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  • Centrafrique : les évêques en appellent à l’ONU

    Mgr Dieudonné Nzapailanga, archevêque de Bangui, capitale de la Républiqque centrafricaine, lance un appel à l’ONU : pour « prévenir un rapide empirement de la violence », le pays a « un urgent besoin d’une force bien équipée et bien entraînée (agissant) sous une structure de commandement précise, disposant d’un mandat spécifique et robuste afin de protéger les civils des attaques brutales et de restaurer rapidement la sécurité », estime l’archevêque. « Jusqu’à présent, les forces de l’Union africaine n’ont pas été capables de fournir cela », déplore-t-il.

    On dirait qu’il ne fait pas confiance à François Hollande…

  • Massacres en Centrafrique

    L’Aide à l’Eglise en détresse dénonce des massacres en Centrafrique, commis par les « rebelles » islamistes (au pouvoir) de la Séléka dans des villages de la région de Bouar.

    Selon le témoignage d’un père carme, « au moins 14 villages ont été totalement abandonnés et les habitants se sont enfuis ». Tous ces villages sont chrétiens. Il y a sans doute eu des dizaines de morts.

     

  • En Centrafrique

    Le directeur de Caritas Centrafrique, le père Elysée Guedjande, a été blessé par balles à la jambe par deux hommes qui voulaient voler sa voiture.

    Le secrétaire général de Caritas internationalis Michel Roy s’est dit très préoccupé par la situation dans ce pays oublié de tous qui vit en plein chaos depuis le putsch de mars, lorsque une milice islamiste a pris le pouvoir.

    Le 9 juillet dernier, Médecins sans frontières et quatre autres ONG françaises ont dénoncé l’abandon de la Centrafrique par une communauté internationale qui conditionne son aide à un improbable retour de la sécurité dans ce pays majoritairement chrétien où l’Etat n’existe plus et où la pénurie alimentaire s’aggrave de jour en jour.

    (Radio Vatican)

  • Centrafrique: nouvel appel au secours

    Exécutions sommaires, violences sexuelles, attaques ciblées selon l’appartenance religieuse et ethnique, arrestations de partisans de l’opposition et de leurs familles, actes de torture, disparitions, recrutement d’enfants soldats, pillages à grande échelle : tels sont les crimes commis sur le territoire de la République centrafricaine par les islamistes de la Séléka qui ont pris le pouvoir à Bangui, et qui sont dénoncés dans un appel signé par une série de groupes de la société civile, dont le Secours Catholique/Caritas France.

    « Des organismes des Nations unies, quelques ONG et les Eglises essaient de faire face à la détresse de la population qui manque de tout : soins de santé, alimentation… Dans presque tout le pays, les écoles sont fermées. Bangassou, dans l’est du pays, n’est plus ravitaillée que par les vols humanitaires : plus d’eau, plus de carburant, donc plus d’électricité. »

    « La Centrafrique va-t-elle devenir la Somalie de l’Afrique centrale ? Ce no man’s land institutionnel pourrait bien attirer les terroristes du Nigeria et du Mali, ou encore l’Armée de libération du Seigneur, qui trouveraient facilement refuge dans ce pays de 4,5 millions d’habitants sur 650.000 km2. »

    Les signataires demandent « à la France et aux pays européens, mais aussi aux instances africaines, de revoir leurs positions. »

  • Centrafrique: un diocèse dévasté (parmi d’autres)

    « Ils nous ont tout volé : 28 voitures, 3 motocyclettes, l’ensemble des médicaments de la pharmacie. Par ailleurs ont été saccagé la pédiatrie, la maison des religieuses franciscaines, celle des Pères spiritains… la liste est longue… Nous n’en faisons pas un drame parce que ce n’est pas la première fois que se passent des choses de ce genre. Ce qui importe est de demeurer ici, aux côtés des pauvres, pour évangéliser. Nous n’avons pas été les premiers à faire l’expérience de moments de violence et de douleur aussi grands et nous ne serons pas les derniers. Nous résistons comme les Apôtres qui disaient que c’est un honneur de recevoir des coups pour le Seigneur ».

    Ces propos sont de Mgr Juan José Aguirre Muños, évêque de Bagassou, en République Centrafricaine. « Ils », ce sont les « rebelles de la Seleka », comme on continue d’appeler ces milices islamistes alors qu’elles ont pris le pouvoir et mettent ce pays chrétien à feu et à sang, dans l’indifférence la plus totale de la communauté internationale.

    (Fides)

  • La tyrannie islamique en République centrafricaine

    « La crise en République centrafricaine est ignorée par les moyens de communication de masse et la population, en majorité chrétienne, se sent abandonnée par la communauté internationale » remarquent les responsables chrétiens locaux contactés par l’agence Fides.

    Au début du mois, la commission Justice et Paix de la conférence épiscopale avait dénoncé « une rébellion d’extrémisme religieux aux intentions maléfiques caractérisées par la profanation et la destruction programmée et planifiée des édifices religieux, notamment des chrétiens et, en particulier, les églises catholiques et protestantes ».

    Cette rébellion qui a pris le pouvoir au mois de mars, la Sekela, est islamiste. Et elle fait régner la terreur islamiste :

    « Déjà, au cours de ces derniers mois, un certain nombre de chrétiens ont été tués ou blessés. Les rebelles recherchent les prêtres et autres travailleurs chrétiens alors que les lieux de culte et les propriétés privées de chrétiens sont attaqués et saccagés. De nombreux chrétiens ont abandonné leurs maisons en zone rurale et sont trop épouvantés pour y retourner. Plus de 200.000 personnes ont été évacuées, alors que 49.000 réfugiés ont été enregistrés dans les pays limitrophes. » (Fides)

  • Menaces antichrétiennes en République Centrafricaine

    Depuis la prise du pouvoir, le 24 mars, par les rebelles de Michel Djotodia en République Centrafricaine, les violences et les saccages à l’encontre des civils et des communautés chrétiennes se sont multipliés. L’Eglise catholique dénonce « une rébellion d’extrémisme religieux aux intentions maléfiques caractérisées par la profanation et la destruction programmée et planifiée des édifices religieux, notamment des chrétiens et, en particulier, les églises Catholiques et Protestantes ». « Sur toute l’étendue du territoire national, l’Eglise Catholique a payé le prix fort de tous les dégâts » souligne le communiqué de la Commission Justice et Paix. Et des prêtres et des religieuses ont été agressés au cours de ces derniers mois.

    (Fides)