A Grigny, dans l’Essonne.
(via F.Desouche)
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A Grigny, dans l’Essonne.
(via F.Desouche)
Abdel-Rahmène (sic) Azzouzi, chriurgien à l'hôpitél d'Angers, et sa femme Isabelle, ont acheté et restauré le château de la Roche-Tinard, près d’Angers, pour en faire « un site d’émulsion pour la communauté musulmane » en France.
Le château appartenait auparavant à une communauté de sœurs franciscaines.
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Extrait de la catéchèse de Benoît XVI, mercredi dernier.
Moïse demande que le Seigneur continue dans la fidélité son histoire d’élection et de salut, en pardonnant à son peuple. L’intercesseur ne fournit pas d’excuse pour le péché de son peuple, il ne dresse pas la liste de présumés mérites revenant à son peuple ou à lui-même, mais il fait appel à la gratuité de Dieu : un Dieu libre, totalement amour, qui ne cesse de chercher celui qui s’est éloigné, qui reste toujours fidèle à lui-même et offre au pécheur la possibilité de revenir à Lui et de devenir, avec son pardon, juste et capable de fidélité. Moïse demande à Dieu de se montrer plus fort également que le péché et que la mort, et avec sa prière il provoque cette révélation divine. Médiateur de vie, l’intercesseur solidarise avec le peuple ; désirant uniquement le salut que Dieu lui-même désire, il renonce à la perspective de devenir un nouveau peuple agréable au Seigneur. La phrase que Dieu lui avait adressée, « de toi en revanche je ferai une grande nation », n’est pas même prise en considération par l’« ami » de Dieu, qui en revanche est prêt à assumer sur lui non seulement la faute de son peuple, mais toutes ses conséquences. Lorsque, après la destruction du veau d’or, il reviendra sur le mont pour demander à nouveau le salut pour Israël, il dira au Seigneur : « Pourtant, s’il te plaisait de pardonner leur péché... Sinon, efface-moi, de grâce, du livre que tu as écrit » (v. 32). Avec la prière, désirant le désir de Dieu, l’intercesseur entre toujours plus profondément dans la connaissance du Seigneur et de sa miséricorde et il devient capable d’un amour qui arrive jusqu’au don total de soi. En Moïse, qui se trouve sur la cime du mont face à face avec Dieu et qui se fait l’intercesseur pour son peuple et s’offre lui-même — « efface-moi » —, les Pères de l’Eglise ont vu une préfiguration du Christ, qui sur la haute cime de la croix se trouve réellement devant Dieu, non seulement comme ami mais comme Fils. Et il ne s’offre pas seulement — « efface-moi » —, mais avec son cœur transpercé, il se fait effacer, il devient, comme le dit saint Paul lui-même, péché, il porte sur lui nos péchés pour nous sauver ; son intercession est non seulement solidarité, mais identification avec nous : il nous porte tous dans son corps. Et ainsi toute son existence d’homme et de Fils est un cri au cœur de Dieu, est pardon, mais un pardon qui transforme et qui renouvelle.
Respice, quæsumus, Domine, ad Francorum benignus nationem : et quibus per devotam sanctæ Clotildis instantiam donum fidei contulisti ; per ejus intercessionem tribue sincerum christianæ pietatis affectum. Per Dominum…
Regardez avec bonté, Seigneur, le peuple de France ; Vous qui lui avez fait le don de la foi sur les instances de sainte Clotilde, accordez-lui maintenant, par son intercession, un attachement sincère à la religion chrétienne.
Dans ce numéro
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Ce n’est pas la girouette qui tourne, c’est le vent…
Page 3
L’affaire de l’Institut islamique de Boissy-Saint-Léger
Page 4
Wassila Stores : les boutiques halal de Casino
Page 5
Chrétiens au Pakistan
Chrétiens en Irak
Pages 6 & 7
Le Saint-Siège recadre Caritas Internationalis
Page 8
L’Ascension selon saint Léon
Dimanche prochain…
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« Et, alors qu’il les bénissait, il se sépara d’eux, et fut emporté au ciel. Et eux, se prosternant, revinrent à Jérusalem dans une grande joie ; et ils étaient toujours dans le Temple, louant et bénissant Dieu. Amen. »
Ainsi se termine l’évangile de saint Luc. Ce qui étonne, en dehors du fait de l’Ascension, c’est la « grande joie » des apôtres. Car voici que Jésus les quitte. Ils ne le verront plus sur cette terre. Ils devraient être tristes, et même très tristes (d’autant que la Pentecôte n’a pas encore eu lieu). Or ils sont dans une grande joie.
On peut remarquer que cette expression par laquelle saint Luc conclut son évangile est aussi celle par laquelle il l’a commencé : « Je vous annonce une grande joie. » La grande joie, c’est la bonne nouvelle du salut. Et la cause de cette joie, lors de l’Ascension, c’est, nous dit saint Léon le Grand, le fait que la nature humaine, la nature du genre humain (humani generis natura), monte au-dessus de toutes les créatures célestes, s’élève au-dessus des anges et des archanges, « et ne trouve pas la mesure de son exaltation, tant qu’elle n’est pas admise à s’asseoir avec le Père éternel, à s’associer à sa gloire sur son trône, à lui dont la nature lui avait été unie dans le Fils ». La nature divine avait été unie à la nature humaine dans le Fils, et en revenant au Père, le Fils associe la nature humaine à la gloire de la nature divine. Saint Léon poursuit : « Car l’ascension du Christ est notre élévation, et là où a précédé la gloire de la tête, là est appelée l’espérance du corps : laissons donc éclater notre joie, bien aimés, et réjouissons-nous dans une pieuse action de grâce. »
L’Assemblée nationale a adopté hier une résolution « sur l’attachement au respect des principes de laïcité, fondement du pacte républicain, et de liberté religieuse ».
On y lit ceci : (l’Assemblée)
3. Estime que les acteurs de terrain ne peuvent pas être laissés seuls face à des pressions et des pratiques extrémistes qui contestent les lois de la République et mettent en cause l’ordre public pour des motifs religieux ;
4. Affirme solennellement que dans une République laïque nul ne peut se prévaloir de ses croyances religieuses pour s’affranchir des règles communes régissant les relations entre collectivités publiques et particuliers ;
5. Condamne tous aménagements de ce principe qui, au nom d’accommodements prétendument raisonnables, consistent à transgresser les lois de la République en cédant à des revendications communautaristes ;
8. Rappelle que le principe de laïcité interdit à quiconque, dans le cadre d’un service public, de mettre en cause son fonctionnement normal, par exemple en se soustrayant à l’obligation scolaire, ou de récuser un agent pour des motifs religieux ;
10. Estime souhaitable que, dans les entreprises, puisse être imposée une certaine neutralité en matière religieuse et notamment, lorsque cela est nécessaire, un encadrement des pratiques et tenues susceptibles de nuire à un vivre ensemble harmonieux…
Je me demande si tout cela vise les bouddhistes ou les zoroastriens. Le texte ne le précise nulle part.
Les lobbies dits antiracistes dénoncent la nouvelle carte d’identité finlandaise, en vigueur à partir d’aujourd’hui 1er juin : elle est bleue pour les Finlandais de souche, et marron pour les Finlandais nés à l’étranger…
La Commission européenne a répondu qu’elle n’avait aucune compétence sur les cartes d’identité, qui relèvent des Etats membres…
Luc Ferry a affirmé qu'un "ancien ministre" s'était "fait poisser à Marrakech dans une partouze avec des petits garçons", assurant tenir cela des "plus hautes autorités de l'Etat". Mais "si je sors le nom maintenant, c'est moi qui serai mis en examen et à coup sûr condamné, même si je sais que l'histoire est vraie".
Jack Lang annonce qu’il poursuivra tous ceux qui mettront son honneur en cause…
Coup de théâtre
« Ce n’est pas Jack Lang », affirme Jean-François Kahn, qui en a parlé avec Luc Ferry qui lui a donné un autre nom…
Elle était hindoue, à Katmandou, et elle est tombée gravement malade. Une amie catholique lui a donné une Bible. « A ce moment-là j’étais souvent seule, car toute ma famille était au travail. J’ai commencé à lire des passages de l’ancien et du nouveau Testaments, dans lesquels Dieu dit qu’il a des projets pour nous et qu’il guérit nos souffrances. » Alors elle a prié avec les mots de la Bible. « Plus je mettais ma confiance en Dieu et en la Vierge, plus ma santé s’améliorait. Alors, dès que j’ai pu, j’ai commencé à assister à la messe à la cathédrale de l’Assomption de Katmandou, et il y a trois ans j’ai été baptisée. »
Au Népal, il y a 150.000 chrétiens, dont… 8.000 catholiques. Mais les conversions seraient en forte hausse. Chaque dimanche, quelque 200 hindous assisteraient à la messe à la cathédrale.
(Asianews)