Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

"Le Monde", six jours après…

Les lecteurs du Monde ont pu apprendre dans l'édition du 26 septembre du quotidien de référence que « des bandes organisées de jeunes ont violemment perturbé la Techno-parade », le 19 septembre.

« Une grande discrétion a entouré ces incidents. Or, des policiers présents disent avoir été marqués par le caractère très organisé des violences commises. »

« Une grande discrétion », c'est l'expression du Monde pour qualifier l'auto- censure générale des médias. (Le soir même, des vidéos des « incidents » circulaient partout sur internet, et les responsables de la techno-parade dénonçaient les violences.) Mais dans le cours de l'article on a l'explication de ce mutisme : les vidéos ont été « récupérées et exploitées par des sites d'extrême droite »...

Ayant réussi au bout de six jours à surmonter son aversion face à des informations répandues par « l'extrême droite », Le Monde déballe tout : il y avait dans ces bandes beaucoup de jeunes Noirs portant un signe distinctif, une casquette blanche, une capuche ou un vêtement de couleur blanche, plusieurs policiers assurent avoir été confrontés à des jeunes qui agissaient en groupes structurés, avec un chef qui désignait les objectifs, il y a eu 95 interpellations, parmi eux, quelques uns avaient des sacs en plastique avec dix téléphones portables à l'intérieur, etc.

Commentaires

  • Face aux "sites d'extrême droite", "Le Monde" serait-il une illustration emblématique des "sites d'extrême patience" au sens où Xavier Martin le développe dans son livre " La France abîmée" ?

    http://groups.google.fr/group/louisxvii-info-2/web/xavier-martin--la-france-abme-essai-historique

  • Cela fait longtemps que l'on sait que cet extrême-torchon n'a que peut à voir avec l'information.

    Laissons-les sombrer tranquillement. De plus, le chiffre de leur diffusion est largement surévalué, compte-tenu du nombre impressionnant d'organismes d'Etat, d'administrations qui sont obligés de s'abonner, ce qui fait que le titre "quotidien de référence" qu'ils s'attribuent est usurpé.

    Ce n'est plus qu'une citadelle mitée, croulante, peuplée de pathétiques soixante-huitards. Il n'y a plus, fort heureusement, très longtemps à attendre.

  • "Ce n'est plus qu'une citadelle mitée, croulante, peuplée de pathétiques soixante-huitards. Il n'y a plus, fort heureusement, très longtemps à attendre."

    Ne soyez pas trop optimiste : pour eux, les caisses de l'Etat seront toujours ouvertes. Et quand il n'y en a plus, il y en a encore, donc quand il n'y en aura plus, il y en aura encore.

    S'ils devaient un jour déposer le bilan, l'armée des pleureuses monterait en ligne et "on" trouverait une solution.

Les commentaires sont fermés.