Après le clip trashment anticlérical et anticatholique de David Bowie, voici le clip violemment antichrétien du groupe Indochine.
C’est présenté comme un clip contre l’homophobie. On y voit des collégiens qui importunent un camarade homosexuel, de plus en plus violemment, jusqu’à le crucifier (avec des clous dans les mains), faisant de lui une victime christique de l’homophobie. Les autres élèves et autres personnes portent un bandeau pour faire semblant de ne pas voir ce qui se passe, tout en filmant la scène, et in fine une troupe de religieuses passe sans rien voir.
Françoise Laborde, du CSA, a été choquée, et envisage d’interdire ce clip aux moins de 16 ans, voire aux moins de 18 ans. Ce qui est absurde, puisqu’il est partout sur internet…
Françoise Laborde n’est pas choquée par l’immonde blasphème de ce clip, bien sûr, mais par sa « violence insoutenable ». Le réalisateur répond que « si l’on comparaît la violence distillée par les manifestations (contre la loi Taubira) et celle de mon clip, ce dernier est un conte pour enfants ».
Voilà qui est significatif de la totale inversion à laquelle on assiste. La dictature homosexualiste, qui impose ses fantasmes - jusqu’à la destruction de la notion de mariage - au gouvernement, au Parlement et aux médias, se pose en victime de la discrimination, et d’une discrimination dont la violence va jusqu’au meurtre.
Le plus ahurissant, sans doute, est de voir un prêtre, le P. François-Xavier Ledoux, faire de ce clip l’exemple même de la saine dénonciation des discriminations contre les minorités. Et cela dans son sermon d’hier. Pas n’importe quel sermon : celui de la messe de France Culture (20e minute)…