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  • Ridicule

    Le petit Macron est monté sur ses ergots pour demander à la nation de se mobiliser face à « l’hydre islamiste » et a promis un « combat sans relâche face au terrorisme islamiste ».

    Et il a immédiatement anéanti cette mâle détermination en précisant, deux fois de suite, qu’il fallait éradiquer un « islam dévoyé », et que « ce n’est en aucun cas un combat contre une religion, mais contre son dévoiement qui conduit au terrorisme ».

    Donc il se condamne à la paralysie. Car le terrorisme islamiste, cela se trouve dans le Coran, et (donc) dans toutes les mosquées. Cela ne veut pas dire que tous les musulmans soient des terroristes, cela veut dire que le terrorisme a sa justification dans le Coran (comme l’ont abondamment prouvé les publications de l’Etat islamique, s’il en était besoin). Il n’y a pas de différence de nature entre l’islam modéré et l’islam terroriste, mais seulement une différence de degré dans la mise en œuvre de l’idéologie islamique. Tant qu’on ne voudra pas le comprendre et l’admettre, toutes les rodomontades contre le terrorisme seront vaines. Surtout quand, en outre, on commence systématiquement par le nier.

  • Un autre Indien

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    François, dans son discours d’ouverture du synode :

    J'ai été peiné d'entendre, ici même, un commentaire sarcastique sur un homme pieux qui a amené des offrandes avec des plumes sur la tête. Dites-moi: quelle différence y a-t-il entre avoir des plumes sur la tête et le tricorne utilisé par certains responsables dans nos dicastères ?

    Eh bien il y a un homme avec des plumes sur la tête qui n’aura pas les honneurs du synode, c’est Jonas Marcolino Macuxí, le chef de la tribu Macuxi. De toute façon il est devenu protestant, écœuré par la dérive de l’Eglise catholique. Il a participé à une conférence organisée par l'Institut Plinio Correa de Oliveira à Rome à propos du synode. Il a déclaré en substance que s’était installée en Amazonie une dictature de missionnaires enseignant la théologie de la libération, avec pour objectif d'empêcher le développement de la région, en maintenant les populations autochtones dans la pauvreté et la misère. La promotion du "primitivisme" (idéologie selon laquelle les traditions et les mœurs indigènes préchrétiennes étaient en grande partie nobles et bonnes et qu'il fallait les conserver) a provoqué un conflit dans la région à partir des années 1970, détruisant ce que les missionnaires et les peuples autochtones avaient réalisé auparavant en termes d'assimilation culturelle positive pendant plus d'un siècle. Et Marcolino s’inquiète du fait que beaucoup de ceux qui conseillent le pape sur le synode ont cette même idéologie et que les autochtones invités à y assister ont été «endoctrinés pour rester dans leur état primitif».

    Il a répondu à des questions d’Edward Pentin pour l’International catholic Register.

    Dans votre discours, vous avez parlé de cannibalisme et d’infanticide dans le cadre des religions tribales. Sont-ils revenus?

    Le cannibalisme, c’est fini, mais pas le meurtre d'enfants.

    Pourquoi cela n'a-t-il pas pris fin?

    J'ai beaucoup réfléchi à ça. Selon la religion traditionnelle, quand un enfant est né avec un défaut, il est enterré vivant, et cela continue. Ces choses étaient en train de finir, mais maintenant, avec l'idée qu'il faut retourner au primitivisme, elles demeurent.

    Le théologien dominicain brésilien de la libération, Frei Betto, a récemment déclaré à propos du Synode pan-amazonien: «Nous avons devant nous une opportunité qui nous permettra d'aller de l'avant. Nous ne devons pas proposer la théologie de la libération. Cela fait peur à beaucoup de gens. Nous devons plutôt parler de problèmes socio-environnementaux. » Cela vous préoccupe-t-il?

    Beaucoup de grands leaders indiens voient dans cette théologie un nivellement par le bas. Ces théologiens de la libération défendent l'idée que les Indiens qui vivent encore de manière primitive sont très heureux, vivent au paradis, etc., et souhaitent promouvoir cette idée auprès de tous les autres. Mais ce n’est pas vrai. C'est faux. Nous ne vivons pas au paradis. C’est une vie très dure; les gens ont des insectes partout sur leurs pieds, des chauves-souris dans leur maison....

    Alors, croyez-vous qu'une économie de marché libre est le moyen de surmonter cela?

    Oui, exactement; nous devrions être autorisés à développer notre économie, car la région est très riche. Toutes les ressources naturelles sont là. Mais dans les réserves indiennes, on ne peut pas y toucher, ce qui se fait au détriment des personnes qui y vivent. Ils [les primitivistes] ont neutralisé la raison. Il est évident que ces choses doivent être explorées, mais nous ne sommes pas autorisés à le faire. Nous ne sommes pas autorisés à utiliser notre intelligence pour utiliser les choses qui sont présentes là où nous vivons.

  • Sainte Brigitte

    Révélations, I, 16 :

    En quelle manière il semblait à l'épouse qu'un des saints parlait à Dieu de quelque femme foulée horriblement par le diable, laquelle dut ensuite délivrée par les prières de la glorieuse Vierge.

    Il semblait à sainte Brigitte, épouse, qu'un des saints parlait à Dieu, disant : Pourquoi l'âme de cette femme, que vous avez rachetée de votre sang, est de la sorte foulée par le diable ? 

    Le diable répondit soudain, disant : Parce que, de droit, elle est à moi.  Et alors, Notre Seigneur dit : De quel droit est-elle à toi ?

    Le démon répondit : Il y a deux voies : l'une conduit aux choses célestes, l'autre aux choses infernales ; or, quand elle les considérait toutes les deux, sa consciences et sa raison erronés lui dictaient de choisir plutôt la mienne. Et d'autant qu'elle avait la pleine et libre volonté de se tourner vers le voie qu'elle aimerait le mieux, il lui a semblé qu'il était plus utile de tourner sa volonté à commettre le péché, et alors, elle a commencé de marcher par ma voie.

    Après, je l'ai déçue par trois vices, savoir, par la gourmandise, par la cupidité de gourmandise et par la luxure.  C'est pourquoi je suis maintenant sur son sein, et je la tiens avec cinq mains : avec l'une je tiens ses yeux, afin qu'elle ne voie pas les choses spirituelles ; avec la deuxième, je tiens ses mains, afin qu'elle ne fasse pas de bonnes œuvres ; avec la troisième, je tiens ses pieds, afin qu'elle n'aille pas vers le bien ; avec la quatrième, je tiens son entendement, afin qu'elle n'ait pas honte de pécher, et avec la cinquième, je tiens son cœur, afin qu'elle ne revienne pas à Dieu par la contrition.

    Alors, la Sainte Vierge dit à Notre Seigneur, son Fils : Mon Fils, contraignez le diable à dire la vérité sur ce que je veux lui demander.  Et son Fils lui dit : Vous êtes ma très chère Mère ; vous êtes l'incomparable Reine du ciel ; vous êtes Mère de miséricorde ; vous êtes l'indicible consolation de ceux qui sont en purgatoire ; vous êtes la joie de ceux qui sont pèlerins en ce monde ; vous êtes Dame des anges ; vous êtes très excellente avec Dieu ; vous êtes aussi princesse sur le diable : commandez donc à ce démon tout ce que vous voudrez, ô ma Mère ! et il vous répondra.

    Alors la Sainte Vierge commanda à ce diable : Dis, ô diable ! quelle intention a eu cette femme avant d'entrer dans l'Église ?

    Le diable lui répondit : Elle a eu la volonté de s'abstenir du péché.

    Et la Sainte Vierge lui dit : Puisque la volonté qu'elle a eue auparavant la conduisait en enfer, dis à quoi tend la volonté qu'elle a maintenant de s'abstenir du péché.

    Le diable lui repartit à regret : Cette volonté de se garder de pécher la conduit au ciel.

    Et la Sainte Vierge répliqua : D'autant que, de droit, pour la première et mauvaise volonté, vous l'avez écartée de la voie méritoire qui conduit à l'Église, la justice et l'équité veulent que, par la volonté présente qu'elle a de ne plus pécher, elle soit ramenée à l'Église. Je te demande aussi, ô diable ! quelle volonté elle a eu au point où en est maintenant sa conscience.

    Le diable répond : Elle a la contrition dans l'esprit pour les choses qu'elle a faites, et un grand repentir, se proposant de ne les jamais plus commettre ; mais elle veut s'amender autant qu'elle peut.

    La Sainte Vierge demanda de nouveau au diable : Dis-moi : ces trois péchés : la luxure, la gourmandise et la cupidité, peuvent-ils être dans un même cœur avec ces trois biens, savoir : la contrition, les larmes et le ferme propos de s'amender ?

    Le diable lui répondit : Non.

    La Sainte Vierge dit alors : Sont-ce ces trois vertus ou ces trois vices qui doivent se retirer de son cœur, car tu dis qu'ils ne peuvent demeurer ensemble ?

    Le diable dit : Ce sont les vices.

    Et alors la Vierge dit : Donc, la voie qui la conduisait en enfer lui est fermée, et la voie du ciel lui est ouverte.  Outre cela, la Sainte Vierge demanda au diable : Dis-moi : si le larron demeurait à la porte de l'épouse pour la violer, que lui ferait l'époux ?

    Le diable répondit : Si l'époux est bon et magnanime, il doit la défendre et exposer sa vie pour la sienne.

    Alors la Sainte Vierge repartit : Tu es ce pernicieux larron ; cette âme est l'épouse de mon Fils, car il
    l'a rachetée de son propre sang.  Tu l'as donc enlevée et corrompue par violence.  Partant, attendu que mon Fils est l'époux de cette âme et seigneur sur toi, il faut que tu fuies loin d'elle.

  • A bas la calotte…

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    Ce matin, à l’ouverture du synode sur l’Amazonie, le cardinal Baldisseri fait savoir aux évêques qu’ils peuvent venir en clergyman et non en soutane.

    Aussitôt dit aussitôt fait, cet après-midi ils avaient jeté la soutane aux orties, et la calotte avec.

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    A regarder de près il y aurait au moins un réfractaire (en bas à droite). Le cardinal Sarah ?

    Ce conformisme – pour se faire bien voir du pape qui venait encore de dénoncer les jeunes prêtres rigides qui portent des soutanes - est à pleurer. Si le pape leur demande de venir à poil, comme des Amazoniens, ils le feront ?

    (via le Forum catholique)

  • Notre Dame du Rosaire

    La spiritualité chrétienne a pour caractéristique fondamentale l'engagement du disciple à “se conformer” toujours plus pleinement à son Maître. Par l'effusion de l'Esprit reçu au Baptême, le croyant est greffé, comme un sarment, sur la vigne qu'est le Christ, il est constitué membre de son Corps mystique. Mais à cette unité initiale doit correspondre un cheminement de ressemblance croissante avec lui qui oriente toujours plus le comportement du disciple dans le sens de la “logique” du Christ: « Ayez entre vous les dispositions que l'on doit avoir dans le Christ Jésus ». Selon les paroles de l'Apôtre, il faut « se revêtir du Seigneur Jésus-Christ ». 

    Dans le parcours spirituel du Rosaire, fondé sur la contemplation incessante – en compagnie de Marie – du visage du Christ, on est appelé à poursuivre un tel idéal exigeant de se conformer à Lui grâce à une fréquentation que nous pourrions dire “amicale”. Elle nous fait entrer de manière naturelle dans la vie du Christ et pour ainsi dire “respirer” ses sentiments. Le bienheureux Bartolo Longo dit à ce propos: « De même que deux amis qui se retrouvent souvent ensemble finissent par se ressembler même dans la manière de vivre, de même, nous aussi, en parlant familièrement avec Jésus et avec la Vierge, par la méditation des Mystères du Rosaire, et en formant ensemble une même vie par la Communion, nous pouvons devenir, autant que notre bassesse le permet, semblables à eux et apprendre par leurs exemples sublimes à vivre de manière humble, pauvre, cachée, patiente et parfaite ».

    Grâce à ce processus de configuration au Christ, par le Rosaire, nous nous confions tout particulièrement à l'action maternelle de la Vierge Sainte. Tout en faisant partie de l'Église comme membre qui « tient la place la plus élevée et en même temps la plus proche de nous », elle, qui est la mère du Christ, est en même temps la “Mère de l'Église”. Et comme telle, elle “engendre” continuellement des fils pour le Corps mystique de son Fils. Elle le fait par son intercession, en implorant pour eux l'effusion inépuisable de l'Esprit. Elle est l'icône parfaite de la maternité de l'Église.

    Mystiquement, le Rosaire nous transporte auprès de Marie, dans la maison de Nazareth, où elle est occupée à accompagner la croissance humaine du Christ. Par ce biais, elle peut nous éduquer et nous modeler avec la même sollicitude, jusqu'à ce que le Christ soit « formé » pleinement en nous. Cette action de Marie, totalement enracinée dans celle du Christ et dans une radicale subordination à elle, « n'empêche en aucune manière l'union immédiate des croyants avec le Christ, au contraire elle la favorise ». Tel est le lumineux principe exprimé parle Concile Vatican II, dont j'ai si fortement fait l'expérience dans ma vie, au point d'en faire le noyau de ma devise épiscopale “Totus tuus”. Comme on le sait, il s'agit d'une devise inspirée par la doctrine de saint Louis Marie Grignion de Montfort, qui expliquait ainsi le rôle de Marie pour chacun de nous dans le processus de configuration au Christ: « Toute notre perfection consistant à être conformes, unis et consacrés à Jésus-Christ, la plus parfaite de toutes les dévotions est sans difficulté celle qui nous conforme, unit et consacre le plus parfaitement à Jésus-Christ. Or, Marie étant de toutes les créatures la plus conforme à Jésus-Christ, il s'ensuit que, de toutes les dévotions, celle qui consacre et conforme le plus une âme à Notre Seigneur est la dévotion à la Très Sainte Vierge, sa sainte Mère, et que plus une âme sera consacrée à Marie, plus elle le sera à Jésus-Christ ». Jamais comme dans le Rosaire, le chemin du Christ et celui de Marie n'apparaissent aussi étroitement unis. Marie ne vit que dans le Christ et en fonction du Christ ! 

    Jean-Paul II, Rosarium Virginis Mariae, § 15.

    *

    Henryk Górecki (1933-2010) composa Totus Tuus pour le troisième voyage de Jean-Paul II en Pologne, en 1987. Il fut interprété sur le tarmac de l’aéroport dès son arrivée le 8 juin, puis avant la messe finale sur la place de la Victoire le 14, par le Chœur de l’Académie de théologie. J’ai découvert récemment ce qui est sans doute la plus belle version, à ce jour, de ce chef-d’œuvre, grâce à la qualité exceptionnelle du Chœur philharmonique national de Varsovie et au véritable génie de son chef Henryk Wojnarowski, qui ajoute nombre de nuances qui ne sont pas sur la partition mais en exaltent l’expression.

    Totus tuus sum, Maria,
    Mater nostri Redemptoris,
    Virgo Dei, Virgo pia,
    Mater mundi Salvatoris.
    Totus tuus sum, Maria !

    Maria Bogusławska (1868-1929)

  • 17e dimanche après la Pentecôte

    On lit dans L’Année liturgique :

    La belle Antienne de l’Offertoire de ce jour, séparée des Versets qui l’accompagnaient autrefois, ne laisse plus deviner la raison pour laquelle cette place lui fut assignée dès les temps les plus reculés. Nous donnons ici ces Versets à la suite de l’Antienne conservée. Le dernier se termine par la nouvelle de l’arrivée du prince des armées célestes au secours du peuple de Dieu. C’est l’explication désirée, quand on sait, d’autre part, que ce Dimanche ouvre la semaine de la fête du grand Archange sur l’Antiphonaire publié par le Bienheureux Tommasi d’après les manuscrits les plus anciens, et que le Dimanche suivant s’y trouve désigné sous le nom de premier Dimanche après la Saint-Michel (post Sancti Angeli).

    On chantait donc ce passage du livre de Daniel parce que le deuxième verset faisait référence à l’archange, en une longue et brillante vocalise qui pour l’essentiel vole au-dessus de la limite supérieure du 4e mode (en fait on est manifestement en 3e mode, ce qui explique qu’on monte jusqu’au mi aigu). L’antienne quant à elle commence par un doux récitatif autour de la tonique mi, puis la prière éclate sur Exaudi, et la lumière qui apparaît alors va s’épanouir dans la phrase suivante sur « Illumina faciem tuam… » : fais briller ta face (qui est déjà en 3e mode, avec la dominante do qu’on retrouve sur propitius - en fait il me semble que le tout est en un 3e mode élargi au do grave, car on ne voit guère de "la" comme dominante).

    Oravi Deum meum ego Daniel, dicens : Exaudi, Domine, preces servi tui : illumina faciem tuam super sanctuarium tuum : * et propitius intende populum tuum, * super quem invocatum est nomen tuum, Deus.

    ℣. I Adhuc me loquente et orante et narrante peccata mea et delicta populi mei Israel * super quem invocatum est nomen tuum, Deus.

    ℣. II Audivi vocem dicentem mihi : Daniel, intellige verba, quæ loquor tibi, quia ego missus sum ad te. Nam et Michael venit in adjutorium meum. * Et propitius intende populum tuum * super quem invocatum est nomen tuum, Deus.

    J'ai prié mon Dieu, moi Daniel, disant : Seigneur, exaucez les prières de votre serviteur : faites briller votre face sur votre sanctuaire, et regardez miséricordieusement ce peuple sur lequel votre Nom a été invoqué, ô Dieu !

    ℣. I Comme je parlais encore et priais, et disais mes péchés et les fautes d'Israël mon peuple, sur lequel votre Nom a été invoqué, ô Dieu !

    ℣. II J'entendis une voix qui me disait : Daniel, comprends les paroles que je t'adresse, parce que je suis envoyé vers toi, et voici que Michel même est arrivé à mon secours. Et regardez miséricordieusement ce peuple sur lequel votre Nom a été invoqué, ô Dieu !

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  • Chronique des cinglés

    Les négationnistes de la nature humaine paradent à l’Assemblée nationale.

    Agnes Buzyn, ministre de la Santé :

    [Le père,] « ça peut être une femme évidemment. Ça peut être une altérité qui est trouvée ailleurs dans la famille, des oncles, une grand-mère... »

    Nicole Belloubet, ministre de la Justice :

    « Nous ne dénions pas la maternité de la femme qui accouche, mais nous disons que l'accouchement n'est pas la cause de la filiation. Si nous faisions de l'accouchement la cause de la filiation, nous ferions une différence entre les deux mères. »

    Aurore Bergé, député :

    « Ni dans ce projet de loi, ni aujourd'hui, ni demain, nous n'empêcherons quelconques parents hétérosexuels de vouloir concevoir un enfant de manière charnelle. »

  • L’Eglise chamanique romaine

    Hier au Vatican:

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    On avait déjà vu le cardinal Ravasi participer à un rituel de Pachamama :

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    On avait déjà vu les évêques du Chili participer à un rituel de Pachamama :

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    Et même le nonce apostolique :

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    On avait déjà vu une femme de Amaicha del Valle (en Argentine, où se trouve le musée de Pachamama et où se déroule chaque année la fête nationale de Pachamama), accomplir un rite chamanique sur le pape :

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    Mais on n’avait encore jamais vu le rituel païen syncrétiste de Pachamama au Vatican, sous le regard attendri du pape, et cela pour célébrer la fête de saint François auquel on consacre le synode sur l’Amazonie :

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  • Saint Maurice

    Pour le diocèse de Vannes c’est saint Maurice de Langonnet et pour le diocèse de Quimper c’est saint Maurice de Carnoët, du nom des deux monastères qu’il fonda, et qui se trouvaient tous deux en Cornouaille donc dans le diocèse de Quimper.

    Voici un cantique (trouvé ici) qui à défaut d’être un chef-d’œuvre littéraire est un excellent résumé de la vie du saint, sauf peut-être quant à sa période parisienne qui est très contestée car les témoignages anciens n’en parlent pas.

    L’auteur est sans doute l’abbé Victor-Marie Le Bris, curé de Loudéac au tournant du XXe siècle. (Le titre est : « Saint Maurice de Loudéac », parce qu’il est né non loin et que c’est là qu’il fut à « l’école d’un pieux maître ».)

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