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  • Le FPÖ récidive

    Le FPO a obtenu 15,3% des voix aux élections régionales en Haute-Autriche, contre 8% en 2003. C'est la deuxième fois en une semaine que le parti autrichien double son score (après ses 25% au Voralberg).

    Dans les deux cas, on constate que le FPÖ prend ses voix au parti social-démocrate, qui s'effondre, tandis que les conservateurs de l'ÖVP maintiennent leurs positions.

  • Les élections allemandes

    Voici deux textes qui tranchent sur les commentaires convenus. Le premier est le communiqué de Bruno Gollnisch qui souligne qu'il ne s'agit pas d'une « victoire de la droite ». Le second est l'analyse de Reuters, qui montre que les deux « grands partis » ont perdu (la CDU espérait plus de 40%, elle atteint à peine 34%). Ce qui ne change rien au constat, mais indique une évolution du système.

    Le communiqué de Bruno Gollnisch

    La victoire de Mme Merkel (ou plus exactement de Mme Sauer) aux élections législatives allemandes,  n'est en aucune façon une victoire de la droite.

    Elle a cogéré le pays avec les socialistes allemands, et leurs politiques sont interchangeables  à quelques nuances près.

    De part et d'autre du Rhin, les mêmes courants dominent aujourd'hui la société : implosion démographique, submersion migratoire,  alignement sur la politique étrangère américaine,  dictature insupportable du « politiquement correct ».

    A cet égard, Mme Merkel a conservé de son très trouble passé en Allemagne de l'Est un écrasant mépris des peuples. Elle est l'inventeur de la tromperie qui consiste à faire croire que le traité de Lisbonne diffère de la constitution européenne rejetée  par les peuples français et néerlandais, et qui l'eut été par d'autres s'ils avaient pu se prononcer. « Let us keep the substance and change the wording » : gardons la substance et changeons les mots, avait-elle lancé à ses collègues européens.

    Une consigne cynique méthodiquement mise en œuvre  depuis lors en France comme en Allemagne et ailleurs.

    La dépêche de Reuters

    Les deux gros partis allemands pèsent de moins en moins

    BERLIN (Reuters) - Les deux grands "Volksparteien" (partis populaires) d'Allemagne, la CDU/CSU conservatrice et le SPD de centre-gauche, ont obtenu dimanche leur plus mauvais score depuis des décennies, et ces législatives ont profité aux trois petites formations représentées au Bundestag: le FDP, Die Linke et, dans une moindre mesure, les Verts.

    Si la CDU/CSU va pouvoir en finir avec la grande coalition avec le SPD, elle le doit non pas à elle-même, puisque son score recule de 1,5% par rapport aux législatives de 2005, mais aux Libéraux du FDP, lesquels étaient dans l'opposition depuis onze ans.

    La CDU/CSU essuie son deuxième plus mauvais score depuis la fondation de la République fédérale allemande, avec autour de 33,5-34% dimanche, contre 31% en 1949.

    L'autre parti de la grande coalition, le SPD, enregistre une véritable débâcle, avec 23% d'après les dernières projections, soit de loin son pire score depuis 1949; jusqu'à dimanche, sa pire défaite remontait à 1953 avec 28,8%.

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  • Le pape est content

    Le pape Benoît XVI est très satisfait de sa visite en République tchèque, il a été impressionné par la réaction générale à sa venue et par la présence permanente du président Vaclav Klaus, a déclaré le P. Lombardi aux journalistes après la messe de Brno.

    Il a également apprécié le concert de samedi, au cours duquel il a pu entendre le Te Deum de Dvorak interprété par l'Orchestre philharmonique tchèque, a-t-il ajouté.

    Veinard, ajouté-je. (Ce Te Deum est LE chef-d'œuvre absolu de la musique religieuse tchèque, et la Philharmonie tchèque en est LE meilleur interprète...)

  • L’éternel prince des Tchèques

    Extraits de l'homélie de Benoît XVI lors de la messe de ce matin.

    Je salue avec déférence Monsieur le Président de la République, auquel je présente mes vœux cordiaux à l'occasion de sa fête ; vœux qu'il me plaît d'adresser à ceux qui portent le nom de Venceslas, et au peuple tchèque tout entier au jour de sa fête nationale.

    Ce matin le souvenir glorieux du martyr saint Venceslas, dont j'ai pu vénérer la relique, avant la messe, dans la Basilique qui lui est dédiée, nous réunit autour de l'autel. Il a versé son sang sur votre terre et son aigle que vous avez choisi comme écusson de la visite d'aujourd'hui - votre Cardinal Archevêque l'a rappelé il y a peu - constitue l'emblème historique de la noble Nation tchèque. Ce grand saint que vous aimez appeler 'éternel' Prince des Tchèques, nous invite à suivre toujours et fidèlement le Christ, il nous invite à être des saints. Lui-même est un modèle de sainteté pour tous, spécialement pour tous ceux qui conduisent le destin des communautés et des peuples. (...)

    Venceslas est mort martyr pour le Christ. Il est intéressant de noter que son frère Boleslas réussit, en le tuant, à s'emparer du trône de Prague, mais la couronne que par la suite ses successeurs se mettaient sur la tête ne portait pas son nom. Elle portait le nom de Venceslas, en témoignage que «le trône du roi qui juge les pauvres dans la vérité restera solide pour l'éternité » (cf. l'Office des lectures de ce jour). Ce fait fut jugé comme une merveilleuse intervention de Dieu, qui n'abandonne pas ses fidèles : « l'innocent vaincu vainc le cruel vainqueur de la même façon que le Christ sur la croix » (cf. La légende de saint Venceslas), et le sang du martyr n'a appelé ni haine ni vengeance, mais le pardon et la paix.

    Chers frères et sœurs, en cette Eucharistie, remercions ensemble le Seigneur d'avoir donné à votre Patrie et à l'Eglise ce saint souverain. Prions en même temps pour que, comme lui, nous aussi nous marchions d'un pas alerte vers la sainteté. C'est certainement difficile, parce que la foi est toujours exposée à de multiples défis, mais quand on se laisse attirer par Dieu qui est Vérité, le chemin se fait décidé, parce qu'on fait l'expérience de la force de son amour. Que l'intercession de saint Venceslas et des autres saints protecteurs des terres tchèques nous obtienne cette grâce. Que Marie, Reine de la paix et Mère de l'Amour nous protège et nous assiste toujours. Amen !

  • Saint Venceslas

    Le premier duc des Tchèques mentionné dans les annales est Borjvoj. Il régna de 874 à 891 et fut baptisé par saint Méthode dans les années 80. Il construisit le premier sanctuaire chrétien de Bohême. Puis il fit élever au-dessus de la Vltava, sur le site d'un lieu de culte païen, une église dédiée à la Sainte Vierge. Sous le règne de son fils, Spytihnev, on commença à construire en cet endroit une forteresse : c'est le début de l'édification progressive du Château de Prague. À la mort de Spytihnev, son frère cadet Vratislav Ier lui succède. Ses fils sont Venceslas et Boleslav. À la mort de Vratislav (en 921), sa femme Drahomíra s'institue régente jusqu'à la majorité de Venceslas, elle fait assassiner sainte Ludmilla (la grand-mère de Venceslas, qui l'avait élevé) et mène une politique antichrétienne. Venceslas accède au trône vers 924. Il fonde au Château de Prague la cathédrale Saint-Guy pour y abriter les reliques de saint Guy qu'il avait obtenues du roi saxon Henri l'Oiseleur. Il reconnut la suzeraineté d'Henri et fit venir des missionnaires allemands, ce qui suscita la révolte des princes païens, et son propre frère Boleslas se mit dans la conjuration. Lorsque Venceslas eut un héritier, Boleslas décida de tuer son frère. Venceslas fut immédiatement vénéré comme martyr, et devint le saint patron de la Bohême.

    Bonne fête à Vaclav Klaus (car Vaclav, c'est Venceslas), actuel maître du Château de Prague, en ce jour où le pape Benoît XVI est précisément en Bohême.

  • 17e dimanche après la Pentecôte

    L'évangile de ce dimanche est constitué des deux derniers épisodes d'une longue controverse entre Jésus et, successivement, les grands-prêtres, les pharisiens, les sadducéens, et de nouveau les pharisiens, qui reviennent à la charge après que Jésus a successivement cloué le bec à tous ses interlocuteurs. Il répond en dernier lieu à leur question sur le plus grand commandement, et enfin c'est lui qui attaque, pour frapper un grand coup et les réduire définitivement au silence (le texte de saint Matthieu est ouvertement polémique).

    Il leur demande de qui le Messie est le fils, et bien entendu ils répondent : de David. Mais alors il leur cite le psaume 109, psaume messianique, et leur demande pourquoi David lui-même appelle ce fils « Seigneur ». Ils sont littéralement tétanisés. Car Jésus vient d'affirmer qu'il est le Seigneur, c'est-à-dire Dieu, conformément à l'Ecriture...

  • Le pape et l’Enfant-Jésus

    Benoît XVI s'est rendu cet après-midi en l'église Notre-Dame des Victoires, à Prague, où se trouve la statue miraculeuse de « l'Enfant-Jésus de Prague ». Il a prononcé une émouvante allocution.

    (...) J'adresse à chacun ma cordiale salutation et j’exprime la joie de visiter dans cette Église, dédiée à Sainte Marie de la Victoire où est vénérée la statue de l’Enfant-Jésus, connue partout sous le nom de « L’Enfant-Jésus de Prague ».(...)

    L’image de l’Enfant-Jésus fait immédiatement penser au mystère de l’Incarnation, au Dieu tout-puissant qui s’est fait homme et a vécu pendant 30 ans dans l’humble famille de Nazareth, confié par la Providence à la garde pleine d’attention de Marie et de Joseph. Ma pensée va vers vos familles et vers toutes les familles du monde, à leurs joies et à leurs difficultés. Unissant la prière à notre réflexion, nous demandons à l’Enfant-Jésus le don de l’unité et de la concorde pour toutes les familles. Nous pensons spécialement aux jeunes familles qui doivent faire tant d’efforts pour assurer à leurs enfants la sécurité et un avenir digne. Nous prions pour les familles en difficulté, éprouvées par la maladie et par la souffrance, pour celles qui traversent une crise, qui sont séparées ou meurtries par la mésentente et l’infidélité. Nous les confions toutes au Saint Enfant-Jésus de Prague, sachant combien est importante leur stabilité et leur bonne entente pour le vrai progrès de la société et pour l’avenir de l’humanité.

    La statue de l’Enfant-Jésus, reflet de la tendresse de son enfance, nous fait en outre percevoir la proximité de Dieu et de son amour. Nous comprenons combien nous sommes précieux à ses yeux, parce que, particulièrement grâce à Lui, nous sommes devenus à notre tour fils de Dieu. Chaque être humain est fils de Dieu et donc, chacun de nos frères est, comme tel, à accueillir et à respecter. Puisse notre société comprendre cette réalité ! Chaque personne humaine serait alors considérée non pour ce qu’elle a mais pour ce qu’elle est, puisque dans le visage de chaque être humain, sans distinction de race ni de culture, resplendit l’image de Dieu.

    Cela vaut par-dessus tout pour les enfants. Dans l’Enfant-Jésus de Prague, nous contemplons la beauté de l’enfance et la préférence que le Christ-Jésus a toujours manifestée envers les plus petits, comme nous le lisons dans l’Évangile (cf Mc 10, 13-16). Combien d’enfants, au contraire, ne sont pas aimés, ni accueillis, ni respectés ! Combien sont victimes de la violence et de toutes formes d’exploitation de la part de personnes sans scrupules ! Puissent être réservés à ces petits le respect et l’attention qui leur est dû : les enfants sont l’avenir et l’espérance de l’humanité !

    Je voudrai maintenant adresser une parole spéciale à vous, chers enfants, et à vos familles. Vous êtes venus nombreux à ma rencontre et je vous en remercie de grand cœur. Vous qui êtes les préférés –du cœur- de l’Enfant-Jésus, sachez rendre son amour, et, en suivant son exemple, soyez obéissants, délicats et affectueux. Apprenez à être, comme Lui, le réconfort de vos parents. Soyez de vrais amis de Jésus et recourrez toujours à Lui dans la confiance. Priez-le pour vous-mêmes, pour vos parents, pour votre famille, pour vos maitres et pour vos amis, et priez-le aussi pour moi. Je vous remercie encore pour votre accueil et je vous bénis de grand cœur, invoquant sur tous la protection de l’Enfant-Jésus, de sa Mère Immaculée et de saint Joseph.

  • Le pape, le communisme, les racines chrétiennes de la nation, et un hommage à Vaclav Klaus

    Traduction des propos de Benoît XVI à son arrivée à Prague.

    (...) J’ai été particulièrement touché par le geste du jeune couple qui m’a apporté des dons typiques de la culture de votre nation et m’ont offert un peu de votre terre natale. Cela me rappelle que la culture tchèque est profondément pénétrée par le christianisme, car, comme vous le savez, les éléments du pain et du sel revêtent un sens particulier dans la symbolique du Nouveau Testament.

    Même si toute la culture européenne a été profondément modelée par son héritage chrétien, ce fait est particulièrement vrai en cette terre tchèque, car c’est grâce au travail missionnaire des saints Cyrille et Méthode, au neuvième siècle, que l’ancienne langue slavonne a été transcrite pour la première fois. Apôtres des peuples slaves et fondateurs de leur culture, ils sont vénérés à juste titre comme Patrons de l’Europe. Il est aussi utile de rappeler que ces deux grands saints, de tradition byzantine, rencontrèrent ici des missionnaires provenant de l’Occident latin. Tout au long de son histoire, ce territoire situé au cœur du continent européen, au carrefour du nord et du sud, de l’est et de l’ouest, a été un point de rencontre pour différents peuples, traditions et cultures. Sans aucun doute, cela a provoqué quelquefois des frictions, toutefois, cette rencontre s’est démontrée fructueuse à long terme. D’où le rôle significatif que le territoire tchèque a joué dans l’histoire intellectuelle, culturelle et religieuse de l’Europe, de temps en temps comme champ de bataille, mais le plus souvent en tant que pont.

    Dans quelques mois, aura lieu le vingtième anniversaire de la « Révolution de velours », qui, heureusement, mit fin pacifiquement, à une période d’épreuve particulière pour votre Pays, période durant laquelle la circulation des idées et des courants culturels était sévèrement contrôlée. Je m’unis à vous et à vos voisins en rendant grâce pour votre libération de ces régimes oppressifs. Si l’effondrement du mur de Berlin a marqué un tournant décisif dans l’histoire mondiale, il en fut plus encore ainsi pour les Pays de l’Europe Centrale et Orientale, leur permettant de prendre la place qui leur revient dans le consensus des nations, en qualité d’acteurs souverains.

    Toutefois, le coût de quarante ans de répression politique n’est pas à sous-estimer. Un drame particulier pour ce pays a été la tentative impitoyable du Gouvernement de l’époque de réduire au silence l’Église. Votre histoire, tout au long de son cours, de saint Venceslas, de sainte Ludmilla et saint Adalbert jusqu’à saint Jean Népomucène, a été marquée par de courageux martyrs dont la fidélité au Christ a témoigné plus fortement et de façon plus éloquente que la voix de leurs bourreaux. Cette année est caractérisée par le quarantième anniversaire de la mort du Serviteur de Dieu, le Cardinal Josef Beran, Archevêque de Prague. Je désire lui rendre hommage ainsi qu’à son successeur, le Cardinal František Tomášek, que j’ai eu le privilège de connaître personnellement, pour leur invincible témoignage chrétien face à la persécution. Avec de braves et innombrables prêtres, religieux et laïcs, hommes et femmes, ils ont maintenu vivante la flamme de la foi dans ce Pays. Maintenant que la liberté religieuse a été rétablie, je fais appel à tous les citoyens de la République pour qu’ils redécouvrent les traditions chrétiennes qui ont façonné leur culture et j’invite la communauté chrétienne à continuer à faire entendre sa voix tandis que la nation affronte les défis du nouveau millénaire. « Sans Dieu, l’homme ne sait où aller et ne parvient même pas à comprendre qui il est » (Caritas in veritate, 78). La vérité de l’Évangile est indispensable pour une société saine, car elle ouvre à l’espérance et nous permet de découvrir notre dignité inaliénable de fils de Dieu.

    Monsieur le Président, je sais que vous voulez que soit accordé à la religion un rôle majeur dans les affaires du Pays. Le drapeau présidentiel qui flotte sur le Château de Prague proclame la devise « Pravda Vítĕzí – La Vérité triomphe » : je souhaite sincèrement que la lumière de la foi continue à guider cette nation, bénie abondamment au cours de son histoire par le témoignage de grands saints et martyrs. En cet âge de la science, il est utile de rappeler l’exemple de Jean Grégoire Mendel, Abbé augustin de Moravie, dont les recherches d’avant-garde furent à la base de la génétique moderne. Le reproche de son saint patron, Augustin, ne s’adressait pas à lui, lorsqu’il regrettait que beaucoup étaient « davantage portés à admirer les faits qu’à en rechercher les causes » (Epistula 120, 5 ; cf. Jean-Paul II, Commémoration de l’Abbé Grégoire Mendel à l’occasion du premier centenaire de sa mort, 10 mars 1984, 2). Le véritable progrès de l’humanité est servi au mieux justement par cette alliance de la sagesse de la foi et de l’intuition de la raison. Que le peuple Tchèque puisse toujours jouir des bénéfices qui proviennent de cette heureuse synthèse !

    Il ne me reste qu’à renouveler à chacun de vous mes remerciements, et à vous dire que j’ai attendu avec impatience de passer ces quelques jours parmi vous, dans la République Tchèque, que vous êtes fiers d’appeler : « zeme ceská, domov muj »*.

    * Citation de l'hymne national : pays tchèque, ma patrie.

  • Espagne: feu vert à la libéralisation de l'avortement

    Le gouvernement socialiste espagnol a approuvé hier en conseil des ministres le projet de loi de libéralisation de l'avortement, qui permettra notamment aux jeunes filles de 16 ans d'avorter librement sans le consentement de leurs parents.

    "Nous voulons offrir aux mineures la plus haute protection et le plus strict respect de leurs droits fondamentaux" (sic), a commenté Mme de le Vega, vice-présidente du gouvernement.

    Si le projet est adopté tel quel, les femmes vivant en Espagne pourront désormais avorter librement dans un délai de 14 semaines. L'avortement sera autorisé de manière exceptionnelle jusqu'à 22 semaines de grossesse en cas de "risque pour la vie et la santé" de la mère ou "de graves anomalies du foetus". Il pourra enfin être pratiqué sans limite de temps en cas de "maladie extrêmement grave et incurable du foetus", après avis d'un comité médical.

    Une grande manifestation doit avoir lieu contre le projet le 17 octobre à Madrid.

  • « Sans équivoque »

    Titre d'une dépêche de l'AFP :

    Nucléaire iranien: Israël veut une réponse "sans équivoque" des grandes puissances.

    On ne lira jamais :

    Nucléaire : les grandes puissance veulent une réponse "sans équivoque" d'Israël.