Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • "Le Monde", six jours après…

    Les lecteurs du Monde ont pu apprendre dans l'édition du 26 septembre du quotidien de référence que « des bandes organisées de jeunes ont violemment perturbé la Techno-parade », le 19 septembre.

    « Une grande discrétion a entouré ces incidents. Or, des policiers présents disent avoir été marqués par le caractère très organisé des violences commises. »

    « Une grande discrétion », c'est l'expression du Monde pour qualifier l'auto- censure générale des médias. (Le soir même, des vidéos des « incidents » circulaient partout sur internet, et les responsables de la techno-parade dénonçaient les violences.) Mais dans le cours de l'article on a l'explication de ce mutisme : les vidéos ont été « récupérées et exploitées par des sites d'extrême droite »...

    Ayant réussi au bout de six jours à surmonter son aversion face à des informations répandues par « l'extrême droite », Le Monde déballe tout : il y avait dans ces bandes beaucoup de jeunes Noirs portant un signe distinctif, une casquette blanche, une capuche ou un vêtement de couleur blanche, plusieurs policiers assurent avoir été confrontés à des jeunes qui agissaient en groupes structurés, avec un chef qui désignait les objectifs, il y a eu 95 interpellations, parmi eux, quelques uns avaient des sacs en plastique avec dix téléphones portables à l'intérieur, etc.

  • La confiance en Vaclav Klaus

    Selon le dernier sondage tchèque sur la confiance des citoyens envers leurs représentants dans les institutions, Vaclav Klaus est en tête avec 59%, suivi de près par le médiateur de la République Otakar Motejl (58%) et le Premier ministre (apolitique) Jan Fischer (56%).

    Tout en bas du tableau, le président du parti social-démocrate, Jiri Paroubek (28%) et le président de l'ODS, l'ancien Premier ministre Mirek Topolanek (24%)...

  • Le traité de Lisbonne ratifié par l’Allemagne

    Le président Horst Köhler a signé hier le Traité de Lisbonne, parachevant ainsi sa ratification par l'Allemagne.

    Dans un communiqué, Bernard Kouchner et son secrétaire d'Etat Pierre Lellouche « saluent » cette ratification et ajoutent : « Nous formons le voeu que la ratification du Traité de Lisbonne par l'Allemagne crée une dynamique en faveur de l'aboutissement rapide du processus de ratification du Traité de Lisbonne par les pays qui ne l'ont pas encore ratifié. »

    Suivez mon regard...

  • Non veut dire Non

    no_means_no.jpg

    Le groupe "No means no" a relancé sur son site internet la pétition pour le non au référendum irlandais.

    Faites passer...

  • Au Boston College

    Un professeur de droit au Boston College, université jésuite du Massachusetts, a accepté d'apparaître dans un "spot" publicitaire contre la reconnaissance de l'union des paires homosexuelles. Certains de ses colègues de l'université catholique) ont dénoncé cette prestation auprès du doyen de la faculté de droit. Celui-ci défend le droit de tout professeur à exposer son « opinion », dans un texte hallucinant où il prend comme exemple le fait que des professeurs sont pour l'avortement et l'euthanasie et que cela ne pose aucun problème.

    C'est à lire sur Américatho, bien sûr.

  • Benoît XVI, la véritable écologie

    Texte du message vidéo adressé aux participants du sommet de l'ONU sur les changements climatiques par Benoît XVI :

    Je désire parler du rapport existant entre le Créateur et l'homme gardien de sa Création, offrant ainsi mon appui aux gouvernements et agences internationales réunies ici pour débattre d'une question aussi grave.

    La terre constitue un don précieux de Dieu qui, en formant son ordre spécifique nous a indiqué les principes garantissant la sauvegarde de la création. C'est pourquoi l'Eglise estime que tout ce qui touche à l'environnement et à sa protection est étroitement lié au développement humain intégral. Dans l'Encyclique Caritas in Veritate, j'ai évoqué ces questions en rappelant l'urgence morale d'une nouvelle solidarité, entre pays mais aussi entre personnes, car la nature est donnée par Dieu à chacun de nous. Cela suppose une responsabilité personnelle face à l'humanité, aux pauvres comme aux générations successives.

    Il est donc capital que la communauté internationale et les gouvernements informent la société sur les utilisations dangereuses de la nature. Les pays qui exploitent en les épuisant des ressources doivent le reconnaître, et faire en sorte que les coûts économiques et sociaux ne retombent pas sur les autres, y compris au dam des générations à venir. La protection de l'environnement, des richesses naturelles et du climat doivent contraindre tous les responsables à redoubler d'efforts, dans le respect des lois et le développement de la solidarité avec les régions du monde les plus fragiles. Ensemble nous pouvons parvenir à un développement humain incluant la charité et la vérité. Il est donc essentiel que notre modèle de développement global prenne conscience d'une plus ample responsabilité partagée de la création. Aux volets environnementaux et climatiques il faut ajouter la résolution du scandale que constituent la faim et la misère.

  • Samedi des Quatre Temps de septembre

    Dans son Evangile, le Seigneur, notre Rédempteur, s'adresse à nous quelquefois par des paroles, et quelquefois par des actions; et c'est tantôt des choses différentes qu'il nous dit par ses paroles et par ses actions, tantôt la même chose. Vous avez, mes frères, entendu rapporter deux faits dans cet évangile : le figuier stérile et la femme courbée. Or ces deux faits mettaient en jeu la bonté miséricordieuse [de Dieu]. Le premier l'exprimait par une comparaison, le second la rendait sensible par une action. Mais le figuier stérile signifie la même chose que la femme courbée, le figuier épargné la même chose que la femme redressée. Le maître de la vigne vint trois fois voir le figuier et n'y trouva aucun fruit; la femme redressée, elle, était courbée depuis dix-huit ans. Ces dix-huit ans représentent la même chose que les trois fois où l'on nous dit que le maître de la vigne est venu voir le figuier stérile.

    Après avoir ainsi donné rapidement l'idée générale de ce texte, expliquons-en maintenant chaque point dans l'ordre de la lecture.

    Lire la suite

  • Avion gratuit pour Dublin….

    Le lobby Europe for Ireland, constitué d'européistes irlandais vivant sur le continent, offre le billet d'avion Bruxelles-Dublin, à quiconque s'engage à militer sur place pour le oui au référendum.

    Les billets sont en fait offerts par Ryanair.

    Europe for Ireland précise que les taxes (50 euros en moyenne) restent à la charge du voyageur, mais que si ça pose un problème elle prendra ces frais à sa charge.

  • Irlande : mauvais sondage

    Selon le dernier sondage de l'institut TNS publié aujourd'hui par l'Irish Times, 48% des Irlandais ont l'intention de voter oui, 33% non, et 19% sont indécis. Soit 2 points de plus pour le oui, et 4 points de plus pour le non, par rapport au même sondage du même institut au début du mois.

    En excluant les indécis, cela donne 59% de oui contre 41% de non. Au début du mois c'était 61% contre 39%.

    Le non monte, certes, mais moins que l'an dernier, et il reste loin du oui...

  • Václav Klaus s’explique

    La vice-présidente sociale-démocrate du Sénat tchèque avait envoyé une lettre à Vaclav Klaus pour lui demander d'expliquer pourquoi il n'avait pas encore signé la ratification du traité de Lisbonne. Le président lui a répondu, également par lettre, qu'un groupe de sénateurs l'a informé qu'ils avaient l'intention de déposer une plainte constitutionnelle et lui demandaient de différer sa signature jusqu'à la décision de la Cour. « J'ai fait suite à cette demande. Si je ne l'avais pas fait, je les aurais dépouillés des droits qui leur sont garantis par la loi. » Il ajoute qu'il juge sérieuses les réserves de ces sénateurs, et qu'il attend que la Cour constitutionnelle « apporte des réponses convaincantes et des explications, de manière aussi à ce qu'elle assume, cette fois, ses responsabilités ».