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  • Crèches covid-correctes

    La mode est, surtout en Italie semble-t-il, aux crèches avec les personnages masqués. C’est tout simplement répugnant, anti-chrétien, inhumain. La cathédrale de Turin donne l’exemple.

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    Mais il y en a d’autres.

    A Naples.

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    A Rosignano Marittimo.

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    Il y a même le santon qui vend des masques...

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  • Immaculée Conception

    Benedícta es tu, Virgo María, a Dómino, Deo excélso, præ ómnibus muliéribus super terram. ℣. Tu glória Jerúsalem, tu lætítia Israël, tu honorificéntia pópuli nostri.

    Bénie êtes-vous, ô Vierge Marie, par le Seigneur Dieu très-Haut, plus que toutes les femmes sur la terre. Vous, gloire de Jérusalem ; vous, joie d’Israël ; vous, honneur de notre peuple.

    Les magnifiques éloges de Judith qui a sauvé son peuple en tuant celui qui allait l’anéantir attendaient l’Immaculée pour se déployer en plénitude. Ces éloges sont repris dans le graduel de la messe, et la mélodie a été adaptée du graduel de la fête des saints Pierre et Paul. Superbe travail de dom Pothier, le moine de Solesmes ressusciteur du plain chant, à qui on avait demandé de composer la messe de l’Immaculée Conception, et qui est mort un 8 décembre (1923) à 88 ans.

    C’est comme si la mélodie avait été composée pour ce texte, sur ce texte, d’un bout à l’autre.

    Par les moines de Solesmes, sous la direction de dom Gajard (1958).

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  • Dictateur sans frontières

    Il y a un mois, François a décidé que désormais les évêques doivent avoir son accord écrit pour ériger un institut « diocésain » de vie consacrée. Et il a donc modifié en conséquence le canon 579.

    Ou bien un zélé collaborateur lui a fait observer que le canon 579 ne concernait que l’Eglise latine, ou bien il avait décidé de lui-même que les Eglises orientales devaient subir le même diktat. Toujours est-il qu’il vient aussi de modifier le texte du code de droit canonique des Eglises orientales. De sorte que désormais dans les Eglises orientales aussi un évêque ne pourra ériger de congrégation religieuse qu’après avoir obtenu l’accord écrit du Saint-Siège. En passant par-dessus la tête du patriarche ! Il est juste précisé que le patriarche doit être « consulté » si l’institut religieux est créé sur le territoire de « l’Eglise patriarcale »…

    Non seulement c’est un nouvel acte dictatorial, mais en outre celui-ci est fondamentalement contraire à la constitution des Eglises orientales, et c’est clairement un acte anti-œcuménique.

    On se croirait revenu au temps de Pie IX, qui ne reconnaissait par les Eglises orientales catholiques et considérait leurs patriarches comme des larbins. A la différence près que Pie IX n’aurait pas pris une telle décision pour empêcher la création d’instituts d’esprit traditionnel.

    Et pour enfoncer le clou François a daté son diktat (publié aujourd'hui) du 21 novembre, « mémoire de la Présentation de la Bienheureuse Vierge Marie », qui est l’une des 12 grandes fêtes de l’année byzantine…

  • Saint Ambroise

    Début de son livre sur les sacrements.

    J’aborde l’explication des sacrements que vous avez reçus. Il n’aurait pas convenu de la donner plus tôt, car chez le chrétien la foi vient en premier lieu. Aussi donne-t-on, à Rome, le nom de fidèles à ceux qui ont été baptisés, et notre père Abraham a été justifié par la foi, non par les œuvres. Vous avez reçu le baptême, vous avez la foi. Il m’est interdit d’en juger autrement, car tu n’aurais pas été appelé à la grâce, si le Christ ne t’avait jugé digne de sa grâce.

    Qu’avons-nous donc fait samedi ? L’ouverture. Ces mystères de l’ouverture, on les a célébrés quand le prêtre t’a touché les oreilles et les narines. Qu’est-ce que cela veut dire ? Notre Seigneur Jésus-Christ, dans l’évangile, quand on lui eut présenté un sourd et muet, lui toucha les oreilles et la bouche : les oreilles parce qu’il était sourd, la bouche parce qu’il était muet et il lui dit : « Effeta. » C’est un mot hébreu qui signifie « ouvre-toi ». C’est donc pour cela que le prêtre t’a touché les oreilles, pour que tes oreilles s’ouvrent à la parole et au discours du prêtre. Mais tu me demandes : « Pourquoi les narines ? » Parce que c’était un muet, il lui toucha la bouche : ainsi, parce qu’il était incapable de parler des mystères célestes, il recevrait du Christ la parole. Et là c’était un homme, ici on baptise des femmes, et la pureté du serviteur n’est pas aussi grande que celle du maître, - puisque celui-ci pardonne les péchés, tandis qu’on les remet à celui-là, comment peut-on les comparer ? - aussi, par respect pour l’acte et la fonction, l’évêque ne touche pas la bouche, mais les narines. Pourquoi les narines ? Afin que tu reçoives la bonne odeur de la bonté éternelle, afin que tu dises : « Nous sommes la bonne odeur du Christ pour Dieu », comme l’a dit le saint apôtre, et qu’il y ait en toi tous les parfums de la foi et de la dévotion.

    Nous sommes arrivés à la fontaine, tu es entré, tu as été oint. Pense à ceux que tu as vus, pense à ce que tu as dit, rappelle exactement tes souvenirs. Un lévite est venu t’accueillir, un prêtre est venu t’accueillir. Tu as été oint comme un athlète du Christ, comme si tu allais te livrer à une lutte profane, tu as fait profession de t’adonner à la lutte. Celui qui lutte sait ce qu’il peut espérer : là où il y a combat, là il y a une couronne. Tu luttes dans le monde, mais tu es couronné par le Christ, et c’est pour des combats soutenus en ce monde que tu es couronné. Car, bien que la récompense soit au ciel, ce qui mérite cette récompense se trouve pourtant ici.

    Quand on t’a demandé : « Renonces-tu au diable et à ses œuvres ? » qu’as-tu répondu ? « J’y renonce. » - « Renonces-tu au monde et à ses plaisirs ? » qu’as-tu répondu ? « J’y renonce. » Souviens-toi de ta parole et ne perds jamais de vue les conséquences de la garantie que tu as donnée. Si tu signes une reconnaissance à quelqu’un, tu es considéré comme obligé à recevoir son argent, tu es considéré comme lié strictement et le créancier te contraint. Si tu contestes, tu vas trouver le juge, et là tu es convaincu par ta garantie. Pense à l’endroit où tu as promis ou à ceux à qui tu as promis. Tu as vu un lévite, mais c’est un ministre du Christ. Tu l’as vu exercer son ministère devant les autels. Ta garantie n’est donc pas gardée sur terre, mais au ciel.

  • Deuxième dimanche de l’Avent

    L’antienne de communion de la messe de ce jour est l’une des plus belles de l’année. Les antiennes de communion sont souvent à peine plus élaborées que les antiennes de l’office. Ce qui n’est pas étonnant, puisque ce sont de vraies antiennes, dont la mission est d’introduire et accompagner un psaume. Mais celle-ci est un chef-d’œuvre. Chaque mot est magnifié par la mélodie. Il y a d’abord la longue contemplation sur Jérusalem (la Jérusalem céleste, ou plutôt l'Eglise, ici), puis le saut sur « surge », le déploiement sur « in excelso », la nouvelle contemplation sur « vide », le nouveau déploiement gracieux sur « jucunditatem », l’accent sur « tibi », la révérence sur « Deo tuo »…

    Le texte est composé de deux morceaux de versets de Baruch, 5,5 et 4,36, mais dans une version qui n’est ni celle de la Vulgate ni celle des vieilles latines. Il est donc spécifique de cette antienne, et de sa mélodie.

    La voici par les moines de Solesmes, avec les deux premiers versets du psaume 147.

    Jerúsalem, surge et sta in excélso, ei vide iucunditátem, quæ véniet tibi a Deo tuo.

    Jérusalem, lève-toi ! Rassemble toi sur la hauteur et contemple le bonheur qui va venir vers toi de la part de ton Dieu.

    Lauda, Jerusalem, Dominum ; lauda Deum tuum, Sion.

    Loue, Jérusalem, le Seigneur, loue ton Dieu, Sion.

    Quoniam confortavit seras portarum tuarum ; benedixit filiis tuis in te.

    Car il a affermi les verrous de tes portes ; il a béni tes fils en toi.

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  • Au Pakistan

    Screenshot_2020-12-05 Rawalpindi, Christian girl murdered for refusing to marry a young Muslim.png

    Sonia, 24 ans, a été tuée par un musulman parce qu’elle ne voulait pas se marier avec lui.

    C’était le 30 novembre, à la sortie du quartier chrétien de Rawalpindi nommé « Air Force Colony ». Sonia se rendait à son travail de femme de ménage. Alors qu’elle traversait la grand route, Shahzad l’a tuée, d’un coup de pistolet, puis il est parti en moto avec son ami Faizan qui l’attendait. Le 2 décembre, Faizan a été retrouvé par la police, pas Shahzad.

    Cela faisait quatre ou cinq mois que Shahzad la harcelait pour qu’elle se marie avec lui. Sonia lui répondait qu’elle ne pouvait pas, parce qu’il n’était pas question qu’elle abjure sa foi. C’était « une vraie chrétienne », dit son père. Et c’est une martyre.

    *

    Il y aussi parfois de bonnes nouvelles du Pakistan. Six balayeurs chrétiens avaient été accusés de blasphème le 25 novembre pour avoir jeté aux ordures des opuscules contenant le nom de Mahomet. L’affaire a d’abord été soumise au Conseil des oulémas de tout le Pakistan, qui a mené son enquête et a conclu que les six hommes, étant analphabètes, ne pouvaient pas être accusés de blasphème.

    Le Conseil des oulémas est présidé aujourd’hui par Tahir Mehmood Ashrafi. Lequel, dans une conférence de presse commune avec l’archevêque de Lahore Mgr Shaw, déclarait il y a quelques jours que plus de 90% des cas d’accusation de blasphème sont faux, et promettait qu’aucun faux cas de blasphème ne serait promu contre quiconque.

    Paradoxalement, il faudrait donc que les chrétiens accusés de blasphème demandent à la justice civile de passer d’abord par le Conseil des oulémas…

  • Faux titre

    Screenshot_2020-12-05 Pétrole le Danemark, premier producteur européen, annonce l'arrêt de ses exploitations en 2050.png

    Le Danemark produit 100.000 barils par jour.

    La Grande-Bretagne 1 million.

    La Norvège 1,4 million.

    Mais la Grande-Bretagne et la Norvège ne sont pas dans l’UE, donc elles ne sont pas en Europe…

    On notera aussi la prétention d’être en pointe dans le monde et même de diriger l’élimination du pétrole, quand on en produit si peu, et que la production décline d'année en année (elle est plus de deux fois inférieure à ce qu’elle était il y a dix ans)…

  • Verbum supernum prodiens

    L’hymne des matines au temps de l’Avent, avec une traduction trouvée sur le site d’un mystérieux « skite bénédictin ».

    Verbum supérnum pródiens
    A Patre olim éxiens,
    Qui natus orbi súbvenis
    Cursu declívi témporis,

    O Verbe, qui descendez des cieux, engendré éternellement par le Père, vous naissez au déclin des temps, pour le salut du monde.

    Illúmina nunc péctora
    Tuóque amóre cóncrema;
    Audíto ut praecónio
    Sint pulsa tandem lúbrica.

    Illuminez en ce moment nos cœurs ; enflammez-les de votre amour, afin qu’à la voix de votre Précurseur, soient enfin repoussées toutes les impuretés.

    Judéxque cum post áderis
    Rimári facta péctoris,
    Reddens vicem pro ábditis
    Justísque regnum pro bonis.

    Et lorsque, Juge, vous viendrez scruter les cœurs des hommes, infliger aux pécheurs le châtiment de leurs crimes et ouvrir aux élus le royaume promis à leurs mérites,

    Non demum arctémur malis
    pro qualitáte críminis,
    sed cum béatis cómpotes
    simus perénnes cǽlibes.

    Puissions-nous finalement échapper à l’étreinte des démons, juste expiation des diverses fautes, unis aux bienheureux, jouir de l’éternelle béatitude.

    Laus, honor, virtus, gloria,
    Deo Patri et Fílio
    Sancto simul Paráclito,
    In sæculórum sǽcula. Amen.

    Louange, honneur, puissance, gloire soit au Père et au Fils, ainsi qu’au Saint-Esprit, dans tous les siècles des siècles. Amen.

    Par les Hildegard Singers (de Grand Rapids, dans le Michigan) :

    Le compositeur slovène Damijan Močnik (né en 1967) en a fait un beau motet qui est si l’on croit YouTube son œuvre la plus célèbre (une bonne vingtaine de versions, d’un peu partout dans le monde).

  • Il s’appelle Grech

    Le 23 novembre dernier, dans Le Figaro, Jean-Marie Guénois évoquait la « division théologique » dans l’Eglise « catholique » entre ceux qui croient en la présence réelle eucharistique et ceux qui n’y croient pas. Il ajoutait :

    « La grande surprise, dans ce registre, est venue de Rome cette semaine. Et d’un futur cardinal - il le deviendra le 28 novembre - choisi par le pape François pour piloter l’important synode des évêques. Mi-novembre, il a traité ceux qui se plaignaient de ne pouvoir accéder à la messe « d’analphabétisme spirituel » dans la revue jésuite de référence mondiale, La Civilta Cattolica. »

    Jean-Marie Guénois ne donnait pas le nom de cet évêque aujourd’hui cardinal. Ce n’était pas difficile à trouver, puisque Guénois disait qu’il dirigeait le synode des évêques, et puisque d’autre part l’interview est disponible gratuitement sur internet.

    Il s’agit donc de Mgr Mario Grech. Cet obscur évêque de Gozo a été en effet promu secrétaire du synode des évêques en octobre 2019. Et le voici cardinal.

    Il se trouve que Mgr Grech fut le premier évêque au monde, conjointement avec l’autre évêque de Malte, à affirmer par écrit dans un document officiel de l’Eglise de Malte que Amoris laetitita permettait de donner la communion aux adultères dits « divorcés remariés ». On sait qu’il y eut ensuite un texte plus long, de même teneur, des évêques de la Région pastorale de Buenos Aires, et que François fit insérer ce texte dans les Acta Apostolicae Sedis, pour souligner que telle est l’interprétation correcte d’Amoris laetitia : il est permis aux prêtres de donner la communion aux adultères qui se disent « divorcés remariés ».

    Et le voici donc qui relativise la présence substantielle du Christ dans l’eucharistie, ou même qui la nie, puisque en rappeler l’importance cruciale est selon lui de l’« analphabétisme spirituel ». Et Mgr Grech souligne que lorsque le temple de Jérusalem a été détruit, les juifs se sont mis à prier chez eux : c’est ce que doivent faire les catholiques aujourd’hui. Car, c’est sous-entendu mais très clair, il n’y a pas de différence entre les sacrifices du temple et celui du Fils de Dieu. Mgr Grech cite d’ailleurs la phrase de Jésus à la Samaritaine selon l’exégèse protestante : les vrais adorateurs adorent le Père en esprit et en vérité, et non dans un temple ou sur une montagne.

    Ensuite, il discourt longuement sur l’importance de l’Eglise domestique, l’Eglise de la famille, « prémisse de la nouvelle évangélisation ». La crise sanitaire permet de découvrir « une nouvelle ecclésiologie, peut-être même une nouvelle théologie, et un nouveau ministère » La nouvelle ecclésiologie, c’est que « la grande Eglise communautaire est faite des petites Eglises qui se rassemblent dans les maisons ». Très nouvelle ecclésiologie, en effet, qui supprime carrément l’Eucharistie. Et donc nouvelle théologie, assurément.

    Quant au nouveau ministère, c’est celui des laïcs qui au lieu de demander la messe doivent être au service de leurs frères qui souffrent de la maladie ou de ses conséquences sociales. Et il n’hésite pas à dire que les médecins et les infirmières en temps de pandémie « transforment les hôpitaux en cathédrales ».

    La fin de l’interview est une ode à la fraternité universelle, sans Père et sans religion, Fratelli tutti...

    Ainsi s’explique le fait que des évêques veuillent donner la communion à des adultères : il est évident que si l’on ne croit pas en l’Eucharistie on peut donner à des adultères ce qui n’est plus qu’un « signe de communion fraternelle ». J’avoue que, inconsciemment, je ne voulais pas y croire. Mgr Grech m’a dessillé les yeux.

    Ce n’est évidemment pas un hasard si la Civilta cattolica, qui « reflète la pensée du Vatican » comme le dit carrément sa devise, a publié cette interview, accessible gratuitement, juste avant que Mgr Grech, dont tout le monde souligne sa « proximité » avec François, soit créé cardinal.

    Et cela ne fait que souligner le terrible symbole que constitue le rapprochement entre deux photographies que François a voulues : celle où il est assis devant le Saint Sacrement, et celle où il est à genoux devant une musulmane, un Jeudi Saint, jour de l’institution de l’Eucharistie.

  • Délirium quotidien

    Le gouvernement a nommé un « monsieur vaccin ». Il s’appelle Alain Fischer, professeur d’immunologie. L’homme par conséquent sait tout sur les vaccins contre la Covid-19, et il devait détailler l’annonce par le Premier ministre Jean Castex de la stratégie vaccinale du gouvernement, stratégie magnifique qui allait enfin nous sortir du pétrin. Stratégie dont aucun médecin hospitalier ou de ville n’a encore été averti, pour une raison qui devient évidente une fois qu’on a entendu monsieur vaccin. Ce que vous allez lire n’est pas une blague. C’est réellement ce qu’a dit Alain Fischer à la conférence de presse de Jean Castex. On peut le vérifier sur internet (par exemple ici).

    Premièrement, pour l’instant nous ne disposons que de communiqués de presse de la part des industriels, nous attendons avec impatience des publications scientifiques.

    Deuxièmement par définition le recul à ce jour sur l’évaluation de la sécurité et de l’efficacité de ces vaccins ne dépasse pas deux à trois mois.

    Troisièmement les données ne sont pas encore complètes non plus pour savoir jusqu’à quel point ces vaccins sont efficaces sur les personnes les plus à risque.

    Et enfin dernier point qui est critique, la solution prendra du temps, c’est de savoir si le vaccin d’une part protège l’individu vacciné contre l’infection, mais aussi protège contre la transmission.

    Il est vrai que la conférence de presse de Castex avait commencé par un gag ahurissant : le Premier ministre cherchant désespérément ses lunettes qu’il a sur le nez…