que les premiers font entendre deux plaintes sorties de la bouche du Christ, nous chantons, à l’Offertoire, un joyeux cantique de Résurrection. Cette union de la Croix et de la Résurrection se retrouve aussi dans l’Évangile. Le Seigneur parle de la destruction et, en même temps, de la reconstruction du temple de son corps. La Croix et la Résurrection nous accompagnent constamment ; la sainte compassion et la sainte joie se complètent mutuellement.
Dans la semaine qui commence, nous verrons le thème de la Passion grandir sans cesse, sans que pour cela diminue la joie de la Résurrection. Cette disposition de l’Église doit être aussi celle de l’âme. Notre âme doit se lamenter avec le Sauveur souffrant et pleurer avec lui, mais, en même temps, elle doit tressaillir de joie à la pensée de son exaltation et de sa Résurrection. Bien plus, l’âme doit être à la fois crucifiée et glorifiée. « Avec le Christ, je suis attaché à la Croix. » C’est précisément par cette Passion terrestre que l’âme est glorifiée et participe à la Résurrection du Christ. Plus le temple terrestre de notre vie est détruit, plus s’élève le temple spirituel de l’âme. Le corps frémit et se plaint : « Ô Dieu, à cause de ton nom, donne-moi le salut, délivre-moi dans ta force, les ennemis se sont soulevés contre moi… » (Intr.). Mais l’âme glorifiée chante : « Tressaillez d’allégresse en Dieu, tressaille, terre entière, servez Dieu dans la joie » (Off.). Nous pensons à la Croix et à la Résurrection pendant chaque messe, pensons-y pendant toute notre vie.
Ravenne, Saint Apollinaire le Neuf (début du VIe siècle).
Les miracles accomplis par notre Seigneur Jésus-Christ sont vraiment des œuvres divines et ils invitent l’esprit humain à s’élever des événements visibles à la connaissance de Dieu. Dieu, en effet, n’est pas de telle substance qu’il puisse être vu des yeux du corps. D’autre part, ses miracles, grâce auxquels il régit le monde entier et prend soin de toute la création, sont, par leur fréquence, devenus communs, au point que personne, pour ainsi dire, ne daigne prêter attention à l’action admirable et étonnante de Dieu dans n’importe quelle semence. C’est pourquoi, en sa miséricorde même, il s’est réservé d’opérer, en temps opportun, certains prodiges en dehors du cours habituel et ordinaire de la nature : ainsi la vue de faits, non plus grands, mais insolites, frappera tout de même d’étonnement ceux pour qui les miracles quotidiens sont devenus quelconques.
Car c’est un plus grand miracle de gouverner le monde entier que de rassasier de cinq pains cinq mille personnes. Et pourtant, nul ne s’étonne du premier prodige, tandis que l’on est rempli d’admiration pour le second, non parce qu’il est plus grand, mais parce qu’il est rare. Qui, en effet, maintenant encore, nourrit le monde entier, sinon celui qui, de quelques grains, fait sortir les moissons ? Jésus a donc agi à la manière de Dieu. En effet, par cette même puissance qui d’un petit nombre de grains multiplie les moissons, il a multiplié entre ses mains les cinq pains. Car la puissance était entre les mains du Christ. Ces cinq pains étaient comme des semences non plus confiées à la terre, mais multipliées par celui qui a fait la terre.
Ce prodige a donc été présenté à nos sens pour élever notre esprit ; il a été placé sous nos yeux pour exercer notre intelligence. Alors, admirant le Dieu invisible à travers ses œuvres visibles, élevés jusqu’à la foi et purifiés par la foi, nous désirerons même voir l’Invisible en personne ; cet Invisible que nous connaissons à partir des choses visibles (erécti ad fidem, et purgáti per fidem, étiam ipsum invisíbilem vidére cuperemus, quem de rebus visibílibus invisíbilem nosceremus). Et pourtant, il ne suffit pas de considérer cela dans les miracles du Christ. Demandons aux miracles eux-mêmes ce qu’ils nous disent du Christ ; en effet, si nous les comprenons, ils ont leur langage. Car le Christ en soi est la Parole de Dieu, l’action de la Parole aussi est parole pour nous (etiam factum Verbi verbum nobis est).
Saint Augustin, traité 24 sur saint Jean, lecture des matines.
• L'introït.
• L'introït et la communion (Solesmes, dom Gajard).
• L'offertoire.
• Le trait.
• Le symbolisme des nombres dans la multiplication des pains.
• Vue d'ensemble de la liturgie de ce dimanche.
Un compte Twitter dénommé Ange Gabriel transmet une information de l’agence ukrainienne BioTex qui fabrique des bébés pour les Européens fortunés :
(On signalera que dans la liturgie byzantine c’est aujourd’hui la fête de saint Gabriel archange.)
Le 22 mars, les relais de la propagande ukrainienne félicitaient les héros qui ont descendu ce Soukhoi russe.
C’était déjà le cas le 4 mars :
Une toute petite recherche permet de constater que cette image a déjà beaucoup servi. La première fois, si l’on en croit les premières pages des résultats Google, pour illustrer un article accusant les putschistes turcs de l’avoir abattu, en 2016:
La dernière fois qu’on l’a vue, avant sa reprise par les Ukrainiens, c’était en 2020 lors de la guerre du Nigorni-Karabakh.
Voici le titre et le résumé (par le journal lui-même) d’un article du Daily Mail sur Hunter Biden et les laboratoires américains en Ukraine. C’est encore une fake news russe qui est vraie. Il s’agit toujours des courriels du fils du vice-président Biden trouvés dans un ordinateur portable qu’il avait oublié chez un réparateur. Le Daily Mail va plus loin et publie le fac simile de plusieurs courriels, dont ceux de Metabiota (entreprise de biotechnologie de San Francisco alors dotée de 18,4 millions de dollars du Pentagone pour des recherches en Géorgie et en Ukraine), qui voit dans la coopération avec le fils Biden une opportunité d’« affirmer l’indépendance économique et culturelle de l’Ukraine vis-à-vis de la Russie et de continuer son intégration dans la société occidentale ».
Hunter Biden a bien aidé à obtenir des millions de dollars de financement pour un entrepreneur américain en Ukraine spécialisé dans la recherche d'agents pathogènes mortels, selon des courriels envoyés par ordinateur portable, ce qui soulève de nouvelles questions sur le fils discrédité de l'ancien vice-président.
Lors de sa conférence de presse de jeudi, le gouvernement russe a publié ce graphique montrant les liens de Biden, Soros et le parti démocrate avec les laboratoires en Ukraine.
Les deux lectures de la messe de ce jour forment un curieux parallèle. La première est l’histoire d’une femme vertueuse, Suzanne, qui est calomniée, condamnée à mort, sauvée in extremis par le jeune Daniel qui prouve la calomnie. La seconde est l’histoire d’une femme adultère condamnée à mort et sauvée par la miséricorde du Fils de Dieu. Au départ, deux situations opposées, à l’arrivée, le salut pour les deux femmes. Daniel a fait triompher la vérité, Jésus la miséricorde. Ce sont les deux faces de l’action divine, comme le dit le psaume 24 : « Universæ viæ Domini, misericordia et veritas ». Toutes les voies du Seigneur sont miséricorde et vérité.
Un autre point commun entre les deux lectures est que l’une et l’autre ne font pas partie initialement du livre où elles se trouvent.
L’histoire de Suzanne est un ajout grec au livre de Daniel. Il n’est pas admis comme canonique par les juifs. Dans la Septante il est même un livre à part, avant celui de Daniel (ce qui est chronologiquement logique puisque le prophète y est très jeune), alors que saint Jérôme l’a ajouté à la fin en appendice. Toutefois l’Alexandrinus (l’un des plus prestigieux manuscrits grecs de la Bible) inscrit ce livre comme la « première vision » (de Daniel). Le livre de Daniel proprement dit est annoncé comme « deuxième vision », et le livre de Bel et le Dragon, mis après Daniel et clôturant la Bible, comme « douzième vision ».
Quant à l’histoire de la femme adultère, on ne la trouve ni dans les deux plus anciens papyrus qui donnent l’évangile de saint Jean (P66 et P75), ni dans le Sinaiticus, ni dans le Vaticanus, ni dans le manuscrit C, ni dans l’Alexandrinus (où il manque cependant presque tout le chapitre 8, bien au-delà de la femme adultère). Elle ne figure donc dans aucun des « quatre grands onciaux », ni dans sept autres. Ni dans plusieurs vieilles latines, ni dans la tradition syriaque. Certains manuscrits l’ont dans l’évangile de saint Luc (« l’évangile de la miséricorde »…). Mais elle se trouve en saint Jean dans le manuscrit D, le Codex Bezae, qui est assez souvent différent des « grands onciaux » et qui est ici suivi par la Vulgate, donc la tradition latine, mais aussi par toute la tradition grecque.
La femme adultère a su se rendre indispensable à l’Evangile, et les derniers mots de Jésus sont bien ceux du Dieu de vérité et de miséricorde : « Moi non plus je ne te condamnerai pas. Va, et désormais ne pèche plus. »
Vassili Dmitrievitch Polenov, 1888 (la toile fait plus de 6 mètres sur 3).
Les non-russsophobes peuvent cliquer pour agrandir.
L’ambassadeur de Russie en France a été convoqué par le ministère français des Affaires étrangères. Quel est l’incident diplomatique qui peut motiver une telle convocation ?
Deux dessins publiés sur le compte Twitter de l’ambassade, puis rapidement retirés. Deux dessins de mauvaise qualité, et si l’on veut de mauvais goût, mais que le gouvernement français s’en émeuve au point de convoquer l’ambassadeur, c’est ahurissant.
Sans doute est-ce parce qu’ils disent des vérités qu’il est interdit de dire…
Le gouverneur de l’Idaho Brad Little a signé mercredi la loi « battement de cœur » qui interdit de fait l’avortement après la sixième semaine de grossesse.
Live Action rappelle que la loi texane sauve environ 75 vies par jour depuis plus de 200 jours.
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Le Planning familial américain (premier avorteur du pays) fait savoir que MacKenzie Scott, l’ancienne femme de Jeff Bezos, lui a fait un don de 275 millions de dollars. C’est dans le cadre de son engagement à reverser au moins la moitié de sa fortune (49 milliards de dollars) à des œuvres « caritatives »…
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Le maire de New York Eric Adams a viré hier une conseillère de son « panel de politique d’éducation », Kathlyn Barrett-Layne, quelques heures après l’avoir nommée, parce qu’il a appris qu’elle avait écrit des choses insupportables. Dans un de ses livres, elle disait que « les dirigeants se débattent avec les mêmes tentations de drogue, d'alcool, d'homosexualité, de fornication, d'adultère, de pédophilie, de vol, de mensonge, d'envie, de convoitise et de tout autre péché que les fidèles » et que « les prisonniers vivent sous l’emprise d’un mode de vie de fornication homosexuelle », et dans un autre livre à propos d’une prière pour sa fille de 3 ans qui avait proclamé qu’elle était un garçon : « À la fin de cette prière, ma fille m'a demandé si elle était une fille. Quand je lui ai dit oui, elle s'est mise à chanter et à se réjouir d'être la petite fille de papa et maman. Vous dire que ce fut l'une des expériences les plus effrayantes que j'ai vécues avec ma petite fille est un euphémisme. »
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Twitter a suspendu pendant 12 heures le compte de Tucker Carlson hébergé chez Fox News, parce qu’il a reproduit deux tweets rappelant que « la » secrétaire adjointe à la Santé de Jobidon est un homme. L’un de Charlie Kirk : « Rachel Levine a passé 54 ans de sa vie en tant qu'homme. Il avait une femme et une famille. Il a fait une 'transition' pour devenir une femme en 2011. Joe Biden a nommé Levine amiral 4 étoiles et maintenant USA Today a nommé 'Rachel' Levine 'femme de l'année'. » L’autre du site satirique « l’abeille de Babylone » disant que « pour l’abeille de Babylone l’homme de l’année est Rachel Levine ».
Tucker Carlson ajoutait simplement : « Mais, attendez, ces deux tweets sont vrais. »
Les auteurs des deux tweets ont également été sanctionnés pour « conduite haineuse », comme tous ceux qui rappellent que « Rachel » est un homme. Un député l’avait été en octobre dernier, et LifeSiteNews dès janvier 2021.
Mais Tucker Carlson a réagi lors de son célèbre talk-show :
« Le but du mouvement trans n'est pas de convaincre qui que ce soit que la biologie n'existe pas. Ils n'essaient même pas. Il est impossible de le faire... Le but de cet exercice est très différent. Le but est de nous faire répéter un mensonge... de dire quelque chose que nous savons parfaitement ne pas être vrai… Il ne s'agit pas des personnes trans. Il s'agit de nous tous, et les enjeux sont très importants. Et c'est pourquoi la censure est si intense, vous avez remarqué ? Leur premier mouvement est toujours la censure, et le second mouvement est inévitablement la punition. Nous l'avons encore appris hier soir lorsque nous avons été suspendus de Twitter. »