Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 7

  • Eurocrétin

    Dans le discours où il a donné les axes de la prochaine présidence française de l’UE (la tournante tous les six mois, qui ne sert à rien), Macron a dit (il s’adressait aux nationalistes polonais, hongrois et français) :

    « Vous n'êtes vaccinés avec les meilleurs vaccins au monde que parce que vous êtes européens. »

    Comprendre : parce que vous êtes dans l’Union européenne.

    C’est évidemment complètement idiot.

    En supposant par hypothèse que les injections anti-covid soient un « vaccin », et qu’il soit bien de l’avoir, il est absurde de prétendre que c’est grâce à l’UE que nous l’avons.

    Ou alors c’est – et je crois que c’est cela – une grave insulte à la France : la France sans l’UE serait incapable… d’acheter un produit pharamceutique.

    Ou alors c’est une blague, pour faire rire en Angleterre, en Norvège, en Suisse : ces pauvres gens qui, ne bénéficiant pas de l’UE, ne peuvent pas être « vaccinés »…

  • Des courageux

    La Cour constitutionnelle slovène a bloqué hier la loi exigeant que les employés du secteur public soient « vaccinés » ou apportent la preuve qu’ils ont eu la maladie et sont guéris (selon la règle allemande des 2 G : geimpft, genesen) :

    « Une telle mesure équivaut à imposer la vaccination obligatoire, ce qui nécessite d'abord une modification de la loi sur les maladies infectieuses. »

  • Saint Ambroise

    Toi qui ornais de tes vertus le trône de gouverneur, tu reçus par divine inspiration à juste titre le trône épiscopal ; sur l'un et l'autre tu as été le fidèle dispensateur de la grâce de Dieu et c'est pourquoi, saint Ambroise, tu obtins doublement la couronne.

    Dans la tempérance, le labeur, les nombreuses veilles de toute la nuit et les ferventes oraisons, tu purifias ton âme et ton corps, Père saint ; devenu pour notre Dieu comme les Apôtres un vase d'élection, tu as reçu les charismes divins.

    Comme Nathan fit autrefois pour David, tu reprochas avec audace à l'empereur des chrétiens, bienheureux Ambroise, son péché contre Dieu et c'est publiquement que tu l'exclus de la communion ; puis, l'ayant soumis à la pénitence et corrigé, tu le ramenas au nombre de tes brebis.

    Vénérable Père Ambroise, lyre chantant pour nous tous la salutaire mélodie des enseignements conformes à la vraie foi, toi qui charmais les âmes des croyants, mélodieuse cithare du divin Paraclet, instrument vibrant au souffle de Dieu, noble trompette de l'Eglise, limpide source des charismes divins purifiant la souillure des passions, prie le Christ, supplie-le d'accorder à l'Eglise la concorde, la paix et la grâce du salut.

    Bienheureux Père Ambroise, participant au Concile des Pères théophores, tu prêchas le Fils unique en deux natures fait chair, issu pour nous de la Vierge inépousée, consubstantiel au Père dont il partage la nature et l'éternité, et par la force de l'Esprit tu réfutas le bavardage impie d'Arius ; prie le Christ, supplie-le d'accorder à l'Eglise la concorde, la paix et la grâce du salut.

    Admirable Père Ambroise, trouvant ton âme pure à son gré, la grâce du Saint Esprit fit sa demeure en toi comme une lumière sans déclin dont l'énergie te permet de chasser en tout temps les esprits de l'erreur ; ainsi tu guéris les faiblesses et les maladies de ceux qui s'approchent de toi dans la simplicité de leur cœur et célèbrent ta mémoire porteuse de clarté ; prie le Christ, supplie-le d'accorder à l'Eglise la concorde, la paix et la grâce du salut.

    Liturgie byzantine, stichères des vêpres.

    Capture d’écran 2021-12-06 à 14.45.33.png

    (Cathédrale de Milan)

  • Un super-piqué

    Le maire de New York Bill de Blasio annonce que tous les employés des 184.000 entreprises de la ville devront avoir été piqués deux fois d’ici le 27 décembre.

    Les enfants de 12 ans et plus doivent déjà avoir été piqués deux fois pour pouvoir participer à des activités se déroulant à l’intérieur.

    A partir du 14 décembre les enfants à partir de 5 ans devront présenter la preuve qu’ils ont été piqués au moins une fois pour participer à toute activité collective extrascolaire. Parce qu’il va y avoir des « rassemblements de fête »…

    Et Bill de Blasio… quittera son fauteuil de maire le 31 décembre. Il sera remplacé par Eric Adams, qui fait dire par son porte-parole qu’il « évaluera cette obligation et les stratégie contre le covid quand il sera en poste et prendra des décisions fondées sur la Science [je suppose qu’il faut mettre une majuscule comme pour toutes les divinités], l’efficacité, et l’avis des professionnels de santé ».

  • Au Japon

    Le ministère japonais de la Santé demande que les documents des « vaccins » anti-covid mentionnent les « effets secondaires graves » qu’ils peuvent avoir.

    Il a été recensé jusqu’ici au Japon 157 problèmes cardiaques graves chez des hommes « vaccinés ». Dont 81 chez des adolescents piqués au Moderna.

    Les "spécialistes" n'ont pas cessé de prétendre que c'était absolument faux qu'il puisse y avoir des problèmes cardiaques avec ces injections. Mais on en voit désormais partout.

  • Reconquête ?

    FF2cZRcXMAM1umA-740x735.jpg

    Eric Zemmour appelle son parti Reconquête.

    Dès hier Bernard Antony a publié ce communiqué :

    Je précise que la revue Reconquête que j'ai lancée en avril 1989 et qui en est à son numéro 383 n'est pas et ne sera pas la propriété du parti qu'a lancé Eric Zemmour sous le même nom.

    Il en dit plus aujourd’hui sur son blog.

    Capture d’écran 2021-12-06 à 12.10.20.png

  • Saint Nicolas

    Σοφία. Ὀρθοί.

    Sagesse, debout !

    Isodikon

    Δεῦτε προσκυνήσωμεν καὶ προσπέσωμεν Χριστῷ. Σῶσον ἡμᾶς, Υἱὲ Θεοῦ, ὁ ἐν Ἁγίοις θαυμαστός ψάλλοντάς σοι Ἀλληλούϊα.

    Venez, adorons et prosternons-nous devant le Chrrist. Sauve-nous, Fils de Dieu, qui es admirable en tes saints, nous te chantons: Alléluia.

    Apolytikion

    Κανόνα πίστεως καὶ εἰκόνα πραότητος, ἐγκρατείας Διδάσκαλον, ἀνέδειξέ σε τῇ ποίμνῃ σου, ἡ τῶν πραγμάτων ἀλήθεια· διὰ τοῦτο ἐκτήσω τῇ ταπεινώσει τὰ ὑψηλά, τῇ πτωχείᾳ τὰ πλούσια, Πάτερ Ἱεράρχα Νικόλαε, πρέσβευε Χριστῷ τῷ Θεῷ, σωθῆναι τὰς ψυχὰς ἡμῶν.

    Celui qui est la Vérité, ô saint évêque Nicolas, a fait de toi pour ton troupeau un modèle de foi, un exemple de douceur et un maître de tempérance ; c'est pourquoi tu as acquis la grandeur par ton humilité et la richesse par ta pauvreté; aussi prie le Christ Dieu pour le salut de nos âmes. 

    Δόξα Πατρὶ καὶ Υἱῷ καὶ Ἁγίῳ Πνεύματι, καὶ νῦν καὶ ἀεὶ καὶ εἰς τοὺς αἰῶνας τῶν αἰώνων. Ἀμήν.

    Gloire au Père et au Fils et au Saint-Esprit, maintenant et toujours et dans les siècles des siècles.

    Kondakion

    Ἐν τοῖς Μύροις Ἅγιε, ἱερουργὸς ἀνεδείχθης· τοῦ Χριστοῦ γὰρ Ὅσιε, τὸ Εὐαγγέλιον πληρώσας, ἔθηκας τὴν ψυχήν σου ὑπὲρ λαοῦ σου, ἔσωσας τοὺς ἀθώους ἐκ τοῦ θανάτου· διὰ τοῦτο ἡγιάσθης, ὡς μέγας μύστης Θεοῦ τῆς χάριτος.

    A Myre en Lycie tu as exercé ton sacerdoce, ô saint Nicolas, et accomplissant l'Evangile du Christ, tu as donné ta vie pour ton peuple et sauvé des innocents de la mort. C'est pourquoi, initié aux mystères de la grâce divine, tu as été sanctifié.

    En l'église Saint-Nicolas de Mezzojuso, le 22 octobre 2020, jeudi de préparation à la fête de saint Nicolas.

  • Deuxième dimanche de l’Avent

    Postcommunion :

    Repléti cibo spirituális alimóniæ, súpplices te, Dómine, deprecámur: ut, hujus participatióne mystérii, dóceas nos terréna despícere et amáre cæléstia.

    Rassasiés de cet aliment de nourriture spirituelle, suppliants, Seigneur, nous te prions de nous apprendre, par la participation à ce mystère, à mépriser les choses de la terre et à aimer les choses du ciel.

    Il paraît que l’événement liturgique du moment est la parution de la « nouvelle traduction » du « missel » de Paul VI. On nous dit qu’elle est « meilleure » que la précédente et qu’il faut donc s’en réjouir. Mais une bonne traduction d’un mauvais texte est pire que la mauvaise traduction d’un mauvais texte. Avec celle-ci on sait que c’est mauvais, avec celle-là on fait croire que c’est bon, alors que le texte est toujours aussi mauvais.

    Cela ne sert à rien d’autre qu’à abuser les fidèles que de donner une nouvelle traduction de ces collectes Frankenstein fabriquées par petits bouts pris çà et là hors contexte et imprégnées d’idéologie dominante, ou ces psaumes défigurés et censurés, ou ces péricopes de la Sainte Ecriture modifiées et soigneusement expurgées.

    La postcommunion de ce jour en est un exemple topique (qui sert pour toute l’année). La fin a été ainsi modifiée :

    …terrena sapienter perpendere, et caelestibus inhaerere.

    Le fabricant en chef des nouvelles oraisons, le bénédictin (hélas) Antoine Dumas, a expliqué :

    « Le besoin d’adaptation s’est révélé nécessaire dans le cas de nombreuses oraisons, par souci de vérité. Par exemple, plusieurs textes, depuis longtemps trop connus, mettaient en opposition radicale la terre et le ciel ; d’où le couple antithétique, souvent répété dans l’ancien Missel : terrrena despicere et amare caelestia qu’il est possible de bien comprendre mais très facile de mal traduire. Une adaptation s’imposait donc qui, sans nuire à la vérité, tenait compte de la mentalité moderne et des directives de Vatican II. Ainsi, la prière après la communion du 2me dimanche de l’Avent dit très justement : sapienter perpendere, au lieu du mot : despicere, si souvent mal compris. »

    Pour une exégèse de ce propos, on se reportera au chapitre 5 de ma série « Il y a 50 ans » (sur ce blog, cliquer en haut de la colonne de droite).

    En bref, on a supprimé une expression qui parcourait toute l’année liturgique et qui était ancrée dans toute la tradition patristique et dans l’évangile et les épîtres, pour faire correspondre les oraisons à la « mentalité moderne ».

    La nouvelle expression montre d’emblée qu’elle est nouvelle par le mot « perpendere », qui ne se trouve nulle part dans la Vulgate ni dans la liturgie traditionnelle. (C’est ce qu’ils osent appeler « restaurer la liturgie »). Dom Dumas proposait comme traduction française :

    … évaluer sagement les choses terrestres et adhérer aux choses célestes.

    La traduction officielle jusqu’à maintenant disait :

    … (apprends-nous) le vrai sens des choses de ce monde et l’amour des biens éternels.

    La nouvelle traduction officielle est en effet « meilleure », c’est-à-dire plus proche du texte fabriqué par dom Dumas :

    … (apprends-nous à évaluer avec sagesse les réalités de ce monde et à nous attacher aux biens du ciel.

    On a donc fini par prendre le mot « évaluer » de dom Dumas. On ne sait pas si le fidèle est censé chercher un bureau d’évaluation des réalités de ce monde, pour obtenir un audit. Toujours est-il que le mot latin inconnu de la liturgie n’avait pas ce sens chez les pères de l’Eglise, qui l’utilisent très peu. Le seul qui l’utilise vraiment est saint Grégoire le Grand, surtout dans sa Règle, et essentiellement pour dire qu’on doit considérer avec soin, avec attention, nos actions (et non les choses). Et surtout considérer attentivement à quel point telle action ou telle attitude est répréhensible. Et non pas « évaluer avec sagesse les réalités ».

    Enfin, voici de brefs extraits de la comparaison entre les oraisons des dimanches de l’Avent selon l’ancien missel et le nouveau, sous la plume de Loren Pristas (« The collects of the Roman Missals », avec imprimatur) :

    Les verbes de mouvement des deux ensembles décrivent des mouvements exactement opposés : dans les collectes de 1962, le Christ vient à notre rencontre ; dans celles de 1970, nous allons à la rencontre du Christ, nous arrivons, nous sommes amenés à, etc.

    Les prières de 1970 ne contiennent aucune référence au péché ni à ses dangers ; aux ténèbres ou à l'impureté de l'esprit; à la faiblesse humaine ou au besoin de miséricorde, de pardon, de protection, de délivrance, de purification. En outre, l’idée que nous devons subir une transformation pour entrer au ciel n’est évoquée que par le mot eruditio, instruction ou formation, dans la collecte du deuxième dimanche. (…)

    Ceux qui prient les collectes de 1970 ne cherchent pas l’assistance divine pour survivre aux périls ou pour commencer à faire du bien. En effet, ils n'expriment aucun besoin de telles aides. Ils demandent plutôt à entrer au paradis à la fin. En revanche, ceux qui prient les collectes de 1962 ne cherchent pas explicitement le ciel, mais exigent - les verbes à l’impératif - une aide quotidienne immédiate et personnelle sur le chemin. (…)

    Par ces trois différences, nous arrivons à un constat très délicat. En termes simples, la foi catholique considère que toute bonne action qui nous fait progresser vers le salut dépend de la grâce divine. Cette doctrine est formellement définie et elle ne peut être modifiée de façon à en inverser la portée. Chaque nuance des collectes de l'Avent de 1962 exprime sans ambiguïté cette doctrine catholique de la grâce, à la manière assez subtile et non didactique propre aux oraisons. Bien que les collectes de l'Avent de 1970 ne contredisent pas explicitement l'enseignement catholique sur la grâce, elles ne l’expriment pas et, plus inquiétant, elles ne semblent pas l'assumer.

  • Saint Pierre Chrysologue

    Capture d’écran 2021-12-03 à 15.39.10.png

    Portrait de saint Pierre Chrysologue dans l’édition de ses sermons par Dominique Mita, 1643, à Bologne. Manifestement réalisé d'après la mosaïque contemporaine du saint docteur de Ravenne.

    Extrait du sermon 142.

    Marie dit à l’ange :  Comment cela se fera-t-il ? Mais voici que Marie interroge. Et si, en interrogeant, quelqu’un montre qu’il doute, pourquoi Zacharie a-t-il été le seul à avoir été puni pour son manque de foi ? Parce que le Connaisseur des cœurs ne s’attarde pas aux mots mais aux pensées. Il n’a pas jugé ce que Marie et Zacharie ont dit, mais leurs intentions. La cause des deux interrogations étant dissemblable, les interrogations différaient donc par l’espèce. Marie a cru contre la nature, Zacharie a douté à cause de la nature. Elle cherchait à connaître la totalité du projet de Dieu ; lui, prétendait que Dieu ne pouvait pas réaliser ce qu’il avait planifié. Il ne parvint pas à croire en dépit d’exemples historiques qui auraient dû le persuader ; mais la foi de Marie n’était soutenue par aucun exemple. Elle s’émerveille qu’une vierge puisse enfanter, mais lui refuse de croire qu’une femme mariée puisse concevoir. Elle a donc raison d’interroger, puisqu’elle reconnaît que Dieu est en son corps et qu’elle le confesse ; lui, se tait jusqu’à ce que son propre corps le convainque de la naissance de Jean qu’il récusait. Comment cela se fera-t-il ? Pourquoi ?  Parce que je ne connais pas d’homme.

    Parce que je ne connais point d’homme… Femme, quel homme cherches-tu ? Tu l’as perdu dans le paradis. Rends l’homme, femme ; rends le dépôt de Dieu. Rends de toi-même celui que tu as perdu par toi. Mets de côté l’ordre de la nature, et reconnais l’ordre du Créateur. Qu’Il fasse et assume de toi un homme, Celui qui t’as faite au début en te tirant de l’homme. Ne te mets pas à la recherche d’un homme ! Que cesse l’œuvre de l’homme, parce que les ressources divines suffisent pour la restauration du genre humain. La raison pour laquelle Dieu est venue vers toi, c’est parce que tu t’es repentie d’être allée vers l’homme. Que désormais la chair n’aille plus à la chair, mais l’Esprit saint surviendra en toi. Car ce qui naît de la chair est chair, et ce qui naît de l’Esprit est esprit. Celui donc qui naît de l’Esprit, sans controverse possible, est Dieu, puisque l’Esprit est Dieu.

    L’Esprit-Saint viendra en toi et la vertu du Très-Haut te couvrira de son ombre. La vertu de Dieu fait de l’ombre, pour qu’à force de porter Dieu, la fragilité humaine ne succombe pas. Et la vertu du Très-Haut te couvrira de son ombre. La chaleur ardente de notre corps ne sait pas à quel point apporte de la protection l’ombre de la vertu divine. Celle qui se sait encerclée par le voile de la splendeur céleste ne recherche pas la partie la plus retirée d’une maison mondaine.

    A cause de cela, le saint rejeton qui naîtra de toi sera appelé fils de Dieu. Que personne ne prenne ici le mot saint dans un sens banal, mais qu’il lui donne le sens unique et tout à fait spécial qui a été proclamé dans le ciel : Saint, Saint, Saint, le Seigneur des armées.

    Après avoir entendu ces paroles de l’ange, Marie répondit : Voici la servante du Seigneur, qu’il me soit fait selon ta parole. Celle que l’ange appelle madame se reconnaît servante, et le confesse. Parce que, chez une âme généreuse, le déferlement des bienfaits ne fait qu’augmenter le sentiment d’indignité. Elle ne croît qu’en grâce, elle ne s’érige pas sur un piédestal, elle ne s’enfle pas d’orgueil. Qu’il me soit fait selon ta parole ! En croyant à la parole, elle a mérité de concevoir la Parole. Au commencement était la Parole, et la Parole était auprès de Dieu, et la Parole était Dieu.

    Et elle est parvenue à l’accomplissement total de ce que à quoi elle avait cru après l’avoir entendu.

  • Camp d'hiver du Centre Charlier

    2021.12.04 - camp hiver - Copie.jpg

    Le Camp d'Hiver du Centre Charlier et de Chrétienté-Solidarité se réunit une fois encore cet hiver, du mardi 28 décembre au samedi 1er janvier, dans les Yvelines !
     
    Notre thème est, cette année, une citation de Dom Gérard : "Toute culture, toute civilisation est d'abord essentiellement mémoire."
    Lycéens, étudiants, jeunes professionnels : cette citation résonne en vous et vous somme de ne pas rester inactif dans cette actualité troublée. Face aux attaques qui menacent notre liberté ainsi que notre identité française et chrétienne, rejoignez la jeunesse qui préfère un combat difficile à une inertie coupable, dans le plus pur esprit d'Amitié Française !
     
    Au programme : conférences (abbé Matthieu Raffray I.B.P., Jeanne Smits, Olivier Figueras, Marc Froidefont, Yann Baly, Emmanuel Pezé, …), ateliers, débats, messe, veillées et réveillon.